Douvaine
Douvaine | |||||
La mairie (février 2009). | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Savoie | ||||
Arrondissement | Thonon-les-Bains | ||||
Intercommunalité | Thonon Agglomération | ||||
Maire Mandat | Claire Chuinard 2020-2026 | ||||
Code postal | 74140 | ||||
Code commune | 74105 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Douvainois | ||||
Population municipale | 6 738 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 639 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 18′ 21″ nord, 6° 18′ 16″ est | ||||
Altitude | Min. 421 m Max. 520 m | ||||
Superficie | 10,55 km2 | ||||
Type | Petite ville | ||||
Unité urbaine | Douvaine (ville isolée) | ||||
Aire d'attraction | Genève - Annemasse (partie française) (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Sciez | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Haute-Savoie Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes | |||||
Liens | |||||
Site web | douvaine.fr | ||||
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Douvaine est une commune française de la Haute-Savoie en région Auvergne-Rhône-Alpes, dans le Chablais. Elle fait partie de l'agglomération transfrontalière du Grand Genève et de la communauté d'agglomération de Thonon Agglomération.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]Située sur l'ancienne voie romaine, aujourd'hui RN 5, Douvaine fait partie du canton de Sciez, regroupant 25 communes dans le Bas Chablais et la Vallée Verte.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Massongy | ||||
Chens-sur-Léman | N | Ballaison | ||
O Douvaine E | ||||
S | ||||
Loisin |
Ce sont plus de 40 000 véhicules qui traversent Douvaine chaque jour.[réf. nécessaire]
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Elle est le carrefour de routes stratégiques. La RN 5 — appelée autrefois la voie impériale — menant de Genève à Thonon croise la RN 206 en direction d’Annemasse. Douvaine est située près de la frontière suisse, en partant de la place de la mairie, moins de 6 km sont à parcourir sur la RN 5 en direction de Genève, pour passer de Haute-Savoie au canton de Genève.
La commune est desservie par les transports en commun de Thonon-les-Bains (Star't). Il y a la ligne 151 qui va de Douvaine à Thonon[1] et la ligne 271 qui va de Genève (Suisse) à Thonon ou Excenevex et qui passe par Douvaine.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Douvaine est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[2]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douvaine[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[3],[4]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[4]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[5],[6].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (56,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (36,6 %), zones urbanisées (22,2 %), forêts (22 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,5 %), prairies (3,5 %), cultures permanentes (3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1 %), zones humides intérieures (0,2 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Douvaine possède plusieurs interprétations :
- Thiu – Venna : terre marécageuse ;
- Dir – Venna : vivier ;
- Dovain : fosse.
La commune ou la paroisse sont mentionnées avec les noms suivants : Dovenum, Dovenoz, Dognevoz, Dovaine.
En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Dovan-na (graphie de Conflans) ou Dovêno / Dovênno (ORB)[8].
Histoire
[modifier | modifier le code]« Douvaine est occupé dès l'âge de bronze […]. À l'époque gallo romaine, c’est vraisemblablement un bourg d’une certaine importance. »
Douvaine a su se développer au fil des années pour devenir une ville moderne (ville Internet en 2000) et dynamique.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Situation administrative
[modifier | modifier le code]La commune de Douvaine, au lendemain de l'Annexion de la Savoie à la France de 1860, devient le chef-lieu d'un canton, le canton de Douvaine[9]. Elle appartient, depuis 2015, au canton de Sciez, qui compte selon le redécoupage cantonal de 2014 25 communes[10].
La commune est membre, avec dix-sept autres, de la communauté de communes du Bas-Chablais.
Douvaine relève de l'arrondissement de Thonon-les-Bains et de la cinquième circonscription de la Haute-Savoie, dont la députée est Marion Lenne (LREM) depuis les élections de 2017.
Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Ses habitants sont appelés les Douvainois[14].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[16].
En 2021, la commune comptait 6 738 habitants[Note 3], en évolution de +17,88 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Médias
[modifier | modifier le code]Radios et télévisions
[modifier | modifier le code]La commune est couverte par des antennes locales de radios dont France Bleu Pays de Savoie, ODS Radio, Radio Chablais… Enfin, la chaîne de télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie. Régulièrement, l'émission La Place du village expose la vie locale. France 3 et sa station régionale France 3 Alpes peuvent parfois relater les faits de vie de la commune.
Presse et magazines
[modifier | modifier le code]La presse écrite locale est représentée par des titres comme Le Dauphiné libéré, L'Essor savoyard, Le Messager - édition Chablais, le Courrier savoyard.
Internet
[modifier | modifier le code]La ville de Douvaine a été récompensée pour sa politique Internet par le label « Ville Internet @@@@ » en 2000, puis trois l'année suivante[Note 4].
Climat
[modifier | modifier le code]Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,7 | 0,5 | 3,5 | 7,1 | 10 | 14 | 16,1 | 15,7 | 12,4 | 8,7 | 4,7 | 1,2 | 7,9 |
Température moyenne (°C) | 3,1 | 3,5 | 7,6 | 11,9 | 14,8 | 19 | 21,5 | 21 | 17 | 12,2 | 7,3 | 3,7 | 11,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 5,5 | 6,6 | 11,7 | 16,8 | 19,6 | 24,1 | 26,9 | 26,3 | 21,6 | 15,7 | 9,9 | 6,2 | 15,9 |
Record de froid (°C) date du record | −7,1 20.2023 | −11,9 07.2012 | −5,9 09.2010 | −1,9 08.2021 | 1,5 05.2019 | 6,7 01.2011 | 7,8 25.2011 | 8,5 17.2014 | 4,3 27.2010 | −1,6 30.2012 | −5,9 27.2010 | −11,8 20.2009 | −11,9 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record | 16,7 01.2023 | 19,7 28.2019 | 22,2 18.2014 | 26,6 22.2018 | 32,8 25.2009 | 35,3 18.2022 | 38,4 07.2015 | 38,3 24.2023 | 31,9 11.2023 | 26,5 07.2009 | 21,9 02.2020 | 15,4 31.2022 | 38,4 2015 |
Précipitations (mm) | 71,7 | 60,4 | 56,3 | 65,5 | 92,6 | 91,7 | 75,6 | 87,9 | 65,5 | 83,2 | 97,2 | 95,7 | 943,3 |
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 1 mm | 10,7 | 8,7 | 9 | 8,1 | 11,8 | 9,3 | 8,8 | 8,8 | 7,8 | 8,8 | 10,1 | 11,2 | 113 |
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 5 mm | 4,8 | 4,5 | 3,6 | 4,5 | 6 | 5,6 | 4,6 | 5,7 | 4,2 | 4,4 | 5,5 | 6,2 | 59,5 |
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 10 mm | 2,4 | 1,8 | 1,7 | 2,4 | 2,9 | 3,3 | 2,5 | 3,3 | 1,8 | 3,3 | 3,6 | 3,5 | 32,4 |
Culture et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Douvaine comporte plusieurs monuments à découvrir :
- Le château de Troche(s), possession de la famille noble de ce nom, toutefois le château et le fief ont appartenu, avant 1354, aux comtes de Genève[19],[20].
- Le manoir Chapuis, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1995.
- La maison forte de Chilly. Elle a dû appartenir à l'apanage d'une famille noble de Chilly. Ce manoir date du XVe siècle. Il abrite aujourd'hui le restaurant étoilé « Ô Flaveurs ». Ex-voto classé monument historique en 1912[21].
- Le musée des Granges de Servette. Le musée des Granges de Servette (Douvaine-Chens-sur-Léman) expose une collection permanente de peintures et sculptures, s'enrichissant chaque année à la faveur d'une exposition temporaire (ouverture en juillet et août)[22]
- Le clocher de l'église de Douvaine. Il s'agit d'un clocher fortifié du XIIe siècle[21].
- L'ensemble urbain Haüsermann-Costy, construit de 1971 à 1978 par Haüsermann Pascal (architecte) ; Le Merdy Patrick (architecte) et Haüsermann-Costy Claude (architecte). Labellisé Patrimoine XXe siècle[23] le 10 mars 2003 L'ensemble de constructions publiques de forme rondes et bâties suivant la méthode du béton projeté sans coffrage est unique au monde[24]. Voulu en 1971 par le maire de l'époque, Jacques Miguet, le projet initial de « Ville évolutive » comprenait d'autres bâtiments publics, un restaurant et une piscine olympique, autour de ces bâtiments, le nouveau quartier conçu pour densifier la ville, devait accueillir de nombreuses habitations préfabriquées, en plastique, modulaires, évolutives, appelées Domobiles[25].
- La Bulle, salle polyvalente construite entre 1973 et 1976, créée par l'architecte suisse Pascal Haüsermann et Patrick Le Merdy répondant au style de l'architecture prospective. Son nom, né de l'usage des Douvainois, lui vient de son dôme d'origine de couleur bleue, remplacé en 1983 par un toit en zinc.
- l'école maternelle publique, construite entre 1976 et 1978, elle est l’œuvre intégrale de l'architecte Claude Costy.
- le préau de l’école primaire publique, construit en 1976 par l'architecte Pascal Haüsermann, dernier vestige de ce qui devait être la place publique. Deux à l'origine, ils devaient servir d'arcades pour des commerces, s'inspirant de la vieille ville d'Annecy.
- « nouveau centre urbain », la salle polyvalente ( la Bulle ), l'école maternelle (à l'exclusion des adjonctions récentes), les arcades de la place publique et le transformateur, inscription partielle en 2017.
- Le collège du Bas-Chablais "21 Avenue des Acacias". Construit en 1965 , il accueille aujourd'hui plus de 680 élèves provenant de Douvaine mais aussi des communes environnantes: Veigy-Foncenex, Loisin, Massongy, Ballaison, Nernier, Messery et Chens-sur-Léman. Il est impliqué dans de nombreux projets notamment dans le développement durable en faisant partie du réseau des établissements associé à l'Unesco.Il est d'ailleurs labellisé.
- Le marais de Chilly. Il tient son origine de la fonte du glacier du Rhône. Il se situe dans la fôret Rond[26].
Espaces verts et fleurissement
[modifier | modifier le code]En 2014, la commune a obtenu le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris[27].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jules-Étienne Joseph (1834-1901), barnabite, aumônier militaire sous Mac-Mahon en 1870, puis curé de Saint-Joseph des Eaux-Vives (Genève), enfin fondateur et directeur de l'orphelinat de Douvaine (Haute-Savoie), chevalier de la Légion d'honneur. Né à Delle, il est mort à Douvaine.
- Marc Tabazan, cuirassier à la "Charge de Reichshoffen" (6 août 1870).
- Pierre-Louis Genoud (1860-1945), prélat catholique, évêque de Guadeloupe et Basse-Terre, né à Douvaine.
- Jean Rosay (1902-1945), curé de la paroisse pendant la Seconde Guerre mondiale, passeur et résistant, Juste parmi les nations.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Douvaine se blasonnent ainsi : D'or à une tête de loup de gueules, accompagnée en pointe d'un lac ondé d'argent, chaussé d'azur chargé à dextre d'une grappe de raisin du champ et à senestre d'une gerbe de blé du même. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Henri Baud et Jean-Yves Mariotte, Histoire des communes savoyardes : Le Chablais, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 978-2-7171-0099-0), p. 283-285, « Canton de Douvaine », 286-293, « Douvaine ».
- Laurent Neury, L'espoir au bout du pont: histoire et mémoire de la filière de Douvaine, Cabedita, 2019.
- Trédicini de St-Séverin, Histoire de Douvaines, Paris, Res Universis, (1re éd. 1895), 214 p. (ISBN 2-87760-503-5)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site officiel
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Le palmares des Villes Internet (1999 à aujourd'hui) sur le site officiel de l’association « Ville Internet » indique pour Douvaine[18] :
- 2000 « @@@@ »
- 2001 « @@@ »
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
[modifier | modifier le code]- « Ligne 151 | Star't », sur star-t.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Douvaine », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Douvaine ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 17Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou..
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Décret no 2014-185 du 18 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Haute-Savoie », Légifrance, (consulté en ).
- Annuaire des mairies de Haute-Savoie (74)
- « Résultats municipales 2020 à Douvaine », sur lemonde.fr (consulté le ).
- « Résultats municipales 2020 à Douvaine », sur lemonde.fr (consulté le ).
- « Douvaine », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Liste des Villes Internet »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ) (année à sélectionner)
- A. Rouget, A. Vachez, Monuments historiques de France publiés par départements : Haute-Savoie, Lyon, 1895, 61 planches, 24,5 × 31,5 cm, Archives départementales de la Savoie.
- Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance, coll. « L'amateur Averti », , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 63.
- Patrimoine remarquable de la commune de Douvaine. Association de Développement Touristique du Pays du Léman.
- « Association Art et Culture. Musée d'autrefois et d'aujourdhui », sur granges-de-servette.com (consulté le ).
- « Liste des édifices labellisés Patrimoine du XXe siècle en Rhône-Alpes » (consulté le ).
- « Douvaine fait des bulles, l’épopée prospective de Claude et Pascal Häusermann en Bas-Chablais, Mémoire de Maïlis Favre Université de Genève », (consulté le ).
- « Domobiles d'Häusermann sur la base ressources du Frac Centre » (consulté le ).
- « Marais de Chilly », sur Géoparc du Chablais (consulté le ).
- « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).