Gambais
Gambais | |||||
La mairie. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Yvelines | ||||
Arrondissement | Rambouillet | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur d'Yvelines | ||||
Maire Mandat | Raphaël Nivoit 2020-2026 | ||||
Code postal | 78950 | ||||
Code commune | 78263 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gambaisiens | ||||
Population municipale | 2 451 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 106 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 46′ 26″ nord, 1° 40′ 26″ est | ||||
Altitude | Min. 94 m Max. 182 m | ||||
Superficie | 23,02 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aubergenville | ||||
Législatives | Neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Yvelines Géolocalisation sur la carte : Île-de-France | |||||
Liens | |||||
Site web | Gambais.fr | ||||
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Gambais est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France. Ses habitants sont appelés les Gambaisiens.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]La commune de Gambais est située à la lisière nord-ouest de la forêt de Rambouillet.
Elle se trouve, par la route, à environ 37 kilomètres à l'ouest de Versailles et 28 kilomètres au sud de Mantes-la-Jolie, le chef-lieu d'arrondissement. Houdan, chef-lieu de canton, est à 7 kilomètres au nord-ouest et Rambouillet à 21 kilomètres au sud-est.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est arrosée par la Vesgre, rivière qui prend sa source à Saint-Léger-en-Yvelines, dans la forêt de Rambouillet, et se jette dans l'Eure à Ivry-la-Bataille.
Hameaux de la commune
[modifier | modifier le code]- Le Boulay ;
- Mocsouris a la limite de Maulette ;
- Perdreauville ;
- Saint-Aignan où se trouve l'église ;
- Saint-Côme ;
- les Grésillons .
Communes voisines
[modifier | modifier le code]Les communes sont Millemont au nord-est, Grosrouvre à l'est, Gambaiseuil au sud-est, Bourdonné au sud, Maulette à l'ouest et Bazainville au nord.
Transports et voies de communications
[modifier | modifier le code]Réseau routier
[modifier | modifier le code]- La route nationale 12 borde le nord de la commune, menant vers l'est à l'autoroute A12 et vers l'ouest à Houdan et Dreux.
- La route départementale 983 traverse la commune : depuis le centre du bourg, elle mène, vers le nord-ouest, à Maulette et au-delà, vers le nord, à Mantes-la-Jolie et, vers le sud, à Bourdonné et au-delà, vers le sud-est, à Nogent-le-Roi en Eure-et-Loir.
- La route départementale 179 commence dans le bourg au droit de la RD 983 et rejoint la RN 12, vers le nord-est, avec le nom d’avenue de Neuville , une longue ligne droite bordée d’une voie douce pour piétons et cyclistes en face de l'entrée du château.
- La route départementale 112 traverse la commune, menant, vers le nord, à Bazainville et Richebourg, se confondant avec la RD 179 dans le centre du village et menant, vers le sud-est, à Gambaiseuil et Montfort-l'Amaury.
Desserte ferroviaire
[modifier | modifier le code]La gare SNCF la plus proche est la gare de Houdan à moins de sept kilomètres au nord-est.
Bus
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par les lignes 15, 16 et Express 60 du réseau de bus Centre et Sud Yvelines.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 645 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Léger-en-Yvelines à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 706,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Gambais est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 9,0 % | 205 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 38,0 % | 868 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 12,2 % | 279 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 1,1 % | 25 |
Forêts de feuillus | 29,0 % | 661 |
Forêts de conifères | 9,0 % | 204 |
Forêt et végétation arbustive en mutation | 1,8 % | 40 |
Source : Corine Land Cover[11] |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Gabesium[Quand ?][12], Gambesium in Pinssiacensi (Gambais en Pincerais) au XIe siècle[13],[12], Gambes au XIe siècle[14], Gaimbeis en 1179[15], Gambès au XIIIe siècle, Gambez en 1382, Gambeis[12].
Gambais est homonyme de Wambez (Oise) et Wambaix (Nord), forme picarde, on y reconnaît le germanique *Wan-baki « ruisseau épuisé, intermittent »[16].
Histoire
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Gambais se blasonnent ainsi : |
Historique
[modifier | modifier le code]Gambais est située dans la forêt Aequilina devenue Iveline, région boisée, parcourue par de nombreux cours d’eau.
La région fut habitée par les Carnutes, peuple gaulois. Il est pratiquement certain qu’un culte druidique était célébré dans la région, un dolmen est encore visible dans la forêt au lieu-dit les Bruyères.
Les Romains s'y sont établis ; il a été trouvé, dans les bois, des vestiges (débris de poterie, fibules, pièces de monnaie), attestant leur présence.
Le christianisme s’est établi à Gambais aux IVe, Ve et VIe siècles. La région fut évangélisée par saint Martin en 368 et saint Lubin en 556.
En 768, Pépin le Bref, roi des Francs, sur son lit de mort, donne à l’abbaye de Saint-Denis le district de la forêt des Yvelines.
Au Xe siècle, Robert le Pieux venait souvent chasser dans la forêt, redevenue terre royale.
Par donation royale, Gambais devint propriété des comtes de Montfort en 1123.
En 1283, à la suite du mariage de Yolande de Montfort avec Arthur II, duc de Bretagne, Gambais revient au duc de Bretagne. À cette époque, le château de Gambais n’était pas le château de Neuville, mais le château Trompette. Du Guesclin y séjourna plusieurs mois pour y organiser sa garnison.
Il fut incendié par les calvinistes pendant les guerres de Religion. Il est possible qu’au lieu-dit la citadelle, un autre château de même type ait été construit, faisant partie de la même ligne de défense.
Au XVIe siècle, Gambais redevient terre royale avec le comté de Montfort.
Le territoire communal fut la propriété du marquis de Labriffe après la Révolution française.
En 1915, Henri Désiré Landru y loua la Villa Tric[17], une bâtisse relativement isolée du bourg, située rue de l'Église, D 983, qui mène à Houdan. Il y assassina sept femmes seules qui furent les dernières de ses onze victimes, avant son arrestation survenue le . Par la suite, la demeure fut pillée par la foule, puis vendue à un restaurateur qui la rebaptisa Au Grillon du Foyer et aménagea une partie de la bâtisse en musée. Le restaurant ferma ses portes en 1940 et la maison fut ensuite revendue à des particuliers[18].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Instances administratives et judiciaires
[modifier | modifier le code]La commune de Gambais appartient au canton d'Aubergenville et est rattachée à la communauté de communes Cœur d'Yvelines.
Sur le plan électoral, la commune est rattachée à la neuvième circonscription des Yvelines, circonscription à dominante rurale du nord-ouest des Yvelines.
Sur le plan judiciaire, Gambais fait partie de la juridiction d’instance de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal de grande instance ainsi que de tribunal de commerce sis à Versailles[24],[25].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].
En 2021, la commune comptait 2 451 habitants[Note 2], en évolution de +0,82 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,8 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 246 hommes pour 1 233 femmes, soit un taux de 50,26 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,68 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Le village comporte une boulangerie-pâtisserie, un petit commerce (Petit Marché), un café (le Café du Chasteau), une fleuriste (Il était une fleur), deux agences immobilières, un restaurant, une école primaire, une poste, un antiquaire, un centre communautaire, un parc public.
Enseignement
[modifier | modifier le code]Le village comporte une école maternelle et primaire.
Sports
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Aignan : bâtiment du Xe siècle, à clocher en tour carrée rehaussée en 1621, à couverture en ardoise, inscrit à l'inventaire des monuments historiques en 1946.
- Le château de Neuville : il s'agit d'un château de style Henri III en brique et pierre, construit au XVIe siècle par Joachim de Bellengreville (Grand prévôt de France), et agrandi en 1750 par Agnès de Révol. Il fut vendu comme bien national sous la Révolution française puis racheté en 1795 par la famille de Labriffe qui en est toujours propriétaire. Restauré en 1966, il a été classé monument historique en 1972. Dans le domaine constitué par un parc boisé de 110 hectares, une ferme en quadrilatère date du XVIIe siècle. Le château a servi de décor au tournage du film Peau d'Âne de Jacques Demy en 1970, pour une partie des scènes, en particulier en forêt[32],[33], ainsi qu'à d'autres films.
Activités festives
[modifier | modifier le code]Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Le chanteur français François Feldman y possédait une maison de campagne revendue lors de son départ dans le Sud.
- Les peintres Robert Delaunay et son épouse Sonia y possèdent une ferme à partir de 1938 et sont enterrés dans le cimetière de Gambais[34].
- Pierre de Labriffe (propriétaire du château) est le grand-père d’Hortense de Labriffe, née en 1968, mariée entre 1997 et 2010 avec Arnaud Montebourg.
- Le tueur en série Henri Désiré Landru y séjourna et y perpétra la plupart de ses crimes.
- L'actrice Françoise Rosay et son mari le cinéaste Jacques Feyder y possédèrent une résidence secondaire.
- L'acteur Vincent Perez y résidait.
- La cavalière Eugénie Angot y réside.
- La danseuse et comédienne Liliane Montevecchi repose au cimetière de Gambais depuis 2018.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Victor R. Belot (préf. Paul-Louis Tenaillon, président du conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des sciences morales, des lettres et des arts de Versailles), Coutumes et folklores en Yvelines, Librairie Guénégaud, .
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Gambais sur le site de l'INSEE
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Gambais et Saint-Léger-en-Yvelines », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Leger_sapc » (commune de Saint-Léger-en-Yvelines) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Saint-Leger_sapc » (commune de Saint-Léger-en-Yvelines) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Gambais ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Dans le doyenné de Poissy.
- Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du Conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des sciences morales, des lettres et des arts de Versailles et d'Île-de-France, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), p. 242.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 309b.
- Marianne Mulon, Noms de lieux d’Île-de-France, Bonneton, Paris, 1997 (ISBN 2862532207).
- Localisation : 48° 46′ 34″ N, 1° 40′ 01″ E)
- « Que deviennent ces "maisons de l'horreur" ? », Lavieimmo.com.
- « Louis Vassout est effectivement devenu maire de Gambais pendant 36 ans de 1953 à 1989. » [1]
- Marie Vermeersch, « Yvelines. Le maire sortant de Gambais passe la main à son deuxième adjoint », sur 78actu, .
- « Gambais », Union des maires des Yvelines (consulté le ).
- « Résultats municipales 2020 à Gambais », sur lemonde.fr (consulté le ).
- Extrait de la fiche de M. Raphaël NIVOIT, sur lesbiographies.com
- « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
- « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Gambais (78263) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
- Marie Vermeersch, « GambaisSur les traces de Peau d’Âne », Les Nouvelles, (lire en ligne).
- « Peau d’âne (1970) de Jacques Demy », sur le site du journal Le Monde.
- Lampe A, biographie dans Robert Delaunay, rythme sans fin, éditions du Centre Pompidou