Noirétable
Noirétable | |||||
Église de l'Assomption-de-la-Vierge | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Loire | ||||
Arrondissement | Montbrison | ||||
Intercommunalité | Loire Forez Agglomération | ||||
Maire Mandat | Julien Degout 2021-2026 | ||||
Code postal | 42440 | ||||
Code commune | 42159 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Nétrablais, Nétrablaise[1] | ||||
Population municipale | 1 582 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 39 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 49′ 05″ nord, 3° 45′ 56″ est | ||||
Altitude | Min. 656 m Max. 1 351 m | ||||
Superficie | 40,34 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Boën-sur-Lignon | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Loire Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes | |||||
Liens | |||||
Site web | noiretable.fr | ||||
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Noirétable, en occitan auvergnat Neitrable[2], est une commune française située dans le département de la Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes, et faisant partie de Loire Forez Agglomération.
Géographie
[modifier | modifier le code]Noirétable fait partie du Forez, dans sa partie montagneuse. La commune est située à 24 kilomètres à l'est de Thiers[3], à 43 kilomètres au nord-ouest de Montbrison[4], à 5 kilomètres au sud de la sortie 4 de l'autoroute A72 reliant Clermont-Ferrand à Saint-Étienne.
Noirétable est traversé par la D1089, ancienne N89 Lyon-Bordeaux, sur laquelle il est situé entre Thiers (à l'ouest) et Feurs[5] (44 km à l'est-sud-est[6]).
L'Anzon, affluent du Lignon du Forez et sous-affluent de la Loire, prend source dans le sud de la commune[5].
Depuis le Noirétable fait partie du parc naturel régional Livradois-Forez[7].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 017 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Col de la Loge_sapc », sur la commune de La Chamba à 7 km à vol d'oiseau[10], est de 7,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 273,4 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Noirétable est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15] et hors attraction des villes[16],[17].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,2 %), prairies (31,9 %), zones urbanisées (3,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %), terres arables (0,4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestée sous la forme Nigro Stapulo en 1095, Nigro Stabulo en 1130[19]. Formation sur le latin Nigro qui signifie noir et de Stabulum qui désigne une étable, une écurie et par extension une auberge, un gite[19].
Noirétable est une des communes du département de la Loire à faire partie de l'aire linguistique de l'occitan et plus précisément de son dialecte auvergnat et est nommée Neitrable dans cette langue[20]. Non loin à l'est, les communes parlent traditionnellement l'arpitan (francoprovençal). Noirétable s'orthographie alors Nêrtrâblo en arpitan forézien[21].
Histoire
[modifier | modifier le code]XIe siècle
[modifier | modifier le code]Les moines de Cluny s'installent à Noirétable vers la fin du XIe siècle[22] : la première mention écrite connue du prieuré bénédictin de Saint-Bonnet est de 1096 - l'année où Urbain II prêche la première croisade à Clermont-Ferrand. Son hostellerie de la Forêt Noire donne son nom à Nerestable, situé sur une importante voie d'accès vers les grands ports du sud[23].
XIIIe siècle
[modifier | modifier le code]L'Ermitage est installé dans la prairie près d'une fontaine miraculeuse ; son pèlerinage est attesté en 1288. Il attire les pèlerins d'Auvergne - notamment de Thiers et de la vallée de la Dore. Ses chapelains viennent de Clermont. Au fil des siècles, il relève des sulspiciens, bénédictins, franciscains, pères de l'union du Saint-Sacrement, missionnaires de la Salette à partir de 1889[24].
XVIe siècle
[modifier | modifier le code]Le prieuré est supprimé en 1507 peu après l'effondrement de son clocher ; ses bâtiments appartiennent alors aux moniales du couvent de Laveine[23].
Noirétable voit s'installer un des premiers relais des grandes routes de France, avec la première mention d'un maître de poste en 1545 : "Honorable de Fougerolles" y est portier du Roi[23]. Le relais est situé à 872 m d'altitude au col des monts du Forez, à la limite des généralités d'Auvergne et du Lyonnais. Montaigne y passe le 15 novembre 1581 à son retour de Rome vers sa mairie de Bordeaux[24]. La route Lyon-Bordeaux, qui y passe, est aménagée juste après celle de Paris-Lyon-Turin[23].
XVIIe siècle
[modifier | modifier le code]Un monastère est créé au début du règne de Louis XIV (1643-1715), dans l'esprit du concile de Trente (1545-1563) : il est aménagé en 1656-1659 comme Maison Royale pour évangéliser les paysans montagnards ; le roi le dote de 126 arpents des Bois de l'Ermitage. Habité à l'origine par 16 prêtres et jusqu'à 30 à son apogée, c'est aussi un séminaire de formation et réputé pour ses missionnaires jusqu'en Haute Auvergne (Salers) et dans le Velay[24].
XVIIIe siècle
[modifier | modifier le code]En 1700 - au milieu du petit âge glaciaire et peu après la grande famine de 1693-1694 -, la paroisse compte 800 habitants vivant principalement dans les hameaux qui entourent un petit village ; le très populaire Mandrin, qui cible les fermiers généraux collecteurs de taxes, officie à Noirétable en 1754. Le nombre d'habitants remonte : 1 500 habitants en 1770, 1 970 habitants en 1801, plus de 2 000 habitants en 1821[25].
Un couvent est bâti en 1745-1748, agrandi en 1898-1900, rebâti après l'incendie de 1951[24].
La D1089 qui traverse la ville[5] est ouverte en 1770 par l'abbé Terray, de Boën, ministre d'État sous Louis XV (règne 1715-1774) ; elle est nommée nationale 83 jusque après 1947[26].
La chapelle des Pénitents, ancienne église du prieuré, est vendue en 1791 à la municipalité et transformée en 'maison commune' ; à terme, elle devient la mairie[26].
XIXe siècle
[modifier | modifier le code]L'oratoire de la Fontaine date de 1870-1878[24].
En 1876 est inaugurée la gare du PLM, avec la gare de la station « Noirétable Station Climatique » ; en 1950 elle vend 12 000 billets par an et le transit de marchandises y est important[27].
XXe siècle
[modifier | modifier le code]L'église est construite en 1931-1936[24].
Le , vers 19 h 20, le Vickers 724 Viscount F-BMCH assurant le vol 696 Air Inter, entre Lyon-Bron et Clermont-Ferrand-Aulnat, s'écrase sur le pic Picot, dans les bois de la Faye[28] à environ 1 000 m d'altitude[28] et à un peu plus de 3 km du village de Noirétable. Arrivant de l'aéroport de Lyon-Bron, l'avion préparait son approche de l'aéroport de Clermont-Ferrand, situé à une quarantaine de kilomètres, dans des conditions météorologiques difficiles. L'accident fait 60 victimes parmi les 68 personnes à bord. L'accident s'est produit sur la commune voisine de Viscomtat, dans le département du Puy-de-Dôme, juste à la limite de la commune de Noirétable[28] mais l'accès des secours, dans la nuit et sous la pluie, et l'évacuation des blessés se sont faits par Noirétable dont le réfectoire du collège fut transformé en chapelle ardente, donnant à l'accident son nom de « crash de Noirétable ». C'est l'accident aérien le plus meurtrier dans la région Auvergne[29].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Noirétable faisait partie de la communauté de communes des Montagnes du Haut Forez de 1996 à 2016 puis a intégré Loire Forez Agglomération.
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].
En 2021, la commune comptait 1 582 habitants[Note 1], en évolution de −1,8 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]-
Une rue de Noirétable. -
Plan d'eau de la Roche.
Noirétable appartient à l'entité des Bois Noirs (secteur couvrant une partie de l'Allier, de la Loire et du Puy-de-Dôme)
- musée sur l'histoire de Noirétable.
- Église Notre-Dame-de-l'Hermitage : au sud de Noirétable, à 1 110 m d'altitude.
- Église de l'Assomption-de-la-Vierge de Noirétable.
- Les forges foréziennes : forge et finition d'articles de coutellerie.
- Le tissage au fil d'or - Pays des Grenadières XIXe & XXe siècle
- CFPPA, dont la spécialité est la traction animale avec cheval avec débardage[38]
- le plan d'eau.
- le lavoir de la Conche.
- le casino.
- La ferme du Phaux.
- Château de Noiretable, XIXe siècle - 31 pièces, 22 chambres, parc de 18 ha
Au mois de mai a lieu le festival les Troncs Sonnés, regroupant des artistes, et des artisans autour du bois[39].
-
Monastère Notre-Dame de l'Hermitage -
Chapelle de la Source, Notre-Dame-de-l'Hermitage. -
Église de l'Assomption-de-la-Vierge.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armoiries de Noirétable se blasonnent ainsi : |
Langue locale
[modifier | modifier le code]Noirétable, s'inscrivant historiquement dans le système linguistique de l'occitan auvergnat influencé par le francoprovençal fait partie du sous-dialecte du parler thiernois et en forme sa limite est[40].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Théodore Levigne (1848-1912), artiste peintre né à Noirétable, il vécut et travailla à Lyon, Paris, et est enterré à Saint-Romain-au-Mont-d'Or (Rhône) sans avoir eu de descendance.
- Paul Veysseyre (1896-1963), architecte français en Indochine et Chine, est né à Noirétable. Il a notamment construit le cercle sportif français et le palais du gouverneur de Shanghaï.
- Benezet Vidal, auteur de langue occitane, a résidé et écrit à Noirétable[41].
- Henri Jourdan (1901-1993) : ancien normalien, directeur de l'Institut français de Bonn puis de Londres. Henri Jourdan a obtenu la médaille des Justes pour ses activités de résistance en aidant à fuir de jeunes étudiants juifs allemands. Il a été le traducteur en français de Ernst Curtius, auteur de Balzac[42].
- Claude Mont (1913-2001), sénateur et député de la Loire, maire de Noirétable de 1965 à 1995.
- François Eugène Manissol (1858-1884) : Natif de Saint-Romain-d’Urfé. Il a étudié à l’école de Les Salles puis à l’école des frères chrétiens de Noirétable puis au prieuré de Saint-Jodard, près de Roanne. Il est ordonné prêtre puis part le dans le Tonkin occidental. Il y est massacré le à Ban Pong (province de Thanh-Hoa).(Voir J.G, « M. Eugène Manissol », in Martyrs confesseurs et serviteurs de la foi, Bourg, imprimerie de J.M. Villefranche, 1892, 249-257).
-
Vue générale de Noirétable. -
Noirétable,
à deux pas du Puy de Dôme et du Puy de Sancy.
Annexes
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Noirétable sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- https://www.habitants.fr/loire-42
- Jean Roux, L'auvergnat de poche, Chennevières-sur-Marne (Val-de-Marne), Assimil, coll. « Assimil évasion », , 246 pages (ISBN 978-2-7005-0319-7), p. 96
- « Distance par la route entre Noirétable et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- « Distance par la route entre Noirétable et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- « Noirétable, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées.
- « Noirétable, carte », sur google.fr/maps (consulté en ).
- Décret n° 2011-874 du 25 juillet 2011 portant classement du parc naturel régional du Livradois-Forez (régions Auvergne et Rhône-Alpes)
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Noirétable et La Chamba », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Col de la Loge_sapc », sur la commune de La Chamba - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Col de la Loge_sapc », sur la commune de La Chamba - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Noirétable ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France - Volume 2, Page 1360 Lire en ligne
- (oc) Josiane Guillot, Tiène Codert et Daniel Brugès, Parlem ! Vai-i qu'as paur ! : Revista trimestrala auvernhata, t. 18 : Los iganauds en Auvèrnha, Clermont-Ferrand / Thiers, Institut d'études occitanes, , « lien brisé »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF] sur macarel.net.
- « Le patois forézien », sur patois.vivant.free.fr (consulté en ).
- [Châtelain 2000] Paul Châtelain (éditeur), « Le quartier du Breuil à la fin du XVIIIe siècle » (texte par l'abbé J.-M. Gouttefangeas du 4 novembre 1947), Bulletin municipal de Noirétable, , p. 1-11 (lire en ligne [PDF] sur noiretable.fr, consulté en ), p. 2.
- Châtelain 2000, p. 4.
- Châtelain 2000, p. 5.
- Châtelain 2000, p. 7.
- Châtelain 2000, p. 1.
- Châtelain 2000, p. 9.
- Rapport de la commission d'enquête, Journal Officiel, , 1443 p. (lire en ligne [PDF]).
- La Montagne, 25 octobre 2012. FR3 Auvergne.
- « NOIRETABLE », sur le site de l'association des maires de France (consulté le ).
- « Une page de 26 ans de la vie de la commune s’est tournée », sur Leprogres.fr (consulté le ).
- Jean-Paul Mazioux, Le Pays de Noirétable, Essai d'histoire locale, , 151 p.
- Adam Compigne, Histoire Documentaire du Pays de Noirétable, , 322 p.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Nos enseignements / Travail du sol par traction animale », Lycée de Chervé - Noirétable(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur eplea-roanne.educagri.fr (consulté en ). « Guide des formations qualifiantes & adultes 2018 » [PDF], sur aura.chambres-agriculture.fr (consulté en ), p. 4.
- Festival les Troncs Sonnés, Actu Environnement, 2010
- Dany Hadjadj, Pays de Thiers: le regard et la mémoire, Presses Univ Blaise Pascal, (ISBN 978-2-84516-116-0, lire en ligne), p. 251
- Jean Roux, De la renaissance d'une langue occitane littéraire en Auvergne au début du XXe siècle, perspectives et avenir (Thèse en études occitanes sous la direction d'Hervé Lieutard), Montpellier, Université Paul-Valéry, soutenue en 2020 (lire en ligne), p. 183.
- Norbert Verdier, « Henri Jourdan (1901-1993) intellectuel nétrablais contre Hitler », Bulletin du cercle d’études sur la Seconde Guerre mondiale, no 34, , p. 26-30 (résumé, lire en ligne, consulté le ).