Rue Robert-Esnault-Pelterie
7e arrt Rue Robert-Esnault-Pelterie | |||
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Situation | |||
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Arrondissement | 7e | ||
Quartier | Invalides | ||
Début | 37, quai d'Orsay | ||
Fin | 13, rue de l’Université | ||
Morphologie | |||
Longueur | 185 m | ||
Largeur | 13 m | ||
Historique | |||
Création | 1836 | ||
Dénomination | Arrêté du | ||
Ancien nom | Anciennement partie de la rue de Constantine (1880-1965) anciennement partie de la rue d’Iéna ( -1880) | ||
Géocodification | |||
Ville de Paris | 8240 | ||
DGI | 8255 | ||
Géolocalisation sur la carte : Paris Géolocalisation sur la carte : 7e arrondissement de Paris | |||
Images sur Wikimedia Commons | |||
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La rue Robert-Esnault-Pelterie est une voie du 7e arrondissement de Paris.
Situation et accès
[modifier | modifier le code]Longeant l’esplanade des Invalides sur son côté est, longue de 185 mètres, elle débute au 37, quai d’Orsay et finit au 13, rue de l’Université. Elle est en sens unique dans le sens sud-nord.
Le quartier est desservi par les lignes 8 et 13 à la station Invalides et par la ligne C du RER à la gare des Invalides.
Origine du nom
[modifier | modifier le code]Elle porte le nom de Robert Esnault-Pelterie (1881-1957), un ingénieur aéronautique, pionnier de la théorie des vols spatiaux.
Historique
[modifier | modifier le code]La section de la rue de Constantine comprise entre le quai d’Orsay et la rue de l’Université a été dénommée « rue Robert-Esnault-Pelterie » par arrêté du .
L’arrêté du a remplacé l’arrêté du qui avait attribué la dénomination « rue Robert-Esnault-Pelterie » à la partie de la rue de Constantine comprise entre les rues Saint-Dominique et de Grenelle.
Proche des quais, la section de la rue de Constantine correspondant à l’actuelle rue Robert-Esnault-Pelterie eut à souffrir de la crue de la Seine de 1910.
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
[modifier | modifier le code]Des soldats sont morts pour la libération de l'hôtel du ministre des Affaires étrangères, le . Une inscription générale et une plaque bien plus récente, posée en 2007, citant le soldat de la 2e DB Jean-Baptiste Ferracci, leur rendent hommage[1].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Un millier de plaques commémorent à Paris l'Occupation et la Libération », sur La Dépêche du Midi, (consulté le ).