Passeriformes
Règne | Animalia |
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Embranchement | Chordata |
Sous-embr. | Vertebrata |
Classe | Aves |
Les Passeriformes (Passériformes ou Passereaux) forment le plus grand ordre de la classe des Oiseaux. Le taxon regroupe en effet plus de la moitié des espèces d'Oiseaux. La classification est sujette à une révision permanente, mais les passereaux, parmi les Oiseaux modernes, sont généralement distingués des Perroquets, des Colious, des Rapaces nocturnes, des Faucons, des Pics, des Colombes, des Grues, des Flamants, des Cigognes, des Grèbes, des Plongeons, des Manchots et autres clades moins familiers, au sein desquels les regroupements sont eux-mêmes sans cesse remis en cause.
Les Passériformes présentent la plus large gamme d'espèces parmi les Vertébrés : il y en a 6 430 dans la classification de référence (version 6.3, 2016) du Congrès ornithologique international, soit à peu près le double du nombre d'espèces de l'ordre le plus vaste parmi les Mammifères, les Rongeurs.
Seules certaines variétés de passereaux sont reconnues comme domestiques par la législation française dans la liste officielle du ministère de l'Environnement français.
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]Beaucoup de passereaux sont des oiseaux chanteurs qui ont des muscles complexes pour contrôler leur syrinx ; tous ouvrent leur bec pour se faire nourrir lorsqu'ils sont au nid. Ils ont quatre doigts, trois vers l'avant et un vers l'arrière (le pouce). Ils sont donc anisodactyles. La plupart des passereaux sont de taille plus petite que les oiseaux des autres ordres.
Le Grand Corbeau est le passereau le plus lourd et le plus grand, tandis que le plus petit est le Microtyran à queue courte. Il est possible que le Xénique de Stephens ait été l'oiseau à l'aire de répartition la plus réduite et le seul passereau incapable de voler.
Étymologie
[modifier | modifier le code]Le terme Passereau semble dériver du latin passer. Passer désignait les petits oiseaux comparables aux moineaux[1]. Dans le sud de la France, des termes issus de cette racine ont longtemps été utilisés en se déformant en passerat ou passeret par exemple. Cependant, ces noms vernaculaires ont finalement été supplantés par les termes originaires du nord de la France, termes qui donneront moineau. Passer désigne aujourd'hui un genre particulier de passériforme.
Systématique et taxonomie
[modifier | modifier le code]Phylogénie externe
[modifier | modifier le code]Phylogénie des différents ordres actuels d'oiseaux du clade Telluraves d'après Jarvis, E.D. et al. (2014)[2] et Yury, T. et al. (2013)[3] pour certains noms de clades :
Telluraves |
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Phylogénie interne
[modifier | modifier le code]L'ordre est communément considéré comme le plus vaste et le plus varié de la classe des oiseaux. Il regroupe plus de la moitié des espèces d'oiseaux existantes[4]. Toutes les classifications proposées ne comptent pas les mêmes espèces.
Taxonomies anciennes
[modifier | modifier le code]Le terme est réapparu avec la francisation du nom scientifique du taxon Passeres qui regroupait les petits oiseaux, comprenant des espèces bien au-delà cependant des espèces connues sous le nom de moineau. Cet ordre a été créé par Carl von Linné dans la sixième édition de Systema naturae. C'est un des six ordres d'oiseaux, les autres étant les Accipitres c'est-à-dire les rapaces, les Grallae ou échassiers, les pics au sens large, les Anseres le groupe des espèces proches des oies et des canards, les Gallinae les espèces proches des faisans et de la poule domestique. Ces groupes faisant miroir aux six groupes de mammifères.
André Marie Constant Duméril, en 1806, décomposait l'ordre des passereaux en sept familles en fonction de la forme du bec. Il y avait par exemple les crenirostres dont la partie supérieure de la mâchoire du bec est marquée d'une crénelure, les dentirostres disposant de plusieurs crénelures sur cette même mâchoire. Les conirostres avaient, selon sa définition, un bec de forme conique, un peu recourbé vers le bas et plus court que la tête. Les oiseaux de cette famille portaient pour nom vernaculaire les termes de moineaux, bruants, étourneaux, loriots, et tous les passereaux de France[5].
Taxonomies récentes
[modifier | modifier le code]D'après la classification de référence (version 2.2, 2009) du Congrès ornithologique international (COI), de Tree of Life[4] et de Barker et al. (2004)[6]. (ordre phylogénique) :
• ordre Passeriformes ├─o sous-ordre Acanthisitti │ * famille Acanthisittidae (3 espèces) └─o ├─o sous-ordre Tyranni ou Suboscines (1 336 espèces) │ ├─o infra-ordre Eurylaimides (suboscines de l'Ancien Monde) 52 espèces │ │ * famille Pittidae (32 espèces) │ │ * famille Eurylaimidae (20 espèces) │ │ │ └─o (suboscines du Nouveau Monde) 1 284 espèces │ ├─o infra-ordre Tyrannides (625 espèces) │ │ * famille Tityridae (32 espèces) │ │ * famille Cotingidae (64 espèces) │ │ * famille Pipridae (52 espèces) │ │ * famille Tyrannidae (424 espèces) │ │ * famille Oxyruncidae (1 espèce) │ │ │ └─o infra-ordre Furnariides (659 espèces) │ * famille Thamnophilidae (222 espèces) │ * famille Conopophagidae (11 espèces) │ * famille Grallariidae (49 espèces) │ * famille Melanopareiidae (4 espèces) │ * famille Rhinocryptidae (56 espèces) │ * famille Formicariidae (12 espèces) │ * famille Furnariidae (305 espèces) │ └─o sous-ordre Passeri ou Oscines │ (Corvida) │ ├─o super-famille Menuroidea, la plus ancienne lignée de Passeri │ * famille Menuridae (2 espèces) │ * famille Atrichornithidae (2 espèces) └─o ├─o super-famille (?) Ptilonorhynchoidea │ * famille Ptilonorhynchidae (20 espèces) │ * famille Climacteridae (7 espèces) └─o ├─o super-famille Meliphagoidea │ * famille Maluridae (28 espèces) │ * famille Dasyornithidae (3 espèces) │ * famille Acanthizidae (66 espèces) │ * famille Pardalotidae (4 espèces) │ * famille Meliphagidae (182 espèces) └─o ├─o │ * famille Pomatostomidae (5 espèces) │ * famille Orthonychidae (3 espèces) │ └───o ├─o │ ├─o │ │ * famille Cnemophilidae (3 espèces) │ │ * famille Callaeidae (2 espèces) │ │ * famille Melanocharitidae (10 espèces) │ │ * famille Paramythiidae (2 espèces) │ │ * famille Notiomystidae (1 espèce) │ │ * famille Psophodidae (14 espèces) │ │ │ └─o super-famille Corvoidea │ * famille Platysteiridae (32 espèces) │ * famille Tephrodornithidae (8 espèces) │ * famille Prionopidae (8 espèces) │ * famille Malaconotidae (48 espèces) │ * famille Machaerirhynchidae (2 espèces) │ * famille Vangidae (21 espèces) │ * famille Cracticidae (12 espèces) │ * famille Pityriasidae (1 espèce) │ * famille Artamidae (11 espèces) │ * famille Aegithinidae (4 espèces) │ * famille Campephagidae (92 espèces) │ * famille Neosittidae (3 espèces) │ * famille Pachycephalidae (58 espèces) │ * famille Laniidae (33 espèces) │ * famille Vireonidae (59 espèces) │ * famille Oriolidae (32 espèces) │ * famille Dicruridae (23 espèces) │ * famille Rhipiduridae (44 espèces) │ * famille Monarchidae (93 espèces) │ * famille Corvidae (127 espèces) │ * famille Corcoracidae (2 espèces) │ * famille Paradisaeidae (41 espèces) └─o ├─o │ * famille Petroicidae (46 espèces) │ * famille Picathartidae (2 espèces) │ * famille Chaetopidae (2 espèces) │ * famille Eupetidae (1 espèce) │ * famille Regulidae (6 espèces) │ * famille Hyliotidae (4 espèces) │ └─o infra-ordre Passerida ├─o │ ├─o super-famille Paroidea │ │ * famille Remizidae (12 espèces) │ │ * famille Paridae (59 espèces) │ │ * famille Stenostiridae (9 espèces) │ └─o super-famille Sylvioidea │ * famille Panuridae (1 espèce) │ * famille Nicatoridae (3 espèces) │ * famille Alaudidae (97 espèces) │ * famille Pycnonotidae (145 espèces) │ * famille Hirundinidae (88 espèces) │ * famille Cettiidae (38 espèces) │ * famille Aegithalidae (13 espèces) │ * famille Phylloscopidae (74 espèces) │ * famille Acrocephalidae (55 espèces) │ * famille Locustellidae (55 espèces) │ * famille Donacobiidae (1 espèce) │ * famille Bernieridae (11 espèces) │ * famille Cisticolidae (159 espèces) │ * famille Sylviidae (28 espèces) │ * famille Timaliidae (323 espèces) │ * famille Zosteropidae (104 espèces) └─o ├─o │ ├─o super-famille Certhioidea │ │ * famille Troglodytidae (79 espèces) │ │ * famille Polioptilidae (17 espèces) │ │ * famille Sittidae (28 espèces) │ │ * famille Tichodromidae (1 espèce) │ │ * famille Certhiidae (10 espèces) │ │ │ └─o super-famille Muscicapoidea : │ * famille Bombycillidae (3 espèces) │ * famille Ptilogonatidae (4 espèces) │ * famille Hypocoliidae (1 espèce) │ * famille Dulidae (1 espèce) │ * famille Mohoidae (2 espèces) │ * famille Hylocitreidae (1 espèce) │ * famille Sturnidae (115 espèces) │ * famille Mimidae (34 espèces) │ * famille Cinclidae (5 espèces) │ * famille Rhabdornithidae (3 espèces) │ * famille Buphagidae (2 espèces) │ * famille Muscicapidae (301 espèces) │ * famille Turdidae (183 espèces) └─o ├─o famille Promeropidae (5 espèces) │ └─o super-famille Passeroidea * famille Irenidae (2 espèces) * famille Chloropseidae (11 espèces) * famille Dicaeidae (48 espèces) * famille Nectariniidae (136 espèces) * famille Passeridae (45 espèces) * famille Ploceidae (109 espèces) * famille Estrildidae (141 espèces) * famille Viduidae (20 espèces) * famille Peucedramidae (1 espèce) * famille Prunellidae (13 espèces) * famille Motacillidae (68 espèces) * famille Urocynchramidae (1 espèce) * famille Fringillidae (207 espèces) * famille Parulidae (116 espèces) * famille Icteridae (104 espèces) * famille Coerebidae (1 espèce) * famille Emberizidae (163 espèces) * famille Thraupidae (398 espèces) * famille Calcariidae (6 espèces) * famille Cardinalidae (45 espèces)
Relations entre les familles vivantes de Passeriformes basées sur l'analyse phylogénétique d'Oliveros et al (2019)[7]. Certains terminaux ont été renommés pour refléter les familles reconnues par le COI mais pas dans cette étude[8]. Les familles COI Alcippeidae et Teretistridae n'ont pas été échantillonnées dans cette étude.
Passereaux et zoonoses
[modifier | modifier le code]Comme tous les oiseaux, les passereaux peuvent normalement héberger de nombreux micro-organismes parasites ou pathogènes (microchampignons, bactéries, virus…) responsables de zoonoses.
Ils contribuent à leur diffusion dans leurs déplacement autour du nid et lors de leurs migrations, et ces pathogènes contribuent probablement à réguler les populations de passereaux. Ces derniers sont sensibles à de nombreux virus grippaux, et une étude récente, basée sur l'analyse de restes de repas sanguin prélevés chez des nymphes de tiques en quête d'un nouveau repas, a montré qu'en Irlande au moins, les passereaux pouvaient jouer un rôle d'espèce-réservoir pour plusieurs borrélies responsables de la maladie de Lyme[9].
De nombreux passereaux (dont en particulier le merle noir) sont vulnérables à une virose émergente causée par le virus Usutu qui étend son aire d'influence en Europe depuis le début des années 2000.
Passereaux et chasse
[modifier | modifier le code]De nombreuses espèces de passereaux font l'objet de capture, piégeage et de chasse.
Principales causes de mortalité : les prélèvements réalisés par la chasse restent toutefois largement inférieurs aux mortalités accidentelles liées aux fenêtres et baies vitrées de maisons et immeubles ou encore par les prédations réalisées par les chats domestiques. Selon de nombreuses études, le chat féral représente à lui seul la principale cause de mortalité aviaire[10].
Chasse légale
[modifier | modifier le code]Braconnage
[modifier | modifier le code]Les passereaux font également l'objet de Braconnage .
En France, la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) dénonce par exemple depuis plus de dix ans[Quand ?], le laxisme, voire la complicité, de l'Etat français au regard du braconnage du bruant ortolan et du pinson des arbres dans les Landes, où cette chasse, bien qu'illégale depuis 1999, est traditionnelle et perdure encore aujourd'hui[11],[12].
les passereaux sont aussi les victimes d'un braconnage intensif dans bien d'autres pays, comme en Indonésie pour l'organisation de concours de chants traditionnels et dans bien d'autres pays pour le commerce d'animaux de compagnie[13].
Saturnisme
[modifier | modifier le code]Nombre d'entre eux échappent aux pièges et aux tirs, mais meurent indirectement de la chasse, en subissant des intoxications chroniques ou aiguës induites par l'ingestion de grenaille de plomb, issues des cartouches au plomb[14]. Comme de nombreux autres oiseaux, les passereaux peuvent absorber avec avidité les grenailles répandues sur le sol comme gastrolithes.
Hormis quelques oiseaux ne se nourrissant pas au sol comme les hirondelles ou les martinets, la plupart des oiseaux sont concernés par ce phénomène[15], mais en raison de leur petite taille, les passereaux y sont très vulnérables et meurent encore plus discrètement.
À titre d'exemple, une seule bille de plomb ingérée en même temps qu'une alimentation naturelle, libère assez de molécules de plomb dans le sang du Vacher à tête brune (Molothrus ater) pour le tuer 3 fois sur 10 en moyenne[14]. Ils meurent alors d'intoxication saturnine aiguë en 24 heures. La plupart des survivants excrètent le reste de la bille de plomb dans les 24 heures suivant l'ingestion[14], mais cette dernière a eu le temps d'être assez érodée (lors de son passage dans le gésier et dans le reste du tractus digestif)[14]. Plus la bille a été érodée, plus l'oiseau risque de mourir[14]. Une hypothèse était que l'ingestion de bille neuve était moins dangereuse que celle d'une bille ancienne et corrodée par le temps à l'air libre, mais il n'en est rien : les résultats expérimentaux ne montrent pas de différences statistiquement significatives (P = 0.14) de plombémie selon que la bille ingérée est neuve ou ancienne et déjà corrodée[14]. Les taux de plomb mesurés chez les oiseaux morts d'intoxication aiguë par le plomb variaient de 71 à 137 ppm (en poids secs)[14]. Le plomb est mortellement toxique pour les passereaux, même pour de faibles doses de plomb prélevées sur la bille ingérée[14].
Ce phénomène a longtemps échappé aux chasseurs car les oiseaux blessés ou malades se cachent. Moins réactif, l'oiseau court plus de risques d'être mangé par un prédateur, de se tuer en se cognant contre une vitre ou dans un accident avec un véhicule.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Informations lexicographiques et étymologiques de « passereau » dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales.
- Jarvis, E.D. et al. (2014) Whole-genome analyses resolve early branches in the tree of life of modern birds. Science, 346(6215):1320-1331.
- T. et al. Yuri, « Parsimony and Model-Based Analyses of Indels in Avian Nuclear Genes Reveal Congruent and Incongruent Phylogenetic Signals », Biology, vol. 2, no 1, , p. 419–444 (DOI 10.3390/biology2010419).
- (en) « Passeriformes », sur tolweb.org (consulté le ).
- A.M. Constant Duméril, Traité élémentaire d'histoire naturelle, t. II, (lire en ligne).
- (en) F.K. Barker, A. Cibois, P. Schikler, J. Feinstein et J. Cracraft, « Phylogeny and diversification of the largest avian radiation », PNAS, vol. 101, no 30, , p. 11040-11045 (lire en ligne [PDF]).
- C.H. Oliveros et al., « Earth history and the passerine superradiation », Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America, vol. 116, no 16, , p. 7916–7925 (PMID 30936315, PMCID 6475423, DOI 10.1073/pnas.1813206116 , Bibcode 2019PNAS..116.7916O).
- « Family Index », sur IOC World Bird List Version 10.1, International Ornithologists' Union, (consulté le ).
- (en) B. Pichon, M. Rogers, D. Egan et J. Gray, « Blood-meal analysis for the identification of reservoir hosts of tick-borne pathogens in Ireland », Vector Borne Zoonotic Dis., vol. 5, no 2, , p. 172-180 (PMID 16011434, lire en ligne [PDF]).
- (en) The impact of free-ranging domestic cats on wildlife of the United States Scott R. Loss, Tom Will & Peter P. Marra.
- « Braconnage du Bruant ortolan dans les Landes le massacre continue… - Communiqués de presse - LPO », sur lpo.fr (consulté le ).
- « Braconnage du Bruant ortolan dans les Landes l’État continue à fermer les yeux ! - Actualités - LPO », sur lpo.fr (consulté le ).
- « Indonésie: des milliers d'oiseaux exotiques menacés dans des forêts pillées », sur Sciences et Avenir (consulté le ).
- N.B. Vyas, J.W. Spann et G.H. Heinz, Lead shot toxicity to passerines ; Environ Pollut, 2001, vol. 111, no 1, p. 135-138 (résumé).
- (en) N. De Francisco, J.D. Ruiz Troya JD et E.I. Agüera, « Lead and lead toxicity in domestic and free living birds », Avian Pathol, vol. 32, no 1, , p. 3-13 (lire en ligne [PDF]).
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Paul Géroudet, Les passereaux, Neuchâtel, Delachaux et Niestlé, 1980, 3 vol.
- Verheyen, R., Les passereaux en Belgique, Bruxelles, Institut des Sciences naturelles de Belgique, 1957.
- Ressources relatives au vivant :
- Animal Diversity Web
- Australian Faunal Directory
- Avibase
- Dyntaxa
- EPPO Global Database
- EU-nomen
- Fauna Europaea
- Paleobiology Database
- Global Biodiversity Information Facility
- iNaturalist
- Interim Register of Marine and Nonmarine Genera
- NBN Atlas
- Nederlands Soortenregister
- New Zealand Organisms Register
- Oiseaux.net
- Plazi
- Système d'information taxonomique intégré
- World Register of Marine Species
- Ressource relative à la santé :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Références taxonomiques
[modifier | modifier le code]- (en) Référence Zoonomen Nomenclature Resource (Alan P. Peterson) : Passeriformes
- (en) Référence Tree of Life Web Project : Passeriformes
- (en) Référence Animal Diversity Web : Passeriformes
- (en) Référence BioLib : Passeriformes Linnaeus, 1758
- (en) Référence Catalogue of Life : Passeriformes (consulté le )
- (en) Référence Fauna Europaea : Passeriformes (consulté le )
- (en) Référence Paleobiology Database : Passeriformes Linnaeus 1758
- (fr + en) Référence ITIS : Passeriformes
- (en) Référence NCBI : Passeriformes (taxons inclus)
Liens externes
[modifier | modifier le code]- (fr) Référence Oiseaux.net : Passeriformes
- diversité génétique des oiseaux du Saint-Laurent