1623 en santé et médecine

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Années de la santé et de la médecine :
1620 - 1621 - 1622 - 1623 - 1624 - 1625 - 1626
Décennies de la santé et de la médecine :
1590 - 1600 - 1610 - 1620 - 1630 - 1640 - 1650

Événements

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  • Novembre : au Portugal, « la Couronne introduit […] plusieurs règles qui conditionnent les prescriptions médicales, donnant un signe clair qu’elle accompagn[e] le développement de la profession[1] ».
  • À Rome où sévit la malaria, huit cardinaux meurent dans les deux semaines qui suivent la fin d'un conclave au cours duquel le pape élu, Urbain VIII, a lui-même contracté la maladie[2].
  • Fondation de l'hôpital Saint-Roch près de Lunesse, sur l'actuelle commune de Soyaux, à l'emplacement d'une maladrerie créée par Girard II, évêque d'Angoulême à partir de 1101 ou 1102[3].
  • Sur ordre du Parlement, qui leur ordonne depuis 1590 de rédiger « un dispensaire […] que les apothicaires à Paris doivent tenir en leurs boutiques », les docteurs de la Faculté commencent à travailler au Codex medicamentarius, qu'ils n'achèveront qu'en 1637[4].
  • Construction, à Primolano (it), en Vénétie, d'un « lazzaretto per la quarantena delle merci », entrepôt de quarantaine pour les marchandises en provenance d'Allemagne[5].

Publications

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  • Aleixo de Abreu, médecin portugais, publie son « Traité des sept maladies » (Tratado de las siete enfermedades[6]), « premier livre de médecine tropicale[7] ».
  • Juan Carlos Amat (de) (1572-1642), médecin de Monistrol de Montserrat, en Catalogne, publie ses Fructus medicinae, « Fruits de la médecine, tirés de Galien[8] ».
  • Johannes Assuerus Ampzing (de), professeur de médecine à Rostock, donne son De morborum differentiis liber[9], ainsi qu'un essai « sur les maladies des cheveux et des poils » (Hectas affectionum capillos et pilos humani corpori infestantium) dont les deux premiers chapitres, De Alopecia et Ophiasi, sont repris d'une thèse de 1616[10].
  • Gaspard Bauhin (1560-1624), médecin et botaniste suisse, fait paraître à Bâle son Pinax teatri botanici, ouvrage sur les plantes dont la nomenclature influencera ses successeurs, parmi lesquels Linné[11].
  • Jean Benoît, médecin et professeur de grec au Collège royal fait paraître un « Examen ou censure de la pharmacopée récemment publiée par François Dissaudeau[12],[13] ».
  • Michel Bouteroue fait paraître son ouvrage sur les maladies fébriles[14].
  • Sous le titre de Promachomachia iatrochymica, Francesco Brusco, archiatre de Ferdinand, duc de Mantoue, consacre un ouvrage à la défense de la chimiatrie[15].
  • Johann Ernst Burggrav, alchimiste, médecin de la ville de Simmern, publie une Introductio in vitalem philosophiam[16].
  • Jean-Baptiste de Cabias (1588-1643 ?), docteur en médecine, publie son ouvrage sur « les merveilles des bains d'Aix en Savoie[17] ».
  • Jacobus Caranta, docteur en médecine, fait paraître trois essais en un volume : le premier sur l'or médicamenteux, un autre sur la nature de la vision oculaire et le dernier sur la morsure des chiens enragés[18].
  • Laurent Catelan (1568 ? – 1647), apothicaire à Montpellier, fait paraître deux traités, l'un sur les eaux distillées[19], l'autre sur le bézoard[20].
  • François Citois (1572-1652), médecin de Louis XIII et de Richelieu, fait paraître son Avis sur la nature de la peste et sur les moyens de s'en préserver et guérir[21].
  • Ezio Cleti, médecin de Segni, publie sa thèse de médecine sur le chalcanthe ou « noir de cordonnier[22] » (De chalcantho medica disputatio[23]).
  • Publication à Paris d'un traité intitulé De la peste, de ses préservatifs et remèdes, et dédié « par Mr. D. F » à Jean Héroard[24].
  • François Dissaudeau, médecin helléniste, fait paraître à Saumur sa pharmacopée, « Livre traitant des médicaments tant simples que composés[13] », suivi de sa « Réponse au babillage critique de Jean Benoît[12] ».
  • Robert Fludd (1574-1637), médecin, astrologue et physicien anglais, paracelsien et rosicrucien, fait paraître son « Amphihéâtre d'anatomie » (Anatomiae amphitheatrum) à Francfort, chez Jean-Théodore de Bry[25].
  • Antonio Fonseca, médecin lisboate établi à Rome, publie un traité sur l'épidémie qui a touché les armées du roi d'Espagne Philippe III, dans le Palatinat du Rhin deux ans auparavant[26].
  • Théophile Gelée († ), médecin ordinaire de la ville de Dieppe, publie son Anatomie françoise[27],[28] qui connaîtra un grand nombre d'éditions au XVIIe siècle[29].
  • Matthias Glandorp (de) (1595-1636[30]), médecin de la ville de Brême, publie une méthode de traitement chirurgical de la paronychie, inflammation des tissus périunguéaux[31],[32].
  • Philibert Guybert (c.-), médecin parisien, publie son Médecin charitable, qu'il fera suivre en d'un Apothicaire charitable, les deux œuvres devant être rééditées près de soixante fois jusqu'en [33],[34].
  • Guy de La Brosse (1589-1641), botaniste et médecin français, fondateur du Jardin du roi, publie un Traité de la peste, avec les remèdes préservatifs[35].
  • Charles Le Pois (1563-1633), médecin d'Henri le Bon, duc de Lorraine, et professeur à Pont-à-Mousson, publie un traité sur les maladies dysentériques[36].
  • Sous le titre de Regime de vivre pour la conservation de la santé du corps[37], traduction française par Sébastien Hardy de l'Hygiasticon (1613[38]) du théologien jésuite Lenaert Leys (1554-1623[39]).
  • Giovanni Manelfi, médecin romain, fait paraître un essai sur les fièvres : Prognostica in febribus[40].
  • Johann Neander (1596 ? – 1630 ?), surtout connu pour son ouvrage sur le tabac, paru l’année précédente 1622[41], publie une histoire de la médecine qu'il intitule Antiquissimae et nobilissimae medicinae natalitia sectae[42].
  • Filippo Savona, médecin de Palerme, publie ses Decisiones medicinales quo ad diagnosim et prognosim (« Décisions médicales concernant le diagnostic et le pronostic[43] »).
  • Lorenzo Romeo, citoyen de Tortose, publie l'un des premiers ouvrages dénonçant l'abus de la saignée[44],[45].
  • Tobias Venner (en) (1577-1660), médecin à Bath, dans le comté du Somerset, fait paraître la deuxième partie de sa Via recta ad vitam longam, manuel de santé dont il a publié la première partie l'année précédente 1622[46].
  • Publication à Paris, chez Joseph Bouillerot, d’un Trésor des secrets et préservatifs merveilleux contre la peste[47].
  • Parution à Paris d'un petit traité sur la Germandrée d'eau, composé d'extraits de Galien, Dioscoride, Pline, Mattioli, Dodoens et Leonhart Fuchs, suivis de conseils du compilateur sur le traitement préventif et curatif de la peste[48].

Personnalité

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Naissances

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Décès

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Bibliographie

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  • Relatione del modo che si tiene da religione di S. Spirito nel governo dell’Archihospedale Apostolico di Santo Spirito... scritto da Fra Domenico Borgarucci Religioso [1623].
    — « Présentation détaillée du personnel et des activités de l'hôpital du Saint-Esprit à Sassia de Rome, rédigée en 1623 par le frère Domenico Borgarucci[66]. »

Iconographie

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  • « Enseigne d'apothicaire en 1623 », Histoire des sciences médicales, 1975.
    — Copie d'une enseigne, détruite pendant la Dernière Guerre au Collège des chirurgiens de Londres, qui représentait un médecin, un chirurgien et peut-être un apothicaire[67],[68].
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Références

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  1. ↑ Laurinda Abreu, « Assistance et santé publique dans la construction de l'État moderne : L'Expérience portugaise », Revue d’histoire moderne et contemporaine, vol. 61, no 3 « Assistance et société : Les Corps à l’épreuve (XVIe-XXe siècle) »,‎ , p. 67-97 (lire en ligne).
  2. ↑ (en) Frederic J. Baumgartner, Behind Locked Doors : A History of the Papal Elections, New York, Palgrave Macmillan, , 272 p. (ISBN 0-312-29463-8, lire en ligne), p. 148.
  3. ↑ A. Bourdeau, D. Grandiaud, A. Marzat et J. Billerot, Histoire de l'hôpital, Angoulême, Centre hospitalier, (lire en ligne), « L'Accueil des pèlerins, des pauvres et des malades à Angoulême du XIIe au XIIIe siècle ».
  4. ↑ Marcel Delépine, « Les Transformations des pharmacopées parisiennes et françaises », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 19, no 75,‎ , p. 183 (lire en ligne).
  5. ↑ (it) Donatella Bartolini, « Medici e speziali nelle valle del Piave », Geschichte und Region/Storia e region, vol. 11, no 1,‎ , p. 64-65 (lire en ligne).
  6. ↑ (es) Tratado de las siete enfermedades, de la inflamacion universal del higado, zirbo, pyloron y riiñones, y de la obstrucion de la satiriasi, de la terciana y febre maligna y passion hipocondriaca, lleva otros tres tratados, Del mal de Loanda, Del guzano y De las fuentes y sedales, en Lisboa [à Lisbonne], por Pedro Craesbeeck [par Pedro Craesbeeck], año 1623 [l'an 1623] (lire en ligne).
  7. ↑ (en) Francisco Guerra, « Aleixo de Abreu [1568-1630], author of the earliest book on tropical medicine describing amoebiasis, malaria, typhoid fever, scurvy, yellow fever, dracontiasis, trichuriasis and tungiasis in 1623 », American Journal of Tropical Medicine and Hygiene, vol. 71, no 3,‎ , p. 55-69 (présentation en ligne).
  8. ↑ (la) Juan Carlos Amat (de), Fructus medicinae, ex variis Galeni locis decerpti, auctore Ioanne Carolo Amato Monistrolensi doctore medico Montisserrati, nunc primum prodit in lucem, Lugduni [à Lyon], sumptibus Ludovici Prost haeredis Rouille [au compte de Louis Prost, héritier de [Guillaume] Rouillé], 280 p. et index (lire en ligne).
  9. ↑ (la) Johannes Assuerus Ampzing (de), D. Johannis Assueri Ampsingii, De morborum differentiis liber, annexa est ejusdem authoris De theriaca senioris Andromachi oratio editio tertia, Rostochi [à Rostock], literis Joachimi Pedani, expensis Joh[anni] Hallervordii [imprimé par Joachim Pedanus pour le compte de Johann Hallerword], anno 1623 [l'an 1623] (lire en ligne).
  10. ↑ (la) Johannes Assuerus Ampzing (de), Joannis Assueri Ampsingii Hectas affectionum capillos et pilos humani corporis infestantium, Rostochi[i] [à Rostock], apud et impensis Augustini Ferberi [chez Augustin Ferber], anno m.dc.xxiii [l'an 1623], VI-120 p., in-8° (lire en ligne).
  11. ↑ (la) Gaspard Bauhin, Πιναξ [Pinax] theatri botanici Caspari Bauhini, Basileens[is] archiatri et professoris ordin[arii], sive Index in Theophrasti, Dioscoridis, Plinii et botanicorum qui a seculo scripserunt opera, plantarum circiter sex millium ab ipsis exhibitarum nomina cum earundem synonymiis et differentis methodice secundum earum et genera et species proponens [etc.], Basileae Helvet[icorum] [à Bâle], sumptibus et typis Ludovici Regis [imprimé par Ludwig König pour lui-même],‎ mdcxxiii [1623] (lire en ligne).
  12. ↑ a et b (la) Jean Benoît, Examen seu Censura medicamentarii libelli a Fr[ancisco] Dissaldeo, med[icinae] doc[ore] nuperrime editi, per Joan[nem] Benedictum, med[icinae] doct[orem] et graecarum litterarum professorem regium, Salmurii [à Saumur], per Petrum Godeau [par Pierre Godeau], , 27 p., in-8° (BNF 30083134, présentation en ligne).
  13. ↑ a et b (la) François Dissaudeau, Φαρμακονητης, sive Φαρμακιτις βιβλος, hoc est Liber continens pharmaca tam simplicia quam composita, quae in officinis parata habere debent pharmacopoei, per Fr[anciscum] Dissaldeum schola Parisiensis doct[orem] medicum et medicum reg[ii], cum responsione ad garrulam Benedicti censuram [etc.], Salmurii [à Saumur], apud Thomam Porteum [chez Thomas Portau],‎ m.dc.xxiii [1623], 2 tomes en 1 vol., in-8° (lire en ligne).
  14. ↑ (la) Michel Boutheroue, Michaelis Bouteroue Carnutensis doctoris medici, Pyretologia, divisa in duos libros, quorum primus unversalia febrium signa prognostica continet, alter uniuscuiusque febris diagonosim, prognosim et therapeiam completitur [etc], Parisiis [à Paris], apud Joannem Laquehay [chez Jean Laquehay], m.dc.xxiii [1623], pièces liminaires, 416 p. et la table, in-8° (lire en ligne).
  15. ↑ (la) Francesco Brusco, Promachomachia iatrochymica, in qua chymiatriae praestantia adversus mysochimicum pugnando propugnatur, occasione medicarum consutlationum pro nobilissimo viro a celeberrimis medicis conscriptarum, a comite Francisco Bruschio serenissimi Mantuae Montisq[ue] Ferrati ducis archiatro, in suae existimationis defensionem edita anno salutis M.DC.XXIII, Mantuae [à Mantoue], apud Aurelium et Ludovicum Osannam fratres [chez les frères Aurelius et Ludovicus Osannam, m.dc.xxiii [1623], pièces liminaires et 341 p., in-fol. (lire en ligne).
  16. ↑ (la) Johann Ernst Burggrav, Introductio in vitalem philosophiam, cui cohaeret omnium morborum astralium et materialium, seu Morborum omnium, elementatorum et haereditariorum ex libro naturae, codice philosophicae et medicae veritatis [...], Ioh[annis] Ernesti Burgravii med[ici] doct[oris] et praetoris civitatis Simmerensis, editio postrema, Francofurti [à Francfort], typis Hartm[anni] Palthenii, sumtibus Ioh[annis] Th[eodori] de Bry et Ioh[annis] Ammonii [sur les presses de Hartmann Palthen, pour le compte de Johann Theodor de Bry et Johann Ammon], anno m.dc.xxiii [l'an 1623], VI-166 p., 2 parties en 1 vol. in-4° (lire en ligne).
  17. ↑ Jean-Baptiste de Cabias, Les Merveilles des bains d'Aix en Savoye, dediees à Monseigneur le Sérénissime Prince Thomas de Savoye, par le S[ieu]r Jean Baptiste de Cabias, docteur en medecine, natif du Pont S. Esprit, en Languedoc, à Lyon, Jaques Roussin, m.dc.xxiii [1623], 208-[8], in-8° (lire en ligne).
  18. ↑ (la) Jacobus Caranta, Iacobi Carantae Cuneatis doctoris philosophi et medici Decadum medicophysicarum, liber primus De natura auri arte facti, et num sit pharmacum cordiale [...] et liber unicus De natura visionis [...] ; liber secundus De morsu canis rabidi [etc.], Saviliani [à Savillan], apud Christophorum Strabellam [chez Cristoforo Strabella], , 3 parties en 1 vol. in-4° (lire en ligne).
  19. ↑ Laurent Catelan, Traicté des eaux distillees qu'un apothicaire doit tenir en sa boutique, lequel peut commodément et utilement estre joinct à la Pharmacopee de monsieur Bauderon, par Laurens Catelan, maistre apothicaire de Mont-Pelier, à Lyon, chez Pierre Rigaud et associez, m.dc.xxiii [1623], 36 p. (lire en ligne).
  20. ↑ Laurent Catelan, Traicté de l'origine, vertus, proprietez et usage de la pierre bezoar, par Laurens Catelan, appoticaire de Montpellier, à Montpellier, pour Jean Pech, , 56 p., in-8° (lire en ligne).
  21. ↑ François Citois, Advis sur la nature de la peste et sur les moyens de s'en preserver et guerir, par Me François Citoys, médecin du roy, prés monseigneur le cardinal de Richelieu, à Paris, chez Sebastien Cramoisy, m.dc.xxiii [1623], [8]−55 p., in-8° (lire en ligne).
  22. ↑ Pline (trad. Littré), Histoire naturelle de Pline, avec la traduction en français par M. É. Littré, t. 2, livre 34 : « traitant du cuivre », Paris, J. J. Dubochet, Le Chevalier et comp., (lire en ligne), § XXXII, 16 : « Chalcanthe ou atramentum sutorium ; remèdes ».
  23. ↑ (la) Ezio Cleti, De chalcantho medica disputatio, auctore Aetio Cleto Signino medico et philosopho, Romae [à Rome], apud haeredem Bartholomaei Zennetti [chez le successeur de Bartolomeo Zanetti], , 168 p., in-8° (lire en ligne).
  24. ↑ De la peste, de ses preservatifs et remedes, par Mr. D. F., dedié à Monsieur Herouard, conseiller et Premier medecin du roy, à Paris, chez Denys Langlois, m. dc.xxiii [1623], 58 p., in-8° (lire en ligne).
  25. ↑ (la) Robert Fludd, Anatomiae amphitheatrum effigie triplici, more et conditione varia, designatum authore Roberto Fludd, alias de Fluctibus Armigero et in medicina doctore Oxoniense, Francofurti [à Francfort], sumptibus Johannis Theodori de Brÿ [pour le compte de Jean Théodore de Bry], (lire en ligne).
  26. ↑ (la) Antonio Fonseca, Antonii Fonsecae Ulisipponensis mnosochomii regii medici, De epidemia febrili grassante in exercitu regis catholici in inferiori Palatinatu anno 1620 et 21, tractatus in quo febris malignae essentia, causae, signa diagnostica et prognostica et methodus curativa philophice et medice elucidantur, Mechliniae [à Malines], apud Henricum Jaye [chez Hendrick Jaye], m.dc.xxiii [1623], VIII-165 p., in-4° (lire en ligne).
  27. ↑ Théophile Gelée, L'Anatomie françoise en forme d'abbregé, recueillie des meilleurs autheurs qui ont escrit cette science, Dieppe, Nicolas Hacher, .
  28. ↑ Consulter l'édition de 1645 : Théophile Gelée et Guillaume Sauvageon (éd. et aut.), L'Anatomie françoise, en forme d'abbregé, recueilli des meilleurs autheurs qui ont escrit cette science, par M. Theophile Gelee, medecin ordinaire de la ville de Dieppe, revuë, corrigée et augentée dans tout le cour du livre et outre le Traicté des valvules, d'un autre, des veines lactées, par M. Guillaume Sauvageon, D. M., aggregé au college des medecins à Lyon, à Paris, Jean Bessin et Salomon de la Fosse, m.dc.xlv [1645] (lire en ligne).
  29. ↑ « Auteur Théophile Gelée (15..-1650) », notice du catalogue de la bibliothèque du Prytanée national militaire, s. d. [lire en ligne].
  30. ↑ (de) August Hirsch, « Glandorp, Matthias », dans Allgemeine Deutsche Biographie, vol. 9, Leipzig, (lire en ligne), p. 210.
  31. ↑ (la) Matthias Glandorp, Mathiae Glandorp[ii] chirurgiae et medicinae doctoris, Methodus medendae pronychiae, cui acccessit decas observationum, Bremae [à Brême], typis Villerianis [sur les presses de ?], , pièces limin., 207 p. (BNF 30514089).
  32. ↑ Consulter l'ouvrage dans l'édition des œuvres complètes (1729) : (la) Matthias Glandorp, Matthiae Glandorpii Bremensis medici clarissimi Opera omnia, viz. I. Speculum chirurgorum ; II. Methodus medendae paronychiae : [etc], Londini [à Londres], impensis F. Gyles, C. Davis et A. Vandenhoeck, m d cc xxix [1729] (lire en ligne).
  33. ↑ Joël Coste, La Médecine pratique et ses genres littéraires en France à l'époque moderne, bibliothèques de l'université de Paris, (lire en ligne), « La Vulgarisation médicale de Liebault à Buchan ».
  34. ↑ Philibert Guybert, Le Médecin charitable et profitable au public, enseignant la maniere de faire, et preparer en la maison, avec facilité et peu de frais les remedes propres à toutes maladies, selon l'advis du medecin ordinaire [etc.], Paris, Jean de Bordeaux, (lire en ligne).
  35. ↑ Guy de La Brosse, Traicté de la peste, fait par Guy de la Brosse, medecin, avec les remedes preservatifs, à Paris, chez Jeremie et Christophle Perier, m.dc.xxiii [1623], 132 p., in-8° (lire en ligne).
  36. ↑ Charles Le Pois, Discours de la nature, causes et remedes tant curatifs que preservatifs des maladies populaires accompagnees de dysenterie et autres flus de ventre et familiaires aux saisons chaudes et seiches des années de semblable intemperature, composé par le sieur Charles le Pois, conseiller et medecin ordinaire de Son Altesse, doyen et professeur en medecine de l'université du Pont-à-Mousson, seigneur de Champel, etc., au Pont-à-Mousson, par Sebastien Cramoisy, m.dc.xxiii [1623], 134 p., in-8° (lire en ligne).
  37. ↑ Le titre de la seconde édition (1624), sera différent : Leonardus Lessius (Lenaert Leys) (trad. Sébastien Hardy), Vray régime de vivre pour la conservation de la santé jusques à une extrême vieillesse, sans l'usage d'aucune médecine, traduction françoise par Sébastien Hardy [etc.], Paris, G. Loyson, , 2e éd., pièces limin., 200 p., in-8° (BNF 30804260).
  38. ↑ (la) Leonardus Lessius, Hygiasticon seu Vera ratio valetudinis bonae et vitae una cum sensuum, judicii et memoriae integritate ad extremam senectutem conservandae, auctore Leonardo Lessio, Societatis Jesu theologo [etc.], Antverpiae [à Anvers], apud viduam et filios Jo[annis] Moreti [chez la veuve et les fils de Jean Moret], m.dc.xiii [1613] (lire en ligne).
  39. ↑ Hervé Baudry, « L'Hygiasticon de Léonard Lessius (1613) : Un traité jésuite de diététique, question d'ascèse ou de raison? », dans Violaine Giacomotto-Charra et Jacqueline Vons, Formes du savoir médical à la Renaissance, Pessac, Maison des sciences de l'Homme d'Aquitaine, (lire en ligne), p. 3, n. 7.
  40. ↑ (la) Giovanni Manelfi, Prognostica in febribus in communi et ad mentem Hippocratis edita per Joan[nem] Manelphum, [...], Romae [à Rome], apud haeredem B[artolomaei] Zannetti [chez l'héritier de Bartolomeo Zannetti], (BNF 30870977) (consulter en ligne la seconde édition, revue et augmentée, parue en 1646).
  41. ↑ Neander, Johannes (1596?-1630?), Tabacologia : hoc est, Tabaci, seu nicotianae descriptio medico-cheirurgico-pharmaceutica (BNF 31007091).
  42. ↑ (la) Johann Neander, Antiquissimae et nobilissimae medicinae natalitia sectae earumque placinta, tum ejus catacrypses ac instauratores et propagatores cum historiis eorum vitis ac scriptis, auctore Johanne Neander, […], addita est ejusdem De medicina hermetica et paracelsia dissertatio, Bremae [à Brême], typis J. Wesselii [sur les presses de J. Wessel], , pièces limin., 368 p. et l'index, in-4° (BNF 31007088).
  43. ↑ (la) Filippo Savona, Decisiones medicinales quo ad diagnosim et prognosim, Philippo Savona Panormitano, doctore consummatissimo autore, et in hoc scribendi modo, primo et inventore, in quinque partes distinctae [etc], Panormi [à Palerme], apud Angelum Orlandi [chez Angelo Orlandi], , pièces limin., 170 p., in-folio (lire en ligne).
  44. ↑ (es) Lorenzo Romeo, Desengaño del abuso de la sangria y purga, compuesto por el dotor Lorenço Romeo medico ciudadano de Tortosa, impresso en Tarragona [imprimé à Tarragone], en casa de Gabriel Roberto [chez Gabriel Roberto], año 1623 [l'an 1623], pièces limin., 167 ff., in-8° (lire en ligne).
  45. ↑ (es) José-Alberto Palma, Historia negra de la medicina : Sanguijuelas, lobotomías, sacamantecas y otros tratameintos absurdos, desagradables y terrorificos a lo largo de la historia, Madrid, Ciudadela Libros, (ISBN 978-84-96836-57-0, lire en ligne), p. 31.
  46. ↑ (en) Tobias Venner (en), Viae rectae ad vitam longam, pars secunda, wherein the true use of sleepe, exercise, excretions and perturbations is, with their effects, discussed and applied to every age, constitution of body and time of yeare, by To[bias] Venner, doctor of physicke in Bathe, London [Londres], printed by George Eld for George Winder [imprimé par George Eld pour George Winder], (BNF 31555911).
  47. ↑ C. D. S. Sr D. M., Le Thresor des secrets et preservatifs merveilleux contre la peste […] , par C. D. S. Sr. D. M., Paris, Joseph Bouillerot, (BNF 33630979).
  48. ↑ Les vertus et proprietez de l'herbe dite scordion, autrement l'herbe de S. Roch, singuliere contre la peste, tirées de divers autheurs renommez anciens et modernes, à Paris, chez Simon le Febvre, m.dc.xxiii [1623], 16 p., in-8° (lire en ligne).
  49. ↑ Jean Robuchon, Les Grandes Heures de Georges Clemenceau, Fontenay-le-Comte, impr. Lussaud frères, coll. « Avant l'oubli », (lire en ligne), p. 7.
  50. ↑ (en) James E. Banta (en), « Sir William Petty, Modern Epidemiologist (1623-1687) », Journal of Community Health, vol. 12, no 2-3,‎ , p. 185-198 (présentation en ligne).
  51. ↑ (en) Ethel Gladstone, « Johann Sigismund Elsholtz (1623-1688), Clysmatica nova (1665) : Elsholtz' Neglected Work on Intravenous Injection », California and Western Medicine, vol. 38, no 6,‎ , « Introduction », p. 432 (lire en ligne).
  52. ↑ (de) Wolfgang Michel (en), Von Leipzig nach Japan : Der Chirurg und Handelsmann Caspar Schamberger (1623-1706), Munich, Iudicium Verlag, (ISBN 3-89129-442-5, présentation en ligne).
  53. ↑ (de) Wolfgang Michel (en), « Schamberger, Caspar (japanisch Kasuparu) », dans Neue Deutsche Biographie, vol. 22, (lire en ligne), p. 556-557 [version en ligne].
  54. ↑ (de) Willi Ule (en) et Hermann Knoblauch (en), Geschichte der kaiserlichen Leopoldinisch-Carolinischen deutschen Akademie der Naturforscher während der Jahre 1852-1887, Halle-sur-Saale, E. Blochmann et fils, (lire en ligne), p. 147.
  55. ↑ Biographie universelle, t. 13 : Meletius-Myson, Bruxelles, H. Ode, , 356 p. (lire en ligne), « Metzger (George-Balthazar) », p. 57.
  56. ↑ (en) Katarzyna Pekacka-Falkowska et Bartlomiej Siek, « Johannes Schmiedt (1623-1690) », Journal of Neurology, vol. 268, no 12,‎ , p. 4918-4920 (lire en ligne).
  57. ↑ Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron, Paris, Bibliothèque interuniversitaire de santé, (lire en ligne), « Lettre à Vopiscus Fortunatus Plempius, le 9 février 1657, note 3 ».
  58. ↑ Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron, Paris, Bibliothèque interuniversitaire de santé, (lire en ligne), « Lettre à Claude II Belin, le 18 octobre 1630, note 12 ».
  59. ↑ (nl) H. J. A. Ruys, « Bondt (Reinier de) », dans P.C. Molhuysen et P. J. Block (dir.), Nieuw Nederlandsch Biografisch Woordenboek (NNBW), Leyde, A. W. Sijthoff, (lire en ligne), col. 197-198.
  60. ↑ Auguste Baudot, Études historiques sur la pharmacie en Bourgogne avant 1803, Paris, A. Maloine, , 548 p. (lire en ligne), « Brice Bauderon (1539-1623) », p. 115-119.
  61. ↑ « Johann Grasshof (15..-1623) », sur Data BnF [lire en ligne (page consultée le 15 septembre 2021)].
  62. ↑ (pt) Margarida Silva Pinto, « Francisco Sanches (ca 1551-1623) : Filósofo, matemático e médico », dans Le Tesouros de la Bibliothèque nationale du Portugal, (lire en ligne).
  63. ↑ R[ené Chassin] du [G]uerny, « Une famille flamande protestante à Quintin au XVIIe siècle », Revue de Bretagne, 2e série, vol. 3, no 32,‎ , p. 7 (lire en ligne).
  64. ↑ Yvonne David-Peyre, « Jacques Ferrand, médecin agenais 1575-16.. (?) », Histoire des sciences médicales, vol. 7, no 4,‎ , p. 303-314 (lire en ligne).
  65. ↑ Jacques Ferrand, Traicté de l'essence et guerison de l'amour ou De la melancholie erotique, Toulouse, par la ve[u]fve de Jacques Colomiez, et Ray[mond] Colomiez, m. dc. xii. [1610 : le x a été surchargé], 222 p. (lire en ligne).
  66. ↑ Wellcome Library, London, Ms. epb/b/46633. Voir : Maria Conforti et Silvia De Renzi, « Sapere anatomico negli ospedali romani », dans Antonella Romano (dir.), Rome et la Science moderne : Entre Renaissance et Lumières, Rome, publications de l’École française de Rome, (présentation en ligne), p. 442 et suiv.
  67. ↑ Jean Cheymol, « L'Honorable Société des apothicaires de Londres (The Worshipful Society of Apothecaries or London) » (communication présentée à la séance du de la Société d'histoire de la médecine), Histoire des sciences médicales, vol. 9, no 2,‎ , fig. 1 : « Enseigne d'apothicaire en 1623 », p. 148 (lire en ligne).
  68. ↑ La devise de l'enseigne : Altissimus creavit de terra medicinam et vir prudens non abhorebit illam (« Le Très-Haut a fait sortir de terre la médecine, et l’homme sensé ne la méprisera pas » est une citation de l'Ecclésiastique (38.4) [voir « Guy Patin à Charles Pons », éd. Loïc Capron note 12).
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