Saint-Ondras
Saint-Ondras | |||||
Vue générale. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Isère | ||||
Arrondissement | La Tour-du-Pin | ||||
Intercommunalité | CC Les Vals du Dauphiné | ||||
Maire Mandat | Michel Cleyet-Merle 2020-2026 | ||||
Code postal | 38490 | ||||
Code commune | 38434 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale | 655 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 80 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 31′ 07″ nord, 5° 32′ 52″ est | ||||
Altitude | 410 m Min. 361 m Max. 626 m | ||||
Superficie | 8,15 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Grand-Lemps | ||||
Législatives | 7e circonscription de l'Isère | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Isère Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes | |||||
Liens | |||||
Site web | https://saint-ondras.fr/ | ||||
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Saint-Ondras est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Ses habitants se dénomment les Ondrasien(ne)s[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation et description
[modifier | modifier le code]Saint-Ondras est un petit village positionné sur une colline surplombant la micro-région des Terres froides et la vallée de la Bourbre, petite rivière qui traverse une grande partie du Nord-Isère, laquelle correspond en partie à l'arrondissement de La Tour-du-Pin.
Son territoire est à approximativement situé à égale distance des agglomérations de Grenoble, de Lyon et de Chambéry, soit à une cinquantaine de kilomètres de chacune de ces villes.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Saint-André-le-Gaz | Les Abrets en Dauphiné | |||
Le Passage | N | Charancieu | ||
O Saint-Ondras E | ||||
S | ||||
Chassignieu | Valencogne | Villages du Lac de Paladru |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est bordée dans sa partie occidentale par la rivière de la Bourbre, affluent du Rhône et d'une longueur de 72,2 km[2] et des marais. Cette rivière comptent deux affluents répertoriés sur le territoire :
- le ruisseau de Clandon[3];
- le ruisseau des Fosges, d'une longueur de 1,9 km[4].
- le ruisseau de Biôt
- le ruisseau de Combaud
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 207 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pont-de-Beauvoisin », sur la commune du Pont-de-Beauvoisin à 10 km à vol d'oiseau[7], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 166,3 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Voies de communication
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est traversé par la RD 73.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Ondras est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (64,4 %), terres arables (22,8 %), zones humides intérieures (7,6 %), forêts (3,1 %), prairies (1,8 %), zones urbanisées (0,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Il s'agit d'une petite commune rurale de dimension très modeste comprenant un petit bourg central où se situe la mairie, l'école et l'église paroissiale entouré par quelques hameaux. Cet ensemble est composé essentiellement de maison individuelles, de fermes, pour la plupart réaménagées en maisons de résidence.
Hameaux, lieux-dits et écarts
[modifier | modifier le code]Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux, ainsi que les écarts qui composent le territoire de la commune de Saint-Ondras, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[15].
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Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 293, alors qu'il était de 275 en 2013 et de 257 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 88,6 % étaient des résidences principales, 7,2 % des résidences secondaires et 4,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 92,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,9 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Ondras en 2018 en comparaison avec celle de l'Isère et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,2 %) inférieure à celle du département (8,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 85,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84 % en 2013), contre 61,1 % pour l'Isère et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | Saint-Ondras[I 2] | Isère[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 88,6 | 84 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 7,2 | 8,3 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 4,1 | 7,7 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est traversé par plusieurs routes départementales :
- La RD 73 qui relie la commune des Abrets en Dauphiné à celle de Beaurepaire (Isère)|
- La RD 73m qui relie la RD 76 au bourg central
- La RD 142d qui relie la commune avec celle de Charancieu
- La RD 17c et la RD 76k
La gare ferroviaire la plus proche de la commune est la gare des Abrets - Fitilieu. Celle-ci est desservie par desservie par des bus TER Auvergne-Rhône-Alpes entre les gares de Saint-André-le-Gaz et Chambéry.
Risques naturels et technologiques majeurs
[modifier | modifier le code]L'ensemble du territoire de la commune de Saint-Ondras est situé en zone de sismicité n°3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[16].
Type de zone | Niveau | Définitions (bâtiment à risque normal) |
---|---|---|
Zone 3 | Sismicité modérée | accélération = 1,1 m/s2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Selon André Planck, auteur du livre L'origine du nom des communes du département de l'Isère, le nom de Saint-Ondras est lié au nom de Saint-Honoré (probablement Honoré d'Amiens) dont il est une déformation de forme patoisante[17].
Histoire
[modifier | modifier le code]Antiquité
[modifier | modifier le code]Au début de l'Antiquité, le territoire des Allobroges s'étendait sur la plus grande partie des pays qui seront nommés plus tard la Sapaudia (ce « pays des sapins » deviendra la Savoie) et au nord de l'Isère.
Les Allobroges, comme bien d'autres peuples gaulois, sont une « confédération ». En fait, les Romains donnèrent, par commodité le nom d'Allobroges à l'ensemble des peuples gaulois vivant dans la civitate (cité) de Vienne, à l'ouest et au sud de la Sapaudia.
Temps modernes
[modifier | modifier le code]En 1737, il est fait mention du château de Buclas comme propriété de André Nicolas de Virieu, chevalier, descendant de la branche cadette des Virieu de Faverges[18].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]- L'église
- Le hameau de Vercourt en 1908.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de La Tour-du-Pin du département de l'Isère.
Elle faisait partie depuis 1803 du canton de Virieu[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton du Grand-Lemps
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la septième circonscription de l'Isère.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Saint-Ondras, jusqu'alors commune isolée, était membre de la communauté de communes Bourbre-Tisserands, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2014 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Les Vals du Dauphiné, dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].
En 2021, la commune comptait 655 habitants[Note 1], en évolution de +5,48 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.
Médias
[modifier | modifier le code]Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton, quelquefois de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
Cultes
[modifier | modifier le code]La communauté catholique et l'église de Saint-Ondras (propriété de la commune) dépendent de la paroisse Sainte-Anne qui est, elle-même, rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[25].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Sites architecturaux
[modifier | modifier le code]- L'église paroissiale Saint-Honoré date du XXe siècle. Cet édifice religieux est formé d'une large nef et de deux étroits bas-côtés. La façade assez austère, surmontée par un clocher est percée par une porte centrale en plein cintre surmontée d'une petite rose polylobée dans laquelle est positionnée une horloge[26].
- Le château de Buclas
- Cet édifice civil qui date du XIXe siècle, probablement construit sur le site d'une ancienne maison forte, fut la propriété d'Antonin Dubost, maire de La Tour-du-Pin et président du Sénat sous la IIIe République. Il s'agit d'une propriété privée qui ne se visite pas[27].
- Le moulin La Pérouse
Datant de 1872, ce petit moulin à eau rénové en 2016 se situe en contrebas du bourg au bord du ruisseau du Combeau
- Entrée du domaine du Moulin
- Vue générale sur le moulin
- Roue du moulin (de face)
- Roue du moulin (de côté)
- Plaque indiquant la date de création du moulin
- Vue intérieure du moulin
Sites naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]La ZNIEFF des marais de Clandon, situé en tête du bassin du ruisseau du Clandon, affluent de la Bourbre. Le site est caractérisé par une mosaïque de milieux naturels : secteurs tourbeux, roselières, étangs et boisements humides[28].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Saint-Ondras dans les arts et la culture
[modifier | modifier le code]La commune est connue pour avoir accueilli l'écrivain Christian Bobin, lors de son écriture de L'Inespérée. C'est d'ailleurs une Ondrasienne (Gislaine dans le texte) qui a inspiré l'écrivain pour la constitution de la petite histoire « La plus que vive »[29].
L'action de l'œuvre se déroule elle-même dans le village :
« [Ce] village où parfois vous passez quelques jours sans rien faire, pas même écrire, surtout pas écrire, le village de Saint-Ondras, en Isère[30] »
« Les fleurs sur la tombe de Saint-Ondras, en Isère, ont fané une semaine après ton enterrement[30] »
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune de Saint-Ondras (38434) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, (consulté le ).
- « Saint-Ondras » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Ondras ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Ondras - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Ondras - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Isère - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Site habitants.fr page sur le noms des habitants des communes de l'Isère, consulté le 6 mars 2019
- Sandre, « Fiche cours d'eau - la Bourbre (V17-0400) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Le ruisseau de Clandon (V1700840) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - le Ruisseau des Fosges (V1701020) » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Ondras et Le Pont-de-Beauvoisin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pont-de-Beauvoisin », sur la commune du Pont-de-Beauvoisin - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pont-de-Beauvoisin », sur la commune du Pont-de-Beauvoisin - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Site géoportail, page des cartes IGN
- Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
- André Planck, "L'origine du nom des communes du département de l'Isère", (ISBN 2-84424-043-7) édition L'atelier, 2006, page 221
- Site Château de France, page sur le château de Buclas, consulté le 6 mars 2019
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Christian Vieux-Melchior, maire de Saint-Ondras », Le Dauphiné libéré, 19/5/2022 mis à jour le 9/7/2022 (lire en ligne, consulté le ) « Il avait été élu pour la première fois comme conseiller municipal en mars 1977, puis en mars 1983 comme adjoint pour deux mandats, avant de s’installer dans le fauteuil de maire de son village en 1995 ».
- « Michel Cleyet-Merle est le nouveau maire », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne, consulté le ) « Michel Cleyet-Merle a été élu maire avec 14 voix et un bulletin blanc ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Site de messe-infos, page sur la paroisse Sainte-Anne
- Site Isère patrimoine, page sur l'église de Saint-Ondras, consulté le 6 mars 2019
- Site château de France, page sur le château de Buclas, consulté le 6 mars 2019
- Site de la DRAD, page sur la Znieff des marais de Clandon, consulté le 6 mars 2019.
- article sur le livre de Christian Bobin, "La plus que vivre, consulté le 6 mars 2019
- La plus que vive, Christian Bobin, Gallimard, 1996, Gallimard/folio, 1999.