Indiana Jones et la Machine infernale

Indiana Jones
et la Machine infernale

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PEGI 16 (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
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Indiana Jones et la Machine infernale (Indiana Jones and the Infernal Machine) est un jeu vidéo développé par LucasArts et édité en France par Ubisoft en 1999.

Avec ce titre, le studio LucasArts s'écarte des jeux d'aventure point and click qui ont largement contribué à sa renommée avec des titres comme Maniac Mansion: Day of the Tentacle, Monkey Island et, bien sûr, Indiana Jones et le Mystère de l'Atlantide. En 3D à la 3e personne, mêlant phases d'exploration, phases d'action (combats arme au poing) et phases de plateformes, Indiana Jones et la Machine Infernale reprend clairement le concept Tomb Raider.

La version Nintendo 64 du jeu n'a jamais été éditée en Europe[1].

La version PlayStation du jeu a été annulée.

Le joueur est amené à bourlinguer en Mésopotamie, en Amérique centrale, dans l'ancienne Nubie, sur une île perdue du Pacifique et dans les altitudes glacées aux confins de la Chine et de l'URSS.

En effet, l'histoire se déroule au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, au moment où s'amorce la guerre froide. Exeunt donc les nazis : c'est aux agents de Moscou qu'Indy est confronté. Une fois de plus, Henry Jones Jr va devoir récupérer quelques antiques et dangereux artefacts avant qu'ils ne tombent en de mauvaises mains.

Dans les ruines de Babylone, Indy apprend l'existence d'une mystérieuse et dangereuse machine qui aurait été créée du temps du roi Nabuchodonosor. Finalement mise en pièces, quatre disciples de la divinité Marduk s'enfuirent aux quatre coins du monde emportant avec eux de précieuses reliques, des pièces de la machine.

Le premier, Urgon s'enfuit vers les monts célestes (chaîne du Tian shan). Le second, Taklit, sur l'île de Palawan dans l'archipel des Philippines. Le troisième, Azerim, en Amérique centrale, en pays olmèque. Le dernier enfin, Nub, vers le royaume de Nubie.

Une fois toutes rassemblées, elles permettraient de compléter la machine, et d'ouvrir ainsi un passage entre deux mondes: le monde réel, et l'aetherium, une autre dimension de la réalité, royaume de la divinité Marduk, dont les intentions à l'égard de l'humanité ne semblent en aucun cas amicales.

Aperçu des notes reçues
Presse papier
Média Note
Computer and Video Games (UK) PC : 8,8/10[2]
EGM (US) N64 : 6,83/10[3]
Game Informer (US) N64 : 6,75/10[3]
Nintendo Power (US) N64 : 7,8/10[4]
GBC : 3/5[5]
Presse numérique
Média Note
Eurogamer (UK) PC : 9/10[6]
GameSpot (US) PC : 6,3/10[7]
N64 : 6/10[8]
GBC : 6,9/10[9]
IGN (US) PC : 7,8/10[10]
N64 : 8/10[11]
Agrégateurs de notes
Média Note
Metacritic N64 : 75 %[12]

Références

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  1. Pas de Machine infernale sur N64, Overgame, 9 juillet 2001 (page consultée le 28 septembre 2008).
  2. (en) Hill, Mark, « Indiana Jones And The Infernal Machine Review », Computer and Video Games, (version du sur Internet Archive)
  3. a et b « Indiana Jones and the Infernal Machine for Nintendo 64 », sur GameRankings, CBS Interactive Inc. (consulté le )
  4. (en) « Indiana Jones and the Infernal Machine Review », Nintendo Power, vol. 139,‎ , p. 146
  5. (en) « Indiana Jones and the Infernal Machine Review », Nintendo Power, vol. 144,‎ , p. 117
  6. (en) Purchese, Robert, « Indiana Jones & The Infernal Machine PC Review », Eurogamer, (consulté le )
  7. (en) Ryan, Michael E., « Indiana Jones and the Infernal Machine Review for PC », GameSpot, (consulté le )
  8. (en) Fielder, Joe, « Indiana Jones and the Infernal Machine Review for Nintendo 64 », GameSpot, (consulté le )
  9. (en) Provo, Frank, « Indiana Jones and the Infernal Machine Review for Game Boy Color », GameSpot, (consulté le )
  10. (en) Blevins, Tal, « Indiana Jones and the Infernal Machine - PC Review », IGN, (consulté le )
  11. (en) Casamassina, Matt, « Indiana Jones and the Infernal Machine - Nintendo 64 Review », IGN, (consulté le )
  12. (en) « Indiana Jones and the Infernal Machine (N64) », Metacritic (consulté le )

Liens externes

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