Domnall mac Owen

Domnall mac Owen
Le nom de Dyfnwal tel qu'il apparaît dans sur folio 15r du MS Rawlinson B 488 de la Bibliothèque bodléienne (les Annales de Tigernach): Domnall mac Eoain[1].
Fonction
Roi de Strathclyde
Biographie
Décès
Père
Enfants

Domnall mac Owen (brittonique Dyfnwal ab Owain) (mort en 975) est un roi de Strathclyde.[note 1] Il est un des fils de Owain ap Dyfnwal, roi de Strathclyde[19], et semble être un membre de la dynastie royale de Strathclyde. À cette époque au IXe ou Xe siècle le royaume de Strathclyde s'étend largement vers le sud. Du fait de cette extension au-delà de la vallée du Clyde, le royaume est connu sous un nouveau nom celui de Cumbria. Vers 927, le royaume semble avoir repoussé ses limites vers le sud jusqu'à la rivière Eamont.

Dyfnwal semble avoir régné entre les décennies 930 à 970. Il est attesté pour la première fois lorsqu'il est associé par les sources avec l'ecclésiastique Cathróe lors du voyage de ce dernier des îles Britanniques vers l'Europe continentale. Au milieu de la même décennie le royaume Cumbrien est ravagé par le roi Edmond Ier d'Angleterre. Deux fils de Dyfnwal auraient été aveuglés à cette occasion par les Anglais, ce qui semble impliquer que Dyfnwal avait rompu un accord avec son homologue du sud. Une des possibilités est qu'il ait accordé aux opposants scandinaves d'Edmond le droit de mettre leur flotte à l'abri. Edmond est réputé avoir cédé le contrôle de la Cumbria à Máel Coluim mac Domnaill, roi d' Alba. Cependant l'autorité réelle des Scots sur le royaume des Cumbriens demeure incertaine.

En 971, Cuilén mac Illuilb, roi d'Alba est tué par Rhydderch ap Dyfnwal. Après cet acte, le successeur de Cuilén, Cináed mac Maíl Choluim, roi d'Alba, envahit les territoires des Cumbriens peut-être en représailles de ce meurtre L'année suivante le roi Edgar le Pacifique tient une grande assemblée à Chester à laquelle participent plusieurs rois du nord. Dyfnwal et son fils Máel Coluim, sont présents. Le second est dénommé « Roi des Cumbriens » ce qui implique dans le contexte de cette rencontre que Dyfnwal avait précédemment abdiqué de son trône.

La mort de Dyfnwal est relevée en 975 tandis qu'il participait à un pèlerinage à Rome. On ignore quand il avait précisément quitté son trône. Une possibilité est que Rhydderch lui ait succédé avant de tuer Culen. L'autre possibilité pour son abdication est que le raid mené par Cináed ait marqué la fin de la royauté de Dyfnwal. Il est également possible qu'il reste au pouvoir jusqu'en 973 ou 975. IL n’apparaît pas que Máel Coluim ait succédé à un autre fils de Dyfnwal nommé Owain, qui est mort en 1015. Le souverain suivant Owain Foel, roi de Strathclyde, qui est attesté en 1018, doit être un petit-fils de Dyfnwal. Dyfnwal est vraisemblablement l'éponyme de Dunmail Raise (en) en Angleterre, et peut-être de Cardonald, Dundonald en South Ayrshire et du Château de Dundonald (en) en Écosse.

Contexte: le royaume de Cumbrie au Xe siècle

[modifier | modifier le code]

Depuis des centaines d'années jusqu'à la fin du IXe siècle, le centre du pouvoir du royaume d'Al Clud se situait dans la forteresse d'Al Clud (Rocher de la Clyde)[20] En 870, cette place forte brittonique est prise par des Scandinaves établis en Irlande[21], après cela le centre du royaume semble s’être déplacé plus bas sur le cours du Clyde, et le royaume lui-même prend le nom de la vallée du Clyde, Ystrad Clud (c'est-à-dire Strathclyde)[22]. La nouvelle capitale devait se situer à proximité de Partick[23] et de Govan qui chevauchent le Clyde[24]. Le nouvel arrière-pays du royaume englobait la vallée et la région de l'actuel Renfrewshire, ce qui explique son changement de dénomination[25].

À une certaine époque après la perte d'Al Clud, le royaume de Strathclyde semble avoir connu une période d'expansion[26] Bien que la chronologie précise soit incertaine, en 927 la frontière sud semble avoir atteint la rivière Eamont, près de Penrith[27] ; sans doute en raison du déclin de la Northumbrie face aux conquérants scandinaves[28], et peut-être grâce à la coopération des Brittoniques avec les puissances scandinaves insulaires à la fin du IXe ou au début du Xe siècle[29].. Au fil du temps, le royaume de Strathclyde est de plus en plus connu comme le « Royaume de Cumbria » reflétant ainsi son expansion bien au-delà de la vallée de la Clyde[30].[note 2]

Dyfnwal est un fils de Owain ap Dyfnwal, roi de Strathclyde (fl. 934)[36] Le nom de ce dernier et de ses apparents descendants suggèrent qu'ils sont issus de la lignée royale de Strathclyde[37]. Les fils de Dyfnwal semblent inclure: Rhydderch (fl. 971)[38], Máel Coluim roi de Strathclyde[39], et Owain ap Dyfnwal[40]. Le nom du fils de Dyfnwal, Máel Coluim est Gaélique, ce qui tend à démontrer une alliance par mariage avec la famille royale voisine de la maison d'Alpin du royaume d'Alba[41]. Le père de Dyfnwal est attesté en 934[42]. Bien que le père de Dyfnwal puisse être identifié avec le roi Cumbrien qui a combattu lors de la Bataille de Brunanburh en 937[43]. Les sources qui citent ce monarque ne précisent pas son nom[44]. Le règne de Dyfnwal lui-même semble s'étendre de la décennie 930 à celle de 970[45].[note 3]

Le voyage de Cathróe chez les Cumbriens

[modifier | modifier le code]

La date du début de son règne n'est pas connue avec certitude. Domnall/Dyfnwal est certainement le roi qui reçoit la visite de Cathróe de Metz. La vita de ce saint indique en effet que Cathróe d'origine brittonique ou gaélique. Natif du Perthshire, son nom qui dérive de Cad (bataille) est brittonique, celui de son père gaélique et celui de sa mère commun au deux langues. Tim Clarkson considère qu'il était « un scot ou un picte locuteur gaélique »[47]. Il était également un parent de Dyfnwal[48]. Cette rencontre dut avoir lieu entre 941 et 946, indiquant que l'avènement de Dyfnwal est peut-être intervenue à une époque aussi précoce que 941[49]

L'agression anglaise

[modifier | modifier le code]

Ce fait présente une difficulté historique car il implique qu'à cette époque soit le Strathclyde était un royaume divisé entre Malcolm Ier d'Écosse et Domnall ou que Malcolm était le suzerain de Domnall en effet la Chronique Anglo-Saxonne indique qu'en 945 le roi Edmond Ier d'Angleterre, après avoir aveuglé deux fils de Domnall, « Pille la Cumbria et la laisse à Máel Coluim, roi des Scots », à condition que ce dernier soit « son allié[50] sur terre et sur mer »[51] Alfred P. Smyth estime de son côté que c'est à cette même époque qu'après son accession au trône Malcolm Ier d'Écosse confia le Strathclyde à son héritier potentiel et futur successeur le taniste Indulph fils de son prédécesseur Constantin II d'Écosse et que de ce fait le règne de Domnall ne commence réellement qu'en 962[52]

Rhydderch, fils de Dyfnwal

[modifier | modifier le code]

Il est possible que Domnall abdique dès 971[53] car selon les Chroniques d'Irlande Culen le fils d'Indulf qui avait détrôné Dubh le fils de Malcolm Ier est tué par les « bretons dans une maison en flamme » par « Amdarch filio Donvald » (c'est-à-dire: Rhydderch fils de Domnall)[54]

L'assemblée des rois de Chester

[modifier | modifier le code]

Deux années plus tard en 973 lorsque le roi Edgar d'Angleterre réunit à Chester lors d'une grande cérémonie de couronnement, huit rois vassaux de Grande-Bretagne qui reconnaissent symboliquement sa suprématie en ramant dans la barque dont il tient le gouvernail c'est Mael Coluim mac Domnall qui est le roi des Cumbriens au côté de Kenneth II d'Écosse [55] Domnall semble toutefois être présent en la personne du Dufnal qui est aussi le témoin à la même charte de donation en sa faveur avec les autres participants à la cérémonie de Chester et les principaux personnages de la cour d'Edgar.

Mort et postérité

[modifier | modifier le code]

La mort en pèlerinage de Domnall m. Eogain, rí Bretan est indiquée par les Annales d'Ulster en 975[56]. le Brut y Tywysogion qui nomme le roi Dwnwallon, confirme que Dyfnwal meurt au cours d'un pèlerinage à Rome. Son fils Mael Coluim mac Domnall lui succède.

  1. Depuis les années 2000 les chercheurs attribuent à Dyfnwal différents noms dans les sources secondaires en anglais : Domnall mac Eogain[2], Dunmail map Owain[3], Dwnwallon ab Owain[4]. Dyfnwal ab Owain[5], and Dyfnwal map Ywain[6]. Domnaldus[7], Domnall[8], Donald[9], Dovenald[10], Dufnal[11], Dumnagual[12], Dunguallon[13], Dunmail[14], Dunwallon[15], Dyfnal[16], Dyfnwal[17], Dyfnwallon[18] et Dwnwallon[4].
  2. Vers cette époque, le royaume de Cumbria comprenait les actuels Lanarkshire, Dunbartonshire, Renfrewshire, Stirlingshire, Peeblesshire, West Lothian, Mid Lothian, l'est du Dumfriesshire, et le Cumberland[31] Le vieil anglais Cumbras est cousin avec le gallois Cymry[32], une désignation utilisée par les Britons du nord et du sud (c'est-à-dire les Gallois)[33]. Les exemples de cette nouvelles terminologie dans le royaume du nord incluent Cumbra land et terra Cumbrorum, signifiant "pays des Cumbriens"[34]. Ainsi le terme Cumbrien se trouve dans la nomenclature royale ce qui suggère qu'il reflète la politique d'expansion du royaume. Vers le milieu du Xe siècle la terminologie Strathclyde semble avoir été abandonnée[35].
  3. Seulement trois rois sont spécifiquement dénommés par le terme "Roi des Cumbriens" dans les sources historique: le père de Dyfnwal, Dyfnwal lui-même, et le fils de Dyfnwal, Máel Coluim[46].

Références

[modifier | modifier le code]
  1. les Annales de Tigernach (2016) § 975.3; Annales de Tigernach (2005) § 975.3; Bodleian Library MS. Rawl. B. 488 (n.d.).
  2. Busse (2006c).
  3. Snyder (2003).
  4. a et b Charles-Edwards (2013).
  5. Minard (2012); Clarkson (2010); Breeze (2007); Busse (2006c); Minard (2006); Thornton (2001).
  6. Macquarrie (2004a).
  7. Downham (2007); Downham (2003).
  8. Busse (2006b); Busse (2006c).
  9. Keynes (2015); McGuigan (2015); Williams (2014); Walker (2013); Minard (2012); Breeze (2007); Minard (2006); Broun (2004a); Macquarrie (2004b); Duncan (2002); Williams; Smyth; Kirby (1991); Hudson (1994).
  10. Clarkson (2014).
  11. Minard (2012); Minard (2006); Jayakumar (2002); Williams; Smyth; Kirby (1991).
  12. Duncan (2002).
  13. Hicks (2003); Duncan (2002).
  14. Cannon (2015); Williams (2004c); Breeze (2007); Snyder (2003).
  15. Matthews (2007).
  16. Breeze (2007); Hudson (1996); Hudson (1991).
  17. Broun (2015a); Edmonds (2015); Keynes (2015); Clarkson (2014); Edmonds (2014); Charles-Edwards (2013); Clarkson (2012a); Minard (2012); Oram (2011); Clarkson (2010); Woolf (2009); Breeze (2007); Downham (2007); Woolf (2007); Busse (2006c); Minard (2006); Broun (2004d); Macquarrie (2004a); Macquarrie (2004b); Hicks (2003); Thornton (2001); Macquarrie (1998); Woolf (1998) p. 190; Hudson (1994).
  18. Woolf (2007); Hicks (2003); Macquarrie (1998).
  19. (en) Dauvit Broun, The Welsh Identity of the Kingdom of Strathclyde, in The Innes Review, Vol. 55, no. 2 (Autumn, 2004) p. 135.
  20. Charles-Edwards (2013) p. 8; Clancy (2006).
  21. Edmonds (2015) p. 44; Charles-Edwards (2013) p. 9, 480; Davies (2013) p. 73; Clarkson (2012a) ch. 8 ¶ 21; Clarkson (2010) ch. 8 ¶ 20; Downham (2007) p. 66, 142, 162; Clancy (2006); Ewart; Pringle; Caldwell et al. (2004) p. 8.
  22. Driscoll, ST (2015) p. 5; Edmonds (2015) p. 44; Charles-Edwards (2013) p. 9, 480–481; Clarkson (2012a) ch. 8 ¶ 23; Clarkson (2010) ch. 8 ¶ 26; Clancy (2006); Ewart; Pringle; Caldwell et al. (2004) p. 8.
  23. Driscoll, ST (2015) p. 5, 7; Clarkson (2014) ch. 3 ¶ 13; Clarkson (2012a) ch. 8 ¶ 23; Clarkson (2012b) ch. 11 ¶ 46; Clarkson (2010) ch. 8 ¶ 22; Ewart; Pringle; Caldwell et al. (2004) p. 8, 10.
  24. Driscoll, ST (2015) p. 5, 7; Clarkson (2014) chs. 1 ¶ 23, 3 ¶ 11–12; Edmonds (2014) p. 201; Charles-Edwards (2013) p. 9, 480–481; Davies (2013) p. 73; Clarkson (2012a) ch. 8 ¶ 23; Clarkson (2012b) ch. 11 ¶ 46; Clarkson (2010) ch. 8 ¶ 22; Oram (2008) p. 169; Downham (2007) p. 169; Clancy (2006); Driscoll, S (2006); Forsyth (2005) p. 32; Ewart; Pringle; Caldwell et al. (2004) p. 8, 10; Driscoll, ST (2003) p. 81–82; Hicks (2003) p. 32, 34; Driscoll, ST (2001a); Driscoll, ST (2001b); Driscoll, ST (1998) p. 112.
  25. Charles-Edwards (2013) p. 480–481.
  26. Driscoll, ST (2015) p. 6–7; Edmonds (2015) p. 44; Davies (2013) p. 73; Downham (2007) p. 160–161, 161 n. 146; Woolf (2007) p. 153; Breeze (2006) p. 327, 331; Clancy (2006); Ewart; Pringle; Caldwell et al. (2004) p. 9–10; Hicks (2003) p. 35–37, 36 n. 78.
  27. Edmonds (2015) p. 44, 53; Charles-Edwards (2013) p. 9, 481; Davies (2013) p. 73, 73 n. 40; Clarkson (2010) ch. 9 ¶ 10; Downham (2007) p. 165; Clancy (2006); Todd (2005) p. 96; Stenton (1963) p. 328.
  28. Charles-Edwards (2013) p. 9, 481–482; Breeze (2006) p. 327, 331; Hicks (2003) p. 35–36, 36 n. 78; Woolf (2001); Macquarrie (1998) p. 19; Fellows-Jensen (1991) p. 80.
  29. Charles-Edwards (2013) p. 481–482.
  30. Edmonds (2015) p. 50–51; Molyneaux (2015) p. 15; Edmonds (2014); Edmonds (2013) p. 44; Davies (2013) p. 73; Clancy (2006).
  31. Woolf (2007) p. 154–155.
  32. Clancy (2006).
  33. Edmonds (2015) p. 50–51; Edmonds (2014) p. 201–202; Charles-Edwards (2013) p. 2.
  34. Edmonds (2015) p. 50–52; Edmonds (2014) p. 199–200, 204–205.
  35. Edmonds (2014).
  36. Clarkson (2014) ch. genealogical tables; Charles-Edwards (2013) p. 572 fig. 17.4; Minard (2012); Clarkson (2010) ch. genealogical tables; Minard (2006); Macquarrie (1998) p. 6; Hudson (1994) p. 173 genealogy 6.
  37. Macquarrie (1998) pp. 14–15.
  38. Clarkson (2014) ch. genealogical tables; Charles-Edwards (2013) p. 572 fig. 17.4; Clarkson (2010) ch. genealogical tables; Broun (2004d) p. 135 tab.; Macquarrie (1998) p. 6, 16; Hudson (1994) p. 173 genealogy 6.
  39. Clarkson (2014) ch. genealogical tables; Charles-Edwards (2013) p. 572 fig. 17.4; Clarkson (2010) ch. genealogical tables; Woolf (2007) p. 238 tab. 6.4; Broun (2004d) p. 135 tab.; Macquarrie (1998) p. 6, 16; Hudson (1994) p. 173 genealogy 6.
  40. Clarkson (2014) ch. genealogical tables; Charles-Edwards (2013) p. 572 fig. 17.4; Clarkson (2010) ch. genealogical tables; Woolf (2007) p. 236, 238 tab. 6.4; Broun (2004d) pp. 128 n. 66, 135 tab.
  41. Clarkson (2010) ch. 9 ¶ 44.
  42. Thornton (2001) p. 67 n. 65; Arnold (1882) p. 76.
  43. Oram (2011) ch. 2; Duncan (2002) p. 23 n. 53; Macquarrie (1998) p. 14; Williams; Smyth; Kirby (1991) p. 103; Hudson (1994) p. 174 n. 7.
  44. Thornton (2001) p. 67 n. 65; Anderson, AO (1908) p. 70–71, 71 n. 3; Arnold (1885) p. 93; Arnold (1882) p. 76.
  45. Thornton (2001) p. 67.
  46. Minard (2006).
  47. THe Men of the North p. 179
  48. Alan Orr Anderson, Early Sources of Scottish History: AD 500–1286, 2 Vols, (Edinburgh, 1922), vol. i, p.  441; David Dumville, "St Cathróe of Metz and the Hagiography of Exoticism," in Irish Hagiography: Saints and Scholars, ed. John Carey et al. (Dublin, 2001), p. 172–188 .
  49. David Dumville, St Cathróe of Metz, p. 172 & note no 2 .
  50. contre le royaume viking d'York
  51. Chronique Anglo-Saxonne : AD 945 .
  52. Alfred P. Smyth Warlods and Holy Men p. .223-224 .
  53. Alan MacQuarrie, The Kings of Strathclyde, in A. Grant & K.Stringer (eds.) Medieval Scotland: Crown, Lordship and Community, Essays Presented to G.W.S. Barrow, (Edinburgh, 1993), p. 15-6
  54. Annales d'Ulster : AU 971, Chronicon Scotorum : CS 971. Selon la Chronique des Rois d'Alba Il s'agit d'une vengeance car Cuilen est tué avec son frère Eochaid pour avoir enlevé la fille de Rhydderch
  55. The Chronicle of Florence de Worcester : AD 973 p. 104-105 .
  56. Annales d'Ulster: AU. 975.2 .

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • (en) Alan Orr Anderson, Early Sources of Scottish History: AD 500–1286, 2 Vols, (Edinburgh, 1922) vol.I p. 478,480.
  • (en) Peter Bartrum, A Welsh classical dictionary: people in history and legend up to about A.D. 1000, Aberystwyth, National Library of Wales, (ISBN 9780907158738), p. 242 DYFNWAL ab OWAIN (2), DOMNALL mac ÉOGAIN. (d.975)
  • (en) David Dumville, St Cathróe of Metz and the Hagiography of Exoticism, in Irish Hagiography: Saints and Scholars, ed. John Carey et al. (Dublin, 2001), p. 172–188
  • (en) Mike Ashley, British Kings & Queens, Robinson London 1998 (ISBN 1841190969), p.  et Généalogie no 19 p. 381.
  • W. M. Aird, « Northumbria », dans P. Stafford, A Companion to the Early Middle Ages: Britain and Ireland, c.500–c.1100, Chichester, Blackwell Publishing, coll. « Blackwell Companions to British History », , 303–321 p. (ISBN 978-1-405-10628-3)
  • (en) L. Alcock, « A Multi-Disciplinary Chronology for Alt Clut, Castle Rock, Dumbarton », Proceedings of the Society of Antiquaries of Scotland, vol. 107,‎ 1975–1976, p. 103–113 (DOI 10.5284/1000184, lire en ligne [PDF])
  • (en) A. Breeze, « Britons in the Barony of Gilsland, Cumbria », Northern History, vol. 43, no 2,‎ , p. 327–332 (ISSN 0078-172X, e-ISSN 1745-8706, DOI 10.1179/174587006X116194)
  • (en) A. Breeze, « Edgar at Chester in 973: A Breton Link? », Northern History, vol. 44, no 1,‎ , p. 153–157 (ISSN 0078-172X, e-ISSN 1745-8706, DOI 10.1179/174587007X165405)
  • (en) D Broun, « Culen (d. 971) », sur Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004a (DOI 10.1093/ref:odnb/6870, consulté le )
  • (en) D Broun, « Indulf (bap. 927?, d. 962) », sur Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004b (DOI 10.1093/ref:odnb/14379, consulté le )
  • (en) D Broun, « Kenneth II (d. 995) », sur Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004c (DOI 10.1093/ref:odnb/15399, consulté le )
  • (en) D. Broun, « The Welsh Identity of the Kingdom of Strathclyde c.900–c.1200 », The Innes Review, vol. 55, no 2,‎ 2004d, p. 111–180 (ISSN 0020-157X, e-ISSN 1745-5219, DOI 10.3366/inr.2004.55.2.111)
  • (en) D. Broun, « Contemporary Perspectives on Alexander II's Succession: The Evidence of King-lists », dans R. D. Oram, The Reign of Alexander II, 1214–49, Leiden, Brill, coll. « The Northern World: North Europe and the Baltic c. 400–1700 AD. Peoples, Economics and Cultures (series vol. 16) », , 79–98 p. (ISBN 90 04 14206 1, ISSN 1569-1462)
  • D. Broun, Scottish Independence and the Idea of Britain : From the Picts to Alexander III, Édimbourg, Edinburgh University Press, (ISBN 978-0-7486-2360-0)
  • D. Broun, « Cuilén », dans R. Crowcroft, J. Cannon, The Oxford Companion to British History, Oxford University Press, 2015a, 2e éd. (1re éd. 1997) (ISBN 978-0-19-967783-2, DOI 10.1093/acref/9780199677832.001.0001, lire en ligne Inscription nécessaire)
  • D. Broun, « Indulf », dans R. Crowcroft et J. Cannon, The Oxford Companion to British History, Oxford University Press, 2015b, 2e éd. (1re éd. 1997) (ISBN 978-0-19-967783-2, DOI 10.1093/acref/9780199677832.001.0001, lire en ligne Inscription nécessaire)
  • A. Bruford, « What Happened to the Caledonians », dans E. J. Cowan, R. A. McDonald, Alba: Celtic Scotland in the Middle Ages, East Linton, Tuckwell Press, , 43–68 p. (ISBN 1-86232-151-5)
  • P. E. Busse, « Cinaed mac Mael Choluim », dans J. T. Koch, Celtic Culture: A Historical Encyclopedia, vol. 2, Santa Barbara, CA, ABC-CLIO, 2006a (ISBN 1-85109-445-8), p. 439
  • P. E. Busse, « Cuilén Ring mac Illuilb », dans J. T. Koch, Celtic Culture: A Historical Encyclopedia, vol. 2, Santa Barbara, CA, ABC-CLIO, 2006b (ISBN 1-85109-445-8), p. 509
  • P. E. Busse, « Dyfnwal ab Owain/Domnall mac Eogain », dans J. T. Koch, Celtic Culture: A Historical Encyclopedia, vol. 2, Santa Barbara, CA, ABC-CLIO, 2006c (ISBN 1-85109-445-8), p. 639
  • « Cadfan 1 (Female) », sur Prosopography of Anglo-Saxon England, n.d. (consulté le )
  • J. Cannon, « Cumberland », dans R. Crowcroft et J. Cannon, The Oxford Companion to British History, Oxford University Press, , 2e éd. (1re éd. 1997) (ISBN 978-0-19-967783-2, DOI 10.1093/acref/9780199677832.001.0001, lire en ligne Inscription nécessaire)
  • Cassell's History of England : From the Roman Invasion to the Wars of the Roses, vol. 1, Londres, Cassell and Company, (lire en ligne)
  • T. M. Charles-Edwards, Wales and the Britons, 350–1064, Oxford, Oxford University Press, coll. « The History of Wales (series vol. 1) », , 795 p. (ISBN 978-0-19-821731-2, lire en ligne)
  • T. O. Clancy, « Ystrad Clud », dans J. T. Koch, Celtic Culture: A Historical Encyclopedia, vol. 5, Santa Barbara, CA, ABC-CLIO, , 1818–1821 p. (ISBN 1-85109-445-8)
  • T. Clarkson, The Men of the North : The Britons and Southern Scotland, Édimbourg, John Donald (publisher), , 256 p. (ISBN 978-1-907909-02-3, lire en ligne)
  • T. Clarkson, The Makers of Scotland : Picts, Romans, Gaels and Vikings, Édimbourg, Birlinn Limited, 2012a (1re éd. 2011), 248 p. (ISBN 978-1-907909-01-6, lire en ligne)
  • T. Clarkson, The Picts : A History, Édimbourg, Birlinn Limited, 2012b (1re éd. 2008), 256 p. (ISBN 978-1-907909-03-0, présentation en ligne)
  • T. Clarkson, « The Last King of Strathclyde », History Scotland, vol. 13, no 6,‎ , p. 24–27 (ISSN 1475-5270)
  • T. Clarkson, Strathclyde and the Anglo-Saxons in the Viking Age, Édimbourg, John Donald, , 232 p. (ISBN 978-1-907909-25-2, présentation en ligne)
  • W. G. Collingwood, « The Giant's Grave, Penrith », Transactions of the Cumberland & Westmorland Antiquarian & Archæological Society, vol. 23,‎ , p. 115–128 (DOI 10.5284/1032950, lire en ligne [PDF])
  • (en) M Costambeys, « Erik Bloodaxe (d. 954) », sur Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, (DOI 10.1093/ref:odnb/49265, consulté le )
  • M. R. Davidson, « The (Non)Submission of the Northern Kings in 920 », dans N. J. Higham et D. H. Hill, Edward the Elder, 899–924, London, Routledge, , 200–211 p. (ISBN 0-415-21496-3, hdl 1842/23321 Accès libre, lire en ligne)
  • (en) M. R. Davidson, Submission and Imperium in the Early Medieval Insular World, University of Edinburgh, (hdl 1842/23321 Accès libre, lire en ligne)
  • J. R. Davies, « Bishop Kentigern Among the Britons », dans S. Boardman, J. R. Davies, E. Williamson, Saints' Cults in the Celtic World, Woodbridge, The Boydell Press, (1re éd. 2009), 66–90 p. (ISBN 978 1 84383 432 8)
  • C. Downham, « The Chronology of the Last Scandinavian Kings of York, AD 937–954 », Northern History, vol. 40, no 1,‎ , p. 27–51 (ISSN 0078-172X, e-ISSN 1745-8706, DOI 10.1179/007817203792207979)
  • (en) C. Downham, Viking Kings of Britain and Ireland : The Dynasty of Ívarr to A.D. 1014, Édimbourg, Dunedin Academic Press, , 338 p. (ISBN 978-1-903765-89-0)
  • C. Downham, No Horns on Their Helmets? Essays on the Insular Viking-Age, Aberdeen, Centre for Anglo-Saxon Studies and The Centre for Celtic Studies, University of Aberdeen, coll. « Celtic, Anglo-Saxon, and Scandinavian Studies (series vol. 1) », , 212 p. (ISBN 978-0-9557720-1-6, ISSN 2051-6509), « Eric Bloodaxe – Axed? The Mystery of the Last Scandinavian King of York »
  • S. Driscoll, « Govan », dans J. T. Koch, Celtic Culture: A Historical Encyclopedia, vol. 3, Santa Barbara, CA, ABC-CLIO, , 839–841 p. (ISBN 1-85109-445-8)
  • S. T. Driscoll, « Church Archaeology in Glasgow and the Kingdom of Strathclyde », The Innes Review, vol. 49, no 2,‎ , p. 95–114 (ISSN 0020-157X, e-ISSN 1745-5219, DOI 10.3366/inr.1998.49.2.95)
  • S. T. Driscoll, « Dumbarton », dans M. Lynch, The Oxford Companion to Scottish History, Oxford, Oxford University Press, coll. « Oxford Companions », 2001a (ISBN 0-19-211696-7), p. 180
  • S. T. Driscoll, « Govan », dans M. Lynch, The Oxford Companion to Scottish History, Oxford, Oxford University Press, coll. « Oxford Companions », 2001b, 274–275 p. (ISBN 0-19-211696-7)
  • S. T. Driscoll, « Govan: An Early Medieval Royal Centre on the Clyde », dans D. J. Breeze, T. O. Clancy et R. Welander, The Stone of Destiny: Artefact and Icon, Society of Antiquaries of Scotland, coll. « Society of Antiquaries of Scotland Monograph Series (series vol. 22) », , 77–83 p. (ISBN 0903903229, lire en ligne)
  • S. T. Driscoll, Essays on the Local History and Archaeology of West Central Scotland, Glasgow, Glasgow Museums, coll. « Resource Assessment of Local History and Archaeology in West Central Scotland », , 1–15 p. (lire en ligne), « In search of the Northern Britons in the Early Historic Era (AD 400–1100) »
  • (en) A. A. M. Duncan, The Kingship of the Scots, 842–1292 : Succession and Independence, Édimbourg, Edinburgh University Press, , 381 p. (ISBN 0-7486-1626-8)
  • F. Edmonds, « Personal Names and the Cult of Patrick in Eleventh-Century Strathclyde and Northumbria », dans S. Boardman, J. R. Davies et E. Williamson, Saints' Cults in the Celtic World, Woodbridge, The Boydell Press, coll. « Studies in Celtic History », , 42–65 p. (ISBN 978 1 84383 845 6, ISSN 0261-9865)
  • F. Edmonds, « The Emergence and Transformation of Medieval Cumbria », Scottish Historical Review, vol. 93, no 2,‎ , p. 195–216 (ISSN 0036-9241, e-ISSN 1750-0222, DOI 10.3366/shr.2014.0216)
  • F. Edmonds, « The Expansion of the Kingdom of Strathclyde », Early Medieval Europe, vol. 23, no 1,‎ , p. 43–66 (e-ISSN 1468-0254, DOI 10.1111/emed.12087)
  • N. J. Evans, « Cultural Contacts and Ethnic Origins in Viking Age Wales and Northern Britain: The Case of Albanus, Britain's First Inhabitant and Scottish Ancestor », Journal of Medieval History, vol. 41, no 2,‎ , p. 131–154 (ISSN 0304-4181, e-ISSN 1873-1279, DOI 10.1080/03044181.2015.1030438)
  • G. Ewart, D Pringle, D Caldwell, E Campbell, S Driscoll, K Forsyth, D Gallagher, T Holden, F Hunter, D Sanderson et J Thoms, « Dundonald Castle Excavations, 1986–93 », Scottish Archaeological Journal, vol. 26, nos 1–2,‎ , i–x, 1–166 (ISSN 1471-5767, e-ISSN 1766-2028, JSTOR 27917525)
  • G. Fellows-Jensen, « Scandinavians in Dumfriesshire and Galloway: The Place-Name Evidence », dans R. D. Oram et G. P. Stell, Galloway: Land and Lordship, Edinburgh, The Scottish Society for Northern Studies, , 77–95 p. (ISBN 0 9505994 6 8, lire en ligne)
  • M. Firth, « Allegories of Sight: Blinding and Power in Late Anglo-Saxon England », Ceræ: An Australasian Journal of Medieval and Early Modern Studies, vol. 3,‎ , p. 1–33 (ISSN 2204-146X, lire en ligne)
  • K. Forsyth, « Origins: Scotland to 1100 », dans J. Wormald, Scotland: A History, Oxford, Oxford University Press, , 9–37 p. (ISBN 0-19-820615-1)
  • A Forte, RD Oram et F Pedersen, Viking Empires, Cambridge, Cambridge University Press, , 447 p. (ISBN 978-0-521-82992-2, lire en ligne)
  • K. Halloran, « Welsh Kings at the English Court, 928–956 », The Welsh History Review, vol. 25, no 3,‎ , p. 297–313
  • T. Holland, Athelstan : The Making of England, Allen Lane, coll. « Penguin Monarchs », , 160 p. (ISBN 978-0-241-18782-1, présentation en ligne)
  • B. T. Hudson, « Historical Literature of Early Scotland », Studies in Scottish Literature, vol. 26, no 1,‎ , p. 141–155 (ISSN 0039-3770, lire en ligne)
  • B. T. Hudson, Kings of Celtic Scotland, Westport, CT, Greenwood Press, (ISBN 0-313-29087-3, ISSN 0885-9159)
  • B. T. Hudson, « The Scottish Gaze », dans R. McDonald, History, Literature, and Music in Scotland, 700–1560, Toronto, University of Toronto Press, , 29–59 p. (ISBN 0-8020-3601-5)
  • BT Hudson, « Óláf Guthfrithson (d. 941) », sur Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, (DOI 10.1093/ref:odnb/20670, consulté le )
  • B. T. Hudson, Viking Pirates and Christian Princes : Dynasty, Religion, and Empire in the North Atlantic, Oxford, Oxford University Press, , 278 p. (ISBN 978-0-19-516237-0, présentation en ligne)
  • J. Jayakumar, « The 'Foreign Policies' of Edgar 'the Peaceable' », dans S. Morillo, The Haskins Society Journal: Studies in Medieval History, vol. Vol. 10, Woodbridge, The Boydell Press, , 17–37 p. (ISBN 0-85115-911-7, ISSN 0963-4959)
  • A. Jennings, « Isles, Kingdom of the », dans R. Crowcroft et J. Cannon, The Oxford Companion to British History, Oxford University Press, , 2e éd. (1re éd. 1997) (ISBN 978-0-19-967783-2, DOI 10.1093/acref/9780199677832.001.0001, lire en ligne Inscription nécessaire)
  • (en) C. E. Karkov, The Ruler Portraits of Anglo-Saxon England, Woodbridge, The Boydell Press, coll. « Anglo-Saxon Studies (series vol. 3) », , 209 p. (ISBN 1-84383-059-0, ISSN 1475-2468)
  • S. Keynes, « Edgar, rex Admirabilis », dans D. Scragg, Edgar, King of the English, 959–975: New Interpretations, Woodbridge, The Boydell Press, coll. « Publications of the Manchester Centre for Anglo-Saxon Studies (series vol. 8) », , 3–58 p. (ISBN 978-1-84383-399-4, ISSN 1478-6710)
  • S. Keynes, « The Henry Loyn Memorial Lecture for 2008: Welsh Kings at Anglo-Saxon Royal Assemblies (928–55) », dans L. L. Gathagan et W. North, The Haskins Society Journal: Studies in Medieval History, vol. Vol. 26, The Boydell Press, , 69–122 p. (JSTOR 10.7722/j.ctt17mvjs6.9)
  • J. T. Koch, « Domnall Brecc », dans J. T. Koch, Celtic Culture: A Historical Encyclopedia, vol. 2, Santa Barbara, CA, ABC-CLIO, (ISBN 1-85109-445-8), p. 604
  • A. Macquarrie, « The Kings of Strathclyde, c. 400–1018 », dans A. Grant et K. J. Stringer, Medieval Scotland: Crown, Lordship and Community, Edinburgh, Edinburgh University Press, (1re éd. 1993), 1–19 p. (ISBN 0-7486-1110-X)
  • A Macquarrie, « Catroe (900/01–971) », sur Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004a (DOI 10.1093/ref:odnb/4312, consulté le )
  • A Macquarrie, « Donald (d. 975) », sur Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004b (DOI 10.1093/ref:odnb/49382, consulté le )
  • « Malcolm 4 (Male) », sur Prosopography of Anglo-Saxon England, n.d. (consulté le )
  • S. Matthews, « King Edgar, Wales and Chester: The Welsh Dimension in the Ceremony of 973 », Northern History, vol. 44, no 2,‎ , p. 9–26 (ISSN 0078-172X, e-ISSN 1745-8706, DOI 10.1179/174587007X208209)
  • S McLeod, « The Dubh Gall in Southern Scotland: The Politics of Northumbria, Dublin, and the Community of St Cuthbert in the Viking Age, c. 870-950 CE », Limina: A Journal of Historical and Cultural Studies, vol. 20, no 3,‎ , p. 83-103 (ISSN 1833-3419, lire en ligne)
  • A. Minard, « Cumbria », dans J. T. Koch, Celtic Culture: A Historical Encyclopedia, vol. Vol. 2, Santa Barbara, CA, ABC-CLIO, , 514–515 p. (ISBN 1-85109-445-8)
  • A. Minard, « Cumbria », dans J. T. Koch et A. Minard, The Celts: History, Life, and Culture, Santa Barbara, CA, ABC-CLIO, , 234–235 p. (ISBN 978-1-59884-964-6)
  • G. Molyneaux, « Why Were Some Tenth-Century English Kings Presented as Rulers of Britain? », Transactions of the Royal Historical Society, vol. 21,‎ , p. 59–91 (ISSN 0080-4401, e-ISSN 14740648[à vérifier : ISSN invalide], DOI 10.1017/S0080440111000041)
  • G. Molyneaux, The Formation of the English Kingdom in the Tenth Century, Oxford, Oxford University Press, , 302 p. (ISBN 978-0-19-871791-1, présentation en ligne)
  • R. D. Oram, « Royal and Lordly Residence in Scotland c 1050 to c 1250: An Historiographical Review and Critical Revision », The Antiquaries Journal, vol. 88,‎ , p. 165–189 (ISSN 0003-5815, e-ISSN 1758-5309, DOI 10.1017/S0003581500001372)
  • R. D. Oram, The Kings & Queens of Scotland, Brimscombe Port, The History Press, (1re éd. 2001), 224 p. (ISBN 978-0-7524-7099-3)
  • « Proceedings », Transactions of the Cumberland & Westmorland Antiquarian & Archæological Society, vol. 47,‎ , p. 199–233 (DOI 10.5284/1032950, lire en ligne [PDF])
  • M. Pugmire, « The Possible Roman Road Between Ambleside and the Keswick Area; A Discussion of the Evidence and a Consideration of Remains on the North Slope of Dunmail Raise », Transactions of the Cumberland & Westmorland Antiquarian & Archaeological Society, vol. 4,‎ , p. 105–122 (DOI 10.5284/1032950, lire en ligne [PDF])
  • (en) A. P. Smyth, Warlords and Holy Men : Scotland, AD 80–1000, Édimbourg, Edinburgh University Press, (1re éd. 1984), 279 p. (ISBN 0-7486-0100-7)
  • (en) C. A. Snyder, The Britons, Malden, MA, Blackwell Publishing, coll. « The Peoples of Europe », , 331 p. (ISBN 0-631-22260-X)
  • F. Stenton, Anglo-Saxon England, Oxford, The Clarendon Press, coll. « The Oxford History of England (series vol. 2) », , 2e éd.
  • W. H. Stevenson, « The Great Commendation to King Edgar in 973 », English Historical Review, vol. 13, no 51,‎ , p. 505–507 (ISSN 0013-8266, e-ISSN 1477-4534, DOI 10.1093/ehr/XIII.LI.505, JSTOR 547617)
  • A. Taylor, The Shape of the State in Medieval Scotland, 1124–1290, Oxford, Oxford University Press, (ISBN 978-0-19-874920-2, DOI 10.1093/acprof:oso/9780198749202.003.0001, lire en ligne), « Introduction »
  • DE Thornton, « Edgar and the Eight Kings, AD 973: Textus et Dramatis Personae », Early Medieval Europe, vol. 10, no 1,‎ , p. 49–79 (e-ISSN 1468-0254, DOI 10.1111/1468-0254.00079)
  • JM Todd, « British (Cumbric) Place-Names in the Barony of Gilsland, Cumbria », Transactions of the Cumberland & Westmorland Antiquarian & Archaeological Society, vol. 5,‎ , p. 89–102 (DOI 10.5284/1032950, lire en ligne [PDF])
  • P. Wadden, « The Normans and the Irish Sea World in the Era of the Battle of Clontarf », dans V. McAlister et T. Barry, Space and Settlement in Medieval Ireland, Dublin, Four Courts Press, , 15–33 p. (ISBN 978-1-84682-500-2)
  • I. W. Walker, Lords of Alba : The Making of Scotland, Brimscombe Port, The History Press, (1re éd. 2006), 300 p. (ISBN 978-0-7524-9519-4)
  • A. Williams, Kingship and Government in Pre-Conquest England, c.500–1066, Houndmills, Basingstoke, Macmillan Press, coll. « British History in Perspective », , 243 p. (ISBN 978-1-349-27454-3, DOI 10.1007/978-1-349-27454-3, présentation en ligne)
  • A. Williams, « An Outing on the Dee: King Edgar at Chester, AD 973 », Mediaeval Scandinavia, vol. 14,‎ 2004a, p. 229–243
  • A Williams, « Eadred (d. 955) », sur Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004b (DOI 10.1093/ref:odnb/8510, consulté le )
  • A Williams, « Edmund I (920/21–946) », sur Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004c (DOI 10.1093/ref:odnb/8501, consulté le )
  • A Williams, « Edgar (943/4–975) », sur Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, (DOI 10.1093/ref:odnb/8463, consulté le )
  • (en) A. Williams, A. P. Smyth et D. P. Kirby, A Biographical Dictionary of Dark Age Britain : England, Scotland and Wales, c.500–c.1050, Londres, Seaby, , 253 p. (ISBN 1-85264-047-2)
  • A. J. L. Winchester, « Dividing Lines in a Moorland Landscape: Territorial Boundaries in Upland England », Landscapes, vol. 1, no 2,‎ , p. 16–34 (ISSN 1466-2035, e-ISSN 2040-8153, DOI 10.1179/lan.2000.1.2.16)
  • A. Woolf, « Erik Bloodaxe Revisited », Northern History, vol. 40, no 1,‎ , p. 189–193 (ISSN 0078-172X, e-ISSN 1745-8706, DOI 10.1179/007817298790178303)
  • A. Woolf, « Anglo-Scottish Relations: 1. 900–1100 », dans M. Lynch, The Oxford Companion to Scottish History, Oxford, Oxford University Press, coll. « Oxford Companions », , 8–10 p. (ISBN 0-19-211696-7)
  • A. Woolf, « Amlaíb Cuarán and the Gael, 941–81 », dans S. Duffy, Medieval Dublin, vol. 3, Proceedings of the Friends of Medieval Dublin Symposium 2001, Dublin, Four Courts Press, , 34–43 p.
  • A. Woolf, From Pictland to Alba, 789–1070, Édimbourg, Edinburgh University Press, coll. « The New Edinburgh History of Scotland (series vol. 2) », (ISBN 978-0-7486-1233-8)
  • A. Woolf, « Scotland », dans P. Stafford, A Companion to the Early Middle Ages: Britain and Ireland, c.500–c.1100, Chichester, Blackwell Publishing, coll. « Blackwell Companions to British History », , 251–267 p. (ISBN 978-1-405-10628-3)
  • A. Woolf, « Reporting Scotland in the Anglo-Saxon Chronicle », dans A. Jorgensen, Reading the Anglo-Saxon Chronicle: Language, Literature, History, Turnhout, Brepols Publishers, coll. « Studies in the Early Middle Ages (series vol. 23) », , 221–239 p. (ISBN 978-2-503-52394-1, DOI 10.1484/M.SEM-EB.3.4457)