Suc d'Achon
Suc d'Achon | |||
Le suc d'Achon depuis le lieu-dit la Pervenchère. | |||
Géographie | |||
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Altitude | 1 148 m[1] | ||
Massif | Meygal (Massif central) | ||
Coordonnées | 45° 06′ 29″ nord, 4° 09′ 56″ est[1] | ||
Administration | |||
Pays | France | ||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||
Département | Haute-Loire | ||
Ascension | |||
Voie la plus facile | sentier entre le lieu-dit la Pervenchère et la stèle de la résistance | ||
Géologie | |||
Roches | Trachyte, phonolite | ||
Type | Dôme de lave | ||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire | |||
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Le suc d'Achon est un sommet situé dans le massif du Meygal, culminant à 1 148 m d'altitude, dans le Velay en France.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Au XVIIIe siècle, tout comme le suc des Ollières, le suc d'Achon a été dénommé les « Tétons de l'Abbesse »[2].
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]La montagne se trouve sur la commune d'Yssingeaux dans le département de la Haute-Loire.
Du sommet, le panorama reste limité, cependant une vue s'ouvre sur l'Yssingelais, le mont Mézenc, le Pilat, ainsi que sur le Meygal, et une partie des Alpes.
Géologie
[modifier | modifier le code]Le suc d'Achon se caractérise par une formation géologique en aiguille, présentant une face abrupte résultant de l'interaction entre le basalte et les sédiments[3],[4].
Activités
[modifier | modifier le code]Protection environnementale
[modifier | modifier le code]Le suc est répertorié dans la ZNIEFF de type 2 « Mézenc - Meygal ».
Randonnée
[modifier | modifier le code]La montagne peut être atteinte en suivant un sentier de randonnée.
Références
[modifier | modifier le code]- « Carte IGN classique » sur Géoportail.
- Roger Brunet, Trésor du terroir. Les noms de lieux de la France, CNRS editions, (ISBN 978-2-271-09278-6, lire en ligne), p. 200
- « Les Sucs volcaniques • Sucs & Loire Tourisme », (consulté le )
- Joan Deville, Le massif volcanique du Mézenc-Meygal en Haute-Loire, Per Lous Chamis, (lire en ligne), p. 126