L'Haÿ-les-Roses

L'Haÿ-les-Roses
L'Haÿ-les-Roses
L'Hôtel-de-Ville.
Blason de L'Haÿ-les-Roses
Blason
L'Haÿ-les-Roses
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-de-Marne
(sous-préfecture)
Arrondissement L'Haÿ-les-Roses
(chef-lieu)
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Grand-Orly Seine Bièvre
Maire
Mandat
Clément Decrouy
2024-2026
Code postal 94240
Code commune 94038
Démographie
Gentilé L'Haÿssien
Population
municipale
31 392 hab. (2021 en évolution de +2,13 % par rapport à 2015)
Densité 8 049 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 46′ 45″ nord, 2° 20′ 14″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 109 m
Superficie 3,90 km2
Type Grand centre urbain
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de L'Haÿ-les-Roses
(bureau centralisateur)
Législatives 7e circonscription du Val-de-Marne
Localisation
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L'Haÿ-les-Roses
Liens
Site web https://www.lhaylesroses.fr/

L'Haÿ-les-Roses (/laj lɛ ʁoz/[Note 1]) est une commune située dans la région Île-de-France, en France,

Devenue sous-préfecture en 1972, la ville est ainsi un chef-lieu d'arrondissement du Val-de-Marne.

L'Haÿ-les-Roses est l'une des quatre communes françaises comportant un y tréma dans leur nom (avec Moÿ-de-l'Aisne, Faÿ-lès-Nemours et Aÿ-Champagne).

Géographie

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Localisation

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Localisation de L'Haÿ-les-Roses dans le Val-de-Marne.

L'Haÿ-les-Roses est une ville de la banlieue sud de Paris située dans l'ouest du département du Val-de-Marne.

Elle se trouve dans l'aire d'attraction de Paris, ainsi que dans son unité urbaine, dans sa zone d'emploi et dans son bassin de vie[I 1]

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Antony, Bourg-la-Reine, Cachan, Villejuif, Chevilly-Larue et Fresnes.

Géologie et relief

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L'Haÿ-les-Roses est située dans le bassin parisien, pour moitié dans la vallée de la Bièvre et pour moitié sur le plateau de Longboyau.

Elle se situe au-dessus de deux importants aquifères :

  • les sables de l'Albien qui, vers 600 m de profondeur, contiennent une eau légèrement ferrugineuse à une température d’environ 28 °C ;
  • un aquifère profond, dans le Dogger (vers 2 000 m de profondeur), présente une eau très chargée en sels et à une température de 70 °C.

Hydrographie

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Carte hydrographique de la commune.

L'Haÿ-les-Roses est parcourue par la Bièvre qui avait été recouverte au début des années 1950 dans sa partie nord à partir de Fresnes et dès 1910, en aval de l'ancien moulin jusqu'à Cachan. En 2019, la rivière est encore enterrée sur une longueur d’une centaine de mètres au nord du « parc des prés de la Bièvre », sous les jardins de pavillons privés puis sous l’avenue Victor Hugo. En revanche, elle a été remise au jour en 2016 sur 600 m dans le parc « La Fontaine », le long de l’avenue Flouquet.

En aval du parc La Fontaine, dans le « parc de la Bièvre », le bras vif, bief artificiel qui alimentait un moulin, est encore enterré en 2019. Son parcours est cependant matérialisé par un dallage jusqu’à l’avenue Larroumès à côté de l’ancien moulin, actuellement centre municipal d’accueil. À l’emplacement de ce parc, un bras mort à l’ouest se séparait du bras vif.

La Bièvre, enterrée depuis 1910 le long de l’avenue Henri-Barbusse, recevait sur sa rive gauche, à l’angle de la rue de la Cosarde, un petit affluent : le ru de Blagis ou ruisseau de la Fontaine du Moulin, qui prenait sa source au Plessis-Robinson[2].

L'acqueduc du Loing traverse également Paris pour alimenter Paris en eau potable.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 642 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Choisy-le-Roi à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 607,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records CHOISY-LE-ROI (94) - alt : 34m, lat : 48°45'35"N, lon : 2°25'04"E
Records établis sur la période du 01-01-1988 au 31-12-2021
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,8 2,7 4,8 7,3 10,7 13,9 15,8 15,6 12,5 9,2 5,6 3,3 8,7
Température moyenne (°C) 5,3 5,8 8,8 12,1 15,6 18,9 21 20,9 17,2 12,9 8,4 5,7 12,7
Température maximale moyenne (°C) 7,7 8,9 12,8 16,9 20,5 23,8 26,2 26,2 21,9 16,6 11,1 8,1 16,7
Record de froid (°C)
date du record
−11,5
01.01.1997
−9,5
07.02.1991
−7
02.03.05
−1
14.04.19
1
07.05.1997
6
07.06.05
8
11.07.1993
7,5
28.08.1998
4
30.09.1995
−1
24.10.03
−7
24.11.1998
−8
31.12.1996
−11,5
1997
Record de chaleur (°C)
date du record
16
12.01.04
21,2
27.02.19
26,2
31.03.21
29,6
18.04.18
33,3
27.05.05
37,5
27.06.11
41,7
25.07.19
40,5
12.08.03
35,3
14.09.20
28,9
03.10.11
21
08.11.15
17
16.12.1989
41,7
2019
Précipitations (mm) 49,5 43,3 43,3 44,7 58,6 54,5 53 52,5 43,2 51,6 52,7 60,3 607,2
Source : « Fiche 94022001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité

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  • Les espaces verts représentent environ quarante hectares de la ville[9].

Au , L'Haÿ-les-Roses est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10].

Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[11],[I 1].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 4],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[12],[13].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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L'Haÿ-les-Roses est constituée de six quartiers : Blondeaux, Centre, Jardin parisien, Lallier, Vallée-aux-renards, Petit Robinson.

Habitat et logement

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En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 14 082, alors qu'il était de 13 462 en 2016 et de 13 100 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 91,7 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 6,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 25,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 71,7 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à l'L'Haÿ-les-Roses en 2021 en comparaison avec celle du Val-de-Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (1,4 %) par rapport au département (2 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à l'L'Haÿ-les-Roses en 2021.
Typologie L'Haÿ-les-Roses[I 3] Val-de-Marne[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 91,7 92,1 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,4 2 9,7
Logements vacants (en %) 6,9 5,8 8,1

La commune respecte les obligations qui lui sont faites par l'article 55 de la loi SRU de disposer d'au moins 25 % de son parc de résidences principales constituées de logements sociaux[14]

Voies de communication et transports

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Voies routières

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À une distance de l’ordre de 5 km du sud de Paris, la commune est desservie à l’ouest par l’ancienne nationale 20 depuis la porte d’Orléans, devenue départementale 920, à l’est par l’autoroute A6 : branche A6a depuis la porte d’Orléans, branche A6b depuis la porte d’Italie.

Transports en commun

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La ligne 14 du métro de Paris à la station L'Haÿ-les-Roses.

La ville de L’Haÿ-les-Roses est traversée :

Panneau d'entrée.

Le toponyme vient d'un nom de domaine gallo-roman Laiacum (795), Lagiacum (829) « domaine de Laius »[15], qui évolue régulièrement en Lay /laj/ puis est écrit L'Haÿ avec déglutination d'un article inexactement supposé.

C'est en 1914 que L'Haÿ obtient de devenir « L'Haÿ-les-Roses », honorant ainsi la notoriété de sa roseraie créée par Jules Gravereaux entre 1892 et 1894. Après vote du conseil municipal en date du (qui dénonce une homophonie avec la commune de Lagny, distante d'une cinquantaine de kilomètres, qui deviendra Lagny-sur-Marne en 1971), un décret présidentiel est signé le . Le président Raymond Poincaré et Jules Gravereaux étaient amis, ce qui fait qu'on ne sait pas qui du maire, du rhodologue ou du président a eu l'initiative de ce changement de nom, qui intervient pour le vingtième anniversaire de la roseraie. Le délai entre la décision du conseil municipal et le décret peut être expliqué par le fait que les rosiers florissant en mai, l'événement aurait été organisé début mai[16].

Une centrale photovoltaïque de 11 800 m2 est installée en 2017 sur le réservoir de l'usine de production d'eau potable d’Eau de Paris. C’est alors la plus grande centrale photovoltaïque d’Île-de-France, capable d'alimenter 500 logements par an[17].

Depuis 1985, L’Haÿ-les-Roses, Chevilly-Larue et Villejuif (Val-de-Marne) sont regroupés dans le plus grand réseau de chaleur géothermique d'Europe (en 2015) qui dessert environ 45 000 habitants (19 200 équivalents-logements). Des visites sont organisées pour les particuliers et les groupes. L'eau est puisée dans un aquifère profond, le Dogger (−2 000 m, 70 °C), bien en dessous de l'aquifère des puits artésiens de Paris (- 600 m, 30 °C) du XIXe siècle.

Le plus ancien document concernant les terres de Laiacum est une charte de Charlemagne datée de 798 et affirmant les droits de l’Église de Paris sur ce lieu. La légende ecclésiastique locale affirme que ces droits remonteraient à Clovis Ier, roi des Francs converti au christianisme après la fin de l’Empire romain d'Occident. Clovis aurait distribué une partie importante des terres de l’actuelle banlieue parisienne, dont le domaine de Laiacum, à l’Église de Paris.

Sous Inchadus (810-831), successeur d'Erchanrade Ier, a lieu le le huitième concile de Paris où il est décidé que Lay dépendrait de Saint-Germain-des-Prés.

L’expansion en France du domaine royal au détriment des pouvoirs nobiliaires et ecclésiastiques empêche ceux-ci de constituer des États comme dans le « Saint-Empire » germanique et, au XIIe siècle, Lay passe du domaine de l’Église à celui du Roi. Au cours des siècles, le petit village de Lay se développe à partir de la rue des Tournelles, la plus ancienne de la commune. Les rois de France y font parfois escale lors de leurs fréquents voyages entre Paris et Orléans (leur nuitées étant à Dourdan et Étampes).

Temps moderne

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L'édit du réunit en une seule municipalité les paroisses de Chevilly et Lay[réf. nécessaire].

Révolution française et Empire

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Le , un cahier de doléances commun est rédigé pour les deux paroisses. Si la loi du crée les communes, ce n’est que le que les deux anciennes paroisses sont érigées en communes distinctes.

Époque contemporaine

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Mémorial de la bataille de l'Haÿ-les-Roses.

Durant le siège de Paris de la guerre franco-allemande de 1870 et plus particulièrement le , l'Haÿ est l'enjeu d'un combat de diversion dans le cadre de la Bataille de Champigny.

Le , Nestor Makhno réunit un congrès international anarchiste dans la ville. L'ensemble des participants sera arrêté par la police[18].

La commune participe à l'essor industriel de la région parisienne en développant de petites fabriques liées à la nature argileuse de son sol : plâtrières, carrières et briquèteries qui employèrent plusieurs centaines de personnes jusque dans les années 1950. Durant les « Trente Glorieuses », elle voit s'élever, notamment sur le plateau du Longboyau, des cités ouvrières dévolues principalement aux employés des PTT, comme dans la commune voisine de Chevilly.[réf. nécessaire]

Mémorial aux victimes de l'incendie du .

En 2005, la commune est le théâtre de l'incendie criminel d'une tour HLM, qui fait 18 morts dans la nuit du 3 au [19].

Le , la commune attire l'attention des médias français et internationaux (jusqu'en Nouvelle-Zélande[20]) lors des émeutes consécutives à la mort de Nahel Merzouk avec l'attaque du domicile du maire Vincent Jeanbrun[21].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La sous-préfecture.

Antérieurement à la loi du [22], la commune faisait partie du département de la Seine. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-de-Marne et, depuis 1972, à son arrondissement de L'Haÿ-les-Roses, dont elle est le chef-lieu, après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie de 1801 à 1967 du canton de Villejuif. Lors de la mise en place, elle devient en 1967 le chef-lieu du canton de L'Haÿ-les-Roses[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur d'un nouveau canton de L'Haÿ-les-Roses[I 1] porte d'une à deux communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la septième circonscription du Val-de-Marne.

Intercommunalité

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La commune était membre de la communauté d'agglomération de Val de Bièvre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 20001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune a été intégrée[24].

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (loi NOTRe) prévoit également la création le d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale et exerçant également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées.

La commune fait donc également partie depuis le de l'établissement public territorial Grand-Orly Seine Bièvre, créé par décret du [25], qui succède à l'ex-communauté d'agglomération de Val de Bièvre.

Tendances politiques et résultats

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Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans le Val-de-Marne, la liste UMP-UDI menée par Vincent Jeanbrun obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 5 558 voix (54,08 %, 30 conseillers municipaux élus dont 8 communautaires), devançant de 838 voix celle PS-PCF-EELV menée par le maire sortant Pierre Coilbault qui a recueilli 4 720 voix (45,92 %, 9 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires).
Lors de ce scrutin, 45,15 % des électeurs se sont abstenus[26].

Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Val-de-Marne, la liste SL-UDI menée par le maire sortant Vincent Jeanbrun obtient la majorité absolue des suffrages exprimés avec 3 948 voix (54,26 %, 30 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), devançant très largement les listes menées respectivement par[27] :
- Sophian Moualhi (DVG-PS-EÉLV-PCF-G.s, 2 223 voix, 30,55 %, 6 conseillers municipaux élus) ;
- Olivier Lafaye (LREM-MoDem-MR-GE-MDP, 1 104 voix, 15,17 %, 3 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 60,04 % des électeurs se sont abstenus.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800 1815 Jean Boudet    
1815 1816 Jacques François Claude Guignard    
1816 1821 Charlemagne René Victor
Despreaux (de) Saint Sauveur
   
1821 1829 Henri Frédéric Muller    
1829 1851 Pierre Bronzac[Note 5]    
1851 1864 Michel-Eugène Chevreul   Chimiste, directeur de la manufacture des Gobelins
1864 1865 Jean-Baptiste Flouquet    
1865 1876 Norbert Irénée Hache    
1876 1888 Eugène Savornin    
1888 1896 Nicolas Louis Barrué    
1896 1899 Léon Rameau    
1899 1900 Paul André Le Père    
1900 1925 Frédéric Marie Bernhard    
1925 1927 Albert Henri Parienty    
1927 1935 Louis Pasquier SFIO puis PRS  
1935 1939 Raymond Baudin PCF  
1939 1940 Joseph Ismaël Boisseau    
1940 1944 Gilbert Mathé    
1944 1945 Roger Jean Couvidou    
mai 1945 1947 Raymond Baudin PCF  
1947 1952 Fernand André Alexis Chapotot    
1952 1953 Jules Nouel    
1953 1954 Raymond Baudin PCF Conseiller général de la Seine (1953 → 1955)
1954 mars 1965 Jean-Marie Ducrot SFIO  
mars 1965 12 juin 1989[28] Pierre Tabanou SFIOPS Député du Val de Marne (2e puis 12e circ.) (1981 → 1986 et 1988 → 1999)
Conseiller général de L'Haÿ-les-Roses (1967 → 1982)
Décédé en fonction
juillet 1989[28] septembre 1992 Marc Méchain[29] PS Enseignant
Conseiller général de L'Haÿ-les-Roses (1982 → 1994)
Démissionnaire
septembre 1992 octobre 2012[30],[31] Patrick Sève PS Député du Val-de-Marne (12e circ.) (1989 → 1993 et 1997 → 2002)
Conseiller général de L'Haÿ-les-Roses (1994 → 1997)
Vice-Président du Conseil Général (1994 → 1997)
Démissionnaire[32]
octobre 2012 mars 2014 Pierre Coilbault PS Conseiller général de L'Haÿ-les-Roses (2008 → 2015)
Vice-président du conseil général[Quand ?]
mars 2014[33],[34] octobre 2024[35] Vincent Jeanbrun LR et SL[36] Assistant parlementaire
Conseiller régional (2015 →)
Conseiller départemental de L'Haÿ-les-Roses (2015 → 2016[37])
Député du Val-de-Marne (7e circ) (2024 → )
Démissionnaire après son élection comme député
octobre 2024 [38] En cours Clément Decrouy LR et SL Chef d'entreprise

Équipements et services publics

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Enseignement

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Il y a plusieurs écoles à L'Haÿ-les-Roses, correspondant chacune à un nom de quartier : l'école du Centre, l'école des Blondeaux, l'école de la Vallée-aux-Renards, Lallier, le Jardin Parisien (communément appelé JP). Chaque école est séparée en deux parties (A et B).

L'Haÿ-les-Roses possède deux collèges : le collège Pierre-de-Ronsard dont dépendent les habitants du Petit-Robinson, de la Vallée-aux-Renards, des Blondeaux et d'une partie du Centre, et le collège Eugène-Chevreul, dont dépendent les habitants de Lallier, du Jardin Parisien et d'une autre partie du Centre.

L'Haÿ-les-Roses ne possède pas de lycée mais les élèves de la ville sont répartis sur les lycées de secteur suivants : lycée polyvalent Pauline-Roland à Chevilly-Larue ; lycée Frédéric-Mistral à Fresnes, lycée de Cachan (anciennement Maximilien-Sorre) à Cachan.


Équipements culturels

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L'Haÿ-les-Roses possède un auditorium appelé « Espace Dispan De Floran », différentes salles d'activités comme au Moulin de la Bièvre.

L'Haÿ-les-Roses dispose également d'un cinéma appelé "La Tournelle", salle mono-écran possédant les labels "art et essai" et "jeune public". *

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[39],[Note 6].

En 2021, la commune comptait 31 392 habitants[Note 7], en évolution de +2,13 % par rapport à 2015 (Val-de-Marne : +3,13 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
331331336357360407416477481
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
526585645607671609661760816
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0111 1411 3152 2024 0946 3697 7078 01610 278
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
17 96824 35231 41229 56829 74629 66030 42830 57431 189
2021 - - - - - - - -
31 392--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique
L'église Saint-Léonard.

Revenus de la population et fiscalité

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En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 35 459 euros, ce qui plaçait L'Haÿ-les-Roses au 6 053e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[43].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le dôme de la roseraie du Val-de-Marne.
La rose Barbara officiellement présentée à L'Haÿ-les-Roses en 2004.


Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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Blason de l'Haÿ-les-Roses

Les armes de l'Haÿ-les-Roses se blasonnent ainsi :

D'or aux huit roses de gueules mis en orle et boutonnées d'argent[47].

La devise de L'Haÿ-les-Roses est « In Pace Bellisque Resplendei »[48], c’est-à-dire « Se distingue dans la paix comme dans la guerre ».

Elle synthétise l'histoire communale : la guerre de 1870 et le renom fourni par la Roseraie.

Bibliographie

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Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Prononciation en français standard retranscrite phonémiquement selon la norme API.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Pierre Bronzac (né en 1787) a fait édifier la fontaine Bronzac, située dans le centre-ville, afin que les L'Haÿssiens disposent d'un point d'eau facilement accessible.
  6. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  2. La Bièvre Tome II La banlieue de Paris, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, , 128 p. (ISBN 2-84253-946-X), p. 47.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre L'Haÿ-les-Roses et Choisy-le-Roi », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Choisy-le-Roi » (commune de Choisy-le-Roi) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Choisy-le-Roi » (commune de Choisy-le-Roi) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. Voir sur ville-lhay94.fr.
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « L'Haÿ-les-Roses », Simulateur Solidarité et renouvellement urbain (SRU), Ministère de la Transition écologique et de la cohésion sociale, (consulté le ).
  15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, , 2e éd. (1re éd. 1963).
  16. L’Haÿ-les-Roses – une appellation centenaire, Les Gravereaux, site de la famille de Jules Gravereaux
  17. Anne-Laure Abraham, « L’Haÿ : c’est la plus grande centrale photovoltaïque d’Ile-de-France : 11 800 m² de panneaux photovoltaïques ont été inaugurés sur le toit de l’usine d’Eau de Paris à L’Haÿ-les-Roses en présence d’Anne Hidalgo, maire de Paris », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. « Ephéméride Anarchiste -  ».
  19. « Incendie de l'Haÿ-les-Roses: de 4 à 8 ans ferme requis »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Libération.fr (consulté le ).
  20. (en) Cara Anna, Nicolas Garriga et Angela Charlton, « French riots: Rioters target mayor’s home, signs of subsiding violence after fifth night of unrest », The New Zealand Herald,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. https://www.lefigaro.fr/politique/emeutes-apres-la-mort-de-nahel-le-domicile-du-maire-de-l-hay-les-roses-vise-par-une-voiture-en-feu-sa-femme-hospitalisee-20230702
  22. « Loi no 64-707 du portant réorganisation de la région parisienne », JORF, no 162, , p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Décret no 2015-1212 du constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance.
  25. Décret no 2015-1665 du relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Vitry-sur-Seine.
  26. Résultats officiels pour la commune L'Hay-les-Roses
  27. « Elections municipales 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  28. a et b « M. Marc Méchain (PS), nouveau maire de L'Hay-les-Roses (Val-de-Marne). », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  29. Marie-Charlotte Dutheil, Quentin Laurent, « Ex-maire et père des centres de loisirs, Marc Méchain est décédé », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Le maire passe la main après vingt ans de mandat », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Anne-Laure Abraham, « Municipales à l'Haÿ : Coilbault veut faire oublier Sève », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « En 2011, Patrick Sève (PS), maire depuis dix-huit ans et figure départementale du PS, est mis en examen pour délit de favoritisme dans une affaire de marchés publics, ce qui le conduit à démissionner et à passer le relais à son premier adjoint, Pierre Coilbault (PS), en octobre 2012 ».
  32. Anne-Laure Abraham, « L’Haÿ-les-Roses : deux ans de prison avec sursis requis contre Patrick Sève : L’ancien maire PS de l’Haÿ-les-Roses, jugé depuis lundi aux côtés de neuf autres prévenus, a nié « totalement » tout favoritisme dans l’affaire de marchés publics qui l’a contraint à la démission en 2012. », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. Anne-Laure Abraham, « À L'Haÿ, Vincent Jeanbrun (UMP) sera le plus jeune maire du département », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. C. Dubois, « Vincent Jeanbrun prend L’Haÿ-les-Roses : A L’Haÿ-les-Roses, le duel se jouait dès le premier tour entre le maire sortant PS Pierre Coilbault et Vincent Jeanbrun, secrétaire national de l’UMP. Ce dernier remporte une nette victoire avec 54,08% des voix. », 94.Citoyens.com,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. Fanny Delporte, « J’ai tenu la promesse que je m’étais faite enfant » : Vincent Jeanbrun passe la main à L’Haÿ-les-Roses », Le Parisien,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Vincent Jeanbrun n’avait pas 30 ans lorsqu’il a ravi cette ville à la gauche, en 2014. Ce vendredi soir, le nouveau député de la 7e circonscription du Val-de-Marne cédera son fauteuil de maire à l’occasion du conseil municipal extraordinaire qui doit désigner son successeur ».
  36. [1]
  37. « L'Haÿ : après les régionales, Jeanbrun (LR) quittera le conseil départemental », Le Parisien,‎ (lire en ligne).
  38. Fanny Delporte, « L’Haÿ-les-Roses : Clément Decrouy succède à Vincent Jeanbrun à la mairie », Le Parisien,‎ (lire en ligne) « Jusqu’ici adjoint au maire, Clément Decrouy (DVD), 41 ans, s’est engagé politiquement en 2014 après avoir rencontré Vincent Jeanbrun. Élu député LR de la 7e circonscription du Val-de-Marne début juillet, ce dernier lui a transmis son écharpe vendredi soir lors d’un conseil municipal extraordinaire. Seul l’opposant DVG Sophian Moualhi s’était présenté face à lui »
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. Église Saint-Léonard.
  42. L’Haÿ : l’église sera détruite et laissera place à la future gare du Grand Paris.
  43. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  44. Par Le 5 juin 2004 à 00h00, « Des chemins de roses à L'Haÿ », sur leparisien.fr, (consulté le )
  45. L'arbre de Judée de L'Haÿ-les-Roses sur le krapo arboricole.
  46. [PDF] https://www.lhaylesroses.fr/images/LEMAG/LHAY_MAG_260.pdf.
  47. Banque du Blason.
  48. « Histoire et Patrimoine », Ville de L'Haÿ-les-Roses,‎ (lire en ligne, consulté le ).