Marqué par la haine

Marqué par la haine
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Paul Newman, Sammy White & Everett Sloane, photo promotionnelle pour le film.
Titre original Somebody Up There Likes Me
Réalisation Robert Wise
Scénario Ernest Lehman
Acteurs principaux
Sociétés de production Metro Goldwyn Mayer
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre Drame
Durée 113 minutes
Sortie 1956

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Marqué par la haine (Somebody Up There Likes Me) est un film américain réalisé par Robert Wise, sorti en 1956. Le film est inspiré de la vie tumultueuse du boxeur champion du monde des poids moyens en 1947, Rocky Graziano.

Rocky Barbella (Paul Newman) grandit à New York à la fin des années 1930, au sein d'une bande de petits délinquants. Il fait plusieurs séjours en maison de correction. Déserteur de l'armée américaine, il intègre la salle d'un manager de boxe (Everett Sloane). Repris par les autorités, il est incarceré dans une prison militaire. Cette forte tête est prise en main par un sergent, et lui fait comprendre qu'il a de l'or dans les poings et qu'il vaut mieux mettre sa force et son courage en devenant un vrai boxeur qu'au service du mal. Rendu à la vie civile, il se consacre entièrement à la carrière de boxeur professionnel et gravit progressivement tous les échelons jusqu'à devenir champion du monde sous le nom de Rocky Graziano.

Fiche technique

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Distribution

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Acteurs non crédités

Autour du film

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  • Paul Newman est appelé pour remplacer James Dean, décédé accidentellement quelques mois avant le début du tournage[1].
  • Première et brève apparition de Steve McQueen dans un film hollywoodien[1].
  • C'est Louis de Funès qui donne la voix française de Irving Cohen, le manager de Rocky
  • 20 ans plus tard,  Sylvester Stallone proposera son Rocky, très inspiré par le film : Rocky Balboa / Rocky Barbella ; Talia Shire presque sosie de Pier Angeli, de même pour Burgess Meredith avec Everett Sloane. Même les scènes de combat sont presque pareilles : Rocky n'ayant pas de garde, même façon de se pencher en avant, recevant des coups à la tête sans broncher (il est possible que ce soit les vraies attitudes de Rocky Graziano), la fin du combat quasiment identique.

Notes et références

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  1. a et b Charles-Stéphane Roy, « Somebody Up There Likes Me : Rocky avant Balboa », Séquences, no 256,‎ septembre–octobre 2008, p. 20 (lire en ligne)

Liens externes

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