Makoto Ōoka
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Nom dans la langue maternelle | 大岡信 |
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Père | Hiroshi Ōoka (d) |
Conjoint | Fukase Saki (d) |
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Makoto Ōoka (大岡 信, Ōoka Makoto ), né le à Mishima dans la préfecture de Shizuoka et mort le [1], est un poète et critique littéraire japonais.
Biographie
[modifier | modifier le code]Natif de la préfecture de Shizuoka, Makoto Ōoka étudie la littérature japonaise à l'université de Tokyo et enseigne plus tard la littérature à l'université de Meiji. De 1979 jusqu'en 2007, il publie sept jours sur sept sans interruption la rubrique de poésie en une du Asahi Shinbun dans un style ancien et traditionnel[2]. Ses poèmes, pièces de théâtre, scénarios de films d'art et essais, ses critiques littéraires sont publiés dans le PEN club japonais dont il est un temps président. Il reçoit l'ordre du mérite en 2003.
Œuvres (sélection)
[modifier | modifier le code]- Kioku to genzai (1956)
- Tódzsi no kakei (1969)
- Ki no Curajuki (1971)
- Nihon siika kikó (1978)
- Oriori no uta (1979)
- Dans l'océan du silence, édition trilingue français / japonais / anglais, avec des encres de Claude Garanjoud, édition Voix d'encre, 1998.
Distinctions
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]- (ja) « 訃報:大岡信さん死去、86歳 詩人「折々のうた」 », sur 毎日新聞 (consulté le ).
- (en) William H. Honan, « Why Millions in Japan Read All About Poetry », New York Times, 6 mars 2000.
- (hu) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en hongrois intitulé « Makoto Ooka » (voir la liste des auteurs).