Cocumont
Cocumont | |||||
La mairie (déc. 2009). | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Marmande | ||||
Intercommunalité | Val de Garonne Agglomération | ||||
Maire Mandat | Jean-Luc Armand (PRG) 2020-2026 | ||||
Code postal | 47250 | ||||
Code commune | 47068 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cocumontais | ||||
Population municipale | 1 088 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 43 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 26′ 59″ nord, 0° 01′ 37″ est | ||||
Altitude | 135 m Min. 33 m Max. 148 m | ||||
Superficie | 25,44 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Marmande (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Marmande-1 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine | |||||
Liens | |||||
Site web | http://www.cocumont.fr | ||||
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Cocumont est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Cocumont se situe dans l'extrême ouest du département de Lot-et-Garonne, en limite du département de la Gironde, à 67 km au nord-ouest d'Agen, chef-lieu du département, à 15 km au sud-ouest de Marmande, chef-lieu d'arrondissement.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Cocumont est limitrophe de huit autres communes dont deux en Gironde. Les communes limitrophes sont Meilhan-sur-Garonne, Grignols, Sigalens, Guérin, Marcellus, Montpouillan, Romestaing et Saint-Sauveur-de-Meilhan.
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 805 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-Curton à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 867,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Cocumont est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marmande, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (83,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (28,6 %), terres arables (22,4 %), cultures permanentes (21,6 %), forêts (15,1 %), prairies (9,4 %), zones urbanisées (2,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La route départementale D 3 qui traverse le village mène vers le nord à Sainte-Bazeille et vers le sud à Romestaing et au-delà à Grignols.
Du village, la route départementale D 264 mène vers le nord-ouest à Saint-Sauveur-de-Meilhan puis Meilhan-sur-Garonne. Vers l'est, la route départementale D 289 mène à Samazan puis au Mas-d'Agenais tandis que la route départementale D 147 conduit vers le sud-est à Bouglon puis à Casteljaloux.
Cocumont se situe à égale distance (11 à 12 km) de l'accès no 4, dit de La Réole, au nord-ouest, et l'accès no 5, dit de Marmande, à l'est, de l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse).
La gare SNCF la plus proche est, à 16 km vers le nord-est, celle de Marmande sur la ligne Bordeaux - Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Cocumont est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Sérac. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2009 et 2018[16],[14].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain et des tassements différentiels[17].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[19].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[14].
Toponymie
[modifier | modifier le code]La graphie du nom de la commune est identique en gascon.
Ses habitants sont appelés les Cocumontais[20].
Histoire
[modifier | modifier le code]- Siège d'un prieuré fondé au XIe siècle et dépendant de l'abbaye de Conques.
- Bastide créée en 1255 par les Anglais.
- Seigneurie appartenant aux seigneurs de Mauvezin puis à la famille de Gasq.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[22].
Jumelages
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].
En 2021, la commune comptait 1 088 habitants[Note 3], en évolution de −1,98 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste de style néogothique, construite du XIXe siècle, se situe dans le centre du village.
- Église Saint-Jean de Vidailhac de Cocumont. Au lieu-dit Vieille Église, se trouve, au milieu d'un cimetière encore en usage, l'église Saint-Jean de Vidailhac de style roman datant du XIIe siècle, souvent réaménagée et restaurée au cours des siècles suivants, aujourd'hui fermée, en état de relatif délabrement et inutilisée. Elle est classée monument historique depuis 1927[27].
- Église Saint-Martin de Goux de Cocumont. Au lieu-dit Gouts (ou Goutz, Goux ou Goutx) l'église romane de Gouts du XIIe siècle dédiée à saint Martin, remaniée au XVIIIe siècle, appelée également église Goux de Loutrange, est classée monument historique depuis 1965[28].
- Église Saint-Jean-Baptiste de Cocumont. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[29].
- Église Saint-Gervais de Cocumont. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[30].
- Une église romane du XIIe siècle dédiée à saint Jean de Vidalque puis à saint Gervais existait au lieu-dit Briolet ; elle a été classée en 1927[31] mais, en très mauvais état, elle a quasiment disparu depuis 1970 et il n'en reste que des ruines portant des peintures murales inventoriées[32] et une cloche datant de 1578 classée à l'inventaire des monuments historiques en 1910[33].
- Une ancienne église du XIVe siècle dite Saint-Sylvestre-de-Loutrange a existé au lieu-dit Saint-Sylvestre mais, vendue comme bien national à la Révolution, elle est aujourd'hui entièrement transformée en maison et grange.
- De nombreux « objets » (cloches, bénitiers et autres mobiliers) abrités par les églises Saint-Jean-Baptiste, Saint-Jean-de-Vidailhac et Saint-Martin de Gouts sont répertoriés à l'inventaire du ministère de la Culture[34]. Une cloche de l'église Saint-Jean-Baptiste a été offerte par la confrérie des Pénitents blancs de Cocumont[35].
- L'église Saint-Jean-Baptiste (déc. 2009)
- L'église Saint-Jean-de-Vidailhac (déc. 2009)
- L'église de Gouts (déc. 2009)
- Le monument aux morts sur la place des Vignerons (déc. 2009)
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Bernard Laujacq, homme politique né le à Cocumont (Lot-et-Garonne) et décédé le à Agen (Lot-et-Garonne).
- Alphonse Lamarque (Jacques Thomas Alphonse Lamarque de Plaisance), né le , fils d'un conseiller de Casteljaloux (Lot-et-Garonne), fut ethnologue et maire de Cocumont entre 1850 et 1852.
Noms des rues
[modifier | modifier le code]- Une grande partie des noms de rues sont issus des vignes. Le bourg regroupe les cépages à vin rouge tandis que les lotissements se partagent les cépages blancs. Par exemple :
- Place des Vignerons : anciennement place de la Mairie ou place du Marché
- Rue des Bouilleurs de cru : rappelle l'activité passée d'un distillateur à cet endroit jusque dans les années 1960.
Commune au nom burlesque
[modifier | modifier le code]De par sa toponymie, le village de Cocumont fait partie de l'association des communes de France aux noms burlesques et chantants.
À ce titre, Cocumont a organisé la troisième rencontre en 2005.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'or à la montagne de chênes de sinople, au chef d'azur chargé de trois abeilles d'or[36]. | |
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Détails | Créé en 1863. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Cocumont sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Carte IGN sous Géoportail
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Cocumont et Saint-Martin-Curton », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Martin-Curto » (commune de Saint-Martin-Curton) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Martin-Curto » (commune de Saint-Martin-Curton) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Cocumont ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Marmande », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Cocumont », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Nom des habitants de Cocumont sur habitants.fr, consulté le 5 juillet 2011.
- , « Jean-Luc Armand réélu pour son troisième mandat », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 20.
- Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Classement MH de l'église Saint-Jean-de-Vidailhac », notice no PA00084096, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Classement MH de l'église Goux de Loutrange », notice no PA00084097, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Eglise paroissiale Saint-Jean-Baptiste », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Eglise paroissiale Saint-Gervais », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Classement MH de l'église Saint-Gervais de Briolet », notice no PA00084096, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Images des peintures murales de l'église Saint-Gervais », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Classement MH de la cloche de l'église Saint-Gervais de Briolet », notice no PM47000102, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Inventaire des objets de Cocumont », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- A. Veilhon, La Compagnie des Pénitents blancs de Cocumont aux XVIIe et XVIIIe siècles, p. 396-402, Revue de l'Agenais, 1925, tome 52 (lire en ligne), et p. 56-65, Revue de l'Agenais, 1926, tome 53 (lire en ligne)}
- Armorial de France