Fontaine Wallace

Fontaine Wallace
Personnes se désaltérant à une fontaine Wallace à Paris, lors de la revue du 14 juillet 1911.
Type
Point d'eau public (en), sculpture, monument, structure architecturale (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Caractéristiques
Matériau
Hauteur
271 cmVoir et modifier les données sur Wikidata
Poids
610 kgVoir et modifier les données sur Wikidata
Conception
Concepteur
Date
Fondé sur
Conservation
Propriétaire
Une fontaine Wallace à Montmartre, Paris.

Les fontaines Wallace Écouter sont des points d’eau potable publics, des fontaines qui se présentent sous la forme de petits édicules en fonte présents dans plusieurs villes dans le monde.

Dessinées par Charles-Auguste Lebourg, elles tiennent leur nom de Richard Wallace, le philanthrope britannique qui finança leur édification. Elles sont souvent associées par les étrangers à l'image de Paris[1], car c'est dans cette ville qu’elles furent implantées en premier et que c’est en France qu’on en trouve le plus.

Pendant la guerre de 1870 déclarée par Napoléon III contre la Prusse, Paris connaît des temps très durs. La proclamation de la République, l'épisode de la Commune, les bombardements destructeurs des Prussiens, la défaite cuisante qui laisse l'Alsace-Lorraine à ces derniers, sont autant de bouleversements qui nuisent à la ville.

La reconstruction de la capitale est très rapide, malgré les ravages. En moins de dix ans, elle est transformée : nouveaux bâtiments (Sacré-Cœur), nouveaux boulevards (Raspail, Saint-Germain). Mais si les travaux de raccordement des immeubles ont commencé, les dégâts causés lors de la Commune et l'augmentation de la population font que tous les Parisiens ne sont pas encore reliés au réseau d'eau potable[2].

La mode est à la philanthropie : les bourgeois fortunés financent de nombreuses « bonnes œuvres » (Croix-Rouge, Armée du salut, Société philanthropique), soit pour entretenir leur réputation, soit le plus souvent de façon anonyme, par charité chrétienne et pour que leur argent serve à soulager la misère[3].

Sir Richard Wallace en fontaine Wallace, dans une caricature de Georges Lafosse parue dans Le Trombinoscope de Touchatout en 1873.

Le commanditaire : Sir Richard Wallace

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Parmi ces philanthropes, Sir Richard Wallace est l'un des plus éclectiques et des plus discrets.

Ayant hérité de son père une grande fortune en , il décide d'en faire profiter les Parisiens, ce qui lui vaut une grande popularité. On peut le considérer comme un philanthrope, au sens propre du terme, comme il y en avait beaucoup à l'époque. Son dévouement le pousse à rester dans sa villa parisienne assiégée pour pouvoir être là où on avait besoin de lui, plutôt que de se réfugier dans une de ses luxueuses propriétés.

Il fonde également un hôpital, s'occupe de l'accueil des victimes des bombardements et de la distribution de vivres à la population[2]. Il reste toujours fidèle à sa nation d'adoption, la France, où il sera inhumé au cimetière du Père-Lachaise.

Les fontaines portant son nom comptent parmi ses nombreuses contributions au patrimoine parisien.

Pourquoi des fontaines ?

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À la suite du siège de Paris et à la Commune, de nombreux aqueducs sont détruits, et le prix de l'eau, déjà élevé, en est considérablement augmenté. De nombreux démunis se trouvent dans l'impossibilité d'en trouver gratuitement.

Dès lors, la tentation des « marchands de vin » est grande chez les indigents, et c'est un devoir moral que de les aider et de leur permettre de ne pas plonger dans l'ivrognerie[2]. Le besoin urgent de ces « brasseries des quatre femmes » est clairement prouvé par la vitesse à laquelle le projet est concrétisé. Encore aujourd’hui, où l'eau et l'hygiène ne sont pas un problème pour la grande majorité des Parisiens, ces fontaines sont souvent les seuls points d'eau gratuits pour des personnes comme les SDF. Riches ou pauvres, tous les passants peuvent s'y désaltérer.

Gobelet à chaînette des fontaines Wallace, photographié en 1932[4].

La philosophie de Wallace est d'aider efficacement et discrètement ceux qui en ont besoin : les fontaines sont la manière d'y parvenir tout en réalisant son souhait d'embellir Paris, sans faire dans le spectaculaire.

Choix de l'emplacement

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À Paris, le choix de l'emplacement des fontaines est laissé à la ville. Celles-ci doivent être facilement accessibles au public et s'intégrer de la façon la plus harmonieuse possible dans leur environnement. La plupart sont érigées sur des places ou à l'angle de deux rues[2]. C'est Eugène Belgrand, ingénieur des Ponts et Chaussées, qui fut directeur des Eaux et Égouts de Paris et qui travailla beaucoup avec le préfet Haussmann, qui est chargé de choisir leur emplacement.

La première fontaine Wallace est installée et mise en eau en sur le boulevard de la Villette[2] ; les chroniqueurs de l'époque rapportent qu'un nombre considérable de Parisiens sont présents et tentent de s'en approcher dans une bousculade effrénée[5]. Aucun personnage officiel n'était présent à cette inauguration.

Richard Wallace conçoit lui-même ces fontaines, faites pour allier esthétique et utilité. Elles sont conçues dans le respect d'un strict cahier des charges :

  • la taille : assez grande pour être visible de loin, mais pas trop pour ne pas rompre l'harmonie du paysage ;
  • la forme : à la fois pratique d'utilisation et esthétique ;
  • le prix : abordable pour permettre l'installation de dizaines d'exemplaires ;
  • le matériau utilisé : résistant, facile à travailler, et commode d'entretien.

Les emplacements sont choisis par la mairie, ainsi que la couleur : vert profond, comme tout le mobilier urbain de cette époque, afin d'être discret et en harmonie avec les parcs et allées bordées d'arbres[2].

Wallace crée quatre modèles différents, de taille et de conception différentes. Le matériau utilisé est la fonte, matériau économique, facile à mouler, robuste, et très utilisé à l'époque. La quasi-totalité de la dépense est prise en charge par Wallace. La ville de Paris participe à hauteur de 1 000 francs pour le grand modèle, et 450 francs pour le modèle mural, pour la plomberie et le raccordement au réseau[2].

La réalisation des fontaines sera l'œuvre des fonderies du Val d'Osne, situées dans la Haute-Marne, près de Saint-Dizier, alors grande région de production de fonte d'art. On peut lire sur le socle des plus anciennes fontaines la signature de l'usine. Plus tard, la production (qui se prolonge toujours actuellement) se fera à Sommevoire (Haute-Marne) par la Générale d'hydraulique et de mécanique, Antoine Durenne ayant racheté le Val d'Osne, et continuant à produire d'innombrables statues, fontaines et pièces de mobilier urbain[2].

Le succès des fontaines Wallace engendrera naturellement des copies par des fonderies concurrentes, ce qui explique qu'on trouve des fontaines qui sont « à la manière de », sans être d'authentiques fontaines Wallace.

Souhaitant que son projet se concrétise le plus rapidement possible, Wallace en confie la charge à Charles-Auguste Lebourg[2], un sculpteur à qui il a déjà fait appel. Ce Nantais améliore les croquis de Wallace, pourtant déjà très précis et réfléchis, pour faire de ces fontaines de véritables œuvres d'art.

Les différents modèles

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Grand modèle

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Caractéristiques : 2,71 m pour 610 kg.

Conçu par Sir Richard Wallace, ce modèle s'inspire de la fontaine des Innocents.

Sur un soubassement de pierre de Hauteville, repose un socle à huit pans sur lequel vient s'ajuster la partie supérieure composée de quatre cariatides se tournant le dos et soutenant à bout de bras un dôme orné d'une pointe, et décoré de dauphins.

Modèle 3D interactif d'une fontaine Wallace grand modèle (installée au Parc des Bastions à Genève, en Suisse).
Macao, en Chine.

Les quatre cariatides représentent la bonté, la simplicité, la charité et la sobriété[2]. Elles sont toutes différentes, soit par la position de leur genou et de leurs pieds, soit par la manière dont leur tunique est nouée au niveau du corsage.

Simplicité et Sobriété ont les yeux fermés ; Bonté et Charité les ont ouverts. Elles représentent également les quatre saisons : Simplicité symbolise le printemps, Charité l'été, Sobriété l'automne et Bonté l'hiver.

Le symbolisme est présent sur les huit faces du soubassement : les quatre plus larges sont décorées d'un trident autour duquel s'enroule un triton et les quatre autres montrent une conque de laquelle s'écoule un chapelet de perles. Conque et perles représentant l'ouïe et la parole. Ces quatre faces plus étroites sont en « excroissance » par rapport aux grandes faces ; de délicats roseaux les ornent latéralement.

L'eau est distribuée en un mince filet depuis le centre du dôme, puis tombe dans une vasque qui est désormais protégée par une grille. Pour faciliter la distribution, deux gobelets en fer étamé retenus par des chaînettes fixées aux boucles formées par les trompes des têtes d'éléphants toujours visibles sous le socle desdites cariatides, sont à la disposition du consommateur, restant toujours immergés pour plus de propreté. Ceux-ci sont supprimés en 1952 « par mesure d'hygiène », sur demande du Conseil d'hygiène publique de l'ancien département de la Seine[2],[6]. À Paris, sept fontaines ont été peintes d'une couleur différente du vert imposé depuis Napoléon III, dont une rouge dans le quartier chinois, une jaune près des Grands Moulins, une bleue dans l'ancien quartier de la gare de Rungis[7], une autre étant située près de la mairie du 20e arrondissement[2].

Depuis 2021, certaines fontaines sont équipées d’un système de brumisation. Il se déclenche automatiquement, en cas de forte chaleur, toutes les quatre minutes[8].

Modèle à colonnettes

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Caractéristiques : 2,50 m pour un peu plus de 500 kg.

Ce dernier modèle est réalisé par la suite. Les cariatides sont remplacées par des colonnettes pour réduire le coût de fabrication. La forme générale de la fontaine est comparable à celle du grand modèle, bien que le chapiteau ne soit pas aussi pointu, et la partie inférieure plus incurvée. Les quatre faces sont identiques.

Le fabricant est Chappée et fils. Fabriqué en une trentaine d'exemplaires, il n'en reste aujourd’hui que deux à Paris, l'un rue de Rémusat, l'autre avenue des Ternes. Un exemplaire de cette fontaine existe aussi au cœur des halles de la ville napoléonienne de La Roche-sur-Yon et un autre à Rio de Janeiro.

Modèle en applique

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Illustration de 1882.

Caractéristiques : 1,96 m pour 300 kg.

Au milieu d'un fronton semi-circulaire, un mascaron sous forme d'une tête de naïade déverse un petit filet d'eau qui vient tomber dans une vasque marine reposant entre deux pilastres. Deux gobelets permettaient également d'y boire, mais ils furent retirés au titre de la loi de 1952 citée au paragraphe précédent.

Ce modèle, peu coûteux à installer, devait être multiplié le long des murs des édifices à forte concentration humaine du type hôpitaux, casernes, etc. Cela n'est plus le cas, et il ne reste aujourd’hui qu'un seul exemplaire à Paris, situé au début de la rue Geoffroy-Saint-Hilaire, à droite de l'entrée du Jardin des Plantes[2].

Il existe six exemplaires au Jardin Botanique de Rio de Janeiro[9].

Fontaine de petit modèle

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Caractéristiques : 1,32 m pour 130 kg.

Ce ne sont pas des fontaines Wallace à proprement parler : elles sont créées par la fonderie du Val d'Osne, présentées dans une planche du catalogue de fonte d'art n°2 planche 517[10]) intitulée « fontaines à boire de la Ville de Paris ». Elles n'ont rien de commun avec le mécénat de Sir Wallace.

Ce sont de simples bornes-fontaines à bouton-poussoir, qu'on peut trouver dans les squares ou les jardins publics, marquées de l’écu parisien (celle installée sur la place des Invalides ne possède pas ces écus).

Ne mesurant que 1,32 m pour une masse de 130 kg, elles sont entièrement financées par la mairie de Paris.

Fontaines Wallace et fontaines dites Wallace

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Les deux premiers modèles sont conçus et financés par Sir Richard Wallace, d'où leur nom. Les deux autres modèles sont créés dans le même style, et la ressemblance est flagrante, mais elles sont créées à la suite du succès des précédentes.

Cependant, les conceptions plus récentes n'égalent pas celles de Wallace, passionné de la Renaissance. Ainsi, on ne retrouve pas les figures de femmes dans les suivantes, alors que, selon la conception de Wallace, elles font partie de la symbolique omniprésente dans l'art de la Renaissance, qui fait un parallèle entre l'eau et la femme, deux mères, tendres et sensuelles.

Les fontaines aujourd’hui

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Détail d'une fontaine Wallace grand modèle, à Paris.

En 1893, Paris compte 63 exemplaires de grandes fontaines Wallace, contre 106 en 2022 (et 8 contre 1 exemplaire mural aux mêmes dates). La municipalité continue à en installer jusqu'aux années 1960. Seule une dizaine sont d'origine, les autres ayant été réalisées pour remplacer d'anciennes fontaines dégradées, à raison d'une par an de nos jours. Au fil des réaménagements urbains, certaines ont pu être déplacées[2].

La plupart des fontaines encore présentes dans la ville fonctionnent toujours et distribuent, contrairement à ce que pensent de nombreux passants, de l'eau potable. Elles fonctionnent du 15 mars au 15 novembre, les risques de gel durant les mois d'hiver mettant en péril la plomberie interne. Elles sont régulièrement entretenues et repeintes tous les cinq ans[2].

Elles font partie intégrante du paysage parisien, typique et pittoresque, au même titre que la tour Eiffel[réf. souhaitée]. Au cinéma, un plan sur une fontaine Wallace permet d'indiquer clairement que l'action se déroule à Paris. Ce n'est pas un hasard si Jean-Pierre Jeunet, dans Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain, a baptisé un des personnages Madeleine Wallace : « Elle pleure comme une madeleine, ou comme une fontaine… Wallace ! ». Par ailleurs Georges Brassens, dans sa chanson Le Bistrot, envisage comme pensum de s'abreuver à « l'eau de toutes les fontaines Wallace ». Enfin, Louis Aragon les cite :

« Rien n'est plus à la même place
Et l'eau des fontaines Wallace pleure après le marchand d'oublies »

— Louis Aragon in Les Feux de Paris, poème mis en chanson par Jean Ferrat sur l'album Ferrat 95

Depuis plus d'un siècle qu'elles sont en place, ces fontaines n'ont quasiment jamais subi la critique. Cependant, de même que les non moins célèbres colonnes Morris, elles ne sont toujours pas inscrites aux monuments historiques, à l'exception des fontaines Wallace de la place Louis-Lépine depuis 1970[11].

Début 2011, trois nouvelles fontaines sont installées dans le 13e arrondissement à l'occasion des travaux de rénovation urbaine. Peintes de couleur vives lors de leur installation[12], elles devaient, à l'issue des travaux, être repeintes dans le vert usuel[13] ; en 2022, on en compte sept dans Paris habillées de couleurs clinquantes. Elles ont été très critiquées, si bien que l'adjointe à la maire de Paris chargée du patrimoine, Karen Taïeb, déclare que « le mouvement ne sera pas poursuivi »[2].

En 2015, à Souilly, la fontaine Wallace est volée le lendemain de sa remise en fonction après 8 mois de rénovation[14]. En 2019, les fontaines Wallace de Paris sont toujours fabriquées de manière artisanale par la société GHM[7], et la mairie dément l'information selon laquelle la ville s'apprête à remplacer les modèles historiques de fontaine par de nouveaux modèles plus design et fonctionnels[15].

Postérité

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Une des « fontaines de l'An 2000 » à Paris, près de Notre-Dame.

En 2000, la Société anonyme de gestion des eaux de Paris lance un concours pour la conception d'un nouveau type de « fontaine à boire », dans la lignée des fontaines Wallace. Le projet retenu est celui de la société Radi Designers. Trois fontaines, dans un premier temps (2000-2001), sont installées dans Paris, pour un budget d'environ 230 000 [16]. Une se trouve sur le parvis de Notre-Dame (au coin de la rue d’Arcole), une autre sur la place Saint-Michel, la troisième au centre de la place de la Garenne (dans le 14e arrondissement). Elles sont aussi appelées « fontaines de l'an 2000 », mais leur généralisation semble avoir été abandonnée.

Dans la culture populaire

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Notes et références

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  1. Jean-Marc Larbodière, Haussmann à Paris : Architecture et urbanisme, seconde moitié du XIXe siècle, Issy-les-Moulineaux, Massin, coll. « Les Essentiels du patrimoine », , 191 p. (ISBN 978-2-7072-0761-6), p. 290.
  2. a b c d e f g h i j k l m n o et p Claire Bommelaer, « Fontaines Wallace : les grandes eaux de Paris », Le Figaro, supplément Le Figaro et vous,‎ 26-27 février 2022, p. 31 (lire en ligne).
  3. Voir par ex. Catherine Duprat, Usage et pratiques de la philanthropie.
  4. Détail d'une photo de l'Agence Mondial, Paris 1932.
  5. Élie Frébault, « Les fontaines de sir Richard Wallace », L'Illustration, vol. LX, no 1538,‎ , p. 103–105 (lire en ligne).
  6. Voir la fiche technique.
  7. a et b « Les fontaines Wallace sont une des richesses patrimoniales de Paris », Paris.fr,‎ (lire en ligne)
  8. « Rafraîchir la ville »
  9. Réseau international de la fonte d'art, « Fontaines d'applique Wallace au Jardin Botanique de Rio de Janeiro », sur e-monumen.net
  10. « Fontaines à boire de la Ville de Paris », sur e-monumen.net
  11. « Fontaine Wallace (deux) », notice no PA00086269, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  12. Didier Rykner, « Mobilier urbain : les mensonges de la Mairie de Paris », sur La Tribune de l'Art, (consulté le )
  13. « De nouvelles fontaines Wallace dans le 13e ! »,
  14. Émilie Fierobe, « Meuse : la fontaine de 450 kg s’évapore après avoir été inaugurée », L'Est Républicain,‎ (lire en ligne)
  15. Mathilde Cousin, « Paris: Non, les fontaines Wallace ne vont pas être remplacées par un nouveau modèle », 20 Minutes,‎ (lire en ligne)
  16. « Conférence de presse du 14 avril 2000 », sur paris.fr, Mairie de Paris.
  17. (en) Ellie Bate, « 19 Secrets I Learned On Set Of The "Fantastic Beasts" Sequel », sur BuzzFeed, (consulté le ).

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Marie-Hélène Levadé (photogr. Hughes Marcouyeau), Les Fontaines de Paris : L'eau pour le plaisir, Paris et Bruxelles, Éditions Chapitre Douze, , 592 p. (ISBN 978-2-915345-05-6).
  • Roland Montebianco, Sir Richard Wallace : cet illustre inconnu, Paris, D. Carpentier, , 120 p. (ISBN 978-2-84167-488-6, OCLC 137220021).
  • Dominique Massounie (dir.), Pauline Prévost-Marcilhacy (dir.) et Daniel Rabreau (dir.), Paris et ses fontaines : De la Renaissance à nos jours, Paris, Délégation à l'action artistique de la ville de Paris, coll. « Paris et son patrimoine », , 318 p. (ISBN 2-905-118-80-6)

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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