Johan Petro

Johan Petro
Image illustrative de l’article Johan Petro
Johan Petro en 2009
Fiche d’identité
Nationalité Drapeau de la France France
Drapeau de la République dominicaine République dominicaine
Naissance (38 ans)
Paris, France
Taille 2,13 m (7 0)
Poids 112 kg (246 lb)
Situation en club
Poste Pivot
Carrière universitaire ou amateur
2002-2003 Centre fédéral
Draft de la NBA
Année 2005
Position 25e
Franchise SuperSonics de Seattle
Carrière professionnelle *
SaisonClubMoy. pts
2003-2004
2004-2005
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009
2009-2010
2010-2011
2011-2012
2012-2013
2013
2014
2015
2016
2016
2017
Pau-Orthez
Pau-Orthez
SuperSonics de Seattle
SuperSonics de Seattle
SuperSonics de Seattle
Thunder d'Oklahoma City
Nuggets de Denver
Nuggets de Denver
Nets du New Jersey
Nets du New Jersey
Hawks d'Atlanta
Zhejiang Guangsha Lions
Limoges
Mets de Guaynabo
Leones de Ponce
Cangrejeros de Santurce
Skyforce de Sioux Falls
02,9
06,1
05,2
06,2
06,0
04,6
02,2
03,4
03,5
04,2
03,5
14,4
06,9
09,4
06,9
07,4
01,0
Sélection en équipe nationale **
2006-2013 France (45 sél.)209

* Points marqués dans chaque club dans le cadre de la saison régulière du championnat national.
** Points marqués pour l’équipe nationale en match officiel.

Johan Petro, né le à Paris, est un joueur international français naturalisé dominicain de basket-ball. Il mesure 2,13 mètres pour 112 kg. Il remporte le Championnat d'Europe 2013 avec l'équipe de France.

Jeunesse et débuts en Guadeloupe

[modifier | modifier le code]

Né le à Paris où vit sa famille, Johan Petro quitte la métropole pour aller à l'école à Saint-Martin à la suite de la mutation de son père qui travaille chez EDF. Il reste scolarisé à Marigot pendant trois ans jusqu'à une nouvelle mutation de son père en Guadeloupe. Johan et sa famille partent alors vivre à Pointe-à-Pitre où ses parents décident de l'inscrire au Baie-Mahault Basket-ball Club (BMBC).

Trois mois plus tard, il part avec le BMBC et la ligue de basket-ball de Guadeloupe en stage à Pacé. Des dirigeants de clubs présents remarquent ce jeune de 13 ans et demi et il est admis au Centre fédéral où il est suivi par Patrick Cham. Petro dispute en 2002-2003 le championnat de Nationale 1. Il finit meilleur rebondeur et MVP du championnat, tournant à 11,6 points et 6,1 rebonds de moyenne. Il rejoint ensuite Pau-Orthez en Pro A[1].

Carrière professionnelle en club

[modifier | modifier le code]

Débuts à Pau

[modifier | modifier le code]

L'année 2004 est une période faste pour Petro. Il remporte ainsi le Trophée du Futur avec l'équipe Espoirs, ainsi que le titre de champion de France en Pro A, malgré un faible temps de jeu octroyé par Didier Gadou[2]. Il participe aussi au podium de l'équipe de France Juniors au championnat d'Europe à Saragosse.

Carrière NBA

[modifier | modifier le code]

SuperSonics de Seattle (2005-2008)

[modifier | modifier le code]

En 2005, les SuperSonics de Seattle le choisissent au 25e rang de la Draft de la NBA. Petro décline sa sélection en équipe de France pour le championnat d'Europe 2005, son nouveau club souhaitant le voir préparer sa saison de rookie sur place.

À la surprise de tous, Petro est intégré dans le cinq majeur des Sonics dès le début de la saison, où il est apprécié pour son habilité à être intimidant en défense dans le secteur intérieur. Mais son temps de jeu est grandement limité car Petro commet trop rapidement de nombreuses fautes dans les rencontres. En cours de saison, les Sonics remplacent leur entraîneur Bob Weiss par Bob Hill, qui donne plus de temps de jeu aux jeunes joueurs. Mais Petro ne retrouve pas pour autant sa place dans le cinq majeur car il est doublé par son coéquipier Robert Swift, qui est comme lui un jeune pivot prometteur.

Le , lors de la victoire des Sonics 122 à 83 contre les Trail Blazers de Portland, il se casse le nez après un choc avec Joel Przybilla[3].

En , les Sonics prolongent le contrat de Petro d'un an, ce qui le lie à la franchise jusqu'en 2008[4].

Thunder d'Oklahoma City (2008-Jan.2009)

[modifier | modifier le code]

Après avoir fait une bonne pré-saison avec le Thunder d'Oklahoma City où il finit meilleur marqueur de son équipe, il est gêné en début de saison par un entraîneur adjoint (Scott) qui a des griefs contre lui. Petro, soutenu par son entraîneur, continue de jouer tout en restant dans le cinq. Mais son temps de jeu ne cesse de se réduire. L'entraîneur est limogé et remplacé par son adjoint et Johan Petro, pensant ne plus pouvoir trouver de temps de jeu, demande son transfert[réf. nécessaire].

Nuggets de Denver (Jan.2009-2010)

[modifier | modifier le code]

Il est échangé le contre le meneur Chucky Atkins et connaît ainsi sa deuxième équipe en NBA, les Nuggets de Denver[5]. Avec cette équipe, il présente des statistiques de 2,2 points et 2,3 rebonds en vingt-sept rencontres, dont dix débutées dans le cinq majeur[6]. Il dispute ses premières rencontres de playoffs, dix rencontres pour un temps moyen de 2 minutes 6 et des statistiques de 0,9 point et 0,6 rebond. la franchise termine sa saison en finale de conférence face aux Lakers de Los Angeles.

Son avenir dans la ligue, qui est en suspens puisqu'il arrive à la fin de son contrat rookie en 2009, est prolongé en août lorsqu'il il signe un nouveau contrat avec les Nuggets de Denver[7]. Ils participent aux playoffs 2010 mais sont éliminés au 1er tour contre le Jazz de l'Utah[8].

Nets du Jersey (2010-2012)

[modifier | modifier le code]

En , il signe un contrat qui porte sur trois ans et dix millions de dollars avec les Nets du New Jersey[9],[10] et est très enthousiaste à l'idée de jouer pour les Nets[11]. En ce début de saison, il est la doublure de Brook Lopez, le pivot titulaire. Il sera ensuite utilisé comme ailier fort[12]. Après 20 matches joués, il tourne en moyenne à 2,9 pts à 50 % de réussite au tir pour une dizaine de minutes jouées par match[13].

Le , lors du match des Nets contre les Raptors de Toronto, Johan Petro inscrit le dernier point de l'histoire des New Jersey Nets, qui prendront lors de la saison NBA 2012-2013 le nom de « Nets de Brooklyn »[14].

Hawks d'Atlanta (2012-2013)

[modifier | modifier le code]

Le , il est transféré aux Hawks d'Atlanta avec Jordan Farmar, Jordan Williams, Anthony Morrow et DeShawn Stevenson contre Joe Johnson[15],[16]. Lors de la pré-saison, il reconnaît avoir des difficultés à s'adapter à sa nouvelle équipe[17]. Toutefois, à l'approche du terme de la saison régulière et du début des playoffs, il profite des blessures de Zaza Pachulia et Al Horford pour se montrer[18]. Les Hawks s'inclineront au 1er tour, 4 matches à 2, contre les Pacers de l'Indiana.

Six matches en Chine (2013)

[modifier | modifier le code]

En , Petro signe un contrat avec les Zhejiang Guangsha Lions, un club qui évolue en championnat de Chine[19]. En décembre de la même année, ce club met un terme à ce contrat : les statistiques de Petro sont alors de 13,5 points à 43 %, 9,8 rebonds et 1,2 contre en six matches disputés[20] mais il ne trouve un accord pour partir qu'en [21]. Le club chinois attendait de Petro des moyennes de 20 points et 15 rebonds par match qu'il n'a jamais su tenir à cause notamment de douleurs au dos[22].

Retour en France à Limoges (2014)

[modifier | modifier le code]

Désireux de revenir en France[23], il s'engage avec le CSP Limoges le [24]. Pour son premier match, il inscrit 6 points, prend 6 rebonds et contre un ballon en 10 minutes lors de la défaite en prolongation de son équipe 91 à 98 en quart de finale de la Leaders Cup[25].

Fin février, le CSP retrouve Pau pour un remake des anciennes grandes confrontations passées. Petro, pour son premier match à domicile, se distingue surtout en marge de la rencontre. En effet, un an avant, son ancien coéquipier à Pau justement (2004-2005), Thierry Rupert, meurt. Le néo-limougeaud décide, en souvenir de Rupert, de verser 200  pour chaque panier à trois points inscrit par son équipe à la fondation Elham Rupert[26].

Avec des problèmes au dos, Johan Petro livre des prestations décevantes et parait trop nonchalant sur le terrain ne levant jamais les bras en défense. Il perd progressivement du temps de jeux au profit de Fréjus Zerbo et joue quelques minutes lors des finales de Pro A. L'ancien NBA est sacré champion de France 2014 après une série de victoires (3-0) face à Strasbourg[27].

Un passage au Porto Rico (2015-2016)

[modifier | modifier le code]

Se trouvant sans club, Johan Petro s'engage en chez les Mets de Guaynabo dans le championnat du Porto Rico. En , Petro qui tourne à 7.7 points et 9.4 rebonds par match est coupé par son club pour pouvoir signer Mickaël Piétrus[28]. Il est finalement réintégré dans l'effectif des Mets à la faveur d'une naturalisation dominicaine[29]. Profitant de ce passeport dominicain, il retrouve le championnat portoricain avec le double champion en titre, les Leones de Ponce en [30] puis s'engage dans le même championnat avec les Cangrejeros de Santurce.

Retour aux États-Unis (depuis 2017)

[modifier | modifier le code]

Le , il retrouve les États-Unis en s'engageant avec le Skyforce de Sioux Falls en D-League[31].

Clubs successifs

[modifier | modifier le code]

Carrière en équipe de France

[modifier | modifier le code]

En sélection jeune, Petro remporte une médaille de bronze à Saragosse, lors du championnat d'Europe Juniors en 2004. Ses premières sélections senior en équipe A lui permettent de participer au championnat du monde 2006 au Japon, où l'équipe de France termine sur une belle cinquième place, malgré l'absence de Tony Parker[32].

Bien que participant à la préparation puis aux matchs de qualification de l'équipe de France pour le championnat d'Europe 2009, il n'est pas conservé au sein du groupe qui dispute les dernières rencontres face à la Belgique, et ne prend pas non plus part au championnat d'Europe. Vincent Collet explique alors sa décision par le retard de Petro dans le domaine défensif par rapport à Ian Mahinmi[33].

Après avoir annoncé en être toujours disponible pour l'équipe de France[34], il a la possibilité de prouver ses déclarations en étant appelé par Vincent Collet après la cascade de forfaits concernant les pivots potentiels de l'équipe de France : Joakim Noah, Kevin Séraphin et Ronny Turiaf, entre autres[35]. Même si sa préparation ne répond pas totalement aux attentes de Collet[36], il fait partie du groupe qui se rend en Slovénie pour le championnat d'Europe 2013. Lors de celui-ci, il connait des débuts difficiles puis obtient un peu de temps de jeu face à Israël[37] : il joue 13 minutes pour 10 points inscrits et 5 rebonds captés[38]. Il s'avère de nouveau précieux lors du quart de finale face à la Slovénie[39], avec 4 points à 2 sur 4 aux tirs mais surtout 7 rebonds[38]. Lors de la finale victorieuse face à la Lituanie, 80 à 66, il inscrit 8 points et délivre 1 passe décisive en 19 minutes[38].

Le , il fait partie de la liste des vingt-quatre joueurs pré-sélectionnés pour la participation à la Coupe du monde 2014 en Espagne malgré ses prestations décevantes à Limoges[40] et n'est finalement pas conservé.

Palmarès de joueur

[modifier | modifier le code]
En club
  • Avec Pau-Orthez :
    • Champion de France de Pro A en 2004
    • Vainqueur du Trophée du Futur en 2004 (Espoirs Pro A)
    • Vainqueur de la Coupe Sud-Ouest en 2004 (Espoirs Pro A)
  • Avec Limoges :
    • Champion de France de Pro A en 2014
En sélection nationale

Statistiques NBA

[modifier | modifier le code]

Légende : gras = ses meilleures performances

Saison régulière

[modifier | modifier le code]
Saison Équipe MJ MC Min %T %3PTS %LF REB PAD STL BLK Pts
2005-2006 Seattle 68 41 18,9 51,0 0,0 62,7 4,35 0,22 0,37 0,75 5,19
2006-2007 Seattle 81 13 18,7 51,6 0,0 64,9 4,14 0,56 0,48 0,58 6,20
2007-2008 Seattle 72 28 18,2 41,9 0,0 73,6 5,14 0,44 0,49 0,58 6,00
2008-2009 Oklahoma City 22 12 15,5 40,7 0,0 66,7 4,32 0,27 0,73 0,23 4,64
Denver 27 10 8,1 42,9 0,0 42,9 2,33 0,37 0,11 0,37 2,22
2009-2010 Denver 36 16 12,1 53,5 0,0 66,7 3,58 0,39 0,28 0,36 3,39
2010-2011 New Jersey 77 1 11,6 44,5 0,0 53,6 2,75 0,57 0,44 0,44 3,55
2011-2012* New Jersey 59 10 15,6 41,9 100,0 83,8 3,80 0,76 0,36 0,39 4,24
2012-2013 Atlanta 31 8 11,3 43,6 25,0 91,7 3,61 0,52 0,32 0,29 3,48
Total 473 139 15,4 46,2 15,4 67,8 3,88 0,48 0,41 0,49 4,66

Note: * Cette saison a été réduite de 82 à 66 matchs en raison du Lock out.

Saison Équipe MJ MC Min %T %3PTS %LF REB PAD STL BLK Pts
2009 Denver 10 0 2,6 22,2 0,0 62,5 0,60 0,10 0,00 0,10 0,90
2010 Denver 6 1 7,5 54,5 0,0 50,0 1,83 0,17 0,17 0,50 2,17
2013 Atlanta 6 4 16,8 51,9 0,0 50,0 3,67 0,67 0,17 0,67 4,83
Total 22 5 7,8 46,8 0,0 58,3 1,77 0,27 0,09 0,36 2,32

Salaires en NBA

[modifier | modifier le code]
Année Équipe Salaire
2005-2006 SuperSonics 936 000 $
2006-2007 SuperSonics 1 006 800 $
2007-2008 SuperSonics 1 077 120 $
2008-2009 Nuggets 1 939 893 $
2009-2010 Nuggets 884 881 $
2010-2011 Nets 3 250 000 $
2011-2012* Nets 3 250 000 $
2012-2013 Hawks 3 500 000 $
Total 15 845 924 $

Note: * En 2011, le salaire moyen d'un joueur évoluant en NBA est de 5 150 000 $[41].

Vie privée

[modifier | modifier le code]

Le , il ne se présente pas à l'entraînement des Hawks d'Atlanta pour rejoindre sa femme à Miami[42]. Le lendemain, vers 14h, elle donne naissance à leur fils Jacob[43]. Petro parvient tout de même à revenir à temps pour participer à la victoire des Hawks au match 4 contre les Pacers de l'Indiana[44],[45].

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Cyril Graziani, « Le Centre fédéral vivier de la Pro A », sur leparisien.fr, (consulté le )
  2. Alexandre Lacoste, « Johan Petro démarre fort en Chine et bat son record de temps de jeu en carrière », sur catch-and-shoot.com, (consulté le )
  3. Fabrice Auclert, « Nez cassé pour Petro », sur basketusa.com,
  4. Fabrice Auclert, « Seattle prolonge Johan Petro », sur basketusa.com,
  5. Guillaume Laroche, « Petro aux Denver Nuggets contre Atkins »,
  6. (en) « Nuggets re-sign backup center Petro », sur www.denverpost.com,
  7. « Petro prolonge à Denver », sur lequipe.fr,
  8. Jérôme Knoepffler, « Interview Johan Petro : « L’absence de George Karl a pesé lourd » », sur basketusa.com,
  9. « La nouvelle chance de Petro », Sports.fr, (consulté le )
  10. Dimitri Kucharczyk, « Johan Petro : 10 millions sur 3 ans à New Jersey », sur basketusa.com,
  11. Jérôme Knoepffler, « Interview Johan Petro : « on aura une équipe super excitante à voir jouer » », sur basketusa.com,
  12. Stan, « Johan Petro ou l’histoire d’un talent (déjà) gâché ? [1/2] », sur basketball-backstage.fr,
  13. Stan, « Johan Petro ou l’histoire d’un talent (déjà) gâché ? [2/2] », sur basketball-backstage.fr,
  14. Dimitri Kucharczyk, « Johan Petro inscrit le dernier panier de l’histoire des New Jersey Nets », sur basketusa.com,
  15. Fabrice Auclert, « Joe Johnson aux Nets : c’est fait ! », sur basketusa.com,
  16. (en) « Transactions: 2012-13 season », NBA (consulté le )
  17. Alain Mattei, « Johan Petro cherche toujours son rôle à Atlanta », sur basketusa.com,
  18. Fabrice Auclert, « Johan Petro ne regrette pas d’être parti en NBA à 19 ans », sur basketusa.com,
  19. Alexandre Lacoste, « Johan Petro est le nouveau pivot des Lions de Zhejiang Guangsha », sur catch-and-shoot.com,
  20. Alexandre Lacoste, « Johan Petro remercié par Zhejiang Guangsha (Chine) », sur catch-and-shoot.com,
  21. (en) Emiliano Charchia, « Joahn Petro leaves Guangsha Lions », Sportando,
  22. essika Guehaseim, « EXCLUSIF : Johan Petro : Mes amis, mes amours, mes emmerdes », sur sportmag.fr,
  23. « Transferts : Petro veut revenir en France », Sport365,
  24. Matthieu Marot, « Le pivot international Johan Petro signe avec le Limoges CSP », Le populaire du centre,
  25. Gabriel Pantel-Jouve, « Johan Petro : « On pensait l’avoir ce match » », catch-and-shoot,
  26. Florian Pigeon avec AFP, « Limoges s'incline contre Pau, Petro pense à Rupert », sur eurosport.fr, 25 février 2014 (mise à jour le 26/02/14) (consulté le )
  27. « Bilan Pro A : Limoges ce champion surprise », sur Inside Basket Europe (consulté le ).
  28. « Porto Rico : Johan Petro coupé pour signer Mike Pietrus », sur Basket Infos (consulté le ).
  29. Alexandre Lacoste, « Johan Petro réintègre Guaynabo... en tant que joueur dominicain », sur BeBasket, (consulté le ).
  30. Alexandre Lacoste, « Johan Petro retrouve un club », sur BeBasket, (consulté le ).
  31. Gabriel Pantel-Jouve, « Johan Petro signe D-League », sur Bebasket.fr, (consulté le )
  32. "Avec l'ombre d'un doute" sur lequipe.fr.
  33. « Les Bleus sans Petro », sur eurosport.fr,
  34. Gabriel Pantel-Jouve, « Johan Petro : « J’ai toujours cet amour du maillot bleu » », sur basketamericain.com,
  35. Christophe Remise,, « Ajinça, Petro : retour gagnant ? », sur sport24.com,
  36. « Vincent Collet aimerait que Johan Petro se bagarre plus », sur basketactu.com,
  37. « Euro de Basket : la France trouve son rythme », sur www.liberation.fr,
  38. a b et c (en) « 2013 EuroBasket - 7 - Johan Petro », sur fiba.com
  39. Christophe Remise, « Petro : « Se calquer sur Batum et Parker » », sur sport24.com,
  40. Arnaud Gelb, « Équipe de France : une liste des 24 sans Tony Parker », sur basketusa.com,
  41. (en) « Salaires moyen NBA », sur basketusa.com (consulté le )
  42. Alain Mattei, « Johan Petro absent de l’entraînement pour la naissance de son enfant », sur basketusa.com,
  43. « Petro rapatrié en jet privé », sur lefigaro.fr,
  44. Edwin Malboeuf, « Johan Petro est devenu papa juste avant le match 4 », sur basketsession.com,
  45. « Johan Petro : Le basketteur NBA devient papa quelques heures avant un match », sur purepeople.com,

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]