La Romagne (Maine-et-Loire)
La Romagne | |||||
Église Saint-Romain | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Cholet | ||||
Intercommunalité | Agglomération du Choletais | ||||
Maire Mandat | Josette Guitton 2020-2026 | ||||
Code postal | 49740 | ||||
Code commune | 49260 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Romagnon | ||||
Population municipale | 1 998 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 124 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 03′ 42″ nord, 1° 01′ 15″ ouest | ||||
Altitude | 110 m | ||||
Superficie | 16,11 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Cholet (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Sèvremoine | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire | |||||
modifier |
La Romagne est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire en région Pays de la Loire.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Commune angevine des Mauges, La Romagne se situe au sud-est de Roussay, sur la route D 753, Tiffauges - La Séguinière[1].
Aux alentours
[modifier | modifier le code]Les communes les plus proches, à vol d'oiseau, sont Roussay (5 km), Saint-André-de-la-Marche (5 km), Le Longeron (6 km), La Séguinière (6 km), Saint-Christophe-du-Bois (7 km), La Renaudière (7 km), Saint-Macaire-en-Mauges (7 km), Torfou (8 km) et Saint-Aubin-des-Ormeaux (8 km)[2].
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Son territoire se trouve sur un haut plateau, incliné vers la rivière la Moine[3]. Il se situe sur l'unité paysagère du plateau des Mauges[4].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La Moine traverse la commune en limite nord-est[3].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 773 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Cholet à 11 km à vol d'oiseau[7], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 772,5 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Morphologie urbaine : Le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.
Typologie
[modifier | modifier le code]Au , La Romagne est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cholet, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (94,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (42,2 %), terres arables (35,1 %), zones agricoles hétérogènes (15 %), zones urbanisées (7,4 %), forêts (0,4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat
[modifier | modifier le code]En 2017, le nombre total de logements dans la commune est de 831, alors qu'il était de 600 en 1999. Parmi ces logements, 93 % sont des résidences principales, 1 % des résidences secondaires et 5 % des logements vacants. Ces logements sont pour 95 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5 % des appartements[16].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Formes anciennes du nom : Ecclesia de Romania en 1107, Ecclesia Romagnie en 1132 circa, Ecclesia de Romagne au XIIIe[3], La Romagne en 1793 et 1801[17],[Note 2],[18].
Les habitants se nomment les Romagnons[3].
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]Deux haches en pierre polie ont été trouvées sur son territoire[19].
Antiquité
[modifier | modifier le code]La voie antique de Montfaucon à Mortagne traverse La Romagne. Un établissement est peut-être existant dans les premiers temps gallo-romains[19].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Le prieuré et l'église, dont on ignore la date de fondation, dépendent de l'abbaye de Saint-Laon-de-Thouars. La première mention de La Romagne date de 1118, dans une confirmation par bulle que l'église paroissiale appartient aux religieux de l'abbaye de Saint-Laon-de-Thouars. Un prieuré-cure y est établi au milieu du XIIIe siècle[19].
Ancien Régime
[modifier | modifier le code]La paroisse, qui se trouvait en pays de marche de Poitou, Anjou et Bretagne, est l'une des plus petites de la généralité de Tours. Elle compte une quinzaine de métairies. Elle relève au XVIe siècle de la baronnie de Montfaucon pour partie et de la châtellenie de Tiffauges pour partie[19].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Durant la Révolution, La Romagne se trouve au centre du pays insurgé. Le bourg est incendié en 1794 par les colonnes infernales. Le nombre d'habitants passe de 1 006 en 1790 à 812 en 1801[20].
L'église, incendiée en 1794, est reconstruite en 1840-1841, sans rien conserver de l'ancienne[21],[3].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Municipalité en 1790[17].
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune est membre de l'Agglomération du Choletais après transformation de la communauté d'agglomération du Choletais[28].
Autres circonscriptions
[modifier | modifier le code]La Romagne se trouve jusqu'en 2015 dans le canton de Montfaucon-Montigné, dans l'arrondissement de Cholet[3]. Dans le cadre de la réforme territoriale de 2014, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . Le canton de Montfaucon-Montigné disparait et la commune est rattachée au canton de Saint-Macaire-en-Mauges, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[29].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].
En 2021, la commune comptait 1 998 habitants[Note 4], en évolution de +9,48 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,5 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 957 hommes pour 956 femmes, soit un taux de 50,03 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,63 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Vie locale
[modifier | modifier le code]Le groupe scolaire est privé. Il comprend une école primaire et maternelle[35]. L'école publique a fermée à la fin des années 1960 par manque d'effectif[36].
On y trouve également une maison familiale rurale, Le Vallon[35].
Plusieurs équipements sportifs sont présents sur la commune : deux terrains de football et un complexe omnisports[3]. On y pratique le tennis de table, le football, le BMX, le badminton, le volley-ball, le cyclotourisme, la marche, la danse, la gymnastique, etc[37]. D'un point de vue sportif, La Romagne se distingue par son club de tennis de table (Stella Sports La Romagne) évoluant dans l'élite française en championnat de France Pro A de tennis de table[38].
La bibliothèque, située rue nationale, est animée par une équipe de bénévoles[37]. La commune compte également une salle municipale[3].
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]Le revenu fiscal médian par ménage sur La Romagne est en 2018 de 21 870 €, pour une moyenne sur le département de 21 110 €[39].
Population active et emploi
[modifier | modifier le code]La population âgée de 15 à 64 ans s'élève en 2017 à 1 180 personnes (pour 1 112 en 2007), parmi lesquelles on comptait 83 % d'actifs dont 76 % ayant un emploi et 6 % de chômeurs[40].
En 2017 on comptait 544 emplois dans la commune, contre 511 en 2007. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune était de 909. L'indicateur de concentration d'emploi est de 60 %, ce qui signifie que la commune offre un nombre d'emplois inférieur au nombre d'actifs, indicateur en légère baisse par rapport à 2007 (61 %)[40].
Tissu économique
[modifier | modifier le code]Au XVIIIe siècle, la population compte 159 agriculteurs et 119 artisans[41]. Au début du XXe siècle, l'industrialisation du tissage prend le relais des métiers à tisser à main, puis la chaussure prend la place du textile[21]. En 1986, on trouve 45 exploitations agricoles pratiquant la polyculture (cultures fourragères, céréales) et surtout l'élevage de bovins, une entreprise de fer forgé, deux entreprises de maçonnerie et douze entreprises artisanales[19].
Sur 117 établissements présents sur la commune à fin 2010, 24 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 9 % du secteur de l'industrie, 15 % du secteur de la construction, 43 % de celui du commerce et des services et 9 % du secteur de l'administration et de la santé[42]. Fin 2015, sur les 120 établissements actifs, 14 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, 18 % du secteur de la construction, 52 % de celui du commerce et des services et 10 % du secteur de l'administration et de la santé[16].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- La chapelle, rue de la Mairie ;
- L'église Saint-Romain, reconstruite en 1841 ;
- Le lavoir, rue de Vendée ;
- Le moulin, route de Cholet ;
- L'oratoire du moulin, route de Cholet.
Le Bouchot est un espace naturel qui longe la Moine, entre les communes de La Séguinière et de La Romagne[43].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. 3, Angers, H. Siraudeau, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 40869771, lire en ligne), p. 497-499.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
- Jean-Marie Bahu, né le 12 février 1886 à Fougères.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- IGN et BRGM, Géoportail La Romagne (49), consulté le 14 octobre 2012.
- Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de La Romagne (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 18 octobre 2020 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
- Célestin Port 1989, p. 497.
- Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, (ISBN 2-909051-22-6, BNF 38989055), p. 191.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre La Romagne et Cholet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cholet », sur la commune de Cholet - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cholet », sur la commune de Cholet - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de La Romagne ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cholet », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Dossier complet - Commune de La Romagne (49260) », sur Insee, (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, (BNF 39295447), p. 141.
- Célestin Port 1989, p. 498.
- Célestin Port 1989, p. 498-499.
- « Histoire et patrimoine », sur Mairie de de La Romagne, 2013-2020 (consulté le ).
- Célestin Port 1989, p. 499, liste des maires de 1792 à 1989.
- « La Romagne. L'ancien maire Yves Coutant est décédé », Ouest-France, (lire en ligne)
- « Alain Breteaudeau, nouveau maire, aura cinq adjoints », Ouest-France, (lire en ligne)
- Sylvain Amiotte, « Près de Cholet. Ancien maire de La Romagne, Alain Breteaudeau est décédé », Ouest-France, (lire en ligne)
- « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), consulté le 19 avril 2014.
- « La Romagne. Josette Guitton élue maire, avec cinq adjoints aux délégations à préciser », sur Ouest-France, (consulté le ).
- Insee, Composition de l'EPCI du Choletais (244900700), consulté le 28 septembre 2013.
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Romagne (49260) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
- « Éducation », sur Mairie de de La Romagne, 2013-2020 (consulté le ).
- Célestin Port 1989, p. 497, décision académique du 10 octobre 1966 et municipale du 27 janvier 1967.
- « Sports, culture et loisirs », sur Mairie de de La Romagne, 2013-2020 (consulté le ).
- Étienne Martin, « Tennis de table - Pro A. Jens Lundquist, adieux tronqués mais souvenirs marqués », sur Ouest-France, (consulté le ).
- « Comparateur de territoire : Commune de la Romagne (49260) », sur Insee (insee.fr), (consulté le ).
- « Dossier complet : Commune de La Romagne (49260) », sur Insee, (consulté le ).
- Célestin Port 1989, p. 498, selon une étude sur les Paysans des Mauges au XVIIIe s. par Andrews.
- Insee, Statistiques locales du territoire de La Romagne (49), consultées le 8 mai 2013
- « Le Bouchot », sur Office de tourisme du Choletais, 2016-2020 (consulté le ).