Éméville
Éméville | |||||
L'église Saint-Léger. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Senlis | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Valois | ||||
Maire Mandat | Yvette Valun 2020-2026 | ||||
Code postal | 60123 | ||||
Code commune | 60207 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Emévillois, Emévilloises | ||||
Population municipale | 285 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 155 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 16′ 50″ nord, 3° 01′ 43″ est | ||||
Altitude | Min. 114 m Max. 165 m | ||||
Superficie | 1,84 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Crépy-en-Valois | ||||
Législatives | 5e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Oise Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
Liens | |||||
Site web | https://www.emeville.com/ | ||||
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Éméville est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Eméville est un village rural picard du Valois dans l'Oise, limitrophe du département de l'Aisne situé à 6 km au nord-ouest de Villers-Cotterêts, 12 km au nord-est de Crépy-en-Valois, 21 km au sud-est de Compiègne et 24 km au sud-ouest de Soissons.
Il est aisément accessible depuis la route nationale 2.
Louis Graves indiquait en 1836 qu'Eméville était une « petite commune à territoire découvert, touchant à la forêt de Retz. Elle avait été réunie en1827 à celle de Vez, de laquelle une ordonnance royale du quinze septembre 1835 l'a séparée de nouveau. Il n'y a pas d'eau oourante [de rivière] dans l'étendue du pays. Le village, presque central, est formé de trois rues parallèles, liées par une communication transversale; il est bâti sur le sable[1] ».
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[2],[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 747 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 22 km à vol d'oiseau[5], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Éméville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,1 %), forêts (7,1 %)[10]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 409, alors qu'il était de 399 en 2014 et de 378 en 2009[I 2].
Parmi ces logements, 85,3 % étaient des résidences principales, 10,2 % des résidences secondaires et 4,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,9 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Éméville en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (10,2 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,2 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Éméville[I 2] | Oise[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 85,3 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 10,2 | 2,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 4,5 | 7,1 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie, en 2023, par les lignes 656, 657 et 6444 du réseau interurbain de l'Oise[11].
Toponymie
[modifier | modifier le code]La localité a été dénomée Emevilla, Demeville, Demesville[1].
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Selon Louis Graves, « Le duc d'Orléans était seigneur suzerain du lieu , mais il y avait des seigneurs fieffés dont l'un appelé Rolland, fonda en 1539, dans, la ville de Soissons, un établissement appelé le collège de Bauton, destiné à élever treize étudians ecclésiastiques ; la nomination aux bourses était dévolue aux seigneurs d'Eméville et de Vez, et à leur défaut aux abbés de Valsery ou du Lieu-Restauré, assistés des curés locaux[1] ».
Les habitants ont largement participé à la grande Jacquerie au XIVe siècle[1].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]En 1836, la commune venait de disposer d'une école. Les habitants, essentiellement des bûcherons et des agriculteurs, jouissaient du droit de ramasser le bois mort dans la forêt de Retz et d'y faire paître les vaches et les ânes[1].
Les carrières
[modifier | modifier le code]La commune d'Éméville reste fortement marquée par toute l'activité liée à l'extraction de la pierre. qui commence au milieu du XIXe siècle à la carrière de la Bouloye. Cette carrière est rachetée en 1910 par Léon Civet pour le compte de la société Civet Pommier & Cie. De nombreuses carrières souterraines de pierre tendre sont exploitées dans la région pour en tirer de la pierre à bâtir. Deux Carrières ont été ouvertes à Éméville par deux carriers de Carrières-sur-Seine : Fréjus Daubin au tout début du XXe siècle et Georges Sarazin en 1920. La technique d'extraction pratiquée dans ces deux carrières est celle de « l'extraction à la lance », mise au point dans sa forme industrielle par Félix Civet (1829-1893) en 1860 à Saint-Maximin, technique qui a remplacé l'extraction au pic et qui permet d'extraire des blocs plus volumineux (jusqu'à 15 tonnes pour la carrière Daubin), tout en assurant un bien meilleur rendement. Cette méthode d'extraction a été ensuite largement diffusée dans les carrières de pierre tendre, aussi bien dans le bassin parisien que dans le Poitou en 1895. L'extraction industrielle de la pierre à la lance prend fin en 1963 à Bonneuil-en-Valois à la carrière des Trois-Fontaines.
Pour remonter les blocs de pierre des galeries la carrière Daubin a utilisé un treuil à manège mu par trois chevaux jusqu'en 1913, tandis que la carrière Sarazin a, depuis son origine en 1920, utilisé un treuil à moteur thermique. En 1913 un réseau de voie ferrée type Decauville, avec un locotracteur, a été construit pour relier différentes carrières de la vallée à la gare d'Éméville pour remplacer les fardiers qui défonçaient les routes. À cette époque, la carrière Daubin est devenue la « carrière du Chemin de Vez » ayant pour propriétaire la Société Civet-Pommier & Cie, qui a remplacé le treuil à manège par une bouche de cavage avec un accès direct par une descenderie au réseau Decauville. La « carrière du Chemin de Vez », actuellement propriété de la Société Rocamat cesse son activité d'extraction au mois de , tandis que la carrière Sarazin l'a fait dès 1935.
Deux associations de bénévoles relèvent le défi de réhabiliter ces deux carrières. Il est question des associations « Roches & Carrières » pour la carrière du Chemin de Vez et de « Carrières Patrimoine » pour la carrière Sarazin. La première reconstruit un treuil à manège et la seconde a restauré un treuil à moteur et travaille actuellement sur les piles du treuil et les margelles du puits d'extraction.
Les carrières constituaient avec l'agriculture et la forêt l'essentiel de l'activité économique. Éméville et les villages des alentours comptaient de grandes familles de carriers dont les descendants habitent encore sur place. Certaines carrières ont été reconverties avec succès en champignonnières ou à la culture d'endives ; mais il n'y en a plus aucune en activité. Dans la commune voisine de Bonneuil-en-Valois, l'extraction se poursuit encore, mais avec des moyens très modernes : haveuse à chaîne, bulldozers, etc[12].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Crépy-en-Valois[13]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 d'un nouveau canton de Crépy-en-Valois
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Éméville est membre de la communauté de communes du Pays du Coquelicot, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18].
En 2021, la commune comptait 285 habitants[Note 3], en évolution de −2,06 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 148 hommes pour 140 femmes, soit un taux de 51,39 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Éméville compte un monument historique sur son territoire :
- Église Saint-Léger, rue de la Forêt (classée monument historique en 1937[22]) :
C'est l'une des églises les plus petites du département. Bâtie sous une seule campagne à la fin du XIIIe siècle, elle fournit l'un des rares exemples d'une église de cette époque dans le Valois, et illustre l'adaptation du style gothique rayonnant alors en vigueur à l'économie des moyens d'une petite paroisse rurale. Les compromis stylistiques sont nombreux, et il n'y a que les chapiteaux du chœur pour indiquer l'époque de construction réelle, alors que les fenêtres en plein cintre évoquent une date d'un siècle antérieur.
L'église est néanmoins soigneusement appareillée en pierre de taille, et possède un puissant clocher influencé par l'école gothique champenoise, qui n'a pas son pareil dans les environs.
À l'intérieur, les restes de la polychromie architecturale retiennent l'attention, notamment dans la chapelle qui forme la base du clocher. Il y avait jadis une deuxième chapelle, légèrement différente, qui lui faisait pendant au sud[23],[24].
- Façade sud
- Le clocher.
- Le chevet
- La nef et la poutre de gloire
- Le chœur.
- Fonts baptismaux
- La carrière souterraine Sarazin, accessible par un puits de 20 m. de profondeur, est parfois ouverte au public par l'association Carrières Patrimoine[25],[26].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean-Pierre Vielfaure (1930-2015), artiste peintre, graveur et cinéaste, vécut à Éméville.
Gastronomie
[modifier | modifier le code]En 2018, une bière brassée selon une ancienne recette de carrier local datant de 1920 a été réalisée par la brasserie de l'Etre, à Paris pour l'association Carrières Patrimoine[27].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune d'Éméville (60207) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Éméville »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Éméville » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique d'Éméville » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Éméville » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Éméville - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Éméville - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Vlois, arrondissement de Senlis (Oise) : Annuaire de l'Oise, 1836, Beauvais, Achille Desjardins, , 252 p. (lire en ligne), p. 118-119, sur Google Livres.
- « Fiche communale d'Éméville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Éméville et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Transports en commun à Éméville », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- Site consacré de l'association Carrières Patrimoine
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les maires de Éméville », sur francegenweb.org (consulté le ).
- Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Eméville », Cartes de France (consulté le ).
- « Compte-rendu du conseil municipal du 23 mai 2020 », sur emeville.com.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Éméville (60207) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « Église Saint-Léger », notice no PA00114677, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Dominique Vermand, Églises de l'Oise, canton de Crépy-en-Valois : Les 35 clochers de la Vallée de l'Automne, Comité Départemental de Tourisme de l'Oise / S.E.P Valois Développement, , 56 p., p. 23-24.
- Dominique Vermand, « Eméville, église Saint-Léger : Diocèse : Soissons », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
- « Immergez-vous sous terre dans les carrières d'Emeville », Le Parisien; édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « 'est bien à 20 m sous terre que de 1920 à 1935 des carriers ont travaillé à l'extraction de pierres. La carrière d'Emeville, située en plein champ, appartenait autrefois à Jules-Constant Sarazin. Abandonné du jour au lendemain, le site est désormais entretenu par des passionnés de l'association Carrières Patrimoine ».
- « Voyage au centre de la carrière Sarazin d'Eméville », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Cindy Belhomme, « Emeville : une bière tout droit sortie des carrières : L'association Carrières Patrimoine a retrouvé une vieille recette dans le journal d'exploitation de la carrière Sarazin. Une brasserie parisienne en a produit 1 000 litres », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).