Affaire Puerto

Laboratoire situé 92 Calle de Zurbano à Madrid (Espagne) appartenant à José Luis Merino Batres, une personne impliquée dans l'affaire de dopage de l'Opération Puerto.

L'Affaire Fuentes dite Puerto est un scandale de dopage qui touche, entre autres, le cyclisme professionnel au printemps 2006. Le football serait aussi concerné. Puerto est le nom de code de l'opération de dopage organisée par le docteur Fuentes.

Déroulement

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Révélations de Jesús Manzano

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En , dans une interview au journal espagnol AS le cycliste Jesús Manzano explique que Kelme, son ancienne équipe, aurait mis en place un système de dopage par transfusion sanguine[1]. Ses accusations visent notamment Eufemiano Fuentes, ancien médecin de l'équipe.

L'affaire et ses conséquences

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Le mardi , le médecin Eufemiano Fuentes, le manager de l'équipe Liberty Seguros Manolo Saiz, l'ancien vététiste Alberto León, le directeur sportif assistant de l'équipe Comunidad Valenciana José Ignacio Labarta et le responsable d'un laboratoire d'analyses madrilène José Luis Merino Batres sont arrêtés par la garde civile espagnole dans le cadre d'une vaste opération contre le dopage dans le cyclisme. Les policiers découvrent entre autres au cours de leur perquisition une poudre appelée « poussières de la mère Célestine » (« polvos de la madre Celestina » en espagnol), un produit à base de protéase destiné à faire disparaître toute trace d'EPO[2].

La société Liberty Seguros, sponsor de l'équipe de Manolo Saiz depuis 2004, met alors fin à son soutien financier[3], tandis que les noms des coureurs suspectés circulent, suscitant diverses réactions de leurs équipes. Ainsi l'équipe T-Mobile demande à ses coureurs de signer un engagement assurant leur non-implication[4] tandis que la Phonak écarte Santiago Botero et José Enrique Gutiérrez[5].

Le dimanche , l'équipe T-Mobile annonce avoir pris la décision de licencier son directeur sportif, le Belge Rudy Pevenage. Ce dernier avait précédemment été mis à l'écart de l'équipe à la suite de l'éviction de Jan Ullrich du Tour de France.

En octobre 2006, la justice espagnole interdit aux différentes fédérations d'utiliser les éléments du dossier judiciaire pour des sanctions. En attendant le procès qui doit s'ouvrir en , les coureurs concernés sont donc intouchables vis-à-vis des fédérations sportives. Ils devraient tous pouvoir retrouver une licence en 2007.

Le 27 octobre, l'UCI « déplore » de devoir rendre sa licence ProTour à Manolo Saiz et à sa société Active Bay mais la fédération internationale n'a aucun moyen juridique de lui retirer sa licence. Parallèlement, les organisateurs des trois grands Tours ont annoncé que l'équipe de Manolo Saiz ne serait invitée sur aucune des épreuves qu'ils organisent.

En , le journal Le Monde affirme à nouveau que le milieu du football serait touché par cette affaire[6],[7] et annonce « avoir eu accès à une série de documents confidentiels » (les plans de préparation rédigés de la main du docteur sur une simple feuille de papier A4) qui détaillent le programme de préparation de la saison 2005-2006 du Barça et du Real. Et sur ces documents figurent des « inscriptions codées » qui cacheraient des produits dopants. Les documents concerneraient également le Valence CF et le Betis Séville selon le journal.

Le , le magistrat Serrano chargé de l'affaire classe le dossier sans suite. La législation antidopage propre à incriminer les cyclistes dopés n'a été votée que postérieurement à l'ouverture du dossier. D'autre part, le juge estime que les faits de mise en danger d'autrui ne sont pas prouvés. Si les sportifs incriminés échappent à la justice espagnole, ils restent sous la menace de sanctions sportives.

Le , Ivan Basso avoue son implication dans l'affaire Puerto et annonce qu'il veut collaborer avec les enquêteurs. Le 10 mai, le secrétaire général de la fédération de cyclisme espagnol, Eugenio Bermudez, a déclaré que « la fédération [est] là pour aider les coureurs » qui admettront avoir utilisé des transfusions sanguines, s'ils disent la vérité. « Mais quelle que soit l'issue, il faudra respecter la loi espagnole. ». Selon El País, trente coureurs sont intéressés par ce marché si leurs peines sont réduites de quatre ans à un an de suspension.

En , le Comité national olympique italien (CONI) a annoncé son souhait d'entendre les personnes impliquées[8], le procureur Etorre Torri envisageant d'interdire les coureurs concernés de courir en Italie[9].

Le , le Tribunal arbitral du sport (TAS) s’est déclaré compétent pour juger les appels déposés par l’Union cycliste internationale et l’Agence mondiale antidopage (AMA) contre la fédération espagnole de cyclisme.

Le , Alejandro Valverde voit sa suspension de deux années pour son implication dans l'Affaire Puerto confirmée par le Tribunal arbitral du sport. Il perd ses victoires et places d'honneur acquises en 2010, notamment le Tour de Romandie et le Tour méditerranéen. C'est le dernier rebondissement à l'heure actuelle de l'affaire puisque les appels des avocats du coureur ont tous été rejetés.

Première réouverture

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L'Audience provinciale de Madrid a rouvert le dossier en [10], le parquet ayant fait appel.

Mais en , le juge Antonio Serrano avait à nouveau déclaré le classement sans suite du dossier, invoquant les mêmes raisons qui l'avaient poussé à classer l'affaire en .

Seconde réouverture

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Le , l'Audience provinciale de Madrid a, encore une fois, ordonné la réouverture du dossier[11], à la suite des appels du parquet, du Conseil supérieur des sports (CSD), de l'Union cycliste internationale (UCI), de la Fédération espagnole de cyclisme, de l'association des cyclistes professionnels (espagnols) et de l'Agence mondiale antidopage (AMA). En , le parquet requiert «deux années de prison» et «une interdiction d'exercice de leur profession» durant cette même période contre les médecins Eufemiano Fuentes, José Luis Merino et Alfredo Cordova, Yolanda Fuentes - sœur du docteur Fuentes - et les anciens directeurs sportifs Vicente Belda, Manolo Saiz et José Ignacio Labarta. Ils seront jugés pour «délit contre la santé publique»[12]. Le , Eufemiano Fuentes est condamné à 1 an de prison avec sursis.

Dénouement ?

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En , la presse annonce une décision proche sur la suppression ou non des 200 poches de sang[13].

Le , la justice espagnole blanchit le docteur Fuentes[14] et ordonne que les 211 poches de sang ne soient pas détruites, mais qu'elles soient remises « à la Fédération royale espagnole de cyclisme, à l'Agence mondiale antidopage (AMA), à l'Union cycliste internationale (UCI) et au Comité olympique national italien (Coni) »[15].

Sportifs, directeurs sportifs et médecins concernés

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La plupart des coureurs suspectés figurent sur la liste de 31 noms révélée le par la radio espagnole Cadena SER[16],[17] ou sur la liste communiquée par l'UCI à cette même date[18].

Le tableau ci-dessous donne pour chacun des coureurs cités l'état des poursuites judiciaires et/ou disciplinaires à leur encontre. Tous sont concernés par le classement de l'affaire par la justice espagnole en , celle-ci constatant l'absence de loi réprimant le dopage en Espagne à l'époque des faits[19].

Coureur Situation en 2006 Situations judiciaire et/ou disciplinaire Situation en 2011
René Andrle PSK Whirpool Retraité
Vicente Ballester Comunidad Valenciana Blanchi par la justice espagnole le [20] Retraité
Dariusz Baranowski Liberty Seguros BDC
Michele Bartoli, no 3, Sansone[21] Retraité, dernière équipe en 2004 : Team CSC Retraité
Ivan Basso, no 2, Birillo Team CSC Blanchi par la fédération italienne de cyclisme (FCI) le [22], puis, suspendu pour deux ans rétroactif par le CONI, à la suite de ses aveux du , le [23] Liquigas-Cannondale
Joseba Beloki Liberty Seguros Blanchi par la justice espagnole le [24] Directeur sportif de Sub 23-Cafes Baque
David Bernabéu Comunidad Valenciana Blanchi par la justice espagnole le [20] Andalucía-Caja Granada
Frank Schleck Team CSC Paiement de 7 000 euros fait à Fuentes, puis blanchi par sa fédération (paiement prétendument fait pour sa femme) Trek
David Blanco Comunidad Valenciana Blanchi par la justice espagnole le [20] Geox-TMC
José Adrián Bonilla Comunidad Valenciana Blanchi par la justice espagnole le [20] Citi Economy Blue
Santiago Botero, no 4, Nicol[25] Phonak Enquête classée le par la fédération colombienne de cyclisme[26] Directeur sportif de Gobernación de Antioquia-Indeportes Antioquia
Francisco Cabello Andalucía Paul Versan Retraité
Giampaolo Caruso Liberty Seguros Suspendu 2 ans par le CONI[27], puis, acquitté par la commission de discipline de la fédération italienne de cyclisme le [28]. Katusha Team
Ángel Casero Retraité, dernière équipe en 2005 : Comunidad Valenciana Retraité
Javier Cherro Comunidad Valenciana Blanchi par la justice espagnole le [20] Retraité
Alberto Contador Liberty Seguros Blanchi par la justice espagnole le [24] Saxo Bank-Sungard
Allan Davis Liberty Seguros Blanchi par la justice espagnole le [24] et blanchi par l'autorité antidopage du sport australien le . Astana
Ángel Edo Andalucía Paul Versan Retraité
David Etxebarria Liberty Seguros Retraité
Adolfo García Quesada Andalucía Paul Versan Retraité
Carlos García Quesada Unibet.com Retraité
Koldo Gil[29] Saunier Duval-Prodir Retraité
Juan Gomis Comunidad Valenciana Blanchi par la justice espagnole le [20] Retraité
Igor Gonzalez de G. Retraité, Dernière équipe en 2005 : Liberty Seguros Manager d'Euskaltel-Euskadi
José Enrique Gutiérrez, no 12, Bufalo, Guti, Catalan Phonak Gobernación de Antioquia-Indeportes Antioquia
José Ignacio Gutiérrez Phonak Retraité
Tyler Hamilton, no 11, 4142, HMLTN Positif sur la Vuelta 2004, dernière équipe : Phonak Retraité
Roberto Heras, no 14, RH Positif sur la Vuelta 2005, dernière équipe : Liberty Seguros Retraité
Jose Antonio Hermida Multivan Merida Son nom apparaissant dans l'enquête, il a été exclu de la sélection espagnole pour les Championnats du Monde de VTT 2006[30]. Après avoir porté plainte contre sa fédération, Hermida sera finalement indemnisé en 2008, à l'issue d'un arrangement à l'amiable[31]. Retraité
Jesús Hernández Relax-GAM En , Hernández s'est présenté à la police espagnole pour éclaircir les doutes sur son implication présumée dans l'affaire. On apprend, alors, que la police espagnole a fait erreur : son premier nom de famille (Hernández) coïncide avec le deuxième nom de famille de Roberto Heras, à qui, en réalité, se référaient les papiers. Hernández a montré sa disposition à collaborer avec la police espagnole[32]. Saxo Bank-Sungard
Jan Hruška 3 Molinos Resort Retraité
Jörg Jaksche, no 20, Bella, Jorge, JJ, Vains, Vans Liberty Seguros A avoué s'être dopé et avoir été un client du docteur Fuentes le dans le journal Der Spiegel[33]. Il aurait reçu 100 000 euros en récompense de ses aveux et s'est dit prêt à coopérer avec les instances de lutte antidopage. Il est suspendu pour un an par la fédération autrichienne le , mais, abandon des poursuites judiciaires à son encontre[34]. Retraité
Eladio Jimenez Sanchez Comunidad Valenciana Blanchi par la justice espagnole le [20] Retraité
David Latasa Comunidad Valenciana Blanchi par la justice espagnole le [20] Retraité
Manuel Lloret Comunidad Valenciana Blanchi par la justice espagnole le [20] CCN-Valencia Terra I Mar
Francisco Mancebo, no 17, Paco, Goku AG2R Prévoyance RealCyclist.com
José Luis Martinez Comunidad Valenciana Blanchi par la justice espagnole le [20] Elite 2
David Muñoz Comunidad Valenciana Blanchi par la justice espagnole le [20] Elite 2
Isidro Nozal Liberty Seguros Blanchi par la justice espagnole le [24] Sans équipe
Antonio Olmo Menacho Comunidad Valenciana Blanchi par la justice espagnole le [20] Boyaca (Colombie)
Aitor Osa, no 8, ATR OS Liberty Seguros Retraité
Unai Osa, no 7, UNA, 1ai Liberty Seguros Retraité
Marco Pantani Décédé le , dernière équipe : Mercatone Uno
Luca Paolini Liquigas-Bianchi Son domicile a été perquisitionné par la police italienne dans le cadre de l'opération Athena, sur information de la police espagnole. Team Katusha
Javier Pascual Llorente Retraité, dernière équipe en 2005 : Comunidad Valenciana Retraité
Javier Pascual Rodriguez Comunidad Valenciana Blanchi par la justice espagnole le [20] Retraité
Sérgio Paulinho Liberty Seguros Blanchi par la justice espagnole le [24] Team RadioShack
Santiago Perez, no 6, Santi-P, Santi PZ, S.Pere Positif en , dernière équipe : Phonak C.C. Barbot-Efapel
Rubén Plaza Comunidad Valenciana Blanchi par la justice espagnole le [20] Movistar
Nuno Ribeiro LA Aluminios-Liberty S. Sans équipe
Luis León Sánchez Liberty Seguros Rabobank
Michele Scarponi, no 32, Zapatero, Presidente Liberty Seguros A avoué s'être dopé le et s'est dit prêt à coopérer avec le CONI[35]. Il est, d'abord, suspendu 18 mois par le CONI, à la suite de ses aveux[36],puis, suspendu 2 ans rétroactif par le TAS. La suspension réelle fut, donc, de 13 mois[37]. Lampre-ISD
Marcos Serrano, no 13, Alcalde, MS, SRR Liberty Seguros Retraité
Óscar Sevilla, no 5, Sevillano T-Mobile Gobernación de Antioquia-Indeportes Antioquia
Jan Ullrich, no 1, Jan, Yo, Hijo de Rudicio T-Mobile A fait l'objet d'une plainte pour parjure en au parquet de Hambourg[38]. Il fut acquitté en pour vice de procédure[39]". A fait, également, l'objet d'une plainte pour escroquerie au parquet de Bonn, en Allemagne, en [40]. Une analyse ADN a prouvé que des poches de sang retrouvées chez le docteur Fuentes lui appartenaient, en [41]. Un an plus tard, il verse, au parquet de Bonn, une amende à "6 chiffres"[42]. En , il est blanchi par la fédération suisse de cyclisme. Mais, l'UCI a fait appel auprès du TAS[43]. Il est finalement suspendu en par le TAS. Il reconnaît finalement s'être dopé dans une interview parue dans le magazine Focus le Retraité
Alejandro Valverde, no 18, Valv., Piti[44] Caisse d'Épargne Il est suspendu par le CONI, le , de 2 ans de compétitions sur le sol italien[45]. Le , le TAS l'a suspendu de toutes compétitions jusqu'au et l'a déclassé de celles auxquelles il a participé en 2010[46]. Movistar
Ángel Vicioso, no 16, AV, Vcs, Vic Liberty Seguros Androni Giocattoli
Constantino Zaballa, no 19, Falla Caisse d'Épargne Miche-Guerciotti
Carlos Zarate Saunier Duval-Prodir Malgré le classement du dossier par la justice espagnole, il est empêché de courir. Protestant de son innocence, il envoie un courrier à l'Union cycliste internationale dans lequel il propose de donner son ADN afin de la comparer avec celui des poches de sang retrouvées chez le docteur Fuentes[47]. Retraité
  • En gras, les coureurs dont l'implication dans l'affaire fut confirmée et/ou sanctionnée.

Des directeurs sportifs et des médecins ont, également, été identifiés comme participants de l'affaire (comme clients ou en facilitant, administrant et autorisant les pratiques du Dr Fuentes) :

Il y a, également, d'autres sportifs qui furent soupçonnés, mais qui ne furent pas identifiés :

  • Marta Domínguez, no 9, Urco, Urko : d'après les investigations de la police espagnole dans l'opération Galgo en .
  • Fränk Schleck, no 25, Amigo de Birillo : en , peu avant le Championnat du Monde de Varèse, le périodique allemand Süddeutsche Zeitung publie une information qui accuse Schleck d'avoir déposé presque 7 000 euros du docteur Fuentes, organisateur de l'Affaire Puerto et dans laquelle le Luxembourgeois serait impliqué sous le pseudonyme de Amigo de Birillo[48]. Cependant, Schleck nie toute pratique dopante et il peut participer au championnat du monde, après que la police italienne n'a trouvé aucune substance suspecte dans l'hôtel où logeait la sélection du Luxembourg[49]. La semaine suivante, Schleck fait une déclaration devant l'Agence antidopage du Luxembourg, où il reconnaît la véracité du versement à Fuentes à titre de paiement pour une consultation, mais il se déclare innocent et dit ne pas connaître ni avoir recouru aux pratiques dopantes du gynécologue canarien[50]. Finalement, Schleck n'est pas sanctionné car le virement bancaire n'est pas considéré comme une preuve de dopage[51].
  • Mario Cipollini, Pavarotti : selon le journal italien La Repubblica[52].
  • Eddy Mazzoleni, MZD : (impliqué et sanctionné dans l'affaire Oil for Drugs) : selon le journal espagnol El País.

Notes et références

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  1. « dopage.com/actualite-dopage/do… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  2. Plus fort que la mère Denis, la poussière de la mère Célestine Le Monde du 19 août 2008.
  3. Liberty lâche Manolo Saiz, L'Équipe/AFP, 25 mai 2006.
  4. (en) All T-Mobile riders must deny involvement, Cyclingnews.com, 31 mai 2006.
  5. Botero et Gutierrez écartés, L'Équipe, 2 juin 2006.
  6. Le Real Madrid et le Barça liés au docteur Fuentes, Le Monde, 7 décembre 2006.
  7. « Yahoo Sport : toute l’actualité du sport 24h/24, 7 jours sur 7 », sur yahoo.com (consulté le ).
  8. Affaire Puerto - Du nouveau ?, L'Équipe, 10 janvier 2008.
  9. Affaire Puerto - Ettore Torri offensif, L'Équipe, 14 janvier 2008.
  10. L’affaire Puerto est rouverte, Le Soir/AFP, 14 février 2008.
  11. « france24.com/fr/20090119-affai… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  12. Fuentes sera jugé
  13. Verdict imminent dans l'affaire Puerto
  14. opage : dix ans après l’opération Puerto, la justice espagnole blanchit le docteur Fuentes
  15. Affaire Puerto : Les poches de sang seront remises aux autorités sportives
  16. (en) The list gets longer, Cyclingnews.com, 30 juin 2006.
  17. Dopage - La liste des coureurs cités, L'Équipe, 30 juin 2006.
  18. Opération Puerto : Prise de position de l'UCI, communiqué de presse de l'UCI, 30 juin 2006.
  19. Dopage - L'affaire Puerto classée, L'Équipe, 12 mars 2007.
  20. a b c d e f g h i j k l m et n (en) Comunidad Valenciana riders get all clear, Cyclingnews.com, 30 juillet 2006.
  21. « Italian paper reports Bartoli is 'Sansone' », Cyclingnews.com, (consulté le )
  22. (en) Basso's Operación Puerto case officially shelved
  23. Basso suspendu deux ans, RTL.fr, 15 juin 2007.
  24. a b c d et e (es) Beloki, Nozal, Davis, Contador y Paulinho, exculpados, Diaro Vasco, 26 juillet 2006.
  25. (en) Phonak sidelines Botero and Gutierrez, Cyclingnews.com, 2 juin 2006.
  26. Botero blanchi, L'Équipe/AFP, 12 novembre 2006
  27. Contador, celui qu'il ne fallait pas condamner
  28. Caruso acquitté, Eurosport, 12 février 2008.
  29. Affaire Puerto: Saunier-Duval écarte Gil, L'Équipe, 25 août 2006.
  30. VTT - ChM : Hermida exclu
  31. Cyclisme - 15/01/2008 - Joly, Grande-Bretagne, Korff, Dopage, Puerto, Gonzalez
  32. (es) (es) « "Manolo Saiz controlaba las cosas" », El País, (consulté le )
  33. (de) Jaksche gesteht jahrelanges Doping, Spiegel Online, 30 juin 2007
  34. Jaksche mis hors de cause, L'Équipe/AFP, 11 décembre 2007.
  35. « Après Basso, Scarponi avoue », L'Équipe, 8 mai 2007.
  36. Scarponi suspendu 18 mois, L'Équipe, 13 juillet 2007.
  37. (en) Scarponi ban shortened after CAS ruling, Cyclingnews.com, 27 mars 2008.
  38. Une plainte contre Ullrich
  39. « Contador, la plus grosse escroquerie », RDS/AFP, 30 juillet 2007
  40. Le Soir, , Ullrich se dopait depuis 2003
  41. Le mauvais sang d'Ullrich
  42. Jan Ullrich paie cher
  43. sport.fr, , [1]
  44. Non-inquiété dans un premier temps, il est mis en cause en janvier 2007 par le journal ABC (Spanish paper suggests link between Valverde and Fuentes, Cyclingnews.com, 9 janvier 2007) puis par la Gazzetta dello Sport (Italian paper sheds light on riders' connection to Fuentes, Cyclingnews.com, 7 mai 2007) en mai 2007.
  45. « L'Équipe - L'actualité du sport en continu. », sur lequipe.fr (consulté le ).
  46. Valverde suspendu 2ans
  47. « Zarate (Saunier Duval) en appelle à l’UCI », sur cyclismag.com, (consulté le )
  48. (es) « La gota malaya · ELPAÍS.com »
  49. (es) « La UCI permite a Franck Schleck correr el Mundial de Varese - Marca.com »
  50. (es) « Frank Schleck admite que pagó 6.200 euros a Fuentes · ELPAÍS.com »,
  51. (es) « No hay caso contra Frank Schleck / Profesionales / Noticias del ciclismo / BICI CICLISMO »,
  52. (it) « Nome in codice: Pavarotti Cipollini nel dossier doping », La Repubblica, (consulté le )