Veyrier-du-Lac
Veyrier-du-Lac | |||||
Vue de Veyrier-du-Lac depuis la rive occidentale du lac d'Annecy. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Savoie | ||||
Arrondissement | Annecy | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Grand Annecy | ||||
Maire Mandat | Vanessa Bruno 2021-2026 | ||||
Code postal | 74290 | ||||
Code commune | 74299 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Veyrolain | ||||
Population municipale | 2 297 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 280 hab./km2 | ||||
Population agglomération | 6 108 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 52′ 56″ nord, 6° 10′ 41″ est | ||||
Altitude | Min. 441 m Max. 1 291 m | ||||
Superficie | 8,21 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Veyrier-du-Lac (ville-centre) | ||||
Aire d'attraction | Annecy (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Faverges-Seythenex | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Haute-Savoie Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes | |||||
Liens | |||||
Site web | veyrier-du-lac.fr | ||||
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Veyrier-du-Lac est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Veyrier-du-Lac est une commune de la rive est du lac d'Annecy, située à 5 km au sud-est de la ville d'Annecy, située le long du lac au pied du mont Veyrier.
Les parties constructibles de la commune sont celles situées sur l'étroite bande de terre de quelques centaines de mètres de large entre la montagne et le lac. De temps en temps des éboulements peuvent se produire comme en 2009 où un rocher de 17 tonnes s'est détaché du Mont-Veyrier sans causer de dommages majeurs. Plusieurs éléments de protection existent pour prévenir les chutes de pierre.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Annecy (Annecy-le-Vieux) | Alex | |||
Lac d'Annecy face à Annecy et Sevrier | N | |||
O Veyrier-du-Lac E | ||||
S | ||||
Menthon-Saint-Bernard |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Veyrier-du-Lac est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Veyrier-du-Lac[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[2],[3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Annecy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[3]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4],[5].
La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac d'Annecy, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[6]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[7].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (44,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (44,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,7 %), eaux continentales[Note 4] (39,8 %), zones urbanisées (16 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,5 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Toponymie
[modifier | modifier le code]La commune de Vairier devient officiellement Veyrier-du-Lac, au lieu de Vairier d'Annecy, par le décret du (paru au J.O. du )[9],[10].
Le toponyme « Veyrier » proviendrait d'un ancien fundus romain (domaine gallo-romain) Viriacus ou Veriacus, formé par le gentilice Virius ou Verius, associé au suffixe -acus[11]. On trouve les formes Vaire ou encore Variacum, Variaci sur le cartulaire de l'abbaye de Talloires de la fin du XIIe siècle- début du XIIIe siècle[12],[13]. Puis plus tard, la forme Voyriey est mentionnée en 1257, ensuite la forme Vairier semble se stabiliser avec notamment la variante Vairier d'Annecy[9],[11].
En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Vêrî (graphie de Conflans) ou Vêrér (ORB)[14].
Histoire
[modifier | modifier le code]Périodes préhistorique et antique
[modifier | modifier le code]Sur les nombreuses grottes que l'on trouve au pied de la montagne, côté lac d'Annecy, seules la grotte dite « Trou du Renard »[15],[16] ou encore la grotte du Fortin contiennent des traces remontant à la période du Néolithique (squelettes, poteries)[17]. La station préhistorique de Vieugy, au lieu-dit « Sous les Guerres », est considérée comme plus importante avec la découverte d'outils (meules, pierres à broyer, poteries) ou encore une hache de bronze[16],[17].
Le site se trouve en territoire des Allobroges qui contrôlent l'avant-pays plat, entre le Rhône et les Alpes[18].
Les Romains interviennent dans les environs à partir du IIe siècle av. J.-C. Une fois le territoire pacifié, ils construisent des routes afin de commercer et notamment la route secondaire reliant Turin à Genève, passant par le village de Verthier en provenance de la mansio Casuaria (village de Viuz sur la commune de Faverges), qui se développe au Ier siècle, sur la rive droite du lac[19]. Toutefois, Veyrier possède les traces d'une villa au lieu-dit Morat[16], dont le nom en latin muratum semble évoquer d'anciennes murailles[20]. Sur le même site, des traces attribuées à la présence burgonde ont été retrouvées (sarcophage, monnaies, poteries ou encore des sépultures)[16].
Période médiévale
[modifier | modifier le code]La paroisse est mentionnée au XIIe siècle, sous les formes Vaire ou encore Variacum[13]. Bien que mentionnée dans le cartulaire de l'abbaye de Talloires de la fin du XIIe siècle- début du XIIIe siècle[12], la paroisse, dédiée à saint Maurice d'Agaune, ne semble pas dépendre du monastère[13]. Elle est réunie à la collégiale de Notre-Dame d'Annecy en 1587[13].
Veyrier appartient à la famille de Menthon[21]. Les habitants relèvent de la châtellenie d'Annecy[21].
Période contemporaine
[modifier | modifier le code]La culture de la vigne
[modifier | modifier le code]Les pentes situées en dessous de la Montagne de Veyrier accueillent des vignes[22]. Au début du XXe siècle, la surface est estimée à 26 ha au niveau des villages de Chavoires et de Chabloux[22].
Développement touristique
[modifier | modifier le code]En 1935, à l'initiative du banquier annécien Léon Laydernier, un téléphérique est aménagé entre la commune et le mont Veyrier. La gare d'arrivée offre un remarquable belvédère sur Annecy, son lac et sa région et dispose d'un hôtel-refuge de douze lits[23],[24],[25].
Dans les années 1980, l'infrastructure devient vieillissante et l'activité touristique tourne au ralenti[25],[26]. Les nouvelles réglementations en matière de sécurité imposent dès lors la fermeture de l'activité en 1984[25],[26]. La commune de Veyrier rachète l'ensemble pour un franc symbolique[25]. À la suite d'un incident, la gare supérieure est démolie en 2001[26]. En 2014, la gare inférieure du téléphérique est aménagée pour accueillir la cinémathèque des Pays de Savoie et de l'Ain[27].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Situation administrative
[modifier | modifier le code]La commune appartient au canton de Faverges, qui depuis le redécoupage cantonal de 2014, est composé de 27 communes dont Alex, Lathuile, La Balme-de-Thuy, Chevaline, Le Bouchet-Mont-Charvin, Les Clefs, Cons-Sainte-Colombe, La Clusaz, Doussard, Entremont, Giez, Dingy-Saint-Clair, Marlens, Le Grand-Bornand, Montmin, Lathuile, Saint-Ferréol, Seythenex, Manigod, Saint-Jean-de-Sixt, Les Villards-sur-Thônes, Talloires, Thônes, Lathuile, Serraval. La ville de Faverges en est le bureau centralisateur[28]. Auparavant la commune était attachée au canton d'Annecy-le-Vieux.
Elle est aussi membre du Grand Annecy qui remplace depuis le la communauté de communes de la Tournette, qui comportait quatre communes.
La commune relève de l'arrondissement d'Annecy et de la deuxième circonscription de la Haute-Savoie.
Liste des syndics et maires
[modifier | modifier le code]Durant la période du duché de Savoie (XVe siècle à 1792), la commune est gérée par un premier syndic et son conseil. Ce dernier est désigné pour un an. La charge de syndic disparaît en 1792 lorsque le duché est occupé par les troupes révolutionnaires françaises. L'administration française met en place la fonction de maire. À la suite de la Restauration des États de Savoie en 1815, Veyrier retrouve le système de gestion sarde jusqu'à l'Annexion de la Savoie à la France (1860).
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Ses habitants sont appelés les Veyrolaines et les Veyrolains[9].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].
En 2021, la commune comptait 2 297 habitants[Note 5], en évolution de −0,48 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements éducatifs
[modifier | modifier le code]La commune de Veyrier-du-Lac est rattachée à l'académie de Grenoble[34].
Au , Veyrier-du-Lac compte 1 école maternelle[35] et 1 école élémentaire[36], toutes deux publiques. Les écoles publiques sont gérées par les services de la mairie de Veyrier-du-Lac[37].
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Festival de Pâques, douzième édition en mars 2016 : festival de musiques anciennes et de musiques baroques, autour de l'orgue Lanfon-Veyrier.
Lieux de cultes
[modifier | modifier le code]La commune de Veyrier-du-Lac appartient à la paroisse Saint-Germain du lac qui regroupe l'ensemble les communes de la rive droite du lac d'Annecy[38]. Elle est l'une des composantes de la doyenné d'Annecy, dans le diocèse d'Annecy[39].
Économie
[modifier | modifier le code]En 2014, la capacité d'accueil de la commune, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 1 702 lits touristiques répartis dans 305 structures[Note 6]. Les hébergements marchands se répartissent comme suit : 68 meublés ; 5 hôtels et un camping[40].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Maurice et son orgue entre 1852 et 1855[41].
- Château de Fésigny ou de La Ruaz (XVIe siècle), restauré, inscrit aux Monuments historiques en 1993[42].
- Ancien téléphérique du Mont-Veyrier et de la station de Veyrier-Mont-Baron (inauguré en 1935)[23]. Il a depuis été transformé en cinémathèque des Pays de Savoie et de l'Ain. Les nouveaux locaux ont été inaugurés le [43].
- Parc de la fondation Marcel-Mérieux.
- Four de Chavoires.
- Belvédères le long de la crête montagneuse du Mont Veyrier et du Mont Baron.
Espaces verts et fleurissement
[modifier | modifier le code]En 2014, la commune de Veyrier-du-Lac bénéficie du label « ville fleurie » avec « une fleur » attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[44].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Veyrier-du-Lac se blasonnent ainsi : De gueules à la croix d'argent, chargée d'une grappe de raisin de pourpre, feuillée et pamprée de sinople, cantonnée de quatre poissons d'azur, la tête d'or et lorrés du même, affrontés deux à deux en sautoir. |
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Paul-André Doyen (1881-1974), général de la Seconde Guerre mondiale, maire de Veyrier pendant 25 ans[45]
- Marc Veyrat (1950-), restaurateur savoyard, ayant possédé le restaurant « La Maison de Marc Veyrat », créé en 1992 sous le nom de « L'Auberge de l'Éridan » et fermé depuis 2009[46].
- Michael Nelson, patron de l'agence de presse Reuters, qui fut dans un premier temps installé à Menthon-Saint-Bernard, dans les années 1970[47].
- Yoann Conte, ancien second de Marc Veyrat lui ayant succédé en 2009 à la tête de l'Auberge de l'Éridan rebaptisée Restaurant Yoann Conte. Celui-ci a pris sa seconde étoile au Guide Michelin en 2013[48].
- Bernard Accoyer, ancien Président de l'Assemblée nationale française, y réside depuis les années 1980[49].
- Georges Salomon (1925-2010), industriel français du ski et fondateur de la marque ski, a résidé à Veyrier à la fin de sa vie dans une demeure située dans une grande propriété attenante au lac d'Annecy[50].
- Charlotte Béquignon-Lagarde (1900-1993), juriste et magistrate française.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Bernard Prémat et Nicole Schneider, Veyrier-du-Lac : du vignoble à la résidence, Annecy, Académie salésienne, , 547 p. (ISBN 978-2-901102-14-4, lire en ligne), p. 462.
- Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Jean-Bernard Challamel, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes. Le Genevois et Lac d'Annecy (Tome III), Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 2-7171-0200-0), p. 211-213 « Veyrier-du-Lac ».
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site officiel
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Veyrier-du-Lac comprend trois villes-centres (Menthon-Saint-Bernard, Talloires-Montmin et Veyrier-du-Lac).
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'impliquent donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[40].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
[modifier | modifier le code]- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Veyrier-du-Lac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Veyrier-du-Lac ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Annecy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Veyrier-du-Lac », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Henry Suter, « Veyrier-du-Lac », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le ) (consulté en ).
- Jean-Yves Mariotte, « Annecy et ses environs au XIIe siècle d'après le cartulaire de Talloires », Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 130, no 1, , p. 5-32 (lire en ligne).
- Histoire des communes savoyardes 1981, p. 211, « La paroisse ».
- Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 13Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou..
- Alex Bégneu, « Une station du bronze dans la Montagne de Veyrier-du-Lac (près d'Annecy) », Bulletin de la Société préhistorique de France, vol. 54, no 10, , p. 652-656 (lire en ligne).
- Histoire des communes savoyardes 1981, p. 211.
- Prémat et Schneider 1998, p. 13.
- Henri Ménabréa, Histoire de la Savoie, Bernard Grasset, (réimpr. 1960, 1976, 2009), p. 10.
- Alain Piccamiglio et Maxence Segard, « Le site de Viuz-Faverges/Casuaria (Haute-Savoie) : agglomération, sanctuaire et villa dans la cluse d'Annecy », Revue archéologique de Narbonnaise, vol. 38, no 39, , p. 105 (lire en ligne).
- Prémat et Schneider 1998, p. 45.
- Histoire des communes savoyardes 1981, p. 211, « La Seigneurie et châteaux ».
- Histoire des communes savoyardes 1981, p. 212, « La vigne ».
- Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (ISBN 978-2-84206-374-0, lire en ligne), p. 135.
- Hélène Viallet Archives départementales de la Haute-Savoie, Conservatoire d'art et d'histoire de la Haute-Savoie, Du rail au câble : à l'assaut de la montagne : 1860-1940, Archives départementales de la Haute-Savoie, , 94 p., p. 39.
- Prémat et Schneider 1998, p. 462.
- La Rédaction, « Veyrier-du-Lac : les belles heures du téléphérique », Le Messager, (lire en ligne).
- La Rédaction, « Veyrier-du-Lac : la cinémathèque des Pays de Savoie et de l'Ain inaugurée locale », Le Messager, (lire en ligne).
- « Décret no 2014-185 du portant délimitation des cantons dans le département de la Haute-Savoie », Légifrance, (consulté en ).
- Georges Bise, « Le maire poussé à la démission par son conseil à Veyrier-du-Lac », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne).
- Georges Bise, « Vanessa Bruno élue maire de Veyrier-du-Lac », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Ecole à Veyrier-du-Lac »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site de l'Education nationale, (consulté le ).
- « Ecole maternelle publique Alice Delean »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site de l'Education nationale, (consulté le ).
- « Ecole élementaire publique Alice Delean »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site de l'Education nationale, (consulté le ).
- « Ecole à Veyrier-du-Lac »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur site de la mairie de Veyrier-du-Lac (consulté le ).
- « Paroisse Saint-Germain du lac », sur le site du diocèse d'Annecy (consulté le ).
- « Doyenné d'Annecy », sur le site du diocèse d'Annecy (consulté le ).
- « La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté en ) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergements (fichier : Détail des capacités 2014, .xlsx) ».
- Michel Sollberger, La Paroisse Saint-Maurice de Veyrier : ses origines, son histoire et son rayonnement, Paroisse catholique Saint-Maurice, 1989, 73 pages. Plaquette éditée à l'occasion du 200e anniversaire de la reconstruction de l'église paroissiale.
- « Château de Fésigny », notice no PA00125745, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- La Rédaction, « Veyrier-du-Lac : la cinémathèque des Pays de Savoie et de l'Ain inaugurée locale », Le Messager, (lire en ligne).
- « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
- Jean-Paul Chavas, « Le général Doyen, héros militaire et serviteur de Veyrier-du-Lac », sur ledauphine.com, (consulté le ).
- « Marc Veyrat ferme son restaurant pour raisons de santé » publié sur le site du Dauphiné libéré
- "CASTRO AND STOCKASTER a Life in Reuters", par Michael Nelson, décembre 2011, éditions Matador
- http://www.yoann-conte.com/fr/hotel-restaurant-annecy-site-officiel.php
- Le Canard enchaîné, .
- Les pépites du lac, Lepoint.fr, 14 juin 2012, consulté le 10 juillet 2013