La Chapelle-Grésignac

La Chapelle-Grésignac
La Chapelle-Grésignac
L'église de La Chapelle-Grésignac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Ribéracois
Maire
Mandat
Patrick Beau
2020-2026
Code postal 24320
Code commune 24109
Démographie
Gentilé Chapellois
Population
municipale
103 hab. (2021 en évolution de −3,74 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 23′ 40″ nord, 0° 20′ 18″ est
Altitude Min. 78 m
Max. 174 m
Superficie 6,95 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Ribérac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
La Chapelle-Grésignac
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
La Chapelle-Grésignac
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
La Chapelle-Grésignac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
La Chapelle-Grésignac
Liens
Site web http://lachapelle.gresignac.free.fr/

La Chapelle-Grésignac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation et accès

[modifier | modifier le code]

La Chapelle-Grésignac est une commune située en Ribéracois, dans le quart nord-ouest du département de la Dordogne, non loin de celui de la Charente.

Le bourg de la Chapelle est situé à 6 km au nord-nord-ouest de Verteillac et 38 km au nord-ouest de Périgueux. Il est aussi à 11 km au sud-ouest de Mareuil, 16 km au nord de Ribérac et 32 km au sud-est d'Angoulême[1]. L'autre petit bourg, Grésignac, est situé un kilomètre à l'est de la Chapelle.

À l'écart des grandes routes, la commune est desservie par les routes départementales (RD) 100, 101 et 102. La RD 100 longe la vallée de la Pude, la RD 101 va en direction de Villebois-Lavalette (Charente) et Verteillac, et la RD 102 dessert le bourg de la Chapelle en direction de Grésignac et Cherval[2].

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

La Chapelle-Grésignac est limitrophe de quatre autres communes. Au nord-est, le territoire de Gout-Rossignol est distant d'environ 650 mètres.


Communes limitrophes de La Chapelle-Grésignac
Champagne-et-Fontaine
Nanteuil-Auriac-de-Bourzac La Chapelle-Grésignac Cherval
Saint-Martial-Viveyrol

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. La Chapelle-Grésignac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[3].

Le Santonien marque les deux tiers nord-est de la commune, le tiers sud-ouest étant occupé par le Campanien. Faisant face au nord-est, une cuesta par paliers marque un dénivelé sensible. Cet escarpement vers le nord-ouest peut être suivi dans tout le sud du département voisin de la Charente par Gurat jusqu'au sud de Cognac, et en Dordogne vers le sud-est à Verteillac.

Sur une bande centrale de la commune incluant le bourg, les surfaces des plateaux sont recouvertes de formations composées de sables argileux bruns, issues de l'altération du Santonien supérieur lors du Pléistocène, au Quaternaire.

La vallée de la Pude est occupée par des alluvions récentes composées de sable et de tourbe. Quelques parties du lit de cette rivière sont occupées par des formations de tuf carbonaté appelées « bouchots », provoquant des tourbières en amont du territoire communal[4],[5],[6].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque, de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c4a-c, date du Santonien inférieur à supérieur, composée de calcaires crayeux gris glauconieux en plaquettes évoluant dans le secteur sud avec apparition de silex noirs ou bruns et de rudistes (formation de Saint-Laurent-sur-Manoire). La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 733 - Montmoreau » et « no 734 - Nontron » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[7],[8] et leurs notices associées[9],[10].

Carte géologique de La Chapelle-Grésignac.

Relief et paysages

[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). Le relief de la commune est celui de bas plateaux occupant le versant sud de la vallée de la Pude. Le point le plus bas, avec 78 m[11], se situe au nord-ouest, juste en aval du moulin de Galy, là où la Pude quitte le territoire communal et entre sur celui de Nanteuil-Auriac-de-Bourzac. L'altitude maximale, 174 m[11], est atteinte en deux endroits, en limite sud de la commune à Puy Grand et en limite sud-ouest, aux Enders. Le bourg de la Chapelle, qui occupe une crête surplombant la vallée, est à 112 m d'altitude[12].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [13]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[14]. La commune est dans le Ribéracois, une région naturelle possédant un relief vallonné avec des altitudes moyennes comprises autour des 130-160 m, sculpté par la Dronne et ses nombreux affluents. Les paysages sont ondulés de grandes cultures dont les vastes horizons contrastent avec les paysages plus cloisonnés de la Dordogne[15],[16].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 6,95 km2[11],[17],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 6,97 km2[8].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[20]. Elle est drainée par la Pude et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[21],[Carte 1].

La Pude, d'une longueur totale de 19,75 km, prend sa source dans la commune de Gout-Rossignol et se jette en rive gauche de la Lizonne, en limite de Bouteilles-Saint-Sébastien et de Nanteuil-Auriac-de-Bourzac, face à Palluaud[22],[23]. Elle traverse la commune du nord-est au nord-ouest sur trois kilomètres et demi en de multiples bras, formant des îles.

Quelques ruisseaux affluents intermittents descendent des plateaux environnants. Des étangs issus d'anciennes tourbières sont visibles au nord-est[2].

Gestion et qualité des eaux

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[24]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [25].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[26]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[27].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 882 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[28]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martial-Viveyrol à 4 km à vol d'oiseau[29], est de 13,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 862,3 mm[30],[31]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[32].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]
Le grand étang (ouest) des tourbières de La Chapelle-Grésignac.
Le petit étang (est) des tourbières.

La commune présente trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF).

À l'est, sur environ 15 % du territoire communal[33], en limite de la commune de Cherval, une autre ZNIEFF de type II, le plateau de Cherval, est remarquable pour sa variété d'oiseaux dont plusieurs sont protégées par la directive européenne : Bruant ortolan (Emberiza hortulana), Busard cendré (Circus pygargus), Busard Saint-Martin (Circus cyaneus), Engoulevent d'Europe (Caprimulgus europaeus), Grande Outarde (Otis tarda), Pie-grièche écorcheur (Lanius collurio), Pipit rousseline (Anthus campestris)[34],[35].

La vallée de la Pude est protégée dans sa traversée de la commune au titre d'une ZNIEFF de type II « Vallée de la Nizonne »[36],[37].

Sa faune est constituée d'environ 250 espèces dont trente sont considérées comme déterminantes :

Sa flore est également riche de plus de deux cents espèces de plantes, dont neuf sont considérées comme déterminantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), l'Hélianthème blanc (Helianthemum canum), l'Orchis à fleurs lâches (Anacamptis laxiflora), l'Orpin de Nice (Sedum sediforme), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sabline des chaumes (Arenaria controversa), le Scirpe des bois (Scirpus sylvaticus) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis).

Sur le territoire communal, une zone réduite d'une vingtaine d'hectares (à l'est eu sud-est du moulin de Rochas) fait partie d'une autre ZNIEFF de type I « Vallée de la Pude » composée « d'anciennes tourbières et les petits vallons dominés par les milieux humides "naturels" (prairies, roselières, sources, boisements de saules »[38],[39] dans laquelle ont été recensés deux espèces déterminantes d'odonates, le Gomphe semblable (Gomphus simillimus) et le Gomphe vulgaire (Gomphus vulgatissimus)[38]. Trente-sept autres espèces animales y ont également été répertoriées (seize odonates et 21 oiseaux) ainsi qu'une trentaine d'espèces végétales[38].

Au , La Chapelle-Grésignac est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[40]. Elle est située hors unité urbaine[41] et hors attraction des villes[42],[43].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,5 %), zones agricoles hétérogènes (26,5 %), forêts (16,6 %), prairies (10,4 %)[44]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villages, hameaux et lieux-dits

[modifier | modifier le code]

Hormis le bourg de la Chapelle et le village de Grésignac proprement dits, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, et de nombreuses fermes ainsi que de lieux-dits[45] :

  • la Barde
  • Beaumont
  • la Bufellie
  • le Buguet
  • chez Buisson
  • chez Conant
  • chez Marou
  • la Croix
  • la Croix de Bonnevie
  • la Croix de Peygrand
  • les Enders
  • Font Morte
  • la Gauterie
  • les Gouyoux
  • les Granges
  • Lortige
  • la Maillerie
  • la Morézie
  • Moulin Cacaud
  • Moulin du Clauzurou
  • Moulin de Galy
  • Moulin de Rochat
  • Moureaud
  • la Petite Barde
  • la Rembaudie
  • Roche
  • la Salmonie.

Prévention des risques

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de La Chapelle-Grésignac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[46]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[47].

La Chapelle-Grésignac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[48]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[49],[50].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Chapelle-Grésignac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[51]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[52]. 63,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[53].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993 et 1999, par la sécheresse en 1989, 1992 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[46].

Panneau d'entrée à La Chapelle-Grésignac en français et occitan.

Le nom de Grésignac est attesté sous la forme ancienne (in castro de) Greziniaco en 1243[54], (Ademarius de) Grezinhaco en 1318-1322[55]. Les formes anciennes de La Chapelle-Grésignac sont Capella de Grazinhaco au XIIIe siècle, La Chapelle Gresinhac au XVIe siècle[56].

Le nom de la Chapelle-Grésignac fait partie des noms de communes composés de La Chapelle et d'un hameau voisin, ici Grésignac[57],[Note 4]. L'origine du nom de Grésignac remonterait à un personnage gallo-romain Grisinius ou Gracillius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait au « domaine de Grisinius »[58].

Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, Grésignac est identifié sous le nom de Grezignac[59].

En occitan limousin[60], la commune porte le nom de La Chapela de Gresinhac[61].

Au Moyen Âge, Grésignac était un castrum attesté dès 1243. La terre de Grésignac formait avec La Tour-Blanche une enclave de l'Angoumois en Périgord. Grésignac apparaît dans un document du lorsque Jeanne de France, fille du roi Louis X le Hutin, reçoit une rente compensatoire en échange du « comté d'Angoulême, la cité et la ville d'icelle, avec les autres choses aussi comme nous les tenons pour raison de la montée et espécialement Bouteville, Coignac, Merpins, Touvre, Grésignac, Aubeterre et Villeboy... »[62],[63].

En 1827, la commune de La Chapelle-Grésignac a été intégrée à celle de Cherval. Cette fusion a été annulée en 1841 et La Chapelle-Grésignac a été rétablie[11].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

Dès 1790, la commune de La Chapelle-Grésignac a été rattachée au canton de Champaigne qui dépendait du district de Ribérac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Verteillac dépendant de l'arrondissement de Ribérac. Ce dernier étant supprimé en 1926, ses communes sont alors rattachées à l'arrondissement de Périgueux[11].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , le canton de Verteillac disparaît aux élections départementales de mars 2015[64]. La commune est alors rattachée au canton de Ribérac qui devient plus étendu.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Fin 1996, La Chapelle-Grésignac intègre dès sa création la communauté de communes du Verteillacois. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par un intercommunalité élargie : la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois.

Administration municipale

[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[65],[66].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1960? 1976 Alban Lamy SE Minotier
1977 1989 Roger Vallade   Agriculteur
1989 mai 2008 Christian Vallade[Note 5] SE[67] Cadre technique
juin 2008[68] mai 2020 Annie Vallade SE Secrétaire de direction
mai 2020 En cours Patrick Beau    
Panneau de jumelage du canton avec Fontanetto Po.

L'ensemble des communes de l'ancien canton de Verteillac, dont faisait partie La Chapelle-Grésignac, est jumelé avec la commune italienne de Fontanetto Po depuis 1988[69].

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, La Chapelle-Grésignac relève[70] :

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Entre 1827 et 1841, la Chapelle-Grésignac était réunie à Cherval et n'existait plus en tant que commune[11].

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

Les habitants de La Chapelle-Grésignac se nomment les Chapellois et les Chapelloises[71].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[72]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[73].

En 2021, la commune comptait 103 habitants[Note 6], en évolution de −3,74 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1846 1851 1856 1861 1866
402419386402438411450467380
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
375343333336305334305302273
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
247250242266232216193165146
1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021
136126112131136118107102103
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[74].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 16,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (27,1 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 47,0 % la même année, alors qu'il est de 36,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 54 hommes pour 52 femmes, soit un taux de 50,94 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,18 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[75]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
4,0 
9,6 
75-89 ans
14,0 
32,7 
60-74 ans
34,0 
23,1 
45-59 ans
28,0 
11,5 
30-44 ans
10,0 
9,6 
15-29 ans
2,0 
13,5 
0-14 ans
8,0 
Pyramide des âges du département de la Dordogne en 2021 en pourcentage[76]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,2 
90 ou +
2,9 
10,6 
75-89 ans
13,4 
23,6 
60-74 ans
23,7 
20,9 
45-59 ans
20,7 
15,5 
30-44 ans
14,8 
13,5 
15-29 ans
11,6 
14,8 
0-14 ans
12,9 

En 2015[77], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent quarante-six personnes, soit 43,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trois) est resté stable par rapport à 2010 et le taux de chômage de cette population active s'établit à 6,5 %.

Établissements

[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte 21 établissements[78], dont huit au niveau des commerces, transports ou services, sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, deux dans la construction, deux dans l'industrie, et deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[79].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil

[modifier | modifier le code]
La motte qui adopte la forme d'un cône tronqué de 250 pieds de circonférence est placée sur une terrasse de forme ovale occupée par une basse-cour occupée par des logis de chevaliers (milites castri). Tournée vers le plateau[83],elle avait pour fonction de défendre Grésignac et la vallée de la Lizonne. Le site qui culmine à 146 mètres était composé d'une partie haute supportant un donjon en bois et d'une partie basse, la basse-cour où était construits les dépendances et les logements. Le tracé des fossés est conservé, mais il ne subsiste aucun vestige de palissades en bois, et il est vraisemblable que des souterrains s'étendent au pied de la motte. Christian Carcauzon a vu, vers le sommet, l'ouverture d'un puits partiellement obstrué, et une série d'encoches permettant une descente aisée. Ce puits, pour Jean Bitard aurait été dégagé lors d'un chantier de fouilles. M. Watelin y aurait découvert des caves-silos et des poteries des XIe et XIIe siècles et Serge Avrilleau y a observé une cavité horizontale très encombrée à l'arrière du dôme[84].
  • Le moulin Cacaud, situé sur la Pude, était un ancien moulin à eau dont le nom évoque un moulin à huile de noix, puis une minoterie, qui a cessé ses activités en 1975[85].

Patrimoine religieux

[modifier | modifier le code]
  • L'église paroissiale Saint-Étienne, située au bourg de la Chapelle, date du XVIIe siècle. Elle a été restaurée aux XIXe et XXe siècles[86].
  • Les vestiges de l'église Saint-Jean de Grésignac du XIIe siècle[87].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[18],[19]
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. En Dordogne, La Chapelle-Montabourlet et La Chapelle-Montmoreau sont de ce type, mais pas La Chapelle-Gonaguet : nom ancien du village (réf: Dauzat).
  5. A démissionné après les élections de mars 2008 (à cause de sa fonction au Conseil général) à la suite de la requête du préfet auprès du tribunal administratif.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de la Chapelle-Grésignac » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. a et b Carte IGN sous Géoportail
  3. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. Carte du BRGM sous Géoportail
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montmoreau », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Carte géologique de La Chapelle-Grésignac » sur Géoportail (consulté le 11 juillet 2022).
  8. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de La Chapelle-Grésignac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  9. « Notice associée à la feuille no 733 - Montmoreau de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  10. « Notice associée à la feuille no 734 - Nontron de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  11. a b c d e f et g Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  12. « 112 » sur Géoportail (consulté le 12 juillet 2022)..
  13. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  14. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  15. « Repères géographiques du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  16. « Portrait du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  17. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de La Chapelle-Grésignac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  18. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  19. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  20. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  21. « Fiche communale de la Chapelle-Grésignac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  22. « Confluence Pude-Lizonne au nord-est du bourg de Palluaud » sur Géoportail (consulté le 26 juillet 2022)..
  23. Sandre, « la Pude »
  24. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  25. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  27. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  28. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  29. « Orthodromie entre La Chapelle-Grésignac et Saint-Martial-Viveyrol », sur fr.distance.to (consulté le ).
  30. « Station Météo-France « Saint-Martial Viveyrols » (commune de Saint-Martial-Viveyrol) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  31. « Station Météo-France « Saint-Martial Viveyrols » (commune de Saint-Martial-Viveyrol) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  32. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  33. [PDF] Plateau de Cherval sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 27 novembre 2014.
  34. [PDF] Plateau de Cherval sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 26 novembre 2014.
  35. Carte du plateau de Cherval sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 26 novembre 2014.
  36. [PDF] Vallée de la Nizonne, INPN, consulté le 19 octobre 2019.
  37. Carte de localisation de la ZNIEFF 7720008181, INPN, consulté le 19 octobre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
  38. a b et c [PDF] 720008182 - Vallée de la Pude, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  39. Carte de la ZNIEFF 720008182, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  40. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  41. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  42. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  43. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  44. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  45. « Commune de la Chapelle-Grésignac » sur Géoportail (consulté le 23 novembre 2014)..
  46. a et b « Les risques près de chez moi - commune de La Chapelle-Grésignac », sur Géorisques (consulté le ).
  47. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  48. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  49. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  50. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
  51. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  52. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  53. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  54. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 246,247.
  55. François Maillard, Comptes royaux (1318-1322), Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 282.
  56. Pouillé du XIIIe siècle et archives de Pau in vicomte Alexis Joseph Dominique de Gourgues, Dictionnaire topographique de département de la Dordogne, Imprimerie nationale, , 389 p. (lire en ligne), p. 68, 371.
  57. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 145..
  58. ibid. p.332
  59. « Grezignac » sur Géoportail (consulté le 23 novembre 2014)..
  60. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 15.
  61. Le nom occitan des communes du Périgord - La Chapela de Gresinhac sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  62. André Debord in Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, BNF 34901024, présentation en ligne), p. 129.
  63. a et b « Motte de Grésignac », notice no IA24000866, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  64. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  65. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 30 août 2020.
  66. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 octobre 2020.
  67. Voici vos 557 maires, supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 30.
  68. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 16 août 2014.
  69. Jean-Louis Savignac, « Les 30 bougies du jumelage franco-italien », Sud Ouest édition Périgueux, 27 avril 2018, p. 21.
  70. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  71. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 23 novembre 2014.
  72. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  73. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  74. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  75. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Chapelle-Grésignac (24109) », (consulté le ).
  76. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Dordogne (24) », (consulté le ).
  77. Dossier complet - Commune de la Chapelle-Grésignac (24109) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 12 septembre 2018.
  78. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  79. Dossier complet - Commune de la Chapelle-Grésignac (24109) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 12 septembre 2018.
  80. « Château de Beaumont », notice no IA24000970, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  81. « Domaine du château du Clauzurou », notice no PA00082463, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  82. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 329.
  83. Patrice Conte et Sylvie Faradel, « Nouveaux regards sur les fortifications de terre », Dossiers d'archéologie, no 404,‎ , p. 14 (ISSN 1141-7137).
  84. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 329-330.
  85. « Moulin Cacaud », notice no IA24001016, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  86. « Église paroissiale Saint-Etienne », notice no IA24000840, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  87. « Église paroissiale Saint-Jean », notice no IA24000839, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.