Alexandra Roos
Naissance | Saint-Cloud |
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Activité principale | Chanteuse |
Genre musical | Rock, folk |
Années actives | Depuis 1997 |
Labels | Tréma, Sony Music France, Naïve Records |
Alexandra Roos est une chanteuse française née en 1970 à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine).
Carrière
[modifier | modifier le code]Son véritable premier album, Quand à Tokyo un papillon bat des ailes, sort en 2000[1].
En 2004, Alexandra Roos part à Tucson en Arizona pour enregistrer Fanfares sous la houlette de Craig Schumacher (en), l'ingénieur du son de Calexico[1]. En avril 2005, Alexandra Roos fait la première partie de Nancy Sinatra au Printemps de Bourges mais aussi de Willy DeVille.
En 2007, son 3e album, Huit de pique, est le premier sur le label Naïve Records (Carla Bruni, Pink Martini). Il est produit par Ian Caple[2],[3],[4].
Roos se produit trois fois à la Boule noire, entre le et le . Après ce troisième et dernier album, elle change de voie et créé des parfums[5], tout en ayant chanté en 2012 en duo avec Juliette Gréco sur un titre de l'album Ça se traverse et c'est beau, de cette interprète[6].
Discographie
[modifier | modifier le code]- 1997 : A7 (CD, Tréma / Sony France 710743-3296637107435)
- 2000 : Quand à Tokyo un papillon bat des ailes (CD, Tréma / Sony France 710781-3296637107817)
- 2004 : Fanfares (CD, Tréma / Barclay / Universal France 982 308-9-602498230893)
- 2007 : Huit de pique (CD, Naïve)
- Participation
- 2006 : Loin d'ici, en duo avec Michel Delpech dans son album Michel Delpech &...
- 2012 : La Petite Auto, en duo avec Juliette Gréco dans son album Ça se traverse et c'est beau
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Ludovic Perrin, « Alexandra Roos s'impose en «Fanfares» », Libération, (lire en ligne).
- « Huit de pique », sur Télérama.
- Victor Hache, « Les songes country rock d'Alexandra Roos », L'Humanité, (lire en ligne).
- « Ete 67 / Alexandra Roos », France Inter, 2007, (lire en ligne).
- Frédéric Picard, « Mignonne allons voir si... Dear Rose », Le Figaro, (lire en ligne).
- Véronique Mortaigne, « Juliette Gréco, toujours muse et enjouée », Le Monde, (lire en ligne).