Malachite
Malachite Catégorie V : carbonates et nitrates[1] | |
Cristaux de malachite ; taille de la vue 3 cm, taille des cristaux 2-3 mm, Congo | |
Général | |
---|---|
Numéro CAS | |
Classe de Strunz | 05.BA.10 |
Classe de Dana | 16a.03.02.01 |
Formule chimique | Cu2CO3(OH)2 |
Identification | |
Masse formulaire | 221,12 uma |
Couleur | vert, vert noirâtre, vert clair, vert foncé |
Système cristallin | monoclinique |
Réseau de Bravais | primitif P |
Classe cristalline et groupe d'espace | prismatique; P21/a |
Macle | fréquentes selon le pinacoïde {100} et {201}. |
Clivage | parfait sur {201}, irrégulier sur {010} |
Cassure | irrégulière |
Habitus | aciculaire, prismatique, massif, botryoïdal, pseudomorphose. |
Échelle de Mohs | 3,5 à 4 |
Trait | vert clair, vert pâle |
Éclat | vitreux, adamantin, soyeux, mat, gras, terreux |
Propriétés optiques | |
Indice de réfraction | α = 1,655 ; β = 1,875 ; γ = 1,909 |
Biréfringence | Biaxial(-) ; 0,254 |
Pléochroïsme | x : presque incolore ; y : jaune verdâtre ; z : vert foncé |
Dispersion optique | 43° |
Transparence | transparent à translucide à opaque |
Propriétés chimiques | |
Densité | 3,6 à 4,05 |
Solubilité | soluble dans HCl (bouillonne), soluble dans l'eau |
Comportement chimique | humidifié par HCl : colore la flamme en vert |
Unités du SI & CNTP, sauf indication contraire. | |
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La malachite est un minéral secondaire des zones d'oxydation des gisements de cuivre, de formule Cu2CO3(OH)2, faisant partie du groupe des carbonates minéraux et du sous-groupe des carbonates anhydres avec anions étrangers.
Historique de la description et appellations
[modifier | modifier le code]Inventeur et étymologie
[modifier | modifier le code]La malachite est identifiée à son chrysocolle « qui a la nuance du blé en herbe, dans sa verdure la plus fraîche » selon Pline l'Ancien[2]. Le nom de ce minéral vient du latin malachites déformation du grec ancien molochē (μολóχη), variante de malachē (μαλάχη), signifiant selon le contexte : « mollesse, voluptueux, efféminé », en allusion non à la couleur mais à la plante surnommée Mauve en raison de la mollesse de ses courbes.
Synonymie
[modifier | modifier le code]Caractéristiques physico-chimiques
[modifier | modifier le code]Critères de détermination
[modifier | modifier le code]La malachite présente une effervescence à l'acide chlorhydrique, et est très légèrement soluble dans l'eau contenant du CO2.
Cristallochimie
[modifier | modifier le code]La malachite est analogue à la georgeïte (Cu2(CO3)(OH)2·6H2O), qui est amorphe[11].
Elle fait partie d'un groupe de minéraux isostructuraux appelé groupe de la malachite, constitué des espèces suivantes :
- Malachite Cu2CO3(OH)2, P21/a; 2/m
- Nullaginite Ni2CO3(OH)2, P21/m, P21 ; Mono
- Pokrovskite Mg2CO3(OH)2 • H2O, P21/a ; 2/m
- Chukanovite Fe2CO3(OH)2, P21/a ; 2/m
Cristallographie
[modifier | modifier le code]- Paramètres de la maille conventionnelle: a = 9,502 Å, b = 11,974 Å, c = 3,240 Å, β = 98,75 °, Z = 4, V = 364,35 Å3
- Densité calculée = 4,03
Propriétés physiques
[modifier | modifier le code]- Habitus
Les cristaux de malachite sont aciculaires ou prismatiques, et peuvent atteindre 9 cm[12]. Mais la malachite se trouve le plus souvent sous forme massive, botryoïdale, mamelonnée, fibreuse, stalactitique, en agrégats, grenue, terreuse, en rosette, en croûte, radiée, concrétionnée, cunéiforme, compacte, en enduit, ainsi qu'en pseudomorphose.
Gîtes et gisements
[modifier | modifier le code]Gîtologie et minéraux associés
[modifier | modifier le code]La malachite se forme dans la zone d'oxydation des sulfures de cuivre.
Minéraux associés : Azurite, cuprite, cérusite, chrysocolle, calcite, limonite, calcédoine, atacamite, brochantite, ténorite, aurichalcite
Gisements remarquables
[modifier | modifier le code]- Broken Hill/Cobar, Nouvelle-Galles du Sud
- Burra, Australie-Méridionale
Brésil
Colombie
Congo (République Démocratique)
- Musonoi mine, Province du Katanga, Lubumbashi, Kolwezi,
- Mashamba West mine
- Warren district, Bisbee, comté de Cochise
- Morenci, comté de Greenlee, Arizona
- Fierro-Hanover district/ Santa Rita, comté de Grant, Nouveau-Mexique.
- Le Pradet, Var, Mine de Cap Garonne[13]
- Cabrières, Hérault, Mine de Pioch Farrus[14]
- Chessy-les-Mines, Rhône[15]
- Dourd'hal, Longeville-lès-Saint-Avold, Moselle, Mine du Hautbois
Mexique (mines de malachite associée à l'azurite)
- Mine d’Onganja, 60 km au nord de Windhoek, Tsumeb
- Nijni Taguil, Iekaterinbourg, Oural, Mine Mednoroudiansky (’minerai de cuivre’)
- Dans cette dernière mine qui a appartenu à l'industriel et mécène russe, le comte Nikolaï Nikititch Demidoff, un important filon de 250 tonnes de malachite fut découvert en 1835. Cela permit de produire de gros objets en grande quantité, et de décorer en particulier, les intérieurs de plusieurs palais en Russie[17]. Le plus gros bloc de malachite qui ait été trouvé dans cette mine pesait 40 tonnes[18].
- Bloc de malachite (Congo).
- De la malachite polie.
- Cristaux de malachite.
- Malachite et azurite sur smithsonite 0,8 × 6 × 4,5 cm. Tsumeb Mine (Tsumcorp Mine), Tsumeb, Otjikoto (Oshikoto), Namibie.
- Morceau de malachite fibreuse.
Utilisation
[modifier | modifier le code]Décoration
[modifier | modifier le code]La malachite a été utilisée comme pierre ornementale, pour colonnes, tables, bijoux, trophées, objets d'art :
États-Unis
- En 1819, le sculpteur-fondeur français Pierre-Philippe Thomire réalisa l'ornementation en bronze du « Vase Demidoff », de style Empire, en placage de malachite, monté en or moulu, haut de 1,715 mètre. Le vase avait été commandé par le comte Nicolas Demidoff pour meubler la villa San Donato, sa résidence près de Florence. La malachite avait été extraite de la mine de Nijni Taguil, à Ekaterinbourg, dont il était le propriétaire[17]. En 1880, au moment de la dispersion des objets d'art de la collection Demidoff, par Paul P. Demidoff, le vase fut acheté par le milliardaire américain William Henry Vanderbilt, qui l'exposa, en 1881, dans le hall du Triple Palais Vanderbilt (en), à New York, (du 640 au 642 de la Cinquième Avenue, palais aujourd'hui démoli). Le vase fut ensuite mis en vente en 1944 par la veuve de Cornelius Vanderbilt III (1873-1942), et il fut acheté par le Metropolitan Museum of Art de New York grâce au mécénat du contre-amiral Frederic R. Harris (en)[19].
France
- Dans le « Salon des malachites » au château du Grand Trianon à Versailles. Cette pièce, devenue « Salon de l'Empereur » sous Napoléon 1er, contient en particulier les objets d'art (candélabres, vases, vasque) fabriqués avec les blocs de malachite de Sibérie, offerts par le tsar Alexandre Ier de Russie à Napoléon Ier, en 1808, après la signature du traité de Tilsitt, le .
- L'ancien hôtel de la Païva, au 25, avenue des Champs-Élysées, à Paris, construit entre 1856 et 1865, à la demande d'Esther Lachmann, (La Païva), et qui a été financé par le riche industriel et comte allemand, Guido Henckel von Donnersmarck, possède dans l'ancienne chambre de la Païva, un entourage de cheminée en malachite (seul exemple d'entourage de cheminée en malachite connu à Paris)[20].
Mexique
- En 1775, le vice-roi de Nouvelle-Espagne, Bernardo de Gálvez, ordonna la construction d'une maison de campagne sur la colline de Chapultepec, à Mexico, ancien site sacré pour les Aztèques. Le château de Chapultepec est l'un des deux seuls châteaux royaux dans les Amériques, ainsi que le seul en Amérique du Nord qui a été utilisé par des souverains. Le château comporte une « Malachite room », avec en particulier deux immenses portes « Malachite doors », décorées avec de la malachite de Sibérie. L'empereur Maximilien Ier, et son épouse l'impératrice Charlotte, sous le Second Empire mexicain, l'ont habité. L'empereur a apporté d'Europe d'innombrables pièces de mobilier et objets d'art. Ceux-ci sont exposés dans le château qui est devenu, depuis 1939, le musée national d'Histoire (Museo Nacional de Historia)[21].
Royaume-Uni
- Un grand vase en malachite, aux poignées en bronze représentant des têtes de Bacchus, monté sur un piédestal de forme carrée, orné des armoiries impériales britanniques, se trouve dans la salle « Crimson Drawing Room » [22], du château de Windsor. Le vase a été probablement réalisé vers 1825, dans la manufacture lapidaire impériale de Peterhof, en Russie, et a été envoyé en cadeau au roi d'Angleterre George IV, par la tsarine Alexandra Feodorovna, (épouse du tsar Nicolas Ier), par l'intermédiaire du prince Lieven, ambassadeur de Russie en Angleterre. L'objet d'art a été enregistré dans les collections royales le , par Benjamin Jutsham, greffier du roi[23].
Russie
- Les maîtres lapidaires des trois manufactures lapidaires impériales de Peterhof, Ekaterinbourg, ou de la Manufacture lapidaire impériale de Kolyvan (ru), en Sibérie[Note 1], avaient l'habitude de travailler sur des objets d'art volumineux, en utilisant la technique de la mosaïque russe (ou école russe de la mosaïque florentine)[24], par placage de fines lamelles de pierres semi-précieuses telles que le jaspe, le lapis-lazuli, la rhodonite ou la malachite, habilement assemblées sur des œuvres d'art en bronze, ou en pierre. De nombreux vases et objets d'art volumineux, sont exposés au musée de l'Ermitage, à Saint-Pétersbourg, ou au Palais d'Hiver, dans la Salle de malachite (en)[25].
- Vase en malachite, de 2 mètres de haut, (XIXe s)
- Vase en malachite
- Salon de malachite
- Salon de malachite
- La grande antichambre
- À Saint-Pétersbourg 16 tonnes de malachite ont été nécessaires, à l'époque, (extraits de la mine Nijni Taguil, non loin d'Ekatérinbourg), pour la décoration des colonnes de la cathédrale Saint-Isaac (associées à d'autres colonnes, décorées avec du lapis-lazuli).
- Les colonnes de malachite et de lapis-lazuli
- Chapelle latérale
- Panoramique intérieur
- À Saint-Pétersbourg, les entourages de cheminées étaient souvent réalisés en malachite, comme dans le « Salon vert » (vers 1860), du palais Youssoupoff, (ou palais de la Moïka), ayant appartenu aux princes Youssoupoff[25].
- Dans la salle de l'ordre de Sainte-Catherine au grand palais du Kremlin, à Moscou[26] ;
- Dans le Palais Catherine à Pouchkine, (anciennement Tsarskoye Selo)[27] ;
- Bureau de travail du tsar Alexandre Ier de Russie
Peinture
[modifier | modifier le code]La malachite a été utilisée comme pigment minéral depuis l'Antiquité pour rendre certains tons bleu-vert clair et lumineux, notamment dans la réalisation des enluminures et des fresques au Moyen Âge ainsi que dans la peinture des icônes[28]. Le pigment est sensible à la lumière et aux acides et a tendance à virer de couleur. Sa forme naturelle a été remplacée par une forme synthétique.
La malachite a été utilisée par Raphaël vers 1513-1514, en particulier dans son tableau La Madone Sixtine, pour les draperies vertes à gauche et à droite en haut du tableau. La malachite a été aussi utilisée par Le Tintoret vers 1560 dans son tableau Saint-Georges et le Dragon, dans le paysage vert : malachite et plus petites quantités de vert-de-gris, ainsi que dans les parties jaunes du paysage : malachite mélangée avec du jaune de plomb-étain (en) (ou jaune des Vieux Maîtres)[29].
- La Madone Sixtine, Raphaël, vers 1513-1514, Gemäldegalerie Alte Meister à Dresde
- Saint-Georges et le Dragon, Le Tintoret, vers 1560, National Gallery à Londres
De nombreux peintres comme Cennino Cennini, Jérôme Bosch, Rubens ainsi que des peintres de la Renaissance italienne l'ont utilisée, parmi lesquels : Botticelli, Le Tintoret, Le Titien, Giotto, Giovanni Bellini, Cima da Conegliano, Raphaël[29]...
Autres utilisations
[modifier | modifier le code]- En cosmétologie, on prétend qu'elle a une action protectrice à plusieurs niveaux du processus de défense antioxydant des cellules, et un effet détoxifiant.
- Comme minerai de cuivre.
Décoration moderne d'intérieur
[modifier | modifier le code]La malachite est toujours une source d'inspiration pour des artistes américains comme Tony Duquette (en) (1914-1999), dans sa propre résidence Dawnridge[30] à Beverly Hills, États-Unis, ou pour les designers Kelly Wearstler (en) ou Jonathan Adler (en), dans leurs créations pour leurs clients. Les motifs décoratifs particuliers, décrits par la malachite, peuvent être repris sur de nouveaux supports, grâce aux techniques modernes d'impression, quel que soit le support, comme sur les tissus d'habillement ou d'ameublement (malachite print) : rideaux, tissus muraux, comme l'a fait le créateur de mode américain Halston[31].
Divers
[modifier | modifier le code]- Le trophée FIFA de la Coupe du monde de football intègre à sa base deux morceaux de malachite.
- Alphonse Allais a souvent dit que la malachite ne profite jamais, ainsi que Boris Vian dans Cent sonnets[32]
- Le film Impossible... pas français a pour intrigue principale la recherche de 300 tonnes de malachite afin de les revendre avec un bénéfice de 120 millions.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Après l'effondrement de l'URSS, l'usine intègre le ministère des Services publics de la Russie. Dès 1990, l'usine n'a pas été en mesure de survivre. Elle est mise en faillite en 1998. Depuis , l'usine fabrique des produits en granit, telles les bordures de protection. En conséquence, le premier centre de taille de pierre de la Sibérie, continue à fonctionner, à ce jour
Références
[modifier | modifier le code]- La classification des minéraux choisie est celle de Strunz, à l'exception des polymorphes de la silice, qui sont classés parmi les silicates.
- Pline l'Ancien, Histoires Naturelles, XXXIII, 27.
- Torbern Olof Bergman - Manuel du minéralogiste, ou sciagraphie du règne minéral 1784 p. 225
- André Henri Lucas, René Just Haüy - Tableau méthodique des espèces minérales, Volume 2 1813 p. 348
- Ignaz Born (Edler von) - Catalogue méthodique et raisonné de la collection des fossiles de Mlle Eleonore de Raab, Volume 2 1790 p. 337
- Œuvres complètes de Buffon, tome 3, éd. Duménil, 1836, p. 3 (en ligne).
- Jean-Claude de La Métherie - Théorie de la terre, Volume 1 1797 p. 187
- Henri Landrin - Dictionnaire de minéralogie, de géologie, et de métallurgie 1852 p. 498
- ANNALES DE MUSEUM D'HISTOIRE NATURELLE A PARIS, CHEZ G. DUFOUR 1812 p. 345
- René Just Haüy - Tableau comparatif des résultats de la cristallographie et de l'analyse 1809p.90
- (en) Darren A.Lytle, David G.Wahman, Michael R. Schock, Mallikarjuna N. Nadagouda, Stephen Harmon, Katherine Webster et Jacob Botkins, « Georgeite: A rare copper mineral with important drinking water implications », Chemical Engineering Journal, vol. 355, , p. 1-10 (DOI 10.1016/j.cej.2018.08.106, lire en ligne)
- (en) John W. Anthony, Richard A. Bideaux, Kenneth W. Bladh et Monte C. Nichols, The Handbook of Mineralogy : Borates, Carbonates, Sulfates, vol. V, Mineral Data Publishing,
- Mine du Cap Garonne, Le Pradet, Var,sur le site planet-terre.ens-lyon.fr, consulté le 13 juillet 2014
- Mine de Pioch Farrus, Cabrières, Hérault, sur le site cabrieres.fr, consulté le 13 juillet 2014
- Gîte de Chessy-les-mines, sur le site gegm-france.org, consulté le 13 juillet 2014
- (en) « Malachite from Mazapil Zacatecas, Mexico », sur mindat.org (consulté le ).
- (en) Daniel Russell - Mindat.org, « The Demidoff Malachite Mine, Nizhne-Tagil'skoye, Russia », sur www.mindat.org, (consulté le ).
- (en) « Manual of Mineralogy », sur forgottenbooks.com (consulté le ).
- (en) The Metropolitan Museum of Art, « Vase, 1819, Pierre Philippe Thomire, Malachite, gilt-bronze, and bronze », sur metmuseum.org (consulté le ).
- Paris Capitale Historique, « Hôtel de la Païva : visite guidée », sur paris-capitale-historique.fr (consulté le ).
- (es) Instituto Nacional de Antropología e Historia (INAH), « Museo Nacional de Historia - Castillo de Chapultepec », sur mnh.inah.gob.mx (consulté le ).
- (en) The British Monarchy, « The British Monarchy - Windsor Castle - The Crimson Drawing Room », sur royal.gov.uk (consulté le ).
- (en) Royal Collection, « Malachite vase (vers 1825) », sur royalcollection.org.uk (consulté le ).
- Splendeur et secrets du métro de Moscou, « La mosaïque florentine », sur metro-in-moscow.com (consulté le ).
- Lizotchka, « Trompe-l'œil à la russe: mosaïque et malachite », sur lizotchka-russie.over-blog.com, (consulté le )
- (en) Advantour, « Catherine Hall of the Grand Kremlin Palace », sur advantour.com (consulté le )
- (en) Saint-Petersburg.com, « Catherine Palace », sur saint-petersburg.com (consulté le ).
- Malachite, sur le site enluminure-peinture.fr, consulté le 13 juillet 2014
- (en) Colourlex, « Malachite : Natural mineral pigment known since antiquity : Malachite : Pigment minéral naturel connu depuis l'Antiquité », sur colourlex.com (consulté le ).
- (en) « Hutton Wilkinson Tony Duquette Studios », sur tonyduquette.com (consulté le ).
- (en) Bryan Anthony, « Malachite madness (La folie de la malachite) », sur houzz.com, (consulté le ).
- Boris Vian - Cent sonnets, « Boris Vian - Vert malachite ne profite jamais », sur www.crcrosnier.fr (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- (en) Charles Palache, Harry Berman et Clifford Frondel, The System of Mineralogy of James Dwight Dana and Edward Salisbury Dana, Yale University 1837–1892, vol. II : Halides, Nitrates, Borates, Carbonates, Sulfates, Phosphates, Arsenates, Tungstates, Molybdates, etc., New York (NY), John Wiley & Sons, , 7e éd., 1124 p., p. 252–256
- (1960) NBS Circ. 539, 10, 31.
- (de + en) Süsse, P. (1967) Verfeinerung der Kristallstruktur des Malachites, Cu2(OH)2CO3. Acta Cryst., 22, p. 146–151 (in German with English abs.).
- (de + en) Zigan, F., W. Joswig, H.D. Schuster, et S.A. Mason (1977) Verfeinerung der Struktur von Malachit, Cu2(OH)2CO3, durch Neutronenbeugung. Zeits. Krist., p. 145, p. 412–426 (in German with English abs.).
- (en-US) Richard V. Gaines, H. Catherine W. Skinner, Eugene E. Foord, Brian Mason, Abraham Rosenzweig (1997), Dana's New Mineralogy : The System of Mineralogy of James Dwight Dana and Edward Salisbury Dana, John Wiley and Sons, Inc., New York (NY), 8e édition, p. 488
Liens externes
[modifier | modifier le code]Vidéo externe | |
Malachite in art Why this paint didn’t last 500 years sur le compte YouTube de la National Gallery |
- Ressource relative aux beaux-arts :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :