Ordre de Thérèse
| Ordre de Thérèse (de) Theresien-Orden | ||||||||||
 Avers | ||||||||||
| Insigne et croix de l’ordre de Thérèse. | ||||||||||
| Conditions | ||||||||||
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| Décerné par | .svg){kind=small} Royaume de Bavière | |||||||||
| Type | Ordre féminin de chevalerie | |||||||||
| Détails | ||||||||||
| Statut | Éteint (décerné en tant qu’ordre dynastique) | |||||||||
| Grades | Dames d’honneur Dames de seconde classe | |||||||||
| Statistiques | ||||||||||
| Création | par Thérèse de Saxe-Hildburghausen | |||||||||
| Ordre de préséance | ||||||||||
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 Ruban de l’ordre de Thérèse. | ||||||||||
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L’ordre de Thérèse (en allemand, Theresien-Orden) est un ordre nobiliaire féminin bavarois fondé le par la reine Thérèse de Bavière[1], épouse du roi Louis Ier, pour récompenser les jeunes femmes nobles chrétiennes et célibataires. Le fait d’appartenir à l’ordre permettait à celles-ci de recevoir une pension afin vivre dignement jusqu’à leur éventuel mariage.
Attribution de l’ordre
[modifier | modifier le code]Malgré l’abolition de la monarchie en 1918, l’ordre reste décerné[Par qui ?] en tant qu’ordre dynastique. L’ordre de Thérèse se compose de diverses classes :
- dames d’honneur (Ehrendamen)
- croix agrémentée de la couronne et du monogramme de brillant (108 récipiendaires)
- croix agrémentée du monogramme de brillant (237 récipiendaires)
- simple croix (750 récipiendaires)
- dames de seconde classe (Präbendierte Damen)
- simple croix (72 récipiendaires)
Membres notables
[modifier | modifier le code]Grandes-Maîtresses de l'ordre
[modifier | modifier le code]- 12 décembre 1827 - 26 octobre 1854 : Thérèse de Saxe-Hildburghausen ;
- 26 octobre 1854 - 17 mai 1889 : Marie de Prusse ;
- 17 mai 1889 - 3 février 1919 : Marie-Thérèse de Modène ;
- 7 avril 1921 - 31 juillet 1954 : Antonia de Luxembourg ;
- 31 juillet 1954 - 10 juin 1969 : Maria Draskovich von Trakostján ;
- 21 avril 1971 - 5 octobre 1983 : Marie-Jenke Keglevich von Buzin ;
Dames de l'ordre
[modifier | modifier le code]- 27 février 1904 : Shōken ;
- Marie-Thérèse de Modène ;
- 1856 : Iekaterina Saltykova ;
- Amélie d'Espagne ;
- Isabelle-Antoinette de Croÿ ;
- Marie-Thérèse d’Espagne ;
- Irmingard de Bavière ;
- Gisèle d'Autriche.
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- (de) Arnhard Graf Klenau, Orden in Deutschland und Österreich, Band II, Offenbach (Hessen), Graf Klenau Verlags, , 220 p. (ISBN 978-3-937064-13-0 et 3-937064-13-3), p. 143-149
- Chantal de Badts de Cugnac et Guy Coutant de Saisseval, Le Petit Gotha, Paris, Éditions Le Petit Gotha, coll. « Petit Gotha », (1re éd. 1993), 989 p. (ISBN 2-9507974-3-1), p. 20 et seq. (section « Maison royale de Bavière »)
- (de) Georg Schreiber et Alexander Freiherr von Reitzenstein, Die bayerischen Orden und Ehrenzeichen, Munich, Prestel-Verlag, coll. « Musée de l'armée bavaroise (de) », , 200 p. (OCLC 3120606)
- (en) Rajah Sir Sourindro Mohun Tagore, The orders of knighthood, British and foreign, Calcutta, The Catholic Orphan Press, (OCLC 39255887)
Notes et références
[modifier | modifier le code]Source
[modifier | modifier le code]- (de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Theresienorden » (voir la liste des auteurs).
Références
[modifier | modifier le code]- Tagore 1884, p. inconnue
