Chirmont

Chirmont
Chirmont
Souvenir de l'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité Communauté de communes Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Jean-Michel Van Ooteghem
2020-2026
Code postal 80250
Code commune 80193
Démographie
Gentilé Chirmontois
Population
municipale
149 hab. (2021 en évolution de +22,13 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 42′ 48″ nord, 2° 23′ 09″ est
Altitude Min. 59 m
Max. 149 m
Superficie 7,85 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ailly-sur-Noye
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Chirmont
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Chirmont
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Chirmont
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Chirmont
Liens
Site web https://chirmont.fr

Chirmont est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Le village est situé au sud-est du canton d'Ailly-sur-Noye, sur le plateau dominant la vallée.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Hameaux et écarts

[modifier | modifier le code]

Des lieux-dits composent le village : la ferme de Courcelles, les Écroquets, le Vieux Chirmont, les Écamonts, le Bois Louvet, les Milanets, Saint-Martin, les Grez...

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Chirmont[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 702 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Au , Chirmont est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[8]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (90,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,9 %), forêts (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %), eaux continentales[Note 3] (0,2 %), prairies (0,1 %)[11]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

La localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 41, Montdidier - Ailly-sur-Noye - Amiens)[12].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Cirelmons en 1164, Chiraumont en 1258 et Chireumont en 1301[13].

Les photos aériennes de Roger Agache ont permis de découvrir des traces de substructions préhistoriques de l'âge du bronze ou de l'âge du fer[14],[15] et antiques, et notamment d'une villa gallo-romaine[16],[17], ainsi que d'une basilique civile[18],[19] de la même époque.

Le village a la particularité de disposer de muches mais elles ne sont pas accessibles, pour des raisons de sécurité[13].

La chapelle de la Vierge, fondée en 1617 a dû être détruite en 1908 pour cause de grande vétusté[13].

Première Guerre mondiale

À la fin de la guerre, le village a subi d'importantes destructions[20].

La commune a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [21].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle fait partie depuis 1793 du canton d'Ailly-sur-Noye[22], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du Val de Noye, créée par un arrêté préfectoral du [23], et qui succèdait, conformément aux dispositions de la Loi Chevènement, au district du Val de Noye, créé en 1994.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d'Avre, Luce et Moreuil[24], la préfète dévoile en octobre 2015 son projet qui prévoit la « des communautés de communes d'Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[25],[26]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[27] et de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[28] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du 22 décembre 2016[29], qui prend effet le .

La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[30]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1971 2001 Jacques Gribeauval    
2001 2002 ? Roger Lejeune    
avril 2002[31] En cours
(au 8 octobre 2020)
Jean-Michel Van Ooteghem   Réélu pour le mandat 2020-2026[32],[33]

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

En 2021, la commune comptait 149 habitants[Note 4], en évolution de +22,13 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
194201209210216236253245242
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
215200186181193175184173157
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
157148176127141143136139123
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
120102108102106108118119120
2015 2020 2021 - - - - - -
122145149------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

En 2011, la commune fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal réunissant neuf communes. Les collégiens se rendent à Ailly-sur-Noye, Montdidier et Moreuil et les lycéens vont à Montdidier ou Amiens.

Dans le cadre du regroupement pédagogique intercommunal (RPI ) de Quiry-le-Sec, Folleville, Chirmont, Sourdon, Esclainvillers, Villers-Tournelle, Coullemelle, Malpart, et Grivesnes, les élèves pris en charge localement relèvent des classes de maternelle[37].


En 2024, seules les communes de Coulemelle, Grivesnes, Quiry-le-Sec et Sourdon possèdent une école. Le RPI accueille 120 élèves ; la cantine est rénovée dans la salle des fêtes de Coullemelle[38].

La communauté de communes gère la compétence pour les transports scolaires.

Chirmont est un village rural qui compte, en 2014, cinq exploitations agricoles[13].

Depuis juillet 2009, deux éoliennes apportent un complément de revenus à la commune, ainsi qu'à la communauté de communes[13].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

La commune n'a ni église ni monument aux morts (elle n'a pas eu de victimes à déplorer lors des deux guerres mondiales)[13]. Le clocheton construit en 2008 à l'emplacement de l'entrée de l'église et protégeant la cloche Marie-Constance-Amélina, ainsi que le bénitier sur la place Julie Hennard, marquent l'emplacement autrefois occupé par l'église. Une plaque commémorative rappelle la présence de l'édifice[39] détruit en 1908[13].

  • La commune compte deux chapelles funéraires à l'écart du cimetière[40] :
    • chapelle Decaix-Nampont, en brique, aux ouvertures ornées de pierre ;
    • chapelle funéraire Huiot, Decaix, Flon, Delaporte, datée de 1865, envahie par le lierre.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]
  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Chirmont » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Chirmont et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Chirmont ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  13. a b c d e f et g « Chirmont, village atypique où il fait bon vivre », Les Échos du Val de Noye, no 39,‎ , p. 8 (lire en ligne, consulté le ).
  14. « Photographie aérienne de Roger Agache :Enclos circulaire et fossés rectilignes », notice no ARR22_sd802840ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  15. « Photographie aérienne de Roger Agache (1974) : Petit enclos circulaire et enclos carré », notice no ARR22_74802841ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  16. « Photographie aérienne de Roger Agache (1972) : Ensemble gallo romain (villa ?). Les diverses prospections ont livré des tuiles, des fragments de colonne, des carreaux de pavage, de l'enduit peint rouge à bandes blanches. Occupation : Ier-IIIe s », notice no ARR22_72802843ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  17. « Photographie aérienne de Roger Agache (1964) : Sur le plateau, grande villa à double galerie de façade avec bâtiments en retour d'angle et cour rectangulaire orientée à l'ouest-nord-ouest. Plusieurs bâtiments de plan allongé sur fondation de craie sont visibles de chaque côté de la cour. Occupation : début du Ier-IVe s », notice no ARR22_64802845ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  18. « Photographie aérienne de Roger Agache (1964) : Bâtiment basilical (26 x 24,30 m) gallo-romain », notice no ARR22_64802829ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  19. « Photographie aérienne de Roger Agache : Il comporte une nef centrale et deux bas-côtés, dont seuls les fondations larges de 1,50 m sont conservées. Il est longé à l'ouest par une galerie large de 3,50 m dont ne subsiste également que la fondation large de 0,60 m. Ce bâtiment, probablement détruit par un incendie au cours du IIIe s., recoupe une structure rectangulaire en rognons de silex et parement grossier en craie de 11,60 sur au moins 15,60 m. », notice no ARR22_sd802839ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  20. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  21. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17721.
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. « CC du Val de Noye (N° SIREN : 248000523) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
  24. Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  25. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  26. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  27. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l'idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l'idée d'un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  28. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  29. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  30. « Les maires de Chirmont », sur francegenweb.org (consulté le ).
  31. « 43 ans de mandat pour Jean-Michel Van Ootheghem », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu conseiller municipal le 13 mars 1977 aux côtés de Jacques Gribeauval, maire, Jean-Michel Van Ootheghem est devenu premier adjoint ; en avril 2002, il est nommé maire ».
  32. « Chirmont, une commune très animée : Le maire de la commune, Michel Van Ooteghem, a annoncé qu'il se représentera aux prochaines élections municipales », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Sur le site de la communauté de communes du Val-de-Noye.
  38. « La cantine complètement rénovée », Courrier picard,‎ , p. 12.
  39. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Chirmont, canton d'Ailly-sur-Noye, d'après nature, 1867 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  40. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 212 (ASIN B000WR15W8).