Le Fief-Sauvin
Le Fief-Sauvin | |||||
Le bourg du Fief-Sauvin et son église XXe. | |||||
Héraldique | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Cholet | ||||
Commune | Montrevault-sur-Èvre | ||||
Statut | Commune déléguée | ||||
Maire délégué Mandat | Dominique Audoin 2020-2026 | ||||
Code postal | 49600 | ||||
Code commune | 49137 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Silvanois | ||||
Population | 1 666 hab. (2013) | ||||
Densité | 55 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 13′ 19″ nord, 1° 02′ 25″ ouest | ||||
Altitude | 85 m Min. 28 m Max. 109 m | ||||
Superficie | 30,29 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Beaupréau | ||||
Historique | |||||
Fusion | 15 décembre 2015 | ||||
Commune(s) d'intégration | Montrevault-sur-Èvre | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire | |||||
modifier |
Le Fief-Sauvin est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Montrevault-sur-Èvre[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Commune angevine des Mauges, Le Fief-Sauvin se situe au nord-ouest de Beaupréau, sur les routes D 80, Beaupréau, et D 146, La Chapelle du Genêt[2].
Le territoire des Mauges est la petite région qui couvre la partie sud-ouest du Maine-et-Loire, délimitée au nord par la Loire (fleuve) et à l'est par le Layon (rivière)[3].
Aux alentours
[modifier | modifier le code]Les communes aux alentours sont Beaupréau (4 km), Montrevault (4 km), La Chapelle-du-Genêt (5 km), Saint-Pierre-Montlimart (6 km), Le Puiset-Doré (6 km), La Salle-et-Chapelle-Aubry (6 km), Saint-Rémy-en-Mauges (6 km), Gesté (7 km), Saint-Philbert-en-Mauges (8 km) et La Chaussaire (8 km)[4].
Topographie, géologie et relief
[modifier | modifier le code]L'altitude de la commune varie de 28 à 109 mètres[5], pour une altitude moyenne de 85 mètres.
Son territoire s'étend sur plus de 30 km2 (3 029 hectares)[5]. Il se situe sur l'unité paysagère du Plateau des Mauges[6].
Plusieurs sites naturels comportent une inscription :
- Forêt de Leppo, zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), forêt mixte de feuillus (chênes) et résineux (pins maritimes) sur sol argileux, zone s’étendant sur les communes du Fief-Sauvin, Le Puiset-Doré et Saint-Rémy-en-Mauges[7] ;
- Vallée de l'Èvre, zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), vallée sinueuse alternant prairies humides, coteaux secs, éboulis rocheux, formations boisées, landes, et s'étendant sur douze communes, dont Le Fief-Sauvin[7] ;
- Méandre abandonné de la Maison Neuve, site présélectionné à l'Inventaire national du patrimoine géologique (INPG), dont le paysage permet de deviner l’ancien méandre emprunté par l’Èvre et limité par les collines adjacentes[7],[8].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La rivière l'Èvre longe la partie Est de son territoire[2].
Climat
[modifier | modifier le code]Son climat est tempéré, de type océanique. Le climat angevin est particulièrement doux, du fait de sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelées rares et les étés ensoleillés[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Morphologie urbaine : Le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.
En 2011 on trouvait 669 logements sur la commune du Fief-Sauvin, dont 95 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 91 %, et dont 83 % des ménages en étaient propriétaires[10].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Village du Fief-Sauvin
[modifier | modifier le code]Formes anciennes du nom : Failum vers 1130, Fadilum vers 1055-1083, Failliacrum vers 1103[11], Le Fief Sauvin en 1793, et Le Fief-Sauvin et Villeneuve en 1801, puis Le Fief-Sauvin[12].
Son nom aurait pour origine fail, dérivé du latin fagus (hêtre)[11], et de silvanum, dérivé du latin silva (bois, forêt), Le Fief-Sauvin signifiant « la forêt des hêtres »[13].
Village de Villeneuve
[modifier | modifier le code]Formes anciennes du nom : capella sancte Marie de Villa Nova en 1060, Paochia de Villa Nova in Castellamia Montis Rebellis en 1240, L'iglise de Ville Nove en 1299, Villeneuve-en-Mauges au XVIIe siècle[14] puis Ville-neuve-en-Mauges[15] et Villeneuve[16].
Gentilé
[modifier | modifier le code]Nom des habitants : Silvanois[17], ou Ferfléens, Flaviens[13].
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]Le territoire du Fief-Sauvin se situe au cœur d'un emplacement d'habitat préhistorique, sur lequel on a trouvé un menhir, le menhir de Bréau (ou de Brandt, de Brault), des haches de pierre polie, des plaquettes de pierre perforées, etc[18],[19],[20].
On y trouve La Ségourie, comprenant un oppidum gaulois puis Segora, ancienne station romaine se trouvant sur la voie de Poitiers à Nantes[21].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]La paroisse du Fief-Sauvin relève au Moyen Âge de la seigneurie de Bohardy[18].
Ancien Régime
[modifier | modifier le code]Au XVIIIe siècle la paroisse dépend du diocèse d'Angers, du doyenné des Mauges et de l'élection d'Angers[18].
Révolution
[modifier | modifier le code]À la réorganisation administrative qui suit la Révolution, Le Fief-Sauvin et Villeneuve sont rattachées en 1790 au canton de Beaupreau (en 1801 au canton de Montrevault) et au district de Saint-Florent-le-Vieil, puis en 1800 l'arrondissement de Beaupreau et à sa disparition en 1857 à l'arrondissement de Cholet[12].
Après la Révolution éclate une insurrection royaliste et en 1793 celle de la guerre de Vendée. Tout l'Anjou sera concerné par ces événements.
Le bourg est incendié par les colonnes infernales au cours l'année 1794[18]. Un premier massacre a lieu dans les premiers jours de février, un deuxième le 14 février, où 128 personnes trouvent la mort, et un troisième du 10 au 12 mars, dans la forêt de Leppo[22]. Au total, 371 habitants du Fief-Sauvin trouvent la mort lors de la guerre de Vendée, dont 122 femmes et 102 enfants[23].
Le Fief-Sauvin absorbe Villeneuve entre 1790 et 1794[12]. La paroisse de Villeneuve est supprimée en 1809 (ordonnance épiscopale du ) et réunie à celle du Fief-Sauvin[15].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]À la fin du XIXe et le début du XXe siècle, la ligne Nantes-Cholet du Petit Anjou, réseau de chemin de fer secondaire, traverse le territoire du Fief-Sauvin, arrivant de Montrevault pour se diriger ensuite vers Beaupréau[24],[25]. Une halte se situait sur cette ligne, à 5 km du bourg, à l'angle de la route de la Roche Thierry et de celle de Saint-Pierre-Beaupréau[26].
En 2014, un projet de fusion de l'ensemble des communes de l'intercommunalité se dessine. L'année suivante un projet de rapprochement des communes de l'intercommunalité est discuté[27],[28],[29],[30]. Parallèlement, un projet de création d'une intercommunalité à l'échelle des Mauges est également discuté[30]. Le , les conseils municipaux de l'ensemble des communes du territoire communautaire votent la création d'une commune nouvelle baptisée Montrevault-sur-Èvre pour le [31], dont la création a été officialisée par arrêté préfectoral du [1].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Administration actuelle
[modifier | modifier le code]Depuis le , Le Fief-Sauvin constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Montrevault-sur-Èvre et dispose d'un maire délégué[1].
Administration ancienne
[modifier | modifier le code]Les communes du Fief-Sauvin et de Villeneuve sont créées à la Révolution[12],[16].
Jumelages
[modifier | modifier le code]Entre 2005 et 2013, la commune était jumelée avec Ruynes-en-Margeride située dans le Cantal[36],[37],[38]. Un comité de jumelage gère ensuite la recherche d'un nouveau partenariat[39], qui se concrétise en 2015 avec la commune de Thésée (Loir-et-Cher)[40],[41].
Ancienne situation administrative
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était intégrée à la communauté de communes du Montrevault Communauté, qui regroupait onze communes, dont Saint-Pierre-Montlimart et Le Puiset-Doré[42],[43]. La communauté de communes était adhérente du syndicat mixte Pays des Mauges, structure administrative d'aménagement du territoire.
La communauté de communes Montrevault Communauté cesse d'exister le et ses compétences sont transférées à la commune nouvelle de Montrevault-sur-Èvre[1].
Autres circonscriptions
[modifier | modifier le code]Jusqu'en 2014, Le Fief-Sauvin fait partie du canton de Montrevault et de l'arrondissement de Cholet[44]. Ce canton comporte alors les onze même communes que l'intercommunalité. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Beaupréau, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[45].
La commune fait partie de la sixième circonscription de Maine-et-Loire, composée de six cantons dont Champtoceaux, Montrevault et Saint-Florent-le-Vieil. Cette circonscription de Maine-et-Loire est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.
Population et société
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[47],[Note 3].
En 2013, la commune comptait 1 666 habitants, en évolution de +4,78 % par rapport à 2008 (Maine-et-Loire : +3,3 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16,9 %) est en effet inférieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (21,4 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (53 % contre 48,7 % au niveau national et 48,9 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :
- 53 % d’hommes (0 à 14 ans = 23,9 %, 15 à 29 ans = 20,8 %, 30 à 44 ans = 20,6 %, 45 à 59 ans = 20,8 %, plus de 60 ans = 13,9 %) ;
- 47 % de femmes (0 à 14 ans = 22,8 %, 15 à 29 ans = 17,6 %, 30 à 44 ans = 20,2 %, 45 à 59 ans = 19,2 %, plus de 60 ans = 20,1 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Située dans l'académie de Nantes, on ne trouve sur la commune du Fief-Sauvin qu'une seule école, l'école primaire privée Notre-Dame[52].
Services publics
[modifier | modifier le code]On trouve aussi une bibliothèque (Espace intergénérations)[42]. Il faut se rendre à Montrevault, siège de la communauté de communes, pour trouver d'autres structures[53] : petite enfance, enfance, jeunesse, etc[42].
Un service de ramassage des ordures ménagères (collecte sélective) est assuré par le SIRDOMDI de Beaupréau. Créé en 1976, ce syndicat mixte assure la collecte et le traitement des ordures ménagères de cinquante-cinq communes de la région[54].
Santé
[modifier | modifier le code]Les structures de santé se trouvent à Montrevault, Saint-Pierre-Montlimart ou Beaupréau, comme la Maison de retraite médicalisée EHPAD Les Troënes (Saint-Pierre-Montlimart), l'établissement EHPAD MR Saint Martin (Beaupréau), le foyer de Vie Le Point du Jour (Beaupréau) ou l’hôpital Saint Martin (Beaupréau)[55].
Économie
[modifier | modifier le code]Tissu économique
[modifier | modifier le code]L'agriculture est la principale activité que l'on trouve sur la commune. Dans les années 1970, on y trouve 403 exploitations (polyculture et viticulture) et une fabrique de chaussures employant 130 ouvriers[56].
En 2010, sur les 127 établissements présents sur la commune, 54 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 2 % du secteur de l'industrie, 12 % du secteur de la construction, 28 % de celui du commerce et des services et 4 % du secteur de l'administration et de la santé[57]. Deux ans plus tard, en 2012, sur 133 établissements présents, 51 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 15 % sur le département), 2 % du secteur de l'industrie, 12 % du secteur de la construction, 30 % de celui du commerce et des services et 5 % du secteur de l'administration et de la santé[10].
Tourisme
[modifier | modifier le code]L'office de tourisme intercommunautaire se trouve dans les années 2010 sur la commune du Fuilet[58].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Sites classés
[modifier | modifier le code]- Menhir de Bréau, datant de la fin du Néolithique[59], inscrit Monument historique[19].
- Oppidum protohistorique et gallo-romain, dit Camp de César, datant de l'époque gallo-romaine[59], rempart de terre et terrains archéologiques constituant le Camp de César, Monument historique PA00109104[60].
Autres lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Grotte de la Gabardière, datant de 1910, réalisée à l’image de celle de Lourdes[59].
- Monument aux morts inauguré en 1924, sur l'emplacement de l'ancien moulin à vent des Moulinards[56].
La commune comporte deux anciennes paroisses, l’une au bourg et l'autre à Villeneuve[56],[15] :
- Église Notre-Dame du Fief-Sauvin, église initialement bâtie au XVe siècle, reconstruite en 1874[56], puis à nouveau en 1997, église contemporaine dont il ne reste de la précédente que le chœur et les vitraux[59] ;
- Église Notre-Dame de Villeneuve, construite en 1876, détruite par une tornade le , reconstruite en 1981 et dont il ne reste aujourd'hui que le clocher[15],[59].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876) (BNF 34649310, lire en ligne) (Le Fief-Sauvin).
- Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : S-Z, t. 4, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376, lire en ligne), p. 790-791 (Villeneuve).
- Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 2 (D-M), Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd., p. 148-150 (Le Fief-Sauvin).
- Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 3 (N-Z), Angers, Lachèse & Dolbeau libraires, , 1re éd., p. 731-732 (Villeneuve).
- Dominique Lambert de La Douasnerie, Paroisses et soldats de l'armée vendéenne — Le Fief-Sauvin et Villeneuve, Angers, D. Lambert de La Douasnerie, , 2 vol. 111 (BNF 36961257)
- Jules Chéné, Ségora : l'antique mansion romaine enfin révélée par le cadastre du Fief-Sauvin, Beaupréau, IPA, , 2e éd., 94 p. (ISBN 2-9525226-0-X, BNF 40136781)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Jean Simon, maire : L'édition 1978 du Célestin Port (op. cit.), indique « démissionnaire en juin 1869 », alors que la commune indique, de 1843 à 1865, Jean Simon, et de 1865 à 1871, Louis Appert.
- Gardey de Soos, maire : L'édition 1978 du Célestin Port (op. cit.), p. 147 indique par erreur Gardey de Voos.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
[modifier | modifier le code]- « Arrêté no DRCL-NCL-2015-59 en date du 5 octobre 2015 portant création de la commune nouvelle de Montrevault-sur-Èvre », Recueil spécial des actes administratifs de la préfecture de Maine-et-Loire, no 74, (lire en ligne [PDF]).
- IGN et BRGM, Géoportail Le Fief-Sauvin (49), consulté le 2 septembre 2012.
- Louis Poirier, « Essai sur la morphologie de l'Anjou méridional (Mauges et Saumurois) », Annales de Géographie, t. 44, no 251, , p. 474 (DOI https://doi.org/10.3406/geo.1935.11159) — Voir Mauges.
- Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir du Fief-Sauvin (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 3 mai 2013 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
- IGN, Répertoire géographique des communes (RGC 2011), consulté le 3 mai 2013 — Données consultables sur WikiAnjou.
- Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 190.
- Dreal Pays de la Loire, Base communale, Commune de Le Fief-Sauvin (49137, consulté le 4 mai 2013.
- Inventaire national du patrimoine naturel, Vallée de l'Èvre, document du 16 février 2015.
- Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Le climat de Maine-et-Loire », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du sur Internet Archive), consulté le 24 mai 2011.
- Insee, Statistiques locales du territoire de Le Fief-Sauvin (49), consultées le 18 janvier 2015.
- Célestin Port 1978, p. 145-147 (Le Fief-Sauvin).
- EHESS, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui : Notice communale de Le Fief-Sauvin, consultée le 4 mai 2013 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l’ensemble du territoire français de l’époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
- Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 80.
- Registres BMS XVIIe siècle de la paroisse de Villeneuve sur le site des Archives départementales de Maine-et-Loire.
- Célestin Port 1996, p. 790-791 (Villeneuve).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Villeneuve », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Mairie du Fief-Sauvin, Un peu d'histoire, consulté le 23 janvier 2014.
- Célestin Port 1978, p. 146.
- « Menhir de Breau », notice no PA00109428, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Michel Gruet (actualisation de Charles-Tanguy Le Roux), Mégalithes en Anjou, Le Coudray-Macouard, Cheminements, , 37 p. (ISBN 2-84478-397-X, lire en ligne), p. 312.
- Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : S-Z, t. 4, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376), p. 358-359 (La Ségourie).
- Gabriel Boussonnière, Guerre de Vendée : dans les Mauges, une plaque sera dévoilée en mémoire de 117 familles massacrées, Le Courrier de l'Ouest, 11 octobre 2024.
- Léa Boistault, Dans les Mauges, Le Fief-Sauvin honore ses 371 morts lors de la guerre de Vendée, Ouest-France, 14 octobre 2023.
- Michel Harouy et Michel Raclin, L'étoile ferroviaire de Beaupréau, Dossiers de l'AAPA no 23, Édition AAPA 1999.
- Association des Amis du Petit Anjou (AAPA), Le réseau, consulté le 18 mai 2015.
- Carte du réseau dans l'ouvrage L'étoile ferroviaire de Beaupréau de Michel Harouy et Michel Raclin (op. cit.).
- Mairie du Fief-Sauvin, Réunions publiques - Vers la commune nouvelle, consulté le 18 mai 2015.
- Communauté de communes Montrevault Communauté, Quel nom pour la commune nouvelle ?, consulté le 18 mai 2015.
- Ouest-France, Montrevault-Communauté : « Réfléchir à la commune nouvelle », article du 21 janvier 2015.
- Ouest-France, Les élus expliquent la commune nouvelle aux habitants, article du 23 avril 2015.
- Ouest-France, « Montrevault-sur-Evre. Une 4e commune nouvelle dans les Mauges », sur ouest-france.fr, .
- « Conseil municipal - Composition », sur Mairie de Montrevault-sur-Èvre (consulté le ).
- « Montrevault-sur-Evre. Neuf adjoints et onze maires de communes déléguées », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- Célestin Port 1978, p. 147, liste des maires de l'an VIII à 1835.
- Ouest-France, Second mandat de maire pour Denis Raimbault, article du 2 avril 2014.
- Mairie du Fief-Sauvin, Entrées Bourgs - Arceaux, consulté le 19 juillet 2013.
- Comité de jumelage du Fief-Sauvin, Avec Ruynes, consulté le 19 juillet 2013.
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
- Comité de jumelage du Fief-Sauvin, Site du comité, consulté le 19 juillet 2013.
- Comité de jumelage du Fief-Sauvin, Un week-end pour découvrir la région de Thésée avec le comité de jumelage, consulté le 18 mai 2015.
- Association Événements Thésée Culture, Réception de nos amis du Fief-Sauvin à Thésée, samedi 9 mai 2015, consulté le 18 mai 2015.
- C.C. Montrevault Communauté, Site de la communauté de communes, consulté le 5 mai 2013.
- Insee, Composition de l'EPCI Montrevault Communauté (244900643), consulté le 10 octobre 2013.
- Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune du Fief-Sauvin, consultée le 5 mai 2013.
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
- « Évolution et structure de la population à Le Fief-Sauvin en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Ministère de l’Éducation nationale, Annuaire de l'Éducation nationale, consulté le 5 mai 2013.
- Conseil général de Maine-et-Loire, Commune de Le Fief-Sauvin (Canton de Montrevault), consulté le 5 mai 2013.
- SIRDOMDI de Beaupréau, Collecte des ordures ménagères, consulté le 5 mai 2013.
- Fédération Hospitalière de France, Département de Maine-et-Loire, consulté le 5 mai 2013.
- Célestin Port 1978, p. 145.
- Insee, Statistiques locales du territoire de Le Fief-Sauvin (49), consultées le 7 avril 2013.
- Office de tourisme intercommunal du canton de Montrevault, Site de l'O.T., consulté le 5 mai 2013.
- Office de tourisme intercommunal, Lieux à découvrir « Copie archivée » (version du sur Internet Archive), consulté le 5 mai 2013
- « Oppidum protohistorique et gallo-romain, dit Camp de Cesar », notice no PA00109104, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.