Chaussoy-Epagny
Chaussoy-Epagny | |||||
L'église entourée du cimetière, à l'écart du village. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Montdidier | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Avre Luce Noye | ||||
Maire Mandat | Christian de Caffarelli 2020-2026 | ||||
Code postal | 80250 | ||||
Code commune | 80188 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale | 586 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 51 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 43′ 39″ nord, 2° 19′ 53″ est | ||||
Altitude | Min. 52 m Max. 143 m | ||||
Superficie | 11,59 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Ailly-sur-Noye | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Somme Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
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Chaussoy-Epagny est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Chaussoy-Épagny est un bourg picard situé à moins de cinq kilomètres d'Ailly-sur-Noye, à 20 km au sud d'Amiens et sur le tracé du méridien de Paris.
Par la photographie aérienne, l'archéologue Roger Agache a démontré que le village s'est formé autour d'une villa gallo-romaine[1].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Ailly-sur-Noye | Louvrechy | |||
Lawarde-Mauger-l'Hortoy | N | Chirmont | ||
O Chaussoy-Epagny E | ||||
S | ||||
Hallivillers | La Faloise |
Hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]Le chef-lieu communal, Chaussoy, est situé à l'ouest, sur le plateau.
Les hameaux de Hainneville et d'Épagny sont dans la vallée de la Noye.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Noye[Carte 1].
La Noye, d'une longueur de 33 km, prend sa source dans la commune de Vendeuil-Caply et se jette dans l'Avre à Boves, après avoir traversé 13 communes[2]. Les caractéristiques hydrologiques de la Noye sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 1,12 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 3,29 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 3,61 m3/s, atteint le [3].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[4].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 701 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 9 km à vol d'oiseau[7], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Chaussoy-Epagny est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,6 %), forêts (12,3 %), zones urbanisées (5,5 %), eaux continentales[Note 4] (5,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le village était dénommé en 1239 Saucois et, en 1301, Salchetum ou Sauchois. Au XVIe siècle, on trouvait Chauchoy, puis, jusqu'en 1811, Chaussoy-Damehaut puis Chaussoy[16].
Sens du toponyme : « bois de saules » (latin salicetum).
La commune portait en 1793 la dénomination de Le Sanchoy Epagny, puis, en 1801, de Saulchoy et Epagny, avant de prendre son nom actuel de Chaussoy-Epagny[17].
Epagny, hameau de Chaussoy, est attesté sous les formes Espanny en 1079 ; Espany en 1105 ; Hispaniacum, Hispania en 1161 ; Espaigny en 1195 ; Hespaini en 1266 ; Espagny en 1322 ; Epaigny en 1334 ; Espaigni en 1387 ; Espeny, Espaingny au XVe siècle ; Espeigniacum au XVIe siècle ; Epagny en 1757[18].
La racine est bien spina, comme épingle , de spimela, « petite épine », suivi de espine devenu « épine » (« haie d'épines »).
Histoire
[modifier | modifier le code]Le site de l'église était depuis des siècles un lieu sacré puisque des tombes mérovingiennes du VIe siècle ont été mises au jour en 1884. L'hypothèse d'une léproserie justifiant son éloignement des populations est à écarter[réf. nécessaire].
Le seigneur d'Épagny, Maximilien de Gouffier, porta le titre de marquis d'Espagny à la fin du XVIIe siècle[19].
La commune de Le Saulchoy, instituée lors de la Révolution française, a absorbé entre 1790 et 1794 celles d'Épagny et de Hainneville qui sont devenues des hameaux[17].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.
Elle fait partie depuis 1793 du canton d'Ailly-sur-Noye[17], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était membre de la communauté de communes du Val de Noye, créée par un arrêté préfectoral du [20], et qui succèdait, conformément aux dispositions de la Loi Chevènement, au district du Val de Noye, créé en 1994.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.
Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d'Avre, Luce et Moreuil[21], la préfète dévoile en octobre 2015 son projet qui prévoit la « des communautés de communes d'Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[22],[23]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[24] et de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[25] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du 22 décembre 2016[26], qui prend effet le .
La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].
En 2021, la commune comptait 586 habitants[Note 5], en évolution de +1,03 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Pour l'année scolaire 2016-2017, l'école publique élémentaire et maternelle compte 72 élèves[35].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Denis de Chaussoy-Epagny[36],[37] : l'église isolée au milieu des champs à égale distance des trois agglomérations formant la paroisse Chaussoy, Epagny, Hainneville, remonte au XIIe siècle pour le chœur. Plusieurs remaniements ont amené à sa forme actuelle au XVIe siècle.
- Elle est classée (inscription sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques) depuis le [38].
- Le retable de la dormition de la Vierge, en pierre, réalisé en 1546[39],[40], la statue de saint Denis, du XVIIe siècle[41], patron de l'église, un tableau du XVIe siècle représentant saint Firmin (ou saint Nicolas) et un donateur[42], ont été classés en 1905 et 1907. On peut également noter une pierre tombale du XVIe siècle, classée en 1980[43].
- Le château de Chaussoy-Epagny, construit pour la famille Gouffier de Cambray dans un vaste parc boisé, a été achevé en 1777. Il est de style Louis XVI. Une tour demi-cylindrique au centre de la façade sur la cour a été ajoutée au milieu du XIXe siècle, avec des ornements sculptés par les frères Duthoit. En octobre 1788, la famille de Cambray le vend à Jean-Baptiste Morgan de Belloy, industriel, maire d'Amiens. Cette propriété privée est restée depuis la possession de la même famille. Le parc avec sa voie romaine, la glacière et ses arbres remarquables, peuvent être visités. Des chambres d'hôtes ont été aménagées par les propriétaires[44],[45],[46],[47]. Les façades et les toitures du château sont inscrites aux Monuments historiques depuis un arrêté du 24 juin 1992.
- Chapelle funéraire en granit gris, de la famille Reusse, à l'extérieur du cimetière[48].
- Les étangs, anciennes tourbières[16] ;
- la Noye, rivière de 1re catégorie, paradis des pécheurs[16] ;
- les sentiers de grande randonnée et de randonnée[16] ;
- la Chaussée Brunehaut, voie romaine qui reliait Lutèce (Paris) à Samarobriva (Amiens)[16].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Les membres de la famille Gouffier qui furent marquis d'Espagny, comme Maximilien Gouffier, marquis d'Espagny, fut mestre de camp du régiment de Guyenne.
- Edouard de Morgan, conseiller général et député de la Somme
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- Chaussoy-Epagny sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune Chaussoy-Epagny (80188) », Recensement général de la population de 2014, INSEE, (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Bruneau Tabuteau, Chaussoy-Epagny-Hainneville : église Saint-Denis, (lire en ligne [PDF]).
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:04 TU à partir des 168 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/01/2010 au 01/06/2024.
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Chaussoy-Epagny » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Roger Agache, La Somme pré-romaine et romaine d'après les prospections aériennes à basse altitude, Société des antiquaires de Picardie, Musée de Picardie, Amiens, 1978, p. 437.
- Sandre, « la Noye »
- « Station hydrométrique La Noye à Dommartin », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le )
- « SAGE Somme aval et Cours d'eau côtiers », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Chaussoy-Epagny et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Chaussoy-Epagny ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « D'hier à aujourd'hui », Histoire, sur chaussoy-epagny-hainneville.fr, (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 325 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
- Dict. de Picardie, Montdidier, p. 199 ; cf le Père Anselme, Hist. de la Maison de France, 5-625, 626 (Marquis d'Espagny).
- « CC du Val de Noye (N° SIREN : 248000523) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
- Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
- « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l'idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l'idée d'un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
- « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
- « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
- « Edouard, Marie, Pierre de Morgan (1803 - 1867) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
- « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- « Clap de fin pour Germain Montaigne, maire de Chaussoy-Epagny », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « La cérémonie a débuté avec une certaine émotion chez l'élu et dans l'assistance. « Après avoir été conseiller municipal, adjoint au maire et maire (en tout 37 ans)… je pense qu'il est temps de laisser la place à une équipe plus jeunes pour gérer les affaires de la commune ».
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les élus », sur chaussoy-epagny-hainneville.fr, (consulté le ).
- « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- L'école sur le site de l'éducation nationale.
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Chaussoy-Epagny, d'après nature, 1877 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- « Héliogravure : Eglise de Chaussoy-Epagny (Extrait de "La Picardie historique et monumentale"). », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- « L'église », notice no PA00125669, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le retable », notice no PM80001543, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Héliogravure : A) Retable de Chaussoy-Epagny (Extrait de "La Picardie historique et monumentale") B) Retable de Chaussoy-Epagny-Hainneville (Somme) - 1546. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- « Statue : Saint Denis », notice no PM80001545, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « tableau (panneau peint) : Saint Firmin et un donateur », notice no PM80001544, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Pierre tombale », notice no référence, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Site du château de Chaussoy-Epagny ».
- « Chaussoy-Epagny-Hainneville », sur valdenoye.com (consulté le ).
- « Cartes postales anciennes : A) Chaussoy-Epagny - Château. L. Caron, phot.-édit., Amiens B) Environs d'Ailly-sur-Noye - Chaussoy - Le château (côté du parc) C) Coullemelle (Somme) - Le château. Edit. C. H. (O.) - Cliché Hermann », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- « Le château », notice no référence, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 206 (ASIN B000WR15W8).