Meursault

Meursault
Meursault
L'hôtel de ville dans l'ancien château fort de Meursault.
Blason de Meursault
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Côte-d'Or
Arrondissement Beaune
Intercommunalité Communauté d'agglomération Beaune Côte et Sud
Maire
Mandat
Denis Thomas
2020-2026
Code postal 21190
Code commune 21412
Démographie
Gentilé Murisaltiens - Murisaltiennes
Population
municipale
1 390 hab. (2021 en évolution de −4,79 % par rapport à 2015)
Densité 86 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 58′ 44″ nord, 4° 46′ 16″ est
Altitude Min. 199 m
Max. 458 m
Superficie 16,22 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Beaune
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ladoix-Serrigny
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Meursault
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Meursault
Liens
Site web www.mairie-meursault.fr

Meursault est une commune française viticole, située sur la route des Grands Crus dans le vignoble de Bourgogne dans le département de la Côte-d'Or en région Bourgogne-Franche-Comté. Ses habitants sont appelés les Murisaltiens. Meursault doit sa notoriété internationale à la qualité de ses vins, essentiellement blancs et issus du cépage chardonnay.

La première attestation du toponyme Meursault date de 1094 dans une charte de l'abbaye de Cluny, comme Murassalt et Mussalt. Cependant, ces formes auraient été des coquilles[1], étant donné que dans d’autres attestations, la lettre a n’apparaissent pas dans la seconde syllabe dans ce toponyme. La même lettre va faire sa seule réapparition dans le 13e siècle, ce qui suggère que les chartes de l’abbaye ont été retranscrites dans cette période.

Plus tard, ce toponyme apparaît comme Muresaldum (1119), Muressalt (1148), Muressaut (1155), Murissalt (1168), Muresauth (1168), Meuressault (1549), Murseau (1686), et enfin Meursault (1713)[2]. Lebel suggère que Muressalt (1148) ou Murissalt (1168) aurait été phonétiquement évolué de *mureis salt, qui serait éventuellement dérivé de *muriscu saltu, le dernier étant composé du mot latin muru « mur » avec un suffixe germanique -isc[3] (possiblement du germanique occidental -isk) et le mot latin saltu « forêt » (c’était employé aussi fréquemment que son synonyme silva, mais sera remplacé par le mot germanique[1] – possiblement du vieux francique — bosk qui devient le mot français bois).

L’existence d’un bois à Meursault pourrait être établie par le nom de la rivière qui y passe : Le Ruisseau des Clous, attesté comme Agine dans des textes médiévaux (depuis 1155). Lebel donne la reconstruction de ce nom comme *Hagina, un dérivé issu de haga « bois clos » suivi par un suffixe germanique -ina (possiblement du proto-germanique -*īnaz). Les Francs appelaient des bois clos haga ou *hagja, ce qui existe en bourguignon age, et est apparenté au français haie et à l’anglais hedge.

Une tentative pour proposer l’étymologie du toponyme Meursault a été faite pour la première fois dans l’ouvrage Histoire de la ville de Beaune et de ses antiquités par Antoine Gandelot (1714-1785). Cet auteur a constaté que ce nom serait issu du latin Murissaltus[4], ce qui désigne « la forêt du rat » sans donner des explications supplémentaires. Plusieurs guides touristiques et guides œnologiques[5] ont repris cette théorie, et certains ajoutent aussi que ce nom pourrait aussi désigner le « saut du rat », « rat » prétendument étant le nom de la forêt qui recouvrait Meursault. Cela pourrait s’expliquer par le caractère homonymique du mot latin muris[6], désignant soit le génitif singulier de ᴍūs « rat », ou le datif/ablatif pluriel de ᴍūʀᴜs « mur ». À part cela, Berthoud et Matruchot ont proposé minor saltus[7], mais serait moins convaincant comme celui-ci ne pourrait phonétiquement évoluer pour devenir le toponyme actuel.

Géographie

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Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

Meursault est situé le long de la Côte de Beaune.

Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 805 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Rochepot », sur la commune de La Rochepot à 7 km à vol d'oiseau[10], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 849,5 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Au , Meursault est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beaune, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[15]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (79,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (53,2 %), terres arables (20,8 %), zones urbanisées (10,9 %), forêts (7,2 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,9 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Vestiges préhistoriques et antiques

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  • Camp préhistorique puis gallo-romain du mont Mélian.
  • Vestiges d'une villa gallo-romaine, au climat des Chauzeaux.

Généralités historiques

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Château fort, détail de fortification.

Le château fort de Meursault construit en 1337 par le seigneur Robert de Grancey fut démantelé en 1474 par ordre du roi Louis XI ; restauré puis à nouveau démantelé en 1633 par ordre de Richelieu, après la trahison d'Henri de Montmorency. (Il a été remanié depuis en hôtel de ville avec son toit en tuile vernissée de Bourgogne) Seigneurie des Vergy, des Grancey, de Guy Pot (frère de Philippe Pot), comte de Saint-Pol, puis des Montmorency.

Lors de la seconde Guerre mondiale, Meursault se situait toute proche de la zone libre. C'est à ce titre qu'une partie de l'intrigue du célèbre film fictionnel La Grande Vadrouille se situe à Meursault, là même où les héros du film vont tenter de franchir la ligne de démarcation.

Architecture civile

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Château de Meursault du XIe siècle.
Église Saint-Nicolas de Meursault du XVe siècle.

Architecture religieuse

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Lieux et monuments

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Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs depuis 1945
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1945 Maxime Latour   Adjoint faisant fonctions
avril 1945 mai 1945 Henri Emboulas    
1945 1947 Paul Duvernois    
1947 1949 Charles Giraud    
1949 1950 Paul Duvernois   Adjoint faisant fonctions
1950 1959 Henri Emboulas    
1959 1975 Étienne de Moucheron   Capitaine de Cavalerie
1975, puis 1981[20] 2001 Hubert Rougeot   Entrepreneur de Travaux Publics et Viticulteur
2001 2020 Jean-Claude Monnier SE Agriculteur retraité[21]
2020 En cours Denis Thomas[22] LR Retraité de la SNCF, conseiller départemental

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 1 390 habitants[Note 2], en évolution de −4,79 % par rapport à 2015 (Côte-d'Or : +0,44 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3411 6241 7041 9172 0662 1062 1072 2592 178
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2272 4162 6252 6622 7002 6372 6182 5642 512
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 4262 4762 2541 9391 9161 8461 7681 7211 763
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 8691 8311 7331 6451 5381 5981 5671 5631 503
2017 2021 - - - - - - -
1 4251 390-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Personnalités liées à la commune

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  • Jéhan de Massol, conseiller au parlement de Bourgogne, bienfaiteur des Hospices de Beaune en 1669, seigneur en partie de Meursault
  • Hugues de Salins, médecin du XVIIe siècle, défenseur des vins de Bourgogne, y est mort en 1710.
  • Gérard Oury a tourné à Meursault plusieurs scènes du film La Grande Vadrouille, dont la scène de la Kommandantur dans le cadre de la mairie actuelle. Certaines autres séquences censées se dérouler à Meursault furent filmées en réalité dans l’Yonne à Vézelay et Noyers-sur-Serein.
  • André Ropiteau (1904-1940), né à Meursault, écrivain, ethnologue, photographe et négociant français - passionné de la Tahiti et de la Polynésie ainsi que de Pierre Loti, membre de la Société des océanistes, mort au combat en juin 1940 devant Toul[27].
  • Les frères Charles-Henry et Philibert Bouzereau, officiers de l'armée de Napoléon 1er, nés et morts à Meursault.
  • Henri Maldiney, philosophe, y est né.
  • Albert Corey, [Meursault 1878 - Paris 1926], médaillé olympique aux J.O. de Saint Louis (USA) en 1904, où il était le seul Français présent[28].
  • Marcel Leyat, [Die 1885 - 1986], avionneur et aviateur, concepteur notamment de plusieurs voitures à hélice. Installé à Meursault après 1922 en vue d’industrialiser son invention, grâce à l’aide du notaire Charles Carmaniolle, il finit par renoncer. Le notaire se tuera au volant de son Helica en 1926.
  • Yves Henry (1959-), pianiste classique français, il créa en 1986 le festival de musique "Bach à Bacchus". Il est propriétaire avec sa femme du domaine Marthe Henry.

Héraldique

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Blason de Meursault Blason
Bandé d'or et d'azur de six pièces, à la bordure de gueules.
Détails
Avant que les Valois ne soient les ducs de Bourgogne, il s'agissait du blasonnement du duché de Bourgogne.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Culture et festivités

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  • Prix Paulée de Meursault
  • Paulée de Printemps (anciennement Banée de Meursault)
  • Participations à la Saint-Vincent tournante en 1949, 1972 et 2001
  • Rougeot Trail « Meursault by Night »
  • Vide-grenier de l'association de l'Amicale Murisaltienne du Quartier de l'Hopital (AMQH), le premier dimanche de juillet

Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Lebel, Paul., « Le nom de Meursault », Annales de Bourgogne,‎ , p. 108-111 (lire en ligne)
  2. « DicoTopo », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
  3. (en) « -isc - Wiktionary », sur en.wiktionary.org (consulté le ).
  4. L. Gandelot, Histoire de la ville de Beaune et de ses antiquités, Louis-Nicolas Frantin, (lire en ligne)
  5. Pneu Michelin (Firm), Bourgogne, Morvan, Paris, Services de tourisme Michelin, (lire en ligne)
  6. « muris — Wiktionnaire », sur fr.wiktionary.org (consulté le ).
  7. L. Berthoud et L. Matruchot, Noms de lieux habités 3 (lire en ligne)
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Meursault et La Rochepot », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « La Rochepot », sur la commune de La Rochepot - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « La Rochepot », sur la commune de La Rochepot - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  15. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beaune », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Clément-Janin, Michel-Hilaire, Traditions populaires de la Côte-d'Or, recueillies par Clément-Janin, Dijon, , p. 43 (46° 58′ 04″ N, 4° 45′ 13″ E)
  20. https://www.legifrance.gouv.fr/jo_pdf.do?id=JORFTEXT000000850614
  21. https://www.lemonde.fr/bourgogne-franche-comte/cote-d-or,21/meursault,21412/
  22. « Meursault Denis Thomas élu maire », sur bienpublic.com, (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « André Ropiteau. 1904-1940 (note biographique) », sur persee.fr (consulté le ).
  28. Albert Corey, La France aux Jeux Olympiques de 1904, Clément Genty, 2021, l’Harmattan

Articles connexes

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Liens externes

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