8th Air Force
8th Air Force | |
Emblème de la Huitième Air Force. | |
Création | |
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Pays | États-Unis |
Branche | United States Air Force |
Fait partie de | Air Force Global Strike Command |
Garnison | Barksdale Air Force Base, Louisiane |
Surnom | « The Mighty Eighth » |
Devise | « La paix par la force » |
Guerres | Seconde Guerre mondiale Guerre du Pacifique Guerre de Corée Guerre du Viêt Nam Guerre du Golfe Guerre d'Irak |
Commandant | Jason Armagost (en) : – Titulaire |
Commandant historique | James H. Doolittle Ira C. Eaker Carl A. Spaatz Samuel E. Anderson (en) |
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La Huitième Air Force (8 AF) est une force aérienne numérotée (Eighth) du Global Strike Command de l'United States Air Force (AFGSC). Le VIII Bomber Command de l’United States Army Air Forces a été créé au début de 1942, et fin février 1944 sera baptisée Eighth Air Force.
Au XXIe siècle, elle est située à la base de Barksdale en Louisiane. Le commandement sert comme Air Forces Strategic - Global Strike, une des composantes du Strategic Command (USSTRATCOM).
La Huitième Air Force est le cœur de la force de bombardement lourd américaine : avec les avions B-2 Spirit, le B-52 Stratofortress et le Northrop Grumman B-21 Raider.
Historique
[modifier | modifier le code]Cette formation a eu plus de la moitié des pertes totales durant la Seconde Guerre mondiale des USAAF, incluant 26 000 tué au combat. Tout au long de la guerre, la météo a réduit le nombre d'opérations de 45 % et dix % des avions envoyés au combat dans l'Europe de l'Ouest et l'Europe du Nord, annulèrent leur vol ou furent rappelés[1].
La 8e Air Force ne trouva jamais le moyen de concilier précision et protection maximale. Ce casse-tête allait irrévocablement conduire ces bombardements intensifs aux tapis de bombes où quelques-unes d'entre elles touchaient la cible et où les autres se dispersaient un peu partout. Dans leurs écrits, Douhet et Mitchell avaient essayé de donner l'avantage aux attaquants, mais tant que la Flak et les chasseurs de la Luftwaffe (Wehrmacht) restaient redoutables, les défenseurs empêchaient toujours les bombardements d'être précis.
Haywood S. Hansell informa ses supérieurs « qu'il serait [...] plus souhaitable de revenir aux bombardements individuels, mais que le coût en était trop élevé ».
- Giulio Douhet avait prophétisé une nouvelle forme de guerre, reposant sur l'annihilation plutôt que l'usure. Il n'avait pas prévu le genre de guerre — rapprochée, brutale et prolongée — qui était nécessaire pour maîtriser le ciel.
- Curtis LeMay — « Old Iron Ass » (cul de ferraille) pour ses hommes — pragmatique et dur, profondément sceptique, qui ne voyait et ne se préoccupait que d'opérations, de combat et de tactique, était l'homme idéal pour prendre les commandes de ses nouvelles missions.
Alors qu’il était commandé par le colonel Curtis LeMay, le 305th Operations Group (en) a été le pionnier de nombreuses formations de bombardement et de procédures de bombardement qui sont devenues les procédures opérationnelles standard de la Eighth Air Force[2].
En , le 305th Operations Group (en) de LeMay reçut l'ordre de quitter la base de Grafton Underwood (RAF Grafton Underwood (en)) pour rejoindre la nouvelle base mieux équipé à RAF Chelveston (en). À cette époque, ses équipages, qui avaient fait des progrès, se surnommaient les « On peut le faire ». Ils allaient avoir besoin de cette confiance. Leur cible suivante était l'Allemagne[3].
Situation 1943
[modifier | modifier le code]La directive Pointblank de juin 1943 réoriente l’effort de bombardement stratégique allié contre l’aviation allemande afin de la réduire au point qu’elle ne puisse plus s’opposer à l’invasion (opération Overlord) prévue de la France à la mi-1944.
En octobre 1943, dans la 8e Air Force, moins d'un homme sur quatre pouvait espérer terminer sa rotation de vingt-cinq missions de combat. Les statistiques étaient dures à lire : deux hommes sur trois pouvaient s'attendre à mourir au combat ou à être capturés. Et 17 % à être gravement blessés, victimes d'une dépression invalidante ou à mourir dans un accident d'avion au-dessus du sol anglais.
Seuls 14% des aviateurs assignés au groupe de bombardement du commandant John C. Egan (en), à son arrivée en Angleterre en mai 1943, parvinrent au terme de leur vingt-cinquième mission. À la fin de la guerre, la 8e Air Force comptait plus de morts - vingt-six mille - que tout le corps des US Marines. 77 % des Américains qui prirent les airs contre le Reich avant le Jour J furent victimes de la guerre[4].
Affectation hiver 1943
[modifier | modifier le code]Pour la plupart des jeunes gens qui sortaient des écoles de bombardiers ou de navigateurs étaient tout aussi fiers que les tout jeunes pilotes. Elmer Bendiner (en), fêta sa remise de diplôme de navigateur par l'achat d'un trench-coat et d'un pantalon clair très en vogue chez les officiers des Forces armées aériennes. « On m'a offert des cartes de visite à mon nom, avec mon grade. [...] J'étais prêt à partir en guerre. »
Bendiner avait été envoyé au début de l'hiver 1943 à Sioux City, dans l'Iowa, pour prendre le dernier poste vacant du dernier équipage du tout récent 379th Air Expeditionary Wing (en), qui se préparait à partir outre-mer. On l'affecta à un avion baptisé Tondelayo[6]. Le temps qu'ils partent pour l'Angleterre, Bendiner et ses coéquipiers étaient devenus une famille. « C'est autour de Tondelayo, écrit-il, que notre fidélité s'est tissée[7]. »
Son ami Richard Baynes entra en guerre un an plus tard[8]. Comme le nombre de victimes se mit à croitre de l'été à l'automne 1943, on envoya de plus en plus d'équipages en Angleterre, pas en tant que membres d'un groupe de bombardement formé aux États-Unis, mais comme remplaçants dans des groupes décimés tels que le 379e BG de Bendiner et affecté à l'aérodrome de RAF Kimbolton (en) — qui effectua plus de missions et qui largua plus de bombes qu'aucun autre groupe de la 8e Air Force[9].
Est-Anglie, septembre 1943
[modifier | modifier le code]À la fin de l'offensive d'été menée par Ira C. Eaker, l'ennemi paraissait gagner la guerre du ciel au-dessus du Reich. Trois semaines durant, après la mission Schweinfurt–Regensburg, la 8e Air Force amoindrie ne s'aventura pas hors de la zone où ses chasseurs pouvaient la protéger. Et lorsqu'elle s'y risqua, le 6 septembre, ce fut l'un des plus grands fiascos de son histoire[10].
La cible du raid, une usine de roulements à billes de Stuttgart[11], cachée par d'épais nuages, perdant un carburant précieux et attendant une ouverture dans la couverture nuageuse, se défendant contre la Luftwaffe. 230 des 338 Forteresses envoyées sur Stuttgart en repartirent la soute à bombes encore pleine. Elles larguèrent l'excédent de poids au hasard sur des « cibles d'opportunité » sur le chemin de retour, certains B-17 plongeaient dans la Manche, à court d'essence. Tondelayo en faisait partie[12].
Onze autres Forteresses étaient à l'eau, et à la nuit tombée, les Britanniques avaient repêché tous leurs équipages. En revenant à RAF Kimbolton (en), Elmer Bendiner (en) apprit que quarante-cinq B-17 avaient été perdus dans une mission qu'on aurait dû annuler par une très mauvaise météo au-dessus du continent, à un moment où soixante-sept Forteresses avaient déjà fait demi-tour. Certains aviateurs eurent l'impression qu'on avait sacrifié des vies afin d'offrir un « bon spectacle » au général Henry Harley Arnold, se trouvant cette semaine-là en Angleterre, pressant Ira C. Eaker de porter à nouveau « le fer plus loin au cœur de l'Allemagne ».
Effectif en Grande-Bretagne
[modifier | modifier le code]Dans les semaines qui suivirent le Jeudi noir (14 octobre 1943)[14], avec le mauvais temps qui s'attardait sur l'Europe et des chefs extrêmement inquiets du moral des troupes, on accorda beaucoup de permissions, de trois ou sept jours, à des équipages épuisés[15]. La plupart des gars se rendirent à Londres, qui ne ressemblait plus à la ville que Robert Morgan avait visitée l'hiver précédent. Il n'y avait alors que 47 000 aviateurs américains en Angleterre, on voyait rarement d'équipages des avions yankees dans la capitale meurtrie par la guerre.
Mais fin 1943, les effectifs de l'Air Force sur l'île avaient gonflé à 286 000. Ces aviateurs ne représentaient qu'un quart des troupes que l'Amérique massait encore en vue du débarquement de l'autre côté de la Manche. Lors des trois derniers mois de 1943, plus de 413 000 soldats débarquèrent dans les ports anglais, portant le nombre de troupes américaines en Grande-Bretagne à plus de 773 000. Au Jour J, on compterait un million et demi de soldats au Royaume-Uni, don 28 % — soit près de 427 000 hommes et femmes — appartenaient à l'armée de l'air américaine[16].
La guerre du pétrole
[modifier | modifier le code]En avril 1944, un mois avant que Carl A. Spaatz ne lance sa campagne contre le pétrole, l'industrie allemande du pétrole de synthèse avait quasiment été épargnée par les bombardements alliés. À partir de fin juin 1944, la 8e Air Force lança une série de raids gigantesques contre des installations pétrolières au nord de Munich, tandis que la 15th USAAF continuait de pilonner Ploiești (Opération Tidal Wave), ainsi que des sites pétroliers en Allemagne du Sud, en Autriche et en Hongrie.
Les Américains accomplirent l'essentiel de cette campagne contre le pétrole, qui fut le premier vrai test de la doctrine de l'armée de l'air selon laquelle les bombardements stratégiques de jour pouvaient mettre à l'arrêt l'économie allemande[17]. Cet été-là marqua le début des véritables bombardements stratégiques. Durant toute la guerre, les forces aériennes anglo-américaines larguèrent plus de 1,4 million de tonnes d'explosifs sur l'Allemagne nazie. Plus de 70 % de ce tonnage furent lâchés après le , dont une part comparativement faible mais critique (200 000 tonnes environ) sur des cibles pétrolières.
Les force aériennes stratégiques américaines allaient effectuer 347 attaques différentes contre des installations pétrolières, et le Bomber Command britannique 158 autres. Les cibles principales de la 8e Air Force étaient les usines de Leuna[18], situées à 5 km du centre de Mersebourg, à 150 km au sud-ouest de Berlin, le complexe plus vaste encore de Pölitz[19], dans les bassins houillers de Silésie, à 110 km au nord-est de la capital. Ensemble, ces installations produisaient plus d'un tiers du carburant liquide obtenus selon le procédé Bergius en Allemagne.
L'attaque contre les raffineries entamée en mai 1944 fut, selon les termes d'Albert Speer, le « premier coup sérieux » porté à l'industrie allemande. L'effet fut immédiat sur la production. Si le gouvernement ne prenait pas de mesures d'urgence pour renforcer les défenses aériennes des usines de pétrole synthétique, « une situation intenable pour l'approvisionnement en carburant de la Wehrmacht et du pays surviendrait [...] en septembre [...] et pouvait conduire à des résultats tragiques », annonçait Speer à Hitler[20].
Forces aériennes
[modifier | modifier le code]À partir du , elle sera baptisée Eighth Air Force et continuera son rôle de bombardement stratégique pour l'USAF. De juin à septembre elle participe à l'Opération Frantic depuis les bases aériennes de Poltava et de Pyriatyn.
En , l'ensemble des forces aériennes comptait pour les deux théâtres européen et méditerranéen 1 871 bombardiers du Royal Air Force Bomber Command (dont 1 480 opérationnels) et 5 606 bombardiers américains (dont 4 117 opérationnels)[21].
On y trouve les forces de l'United States Army Air Forces suivantes :
- 8th USAAF (force stratégique) ETO
- 9th USAAF (force tactique) ETO
- Twelfth Air Force (force tactique) MTO
- 15th USAAF (force stratégique) MTO
Les pertes au sur ce théâtre et celui du Mediterranean Theater of Operations ont été pour l'USAAF de 9 949 bombardiers, 8 420 chasseurs et 79 265 personnels manquants[22].
Redéploiement sur le théâtre du Pacifique
[modifier | modifier le code]Après la fin de la guerre en Europe en mai 1945, des plans ont été élaborés pour transférer certains des groupes de bombardiers lourds B-17/B-24 de la Eighth Air Force vers le théâtre d’opérations du Pacifique et les mettre à niveau vers des groupes de bombardement Boeing B-29 Superfortress Very Heavy (VH). Dans le cadre de ce plan, le quartier général de la 8e Air Force est réaffecté à Sakugawa (aérodrome de Kadena), sur l'Île Okinawa, le , et est affecté aux forces aériennes stratégiques des États-Unis dans le Pacifique (en) sans personnel ni équipement[23].
À Okinawa, la 8e Air Force tira son personnel du quartier général du XX Bomber Command désactivé, et le lieutenant-général James H. Doolittle prit le commandement, étant réaffecté d’Angleterre le 19 juillet. Le commandement contrôlait trois aérodromes sur Okinawa, Bolo Airfield (en), Marine Corps Air Station Futenma et l'aérodrome de Kadena. Le , le 8e bataillon reçoit son premier B-29[23].
Guerre de Corée
[modifier | modifier le code]Le , les forces armées de la république populaire démocratique de Corée (Corée du Nord) envahissent la Corée du Sud. Le 27 juin, le Conseil de sécurité des Nations unies a voté pour aider les Sud-Coréens à résister à l’invasion. Bien que la force de bombardiers stratégiques de la 8e Air Force n’ait pas été engagée dans le combat en Corée, la 8e a déployé la 27e escadre d’escorte de chasse pour des actions de combat.
Guerre froide
[modifier | modifier le code]Avec la fin des combats en Corée, le président Dwight D. Eisenhower, qui avait pris ses fonctions en janvier 1953, a appelé à un « nouveau regard » sur la défense nationale. Le résultat : une plus grande dépendance à l’égard des armes nucléaires et de la puissance aérienne pour dissuader la guerre. Son administration a choisi d’investir dans l’armée de l’air, en particulier dans le Strategic Air Command. La course aux armements nucléaires est passée à la vitesse supérieure. L’armée de l’air a retiré presque tous ses B-29/B-50 et ils ont été remplacés par de nouveaux Boeing B-47 Stratojet. En 1955, le Boeing B-52 Stratofortress entra dans l’inventaire en grand nombre, car les Convair B-36 Peacemaker à hélice furent rapidement retirés des unités de bombardement lourd.
Guerre du Viêt Nam
[modifier | modifier le code]En 1965, la Eighth Air Force reprit le combat, cette fois en Asie du Sud-Est. Dans un premier temps, la Huitième a déployé ses unités de bombardiers B-52 et de ravitailleurs KC-135 des États-Unis vers des bases opérationnelles à Guam, Okinawa et en Thaïlande. Puis, en avril 1970, le Strategic Air Command déplaça la 8e division sans personnel ni équipement à la Andersen Air Force Base, à Guam, absorbant ainsi les ressources de la 3e division aérienne. À la base aérienne d’Andersen, la 8e prend la direction de toutes les opérations de bombardement et de ravitaillement en Asie du Sud-Est.
Opérations au-dessus de l’Irak
[modifier | modifier le code]Les unités de la Huitième ont joué un rôle clé dans la guerre du Golfe de 42 jours en 1991. Une unité de la 8e armée de l’air, la 2nd Bomb Wing[24], a été le fer de lance de la campagne aérienne en envoyant des B-52 de Barksdale pour lancer des missiles de croisière conventionnels lancés par voie aérienne contre des cibles irakiennes.
Intégration nouveau service
[modifier | modifier le code]Depuis , une partie de ses services a intégré le tout nouveau Air Force Cyberspace Command, sa mission étant transférée le au 28th Air Division (en) qui constituent l'apport de l'USAF au nouveau United States Cyber Command.
Sous l’égide de l’Air Force Global Strike Command depuis le , la Eighth Air Force contrôle les forces de bombardiers stratégiques (Northrop B-2 Spirit et B-52 Stratofortress, le Rockwell B-1 Lancer et le future Northrop Grumman B-21 Raider) à travers les États-Unis et à l’étranger.
- Configuration unités :
- Eighth Air Force, quartier-général à Barksdale Air Force Base, Louisiane
Ses missions
[modifier | modifier le code]En tant que force aérienne stratégique, la 8th USAAF mène essentiellement des opérations de bombardement sur les pays occupés ou alliés à l'Allemagne nazie.
Ses bases étant pour la plupart situées en Grande-Bretagne, elle opère sur les pays suivants : Allemagne, Autriche, France, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Danemark, Tchécoslovaquie, Norvège et l'Ukraine en 1944 pour l'Opération Frantic.
Ses objectifs sont stratégiques :
Composition de la 8th USAAF
[modifier | modifier le code]Organisation de la 8e Air Force | ||||
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On retrouve deux types de groupes au sein de la 8th USAAF :
- Les groupes de bombardement (BG), dont la mission est de bombarder l'Allemagne et ses alliés
- Les groupes de chasse (FG), dont la mission est d'escorter les bombardiers pour les protéger des chasseurs ennemis.
Les BG de la 8th USAAF sont équipés essentiellement de deux types d'appareil : les B-17 et les B-24.
Les FG de la 8th USAAF sont quant à eux équipés essentiellement de P-38, P-47 et P-51.
Quartiers généraux au
[modifier | modifier le code]- Bushy Park : Quartier général des forces aériennes stratégiques des États-Unis en Europe (USSTAF). Nom de code : Widewing.
- High Wycombe : Quartier général de la 8e AF. Nom de code : Pinetree.
- RAF Bushey Hall (en) : Quartier général de la 8e AF (USAAF Station 341 - QG Chasseurs VIII Fighter Command (en)).
- Affiche de l'USAAF (O'er the ramparts we watch / Sur les remparts que nous surveillons).
- Affiche de recrutement des USAAF représentant un B-17 Flying Fortress.
Bases de la 8e Air Force dans l'Est-Anglie
[modifier | modifier le code]Liste des anciennes bases aériennes de la Royal Air Force
○ | Bases de la 1er division aérienne |
□ | Bases de la 2e division aérienne |
△ | Bases de la 3e division aérienne |
- Emblème de la 1er division aérienne.
- Emblème de la 2e division aérienne.
- Emblème de la 3e division aérienne.
Les différents groupes de bombardements et aérodromes :
- 34 △ : Mendlesham, B-24
- 44 □ : Shipdham, B-24
- 91 ○ : RAF Bassingbourn (en), B-17
- 92 ○ : RAF Podington (en), B-17
- 93 □ : Hardwick (Cambridgeshire), B-24
- 94 △ : Bury St Edmunds, B-17
- 95 △ : Horham, B-17
- 96 △ : RAF Snetterton Heath (en), B-17
- 100 △ : RAF Thorpe Abbotts (en), B-17 « Centième sanglant »
- 303 ○ : RAF Molesworth, B-17
- 305 ○ : RAF Chelveston (en), B-17
- 306 ○ : RAF Thurleigh (en), B-17
- 351 ○ : RAF Polebrook (en), B-17
- 379 ○ : Kimbolton, B-17
- 381 ○ : RAF Ridgewell (en), B-17
- 384 ○ : RAF Grafton Underwood (en), B-17
- 385 △ : Great Ashfield, B-17
- 388 △ : Knettishall, B-17
- 389 □ : RAF Hethel (en), B-24
- 390 △ : Framlingham, B-17
- 392 □ : Wendling (Norfolk), B-24
- 398 ○ : Nuthampstead, B-17
- 401 ○ : Deenethorpe, B-17
- 445 □ : RAF Tibenham (en), B-24
- 446 □ : Bungay, B-24
- 447 △ : RAF Rattlesden, B-17
- 448 □ : Seething, B-24
- 452 △ : RAF Deopham Green (en), B-17
- 453 □ : Old Buckenham, B-24
- 457 ○ : Glatton, B-17
- 458 □ : RAF Horsham St Faith (en), B-24
- 466 □ : Attlebridge, B-24
- 467 □ : Rackheath, B-24
- 486 △ : RAF Sudbury (en), B-24
- 487 △ : Lavenham, B-24
- 489 □ : Halesworth, B-24
- 490 △ : RAF Eye, B-24
- 491 □ : Metfield, B-24
- 492 □ : North Pickenham, B-24
- 493 △ : RAF Debach (en), B-24
Les commandants de la 8th USAAF
[modifier | modifier le code]- Ira C. Eaker: - .
- Newton Longfellow : - [27].
- Frederick L. Anderson : - [28].
- James H. Doolittle : - .
- William Ellsworth Kepner (en) : - .
- Westside T. Larson : - [29].
- James H. Doolittle : - .
- Earle E. Partridge (en) : - .
- Patrick W. Timberlake (en) : - .
[...]
- James C. Dawkins (en) : - .
- Mark E. Weatherington (en) : - .
- Andrew Gebara (en) : - .
- Jason Armagost (en) Major général : - Titulaire.
Liste des missions de combat de la 8th USAAF
[modifier | modifier le code]Les pilotes devaient souvent calmer leur équipage avant le décollage. Cela se passait sur la piste une fois que les hommes, amenés en Jeep ou en camion, étaient devant leur appareil. Pour de nombreux hommes, ce petit trajet jusqu'aux avions qui attendaient était la partie la plus éprouvante de la mission.
« Si ça vous tombe dessus, ça vous tombe dessus à ce moment-là — quelle que soit la peur, l'angoisse ou votre envie de faire demi-tour, se rappela le capitaine Robert Morgan, pilote du Memphis Belle, du 91e BG, le bombardier américain le plus connu de la guerre en Europe. Être en route, c'est un soulagement, en fait. C'est ce foutu trajet jusqu'aux avions qui vous tue presque, conclut-il[30]. »
À l'issue de vingt-cinq missions, les aviateurs seraient renvoyés à la maison pour réaffectation ou assignés à des taches au sol en Angleterre. En mars 1944, ce nombre passa à trente, et en juillet 1944, à trente-cinq. À cette période, les chances de terminer une « nouvelle tournée » de combat étaient seulement d'une sur cinq[31].
Liste non exhaustive :
- : première mission des B-17 de la 8e Air Force (USAAF) sur Rouen : premier bombardement de jour sur l'Europe de l'Ouest[32]
- : quatre-vingt-dix bombardiers sur la Base sous-marine de Lorient. Brouillard épais obligea tous, sauf quinze, à faire demi-tour avant d'arriver sur leur cible. Le 97th Operations Group (en), visèrent juste mais leurs bombes d'une tonne rebondirent sur le toit des abris sous-marins.
- 24-26 et 28-30 juillet 1943 : Blitz Week (en) (semaine-éclair), attaque contre la Norvège (Trondheim et Herøya ) et en duo avec la RAF sur Hambourg et ses usines aéronautiques et chantiers de construction de sous-marins.
- : Opération Tidal Wave, en duo avec la 15th USAAF, contre le complexe pétrolier roumain de Ploiești.
- : mission l'Opération Double Strike « double frappe » sur Regensburg (usines d'avions) et Schweinfurt (fabriques de roulements à billes). Soixante bombardiers détruits et près de six cents hommes trouvèrent la mort.
- : mission avec le 100th Bombardement Group (Heavy), sur 13 B-17, au-dessus de Münster, le Royal Flush B-17F (USAAF s/n 42-6087) que l’équipage de Robert Rosenthal (USAAF officer) (en)[33] pilotait ce jour-là ; a été le seul avion à revenir, avec deux moteurs morts, l’interphone et le système d’oxygène non fonctionnels, et avec un grand trou déchiqueté dans l’aile droite[34].
- : première mission des B-17 équipés de radar H2X au-dessus de Wilhelmshaven en Allemagne[35].
- 20 au : La Big Week « La Grosse semaine » est le nom couramment donné à l'opération Argument, attaques massives sur l'industrie aéronautique du Reich.
- Juillet - août 1944 : Opération Frantic. Utiliser des bases soviétiques par des bombardiers lourds pour toucher des parties jusque là épargnées par les bombardements[36].
- , peu avant la fin de la 2e Guerre mondiale, la ville de Swinemünde (Attaque aérienne sur Swinemünde) en Poméranie a été détruite en grande partie par une attaque aérienne de la 8th USAAF.
Mémoire
[modifier | modifier le code]Connu sous le nom de « Hell's Angels (aircraft) (en) »[37]. Ce fut le premier B-17 à effectuer 25 missions de combat dans la Eighth Air Force, le [38]. Après avoir effectué 48 missions, l’avion retourna aux États-Unis le , pour une tournée publicitaire[39].
- Emblème du 303d Bombardment Group.
- Avions et personnel au sol du B-17 Flying Fortress (oct. 1943) du 358th Bombardment Squadron (en) et du 303rd Air Expeditionary Group (en), RAF Molesworth.
- Hell’s Angels avec son personnel au sol et son équipage après avoir terminé sa trente-et-unième mission.
XXIe siècle
[modifier | modifier le code]Le Air Force Global Strike Command (AFGSC), abrégé en Global Strike Command, est un commandement majeur de l'United States Air Force qui prend en compte les missions nucléaires de l'Armée de l'air des États-Unis à partir d'août 2009[40], missions qui étaient auparavant dévolues à l'Air Force Space Command et à l'Air Combat Command. Son quartier général se situe à Barksdale Air Force Base en Louisiane[41].
Sous l’égide de l’Air Force Global Strike Command depuis le , la Eighth Air Force contrôle les forces de bombardiers stratégiques (par exemple, B-2 Spirit et B-52 Stratofortress, le B-1 Lancer et le future Northrop Grumman B-21 Raider[42]) à travers les États-Unis et à l’étranger. La Eighth Air Force effectue ses missions de combat sous l’égide du Commandement stratégique des États-Unis et des commandements de la composante aérienne des autres commandements régionaux unifiés de combat. La Eighth Air Force dispose de cinq escadres de bombardement de l’armée de l’air régulière, de deux escadres de bombardement de l’intégration totale de la force de la réserve aérienne (une dans le commandement de la réserve de l’armée de l’air et une dans la garde nationale aérienne) et d’un détachement dans la partie continentale des États-Unis.
En 2013, le taux de disponibilité des bombardiers stratégiques américains était le suivant, 75 % pour le B-52, 58 % pour le B-1B et 46,8 % pour le B-29[43].
À partir du , le Global Strike Command prend sous son contrôle l'ensemble des bombardiers stratégiques américains en service et leur successeur Northrop Grumman B-21, son commandement passant à un général quatre étoiles[44].
Les États-Unis disposent à la fin de la guerre du Golfe de 1991 un total de 290 bombardiers, début 2018, le Global Strike Command comprend 157 appareils répartis dans 5 escadres comptant un total de 15 escadrons[45].
La Eighth Air Force comprend le cœur de la force de bombardiers lourds américaines avec les unités suivantes : le bombardier furtif Northrop B-2 Spirit, le bombardier supersonique Rockwell B-1 Lancer, le bombardier lourd Boeing B-52 Stratofortress et le nouveau Northrop Grumman B-21 Raider.
- B-2A Spirit, 82-1069, Spirit of Indiana, 509th Bomb Wing.
- B-1B Rockwell B-1 Lancer.
- U.S. Air Force B-1B Lancer, 34th Bomb Squadron (en).
- Northrop Grumman B-21 Raider. Présentation du premier B-21 le .
Décorations
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Silver Star
Air Medal
Bronze Star
Air Force Distinguished Service Medal
Combat Readiness Medal
Flammes de campagne :
World War II – European-African-Middle Eastern Theater
World War II – Asiatic-Pacific Theater
Air Force Outstanding Unit Award with Combat Valor Device
Air Force Outstanding Unit Award
Croix de la Vaillance (Viêt Nam)
Galerie
[modifier | modifier le code]- B-17F-60-BO Flying Fortress AAF Ser. No. 42-29536 « Mary Ruth », Memories of Mobile, 401st Bomb Squadron, abattu par des chasseurs au-dessus de Hüls, en Allemagne, le 22 juin 1943, avec deux tués et huit capturés.
- B-17G AAF N° de série 44-83575 restauré en configuration militaire et volant sous le numéro de série AAF 42-31909.
- Aérodrome de Thorpe Abbots - 13 novembre 1946.
- Tour de contrôle de la RAF Molesworth, prise le 28 septembre 1944, avec le personnel de l’escadre attendant le retour du 303e groupe de bombardement d’une mission.
- Briefing d’avant-mission, le 9 octobre 1944 avant le raid du 303e groupe de bombardement sur Anklam, en Allemagne, pour attaquer l’usine de composants d’avions d’Arado.
- Le roi George VI passe devant un B-17 Flying Fortress (numéro de série AAF 41-24352) surnommé « Holey Joe » alors qu’il rencontre le personnel du 301st Bomb Group lors d’une visite royale à Chelveston le 14 novembre 1942.
- Le colonel Curtis LeMay félicite officiellement l’équipage d’un bombardier du 305th Bomb Group devant leur B-17 Flying Fortress.
- Mémorial du 351e groupe de bombardement. RAF Polebrook.
- Des B-17 du 384th Bomb Group, volant au départ de l'aérodrome de Grafton Underwood, en Angleterre, lors d'un bombardement.
- B-24 du 445th Bombardment Group, basé à RAF Tibenham, en Angleterre. 6 octobre 1944.
- B-17G-10-VE n° 42-39970 « E-Rat-Icator » 452nd Bomb Group - 730th Bomb Squadron. Photo prise au retour de sa 100ème mission.
- Un équipage de bombardier du 452nd Bomb Group au retour de la mission de Romilly en France[46].
- Photo aérienne de l’aérodrome de Debach - 15 avril 1946.
- Photo de l'équipage du 493d Bombardment Group Consolidated B-24J Liberator 44-40321 « Old Sack », RAF Debach, photo prise au printemps 1944.
- Formation du 493e groupe de bombardement, B-17 Flying Fortress à 27 900 pieds, au-dessus de Schleissmen, en Allemagne, le 9 avril 1945.
- Photographie aérienne de l'aérodrome de la RAF Horsham St Faith, le 16 avril 1946, prise par le 541e Escadron, numéro de sortie RAF/106G/UK/1428. Patrimoine anglais (RAF Photography).
- P-47 du 61e Escadron de chasse, 56e Groupe de chasse, à RAF Halesworth, Angleterre, Seconde Guerre mondiale[47].
- P-47 Thunderbolts du 62e Escadron de chasse en mission d’escorte, 1943.
- Un Focke-Wulf Fw 190A capturé avec des répliques de l’insigne de la Luftwaffe, vers 1942-1943.
- P-51D (au couleur du P-51B-15NA immatriculé n° 324324 B6+S surnommé Old Crow, de l'As Captain Clarence E. "Bud" Anderson Jr. ayant 18 victoires confirmées appartenant au 335th Fighter Squadron, 357th Fighter Group, 8th Air Force)[48].
- Le capitaine Clarence E. Jr. « Bud » Anderson, as du 357e groupe de chasse (en), est assis sur l’aile de son P-51 Mustang (B6-S, numéro de série 44-14450) surnommé « Old Crow ».
- Bombardiers B-24H Liberator consolidés de l'US Army Air Force du 458th Bombardment Group (Heavy), basés à RAF Horsham St Faith, en Angleterre, au-dessus de la mer du Nord avec une escorte rapprochée de Mustangs P-51B/D nord-américains du 352nd Fighter Group. en 1944/45. Les B-24 visibles appartenaient au 753e Escadron de bombardement (lourd) et au 754e Escadron de bombardement (lourd).
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Eighth Air Force » (voir la liste des auteurs).
- La météorologie s'affirme comme un enjeu stratégique durant la période 1939-1945.
- Au cours de l’hiver 1942/43, le 305th était commandé par le colonel Curtis LeMay et a été le pionnier de nombreuses techniques de bombardement de jour utilisées par l’USAAF au-dessus de l’Europe.
- Donald Miller, Les Maîtres de l'Air, poche, 2023, p. 173-174.
- Donald Miller, Les maîtres de l'air, p. 24.
- 379th Bombardment Group (Heavy).
- B-17 42-29896 / Tondelayo.
- Bibliographie ; ouvrage : The Fall of Fortresses: The Classic Account of One of the Most Daring and Deadly Air Battles of WWII / La chute des forteresses : le récit classique de l'une des batailles aériennes les plus audacieuses et les plus meurtrières de la Seconde Guerre mondiale.
- Richard C. Baynes
- Le bilan de combat du 379e était le plus réussi de tous les groupes de bombardiers lourds de la Eighth Air Force. Il détenait des records en ce qui concerne le tonnage de bombes larguées - 26 459 tonnes - plus que toute autre unité, y compris celles opérationnelles avant l’arrivée du 379e au Royaume-Uni.
- Ce 6 septembre 1943, notre village fut victime d'un bombardement par l'aviation anglo-américaine..
- 14 octobre 1943 : la 8th Air Force américaine attaque les usines allemandes de roulements à billes de Schweinfurt.
- Un B-17 Flying Fortress (numéro de série 43-37516) surnommé « Tondalayo » du 305th Bomb Group.
- Un voyage de deux jour à Londres se terminait souvent piteusement pour les aviateurs et leurs permissions.
- Seconde Guerre mondiale : La Huitième Air Force américaine perd 60 des 291 B-17 Flying Fortress lors du Second Raid sur Schweinfurt.
- « mégacuite » de Jack Corner, un mitrailleur de tourelle supérieure originaire du Texas : Jack Corner était un mitrailleur pendant la Seconde Guerre mondiale. En 1943, il faisait partie de l’équipage d’un bombardier B-17F-55-BO appelé “SNAFU” immatriculé sous le numéro 42-29476. Ce bombardier appartenait au 410e escadron de bombardement du 94e groupe de bombardement (BG), qui était attaché à la 8e Air Force américaine.
- Donald Miller, Les maîtres de l'air, p. 332-333.
- Histoire des bombardements stratégiques - Documentaire (vidéo).
- Le 12 mai 1944, 800 bombardiers de l’USAAF attaquent les sites de Leuna-Merseburg, Böhlen, Zeitz, Lutzkendorf et Brüx (au nord-ouest de Prague).
- Usine d'essence synthétique Politz.
- Donald Miller, Les Maîtres de l'Air, p. 473 à 475.
- (en) Army Air Forces in World War II, The German Frontier, Chapter 17: Check at the Rhine.
- Antoine Roger, Forteresses sur l'Europe, Bruxelles, Éditions Rossel, 1980.
- TRANSFÉRÉ À OKINAWA LE 16 JUILLET 1945.
- 2e Escadre de bombardement de combat
- (en) « Jimmy Stewart: True American Patriot », sur www.afrc.af.mil (consulté le ).
- (en) « Clark (William Clark) Gable | American Air Museum in Britain », sur www.americanairmuseum.com (consulté le ).
- En juillet 1942, le général Longfellow devient commandant de la 2e escadre de bombardement de la 8e armée de l’air.
- Directeur adjoint du bombardement en janvier 1942. Un an plus tard, il est nommé commandant général du 8e Bomber Command sur le théâtre d’opérations européen.
- De 1943 à 1945, il commande la Third Air Force dont le quartier général est à Tampa, en Floride. Il a servi en tant que général commandant du 8th Fighter Command en 1945.
- (en) The man who flew the Memphis Belle, Col. Robert Morgan, USAFR, Ret. w/Ron Powers (ISBN 978-1848846913).
- Pertes d'aviateurs américains....
- Le rapport de la première mission des B-17 de la 8e Air Force (USAAF) sur Rouen.
- En mars 1944, l’équipage de Rosenthal, surnommé « Rosie’s Riveters », avec leur B-17F, numéro de série 42-30758 portant le même nom, a terminé son nombre de combat de 25 missions et est retourné aux États-Unis, mais Rosenthal a prolongé son service, effectuant finalement un total de 52 missions.
- Le deuxième raid de Schweinfurt - Le jeudi noir de l'USAAF, octobre 1943.
- (en) « How H2X "Mickey" – Got its name », Radar, 482nd Bombardment Group, 8th USAAF (consulté le )
- « 45th Combat Wing », Esthervilledailynews.com (consulté le ).
- Équipage incroyablement divers : on trouvait un vendeur de voiture, un éleveur, un inspecteur sanitaire, un employé de station-service, un cavalier de rodéo, un étalagiste, un trompettiste, un marin de la marine marchande, un étudiant et un voyageur professionnel. Aucun de ses hommes n'avait rejoint l'Air Force avant Pearl Harbor et trois seulement étaient déjà montés dans un avion avant leur entraînement aux États-Unis.
- La course aux 25 missions.
- B-17 41-24577 / Hell’s Angels / Nombre de missions : 48.
- (en) Air Force Nuclear Enterprise Roadmap report calls for new command, headquarters agency, site officiel de l'USAF, 5 janvier 2024.
- (en) Barksdale chosen for Global Strike Command HQ, Air Force Time. 5 janvier 2024.
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- « Le B-2 en perte de disponibilité », Défense et Sécurité internationale, no 97, , p. 13 (ISSN 1772-788X).
- (en) « AF realigns B-1, LRS-B under Air Force Global Strike Command », sur Air Combat Command, (consulté le ).
- (en) Secretary of the Air Force Public Affairs, « Air Force outlines future of bomber force », (consulté le ).
- Voir les vestes pare-éclats pour les aviateurs.
- Hommages aux vétérans Hubert Zemke.
- Bud Anderson.
Bibliographie
[modifier | modifier le code]: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
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- Mark Ladas et Alan McKay (Traduction), Japon 1944-1945 : La campagne stratégique de bombardement par les B-29 du général Curtis LeMay, Heimdal, , 96 p. (ISBN 978-2840485933).
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- Christian-Jacques Ehrengardt, La Guerre aérienne 1939-1945, Tallandier, , 246 p. (ISBN 978-2235021579).
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- 39-45 (magazine), 2e Guerre mondiale - Historia magazine n° 62 : Tapis de bombes sur l'Europe: les forteresses volantes (ASIN B0173GITTM).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]- Unités de B-17 Flying Fortress de l’United States Army Air Forces (en) : articles utilisés pour la rédaction de ses pages.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- 100th Air Refueling Wing (25 juin 1943 : première mission de combat en Europe pour la Eighth Air Force contre la base de sous-marins de Brême, en Allemagne)
- U-Boot-Bunker Hornisse
- Bombardier (avion)
- Bombardement
- Blitz
- Défense du Reich
- Camp de prisonniers de guerre
- Pilote (aviation)
- Hubert Zemke (en), pilote de chasse pendant la Seconde Guerre mondiale et un as de l’armée de l’air des États-Unis.
- Henry Harley Arnold, promu lieutenant général le 15 décembre 1941, il obtient l'autonomie complète de l'USAAF le 9 mars 1942.
- Paul Tibbets, pilote le bombardier Enola Gay ayant réalisé le premier bombardement atomique de l'histoire sur la ville japonaise d'Hiroshima le 6 août 1945.
- Malcolm C. Grow (en), médecin/chirurgien de l'USAAF, en juillet 1943, reçu la Legion of Merit pour avoir développé des gilets pare-balles pour protéger les équipages de combat.
- Commandant de bord
- Copilote (aviation)
- Mécanicien navigant
- Navigateur aérien
- Opérateur radio navigant
- Viseur Norden
- Bombe (militaire)
- Chasseur-bombardier
- Bombardier-torpilleur
- Musée commémoratif du 100e groupe de bombardement (en)
- National Museum of the United States Air Force
- National Air and Space Museum
- Masters of the Air, mini-série de Tom Hanks et Steven Spielberg est l’histoire du 100e groupe de bombardement pendant la Seconde Guerre mondiale.
- Everett Ernest Blakely (en), pilote commandant de groupe (reçu onze médailles pour son service), dans le 418e Bomber Squadron du 100e Bombardment Group de la 8th Air Force en Europe.
- Combat America est un documentaire américain réalisé pendant la seconde guerre mondiale et narré par Clark Gable.
Liens externes
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- (en-US) Site officiel
- (en) Cible d'aujourd'hui (restaurée) « Effort maximal » Mission de bombardement de la Seconde Guerre mondiale, 1944. (vidéo)
- (en) As du 56th Fighter Group de la Seconde Guerre mondiale du colonel Hubert « Hub » Zemke
- (en) Fondation du 100ème Bomb Group « Jack Kidd, responsable des Opérations du Groupe »
- (en) Les puissants B-17 de la huitième force aérienne en action de combat (vidéo)
- (en) 351st Bomb Group, Polebrook, 1943 (vidéo)
- (en) Création de la 8e armée de l’air au Royaume-Uni
- (en) Army Air Forces : forums et nombreuses archives
- (en) Localisations des unités de l'USAAF au 7 décembre 1941
- (en) Alex Horton, Missy Ryan, Joby Warrick (en) et Dan Lamothe (trad. Le Pentagone a identifié les morts comme étant des membres d’une unité de réserve de l’armée de Géorgie et a déclaré que le nombre d’Américains blessés était passé à plus de 40), « U.S. mixed up enemy, friendly drones in attack that killed 3 », The Washington Post, (consulté le ).
- (en) Principales of opération of the Norden BOMBSIGHT.