Gauchy
Gauchy | |||||
Église de Gauchy. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Saint-Quentin | ||||
Intercommunalité | CA du Saint-Quentinois | ||||
Maire Mandat | Jean-Marc Weber 2020-2026 | ||||
Code postal | 02430 | ||||
Code commune | 02340 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gasiaquois(es) | ||||
Population municipale | 5 204 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 834 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 49′ 30″ nord, 3° 16′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 68 m Max. 118 m | ||||
Superficie | 6,24 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Saint-Quentin (banlieue) | ||||
Aire d'attraction | Saint-Quentin (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Quentin-3 | ||||
Législatives | 2e circonscription de l'Aisne | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Aisne Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
Liens | |||||
Site web | ville-gauchy.fr | ||||
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Gauchy est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]La commune de Gauchy se situe au sud de l'agglomération de Saint-Quentin, entre l'autoroute A26 et le canal de Saint-Quentin.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Somme la rivière, le fossé des Allemagnes et le Rocourt[1],[Carte 1].
La Somme est un fleuve du nord de la France, en région Hauts-de-France, qui traverse les deux départements de l'Aisne et de la Somme. Il prend sa source dans la commune de Fonsomme et se jette dans la Manche par la baie de Somme entre Le Crotoy et Saint-Valery-sur-Somme[2].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Haute Somme ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 798 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Haute Somme est constitué d'un réseau hydrographique complexe de cours d'eau, de marais, d'étangs et de canaux. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[3].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 707 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Clercs à 5 km à vol d'oiseau[6], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 683,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Gauchy est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Quentin, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[12]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (57,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (39,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (34,1 %), terres arables (26,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (23 %), forêts (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %), zones humides intérieures (4,3 %)[15].
L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom du village apparaît pour la première fois en l'an 1189, sous l' appellation de Gauchi, puis Gauci, Gaulchy sur la Carte de Cassini vers 1750 et enfin l'orthographe actuelle Gauchy[16].
Histoire
[modifier | modifier le code]Carte de Cassini
La carte de Cassini montre qu'au XVIIIe siècle, Gauchy, écrit Gaulchy, est une paroisse située sur la rive droite de la Somme. Aucune route empierrée ne traverse le village. Deux passerelles en bois permettait de traverser les bras de la Somme.
Au nord-est, l'Abbiette était un hameau situé aux environs du Groupe sportif actuel. Ce hameau est cité en 1216 sous le nom de Villa que dicitur Vetus, villa prope Sanctum-Quintinum, Vieville, Viefsville-emprès-Saint-Quentin, Vielville-lez-Saint-Quentin en 1624 puis L'Abbiette sur la carte de Cassini[17].
A l'est est représenté un moulin à vent qui deviendra célèbre sous le nom de Moulin de Tous-Vents à la suite des combats meurtriers lors de la guerre franco-allemande de 1870. Ce moulin sera détruit par les Allemands en 1918.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Quentin du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Aisne.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Saint-Simon avant d'être transférée en 1923 dans le canton de Saint-Quentin. Celui-ci a été scindé par décret du et la commune rattachée au canton de Saint-Quentin-Sud[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais intégrée au canton de Saint-Quentin-3.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin, créée fin 1999 et qui et qui succédait au district de Saint-Quentin, créé le , rassemblant à l'origine 11 communes afin notamment de créer et développer des zones industrielles[19].
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (sous réserve de certaines dérogations bénéficiant aux territoires de très faible densité), le préfet de l'Aisne a adopté un nouveau schéma départemental de coopération intercommunale par arrêté du [20] qui prévoit notamment la fusion de la communauté de communes du canton de Saint-Simon et de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin, aboutissant au regroupement de 39 communes comptant 83 287 habitants[21].
Cette fusion est intervenue le , et la commune est désormais membre de la communauté d'agglomération du Saint-Quentinois[22].
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]La commune a été récompensée par quatre fleurs au palmarès 2007 du concours des villes et villages fleuris[31]. Elle conserve en 2015 cette distinction[32].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].
En 2021, la commune comptait 5 204 habitants[Note 3], en évolution de −2,46 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2021, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (34,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,8 % la même année, alors qu'il est de 27,8 % au niveau départemental.
En 2021, la commune comptait 2 478 hommes pour 2 726 femmes, soit un taux de 52,38 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,17 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Le Carnaval annuel : la 49e édition eut lieu le [38],[39].
Économie
[modifier | modifier le code]Les deux usines Loréal, Fapagau et Soprocos, emploient plus de 500 personnes dans l'activité parfumière en 2019[40].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Brice.
- Monument aux morts.
- La commune conserve plusieurs vestiges de son patrimoine industriel :
- Cité des cadres d'entreprise (logement du directeur et des ingénieurs des Textiles Artificiels de Gauchy), construite entre 1922 et 1928[41] ;
- Cité ouvrière des Textiles Artificiels de Gauchy, construite en 1922, 1926, 1930 et 1936[42] ;
- Usine de mécanique de précision MOPCO, puis Bull, puis usine de cosmétiques Soprocos, construite en 1929 et 1966[43] ;
- Usine de construction mécanique des Ateliers de Constructions de Machines Agricoles Lefèvre, Leroy et Cie, construite en 1908 et 1921[44] ;
- Usine de fibres artificielles de la Cie Nouvelle des Applications de la Cellulose, Comptoir des Textiles Artificiels, Soie Artificielle de Gauchy, Rhône Poulenc Textiles, puis Tergal Fibres et parfumerie, construite en 1922, 1930 et 1986[45] ;
- Ancienne filature de coton Georges Morel et Cie, Filature et Tissage de Gauchy, filature de la Cotonnière de Moislains, usine de produit textile non tissé SODIMATEX, construite dans la première moitié du XXe siècle[46].
- Le monument aux morts est à proximité de l'église.
- L'école municipale de musique.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Gauchy » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Sandre, « le Rocourt »
- Sandre, « la Somme rivière »
- « SAGE Haute Somme », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Gauchy et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Quentin », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Quentin », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes », sur Gallica, (consulté le ).
- « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes », sur Gallica, (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Loïc Rossignol, « Mise en place d'un service de transport à la demande : position de l'exploitant » [PDF], sur dumas.ccsd.cnrs.fr, (consulté le ), p. 25.
- « Arrêté préfectoral du 30 mars 2016 portant Schéma départemental de coopération intercommunale de l'Aisne » [PDF], Approbation du nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, Préfecture de l'Aisne (consulté le ).
- « Schéma départemental de coopération intercommunale » [PDF], Intercommunalité dans l'Aisne, Préfecture de l'Aisne, (consulté le ), p. 34 et 41-44.
- Préfecture de l'Aisne, « Arrêté n°2016-1077 en date du 15 décembre 2016 portant fusion de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin et de la communauté de communes du canton de Saint-Simon - Recueil des actes administratifs de la préfecture de l'Aisne du mois de décembre 2016 - Partie 2 » [PDF], sur aisne.gouv.fr, (consulté le ), p. 55-59.
- Site municipal officiel, pour la liste des maires de 1803 à 2001.
- https://maitron.fr/spip.php?article75242, notice HERBIN Georges par Jean-Pierre Besse, Claude Pennetier, version mise en ligne le 21 juin 2010, dernière modification le 23 février 2019.
- « Les derniers vœux de Josette Henry : Le maire a symboliquement tiré sa révérence, jeudi soir, lors de sa cérémonie des vœux empreinte de beaucoup d'émotions : « Le temps est passé vite », Le Courrier picard, (lire en ligne) « Voilà des mois que la première magistrate a annoncé ne pas se représenter aux prochaines é lections municipales. « Le temps est venu de céder ma place et de profiter enfin d'une véritable retraite », confirme-t-elle ».
- Anaïs Carpentier, « Gauchy : Jean-Marc Weber crée la surprise : Depuis 42 ans, la gauche passe dès le premier tour à Gauchy. Pas cette année. Jean-Claude Cappèle est talonné de près par Jean-Marc Weber et sa liste sans étiquette », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne).
- « Gauchy : Jean-Marc Weber, maire officiel : L'installation du nouveau conseil municipal s'est déroulée, vendredi 4 avril au soir, dans un respect exemplaire de la démocratie », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- « Comités municipaux », sur Horizons Le parti (consulté le ).
- Nassera Lounassi, « Saint-Quentin : l'opposition fait son entrée au conseil communautaire », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne).
- Jerôme Hemard, « Jean-Marc Weber largement réélu maire de Gauchy lors de l'installation du nouveau conseil municipal : Seul candidat à sa succession, le maire Jean-Marc Weber a été réélu à une large majorité ce lundi 25 mai », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne, consulté le ) « Aussitôt après avoir endossé l'écharpe tricolore, Jean-Marc Weber est revenu sur l'élection du premier tour (53,20 %) et la victoire de la liste qu'il menait : « Une mairie pour tous ».
- Villes et Villages Fleuris
- O. D.S.R., « Concours des villes et villages fleuris : Gauchy change de cap mais garde son rang », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Commune de Gauchy (02340) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Aisne (02) », (consulté le ).
- « Le carnaval de Gauchy, c'est dimanche 1er juin : De la musique, de l'animation, des majorettes et des Gilles, c'est parti pour le prochain carnaval de la commune, sans tribune officielle sur son parcours, cette année », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- « Gauchy : le carnaval 2016 sera encore haut en couleur : La 49e édition du carnaval aura lieu dimanche 8 mai. Vingt et une formations composeront le cortège, qui sera suivi par des milliers de spectateurs », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne).
- Olivier de Saint Riquier, « La future rue Liliane-Bettencourt fait débat », Courrier picard, , p. 2.
- « La cité des cadres d'entreprise (logement du directeur et des ingénieurs des Textiles Artificiels de Gauchy) », notice no IA02002909, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Cité ouvrière des Textiles Artificiels de Gauchy », notice no IA02002908, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'usine de mécanique de précision MOPCO, puis Bull, puis usine de cosmétiques Soprocos », notice no IA02002905, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'usine de construction mécanique des Ateliers de Constructions de Machines Agricoles Lefèvre, Leroy et Cie », notice no IA02002915, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'usine de fibres artificielles de la Cie Nouvelle des Applications de la Cellulose, Comptoir des Textiles Artificiels, Soie Artificielle de Gauchy, Rhône Poulenc Textiles, puis Tergal Fibres et parfumerie », notice no IA02002907, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ancienne filature de coton Georges Morel et Cie, Filature et Tissage de Gauchy, filature de la Cotonnière de Moislains, usine de produit textile non tissé SODIMATEX », notice no IA02002906, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.