Culture du Cameroun
La culture du Cameroun, pays de l'Afrique centrale, désigne d'abord les pratiques culturelles observables de ses habitants (24 000 000, estimation 2017). La culture camerounaise est caractérisée par une très grande diversité, liée à sa diversité ethnique et par une grande influence des cultures francophones et anglophones[1].
Langues et populations
[modifier | modifier le code]Histoire, géographie, démographie et économie sont à l'origine d'une riche diversité culturelle.
Diversité ethnique
[modifier | modifier le code]Le Cameroun compte des centaines de royaumes traditionnels (Bodjongo'a Mbèdi, Akwa-Nord, Bali-nyonga, Bafut, Bafoussam, Foumban...) pour la plupart concentrés près du littoral, ainsi que dans le Nord et l'Ouest du pays. Bodjongo'a Mbèdi, sur le littoral, fait exception car sa dynastie royale remonte au-delà du Xe siècle alors que la plupart des autres ont été fondées au XVIe siècle. Ces royaumes sont organisés autour de la figure emblématique du chef qui exerce son pouvoir dans le cadre d'un système très hiérarchisé, où gravitent épouses, adjoints, notables qui sensibilisent les enfants aux rites ancestraux, accompagnés de dignitaires qui récoltent les herbes et les racines dans les forêts sacrées pour les sociétés secrètes, de serviteurs dévoués, d'artistes peintres, de sculpteurs et de groupes d'adolescents qui constituent des gardes structurées.Ces entités ont un rôle essentiel et fondamental dans la vie culturelle, politique et sociale du pays.
Langues
[modifier | modifier le code]On recense au Cameroun plus de 250 dialectes assimilés aux langues nationales, parmi lesquelles on trouve les langues beti[ Eton ,Ewondo,Manguisa, Mvae..] douala, l'Ewodi, le Yabassi, le Bodiman, le Tikar, le Pongo, l'Abo, le Balimba, le bamoun, l'Ewondo, le Bassa, le Bakweri, (langue), le peul ou foulbé,le dourou, le haoussa, les langues Bamiléké composées de plusieurs sous-ensembles comme le Fe'efe', Nufi ou Bafang, le Ghomala' (Baham, Bandjoun, Batié, Bansoa,Bahouan, Bandenkop), le Medumba (Bangangté), le Yemba (Dschang), le Ngomba'a (Bamesso)... et bien d'autres.
Contrairement à la majorité des autres pays africains, le Cameroun n'a pas de langue nationale dominante ou commune. Cependant, la jeunesse urbaine a créé une forme d'argot complexe dit camfranglais (mélange de français, d'anglais, de locutions vernaculaires camerounaises et même du verlan) qui varie selon les villes. L'on s'exprime en "pidjin" un mélange d'anglais et d'argot. Quant aux commerçants, ils négocient très souvent en pidgin english (forme de créole anglais) depuis plus de 50 ans.
En ce qui concerne les langues officielles, l'anglais et le français sont les deux langues de l'administration, de l'enseignement et des médias. Ce bilinguisme est un héritage de la colonisation, et permet au Cameroun de faire à la fois partie du monde francophone et anglophone. Malgré tout, le français est largement avantagé dans l'administration et les médias, par le fait de la majorité démographique des francophones. Certains anglophones se plaignent de discrimination à l'égard de leur langue que des francophones (adultes) n'assimilent pas souvent mais qui est étudiée par tous les enfants dans toutes les écoles. Cependant, le bilinguisme est de plus en plus renforcé et tous les documents publics lus ou écrits sont en deux langues. De plus, 4 des 6 universités publiques sont bilingues et deux sont entièrement anglophones (université de Buéa et université de Bamenda). De nombreuses écoles primaires et lycées bilingues existent sur l'ensemble du territoire.
Traditions
[modifier | modifier le code]Religions
[modifier | modifier le code]- Christianisme (65..69 %), liste des cathédrales du Cameroun
- Catholicisme (25..35 %), 4,65 millions de baptisés), Église catholique romaine au Cameroun (de)
- Missions pallottines du Cameroun (1890), Abbaye de Grandselve (Obout) (1955), Abbaye de Koutaba (1968), Basilique Marie-Reine-des-Apôtres de Mvolyé (1990)
- protestantisme (30..31 %), dont évangélisme, anglicanisme, méthodisme, adventisme,
- Église évangélique luthérienne du Cameroun (EELC, 450 000 membres)
- Église évangélique du Cameroun (EAC, 2,5 millions d'adeptes)
- Presbyterian Church in Cameroon (PCC, 1,5 million d'adeptes) (=Église presbytérienne camerounaise)
- Church of the Province of West Africa (en), anglicane, 1 million de membres environ, Diocèse anglican du Cameroun, Sœurs bénédictines de Béthanie
- orthodoxie (0.5 %)…
- Catholicisme (25..35 %), 4,65 millions de baptisés), Église catholique romaine au Cameroun (de)
- Religions non chrétiennes
- Religions traditionnelles africaines (5..19 %)
- Liberté de religion au Cameroun (en)
Mythologies
[modifier | modifier le code]Folklores
[modifier | modifier le code]- Contes et légendes
Croyances
[modifier | modifier le code]festa da gota
[modifier | modifier le code]Famille
[modifier | modifier le code]Vie sociale
[modifier | modifier le code]- Chefferies traditionnelles au Cameroun, Chefferie
- Ubuntu, Fraternité
- Palabre, Arbre à palabres, Kongossa
Éducation
[modifier | modifier le code]Droit
[modifier | modifier le code]- Droit au Cameroun
- Criminalité au Cameroun
- Rapport Cameroun 2016-2017 d'Amnesty International
- Commission nationale des Droits de l'Homme et des Libertés[2]
État
[modifier | modifier le code]- Politique au Cameroun
- Ambazonie, république fédérale autoproclamée en 2017 en zone anglophone
Arts de la table
[modifier | modifier le code]Cuisine
[modifier | modifier le code]De façon générale, l'alimentation des Camerounais est largement basée sur les produits végétaux comme le mil, le manioc les arachides, l'igname, la patate douce, le ndolé et les fruits tropicaux (banane, banane plantain, ananas, mangue, papaye…). Les Camerounais consomment aussi de la viande (bœuf, chèvre, porc, veau, ou viande de brousse, (sous forme farcie ou grillée)...) et beaucoup de poissons et de crevettes (sous forme grillée ou fumée et fraîche en eau douce), particulièrement dans les régions maritimes avec un emploi important de diverses épices.
Boissons
[modifier | modifier le code]- Eau
- Soda
- Vin de palme(matango)
- Bière, traditionnelle (mil, sorgho), ou moderne (Castel Beer, 33 Export).
- odontol, alcool artisanal [3]
Santé
[modifier | modifier le code]- Santé au Cameroun
- odontol, alcool artisanal ravageur[3]
- Repassage des seins
Sport
[modifier | modifier le code]- Sport au Cameroun
- Jeux africains ou Jeux panafricains, depuis 1965, tous les quatre ans (...2011-2015-2019...)
Médias
[modifier | modifier le code]En 2016, le classement mondial sur la liberté de la presse établi chaque année par Reporters sans frontières situe le Cameroun au 126e rang sur 180 pays[4]. La presse écrite et les médias audiovisuels y sont florissants, mais sous la menace permanente d'une fermeture. L'accusation vague de « terrorisme » ouvre la voie aux arrestations arbitraires et pourrait conduire des journalistes devant les tribunaux militaires, selon une nouvelle loi anti-terroriste[5].
- Internet[6] (code .cm)
Littérature
[modifier | modifier le code]La littérature camerounaise, entendue comme des textes écrits originaires du Cameroun, s'étend sur plusieurs langues et écritures, dont celles inspirées de l'alphabet latin, arabe, ou encore de l'écriture bamoun. Ses auteurs écrivent ou ont écrit en allemand[7], en anglais[8], en français, mais aussi dans les langues locales[9]. Comme dans beaucoup de pays d'Afrique subsaharienne, elle connaît un certain essor avec la période post-indépendance[10], la publication d'un ouvrage constituant alors à l'époque une marque d'intelligence qui généralement pouvait valoir l'octroi d'un poste de responsabilité dans l'administration. Et à lire certains auteurs de l'époque, on pourrait se demander si la vocation était leur seule motivation, sauf le respect dû à nombre d'entre eux passés à la postérité. On constate ainsi que la majorité des auteurs des années 1960, 70, 80, étaient pour la plupart des fonctionnaires.
Dans les années 1990 et 2000, la littérature camerounaise connaît un certain relâchement[10]. Écrire un livre n'est plus alors forcément une preuve de génie, le nombre d’intellectuels s'étant exponentiellement multiplié, en comparaison des années pré et post-indépendance. La production livresque n'est pas non plus la priorité du gouvernement, préoccupé par des problèmes d'ordre économique. On note alors une baisse de publication de qualité, un manque de motivation des promoteurs culturels à encourager la littérature.
Cependant depuis le début de la décennie en cours, la littérature camerounaise semble de nouveau sur la pente ascendante. Les sponsors et mécènes jusqu'ici indifférents commencent à montrer un certain intérêt. Les grands prix des associations littéraires, pour exemple, bénéficient du soutien des Brasseries du Cameroun, la principale entreprise brassicole du pays. Le mécénat est certes rare mais un peu plus présent que dans les dernières années: En 2014, le mécène Pierre Flambeau Ngayap, membre du Jury qui a consacré le jeune auteur Eric Mendi aux GPAL 2013[11] pour son roman Opération Obama, s'est permis de financer l'achat d'une centaine d'exemplaires de cet ouvrage pour les offrir à des étudiants de l'université de Yaoundé II-Soa[12].
Les écrivaines occupent une place importante dans la littérature camerounaise, se démarquant de leurs homologues masculins par une propension naturelle à la provocation et par l´usage de tous les moyens médiatiques possibles. Elles opposent la négritude à l´homogénéisation de la société sous le rouleau compresseur de la mondialisation. Elles cherchent les voies d´un altermondialisme loin des modèles phallocratiques de l´ultralibéralisme et aspirent à ré-enfanter un monde plus humain dans un univers frappé par la déshumanisation[13].
Artisanats
[modifier | modifier le code]- Arts appliqués, Arts décoratifs, Arts mineurs, Artisanat d'art, Artisan(s), Trésor humain vivant, Maître d'art
- Artisanats par pays
- Art au Cameroun
- Céramique d'Afrique subsaharienne
Les savoir-faire liés à l’artisanat traditionnel relèvent (pour partie) du patrimoine culturel immatériel de l'humanité. On parle désormais de trésor humain vivant. Mais une grande partie des techniques artisanales ont régressé, ou disparu, dès le début de la colonisation, et plus encore avec la globalisation, sans qu'elles aient été suffisamment recensées et documentées.
Arts visuels
[modifier | modifier le code]- Arts visuels, Arts plastiques, Art brut, Art urbain
- Art par pays
- Art africain traditionnel, Art contemporain africain
- Art au Cameroun, Africa Remix[14]
- Artistes contemporains camerounais
- Doual'art
- Salon urbain de Douala
- Liste des œuvres publiques de Douala
Arts anciens
[modifier | modifier le code]Dessin
[modifier | modifier le code]Peinture
[modifier | modifier le code]Sculpture
[modifier | modifier le code]Architecture
[modifier | modifier le code]Photographie
[modifier | modifier le code]Autres
[modifier | modifier le code]Ar
[modifier | modifier le code]ts du spectacle
[modifier | modifier le code]Événements culturels
[modifier | modifier le code]- La 1re biennale de la Photographie et des Arts Visuels, s'est déroulée du 14 au à Douala au Cameroun. Sur le thème « Traces et Mémoire », quatorze photographes et dix-sept artistes peintres africains, afro caribéens et européens exposent leurs œuvres.
- La Fête de l'eau (Ngondo) réunit chaque année en décembre, sur les berges du fleuve Wouri, chez les Sawa, dans la Province du Littoral, plus de deux cent mille personnes venues applaudir défilés carnavalesques, courses de pirogues et rites sacrés. Fête traditionnelle des peuples côtiers, elle se tenait naguère au mois de juillet.
- Course de pirogue
- Lutte traditionnelle
- Danse sawa
- Le Messager
- Salutations chefs sawa
- Musiciens
- Défilé de mode
- Fierté Nord-Ouest en Miniature
- prestation ouest
- Festival national des arts et de la culture (FENAC) : événement biennal pour célébrer les talents culturels et artistiques du Cameroun.
- Ekang, Centre
- Bafia, Centre
- Bikutsi, Sud
- Danseurs Toupouri, Nord
- Danseurs, Nord-Ouest
- Danseurs, Sud-Ouest
- Danseurs, Littoral
- Danseurs Pygmées, Est
- Joueurs de Tam-tam, Ouest
Musique, chant, danse
[modifier | modifier le code]- Musique camerounaise
- Liste des instruments de musique au Cameroun (en)
- Danse au Cameroun
- Musiciens camerounais
- Chanteurs camerounais
- Chorégraphes camerounais
- Danseurs camerounais
- Danseuses camerounaises
Le Cameroun compte également des artistes de renom sur le plan international tels que Manu Dibango, Richard Bona qui est installé aux États-Unis, Blick Bassy résidant au Brésil. Il y a également une chanteuse possédant une magnifique voix de velours qui se fait de plus en plus connaitre, il s'agit de Charlotte Dipanda. Nous pouvons également citer Sanzy Viany qui a eu à participer au concours découverte de RFI.
La particularité avec les artistes camerounais, ce qui est également un émerveillement, c'est que tous ces artistes chantent en leur langue vernaculaire, ce qui contribue à rehausser la beauté de la diversité linguistique du pays.
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Galerie
[modifier | modifier le code]Accessoires de danses traditionnelles
[modifier | modifier le code]Sud
[modifier | modifier le code]Nord
[modifier | modifier le code]Nord-Ouest
[modifier | modifier le code]Ouest
[modifier | modifier le code]Littoral
[modifier | modifier le code]Est
[modifier | modifier le code]Danses traditionnelles
[modifier | modifier le code]Centre
[modifier | modifier le code]Sud
[modifier | modifier le code]Nord
[modifier | modifier le code]- Danse Tupuri
- Dance Group
- Tam-tam player
Nord-Ouest
[modifier | modifier le code]- Joueur de guitare
Sud-Ouest
[modifier | modifier le code]Littoral
[modifier | modifier le code]Est
[modifier | modifier le code]- Joueur de Tam-tam
Oueest
[modifier | modifier le code]- Tam-Tam player
- Group of Tam-tam players
Instruments de musique traitionnelle
[modifier | modifier le code]Sud
[modifier | modifier le code]- Mvet
Nord
[modifier | modifier le code]- Tam-tam
- Guitar
Nord-Ouest
[modifier | modifier le code]- Flute
- Sanza
- Tam-tam
- Guitar
- Another guitar
Littoral
[modifier | modifier le code]Est
[modifier | modifier le code]Ouest
[modifier | modifier le code]- Bamileke cowbells
- Balafon
- Another balafon
- Tam-tam
- Sanza
- Sanza
- Balafon
- Balafon
Autres : marionnettes, mime, pantomime, prestidigitation
[modifier | modifier le code]- Cabaret, toute forme mineure des arts de scène
- Arts de la rue, Arts forains, Cirque,Théâtre de rue, Spectacle de rue,
- Marionnette, Arts pluridisciplinaires, Performance (art)…
- Arts de la marionnette au Cameroun sur le site de l'Union internationale de la marionnette
Sylvie Ndomé Ngilla fait un diagnostic positif pour tout le théâtre africain francophone dans son ouvrage Nouvelles dramaturgies africaines francophones du chaos (2014)[18].
- Troupe Ki Yi M'Bock (1980-)
- Nana Ardo, humoriste
Cinéma
[modifier | modifier le code]- Cinéma camerounais
- Liste de films camerounais
- Réalisateurs : Jean-Pierre Bekolo, Bassek Ba Kobhio, Jean-Pierre Dikongué Pipa, Jean-Marie Teno, François Woukoache, Francis Taptue
- Scénaristes
- Acteurs
Autres
[modifier | modifier le code]Tourisme
[modifier | modifier le code]- Tourisme au Cameroun
- Liste du patrimoine mondial au Cameroun
- Liste de monuments du Cameroun
- Liste des cathédrales du Cameroun
- Liste de musées au Cameroun
- Liste des aires protégées du Cameroun
- Liste des sites touristiques de l'ouest Cameroun
- Liste des écorégions du Cameroun
Patrimoine
[modifier | modifier le code]Le programme Patrimoine culturel immatériel (UNESCO, 2003) n'a rien inscrit pour ce pays dans sa liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité (au 15/01/2016).
Le programme Mémoire du monde (UNESCO, 1992) n'a rien inscrit pour ce pays dans son registre international Mémoire du monde (au 15/01/2016).
Musées et autres institutions
[modifier | modifier le code]Liste du Patrimoine mondial
[modifier | modifier le code]Le programme Patrimoine mondial (UNESCO, 1971) a inscrit dans sa liste du Patrimoine mondial (au 12/01/2016) : Liste du patrimoine mondial au Cameroun.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Culture du Cameroun sur AfricaPresse.com
- « Commission des Droits de l'homme du Cameroun », sur cndhl.cm via Internet Archive (consulté le ).
- Josiane Kouagheu, « Au Cameroun, la difficile lutte contre l’odontol, un alcool artisanal », Le Monde, (lire en ligne , consulté le ).
- Reporters sans frontières : Les données du classement de la liberté de la presse 2016 [1]
- Reporters sans frontières : Cameroun [2]
- « Cameroun : nombre d'internautes et chiffres-clés de l'Internet », sur journaldunet.com (consulté le ).
- Exemple d'auteur germanophone: Pr Kum'a Ndumè III.
- , Article du Pr Pierre Fandio, Journal du Cameroun
- Article sur Nnanga Kon, ouvrage écrit en langue boulou : Grin.com
- Voir cet article
- Rapport du Jury des Gpal 2013: Camer:be
- De cette donation naîtra la Journée de l'Etudiant-Gpal
- Daniel S. Larangé, La "négrattitude" féminine : l´éternel féminin face à l´effacement des gen(re)s, Dialogues francophones "Les francophonies au féminin", Timişoara, 16 (2010), 213-226.
- Yann Plougastel, « Simon Njami, un commissaire d’exposition qui se joue des clichés coloniaux » , sur lemonde.fr, (consulté le ).
- « 380-l'oeuvre de pascale marthine tayou (artiste camerounais, né en 1967)-1 », sur artplastoc.blogspot.fr (consulté le ).
- http://www.caacart.com/pigozzi-artist.php?bio=en&m=65
- http://www.voir-et-dire.net/IMG/pdf/visite_pmt.pdf
- http://conservancy.umn.edu/bitstream/handle/11299/171460/NdomeNgilla_umn_0130E_15693.pdf;sequence=1
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Ephraïm Jouy, Cameroun, les arts rituels d'un peuple, Catalogue d'exposition, Éditions Musée de l'Hôtel-Dieu, Mantes-la-Jolie, 2013 (ISBN 978-2-915503-00-5)
- (en) The Cultural identity of Cameroon, Ministère de l'Information et de la Culture, Yaoundé, 1985, 519 p. (actes du colloque de 1985)
- (en) John Mukum Mbaku, Culture and customs of Cameroon, Greenwood Press, Westport, Conn., 2005, XXXIV-236 p. (ISBN 0-313-33231-2)
- Pierre Harter, Arts anciens du Cameroun, Arts d'Afrique Noire, Arnouville-lès-Gonesse, France, 1986, 374 p.
- Claude Tardits, L'Histoire singulière de l'art Bamoun, éd. Maison-neuve et Larose.
- Claude-Hélène Perrot et François-Xavier Fauvelle-Aymar, Le Retour des rois, éd. Karthala
- "Revue noire", numéro spécial Cameroun, n° 13, 1994
- Cameroun: la culture sacrifiée, dossier du magazine "Africultures", n. 60, L'Harmattan, Juillet–Septembre 2004
Discographie
[modifier | modifier le code]- Cameroun : la messe à Yaoundé, Arion, Paris, 1972
- Cameroun : la musique des Pygmées Baka, Auvidis, Unesco, Paris, 1990
- Percussions et danses du Cameroun, Arion, Paris, 1990
- Cameroun : flûtes des Monts Mandara (collec. Nathalie Fernando et Fabrice Marandola), Radio-France, Paris ; Harmonia mundi, Arles, 1996
- Cameroun : Royaume bamoun : musiques du palais et des sociétés secrètes, Maison des Cultures du Monde, Paris ; Auvidis, Antony, 1997-2001
- Cameroun : pygmées Bedzan de la plaine Tikar, Maison des Cultures du Monde, Paris ; Auvidis, Antony, 2000
- Nord Cameroun : musique des Ouldémé, au rythme des saisons, Maison des Cultures du Monde, Paris ; Auvidis, Antony, 2001
- Mbum du Cameroun : nord Cameroun (collec. Charles Duvelle), Universal Division Mercury, Antony, 2001
- Bikutsi pop : the songs of So' Forest, Naxos World, Franklin (Tenn.), 2002
Filmographie
[modifier | modifier le code]- Une harpe ouldémé, film documentaire de Nathalie Fernando et Fabrice Marandola, CNRS Diffusion, Meudon, 1999, 16 min (VHS)
- Le Peuple de la forêt, film documentaire de Jean-Claude Cheyssial, La Luna Productions, Paris, 2005, 48 min (VHS)
- De feuilles et de terre : architectures traditionnelles au Cameroun, film documentaire de Dominique Théron, 2005, 45 min (DVD)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Empire colonial allemand
- Grands Prix des associations littéraires (2013, GPAL)
- Cinéma africain, Musique africaine
- Culture des pays voisins : Culture du Nigeria, Culture du Tchad, Culture de la République centrafricaine, Culture de la Guinée équatoriale, Culture du Gabon, Culture de la république du Congo
- ONG RAPEC - Réseau africain des promoteurs et entrepreneurs culturels
- Société africaine de culture, association (SAC, 1956), devenue Communauté africaine de culture (CAC)
- Congrès des écrivains et artistes noirs (1956)
- Festival mondial des arts nègres (1966, 2010)
- Confréries de chasseurs en Afrique
- Kaba' Ngondo