Philippe Cochet
Philippe Cochet | |
Fonctions | |
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Conseiller métropolitain de Lyon | |
En fonction depuis le (9 ans, 10 mois et 11 jours) | |
Réélection | 28 juin 2020 |
Président | Gérard Collomb David Kimelfeld Bruno Bernard |
Groupe politique | LR (président) |
Maire de Caluire-et-Cuire | |
En fonction depuis le (16 ans, 7 mois et 27 jours) | |
Élection | 9 mars 2008 |
Réélection | 23 mars 2014 15 mars 2020 |
Prédécesseur | Alain Jeannot |
Député français | |
– (15 ans et 1 jour) | |
Élection | 16 juin 2002 |
Réélection | 10 juin 2007 17 juin 2012 |
Circonscription | 5e du Rhône |
Législature | XIIe, XIIIe et XIVe (Cinquième République) |
Groupe politique | UMP (2002-2015) LR (2015-2017) |
Prédécesseur | Jean Rigaud |
Successeur | Blandine Brocard |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Lyon 6e (France) |
Nationalité | Française |
Parti politique | UDF-PR DL UMP LR |
Profession | Gérant de société |
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Philippe Cochet, né le à Lyon[1], est un homme politique français, membre du parti Les Républicains.
Il est député de la cinquième circonscription du Rhône de 2002 à 2017. Il est maire de Caluire-et-Cuire depuis mars 2008.
Carrière politique
[modifier | modifier le code]Avant 2002
[modifier | modifier le code]Gérant de société et militant de l'UDF, Philippe Cochet est élu pour la première fois conseiller municipal de Caluire-et-Cuire en 1989. Il est ensuite réélu conseiller municipal en 1995 puis adjoint en 2001.[réf. nécessaire]
De 2002 à 2008
[modifier | modifier le code]À la retraite du député sortant Jean Rigaud (député du Rhône de 1981 à 2002), Cochet, alors membre de DL, obtient l'investiture de la toute jeune Union pour la Majorité Présidentielle. Faisant cependant face à quatre candidatures dissidentes à droite, il rassemble sur son nom 32 % des suffrages exprimés au premier tour avant de s'imposer très largement[non neutre] au second tour face à son adversaire socialiste (65 % des voix).[réf. nécessaire]
En accord avec le président de la République Nicolas Sarkozy et sur proposition de Jean-Claude Gaudin, Philippe Cochet est nommé le , secrétaire général adjoint de l'UMP (no 3 national du parti) dans la direction collégiale du mouvement. Il doit néanmoins céder sa place pour des questions de parité hommes-femmes à Nathalie Kosciusko-Morizet, le . Cochet continue cependant à siéger dans le comité directeur du l'UMP (composé de 21 membres) en devenant Délégué général à la réforme.[réf. nécessaire]
Élections municipales de 2008
[modifier | modifier le code]Après avoir contraint le maire sortant, Alain Jeannot (RPR), à ne pas se représenter[2],[3],[4], Philippe Cochet est tête d'une liste d'union de la majorité (UMP-Nouveau Centre-Parti radical) à Caluire-et-Cuire dont près du quart des membres est issu de l'équipe municipale RPR-UDF sortante. Cochet reçoit dès le début de la campagne le soutien officiel d'Alain Jeannot (RPR), maire de 1997 à 2008, et de Bernard Roger-Dalbert (UDF), maire de 1983 à 1997 et Vice-Président du Conseil Général du Rhône.[réf. nécessaire]
Annoncé comme le favori, Philippe Cochet remporte le scrutin dès le premier tour avec 56,23 % des voix ; loin devant la liste PS conduite par Pierre Ferraro (30,76 % des suffrages).[réf. nécessaire]
En refusant de collaborer au Grand Lyon avec Gérard Collomb et en critiquant les maires de droite des communes de l'Ouest Lyonnais (Monts d'Or et Val-de-Saône) qui avaient voté pour ce dernier à la présidence du Grand Lyon, il est présenté par la presse lyonnaise comme le principal opposant au maire socialiste de Lyon dans la communauté urbaine. En tant que député-maire de la quatrième ville la plus peuplée du Rhône (les trois premières villes du département étant dirigées par le PS et le PCF) et à la suite de la débâcle de Dominique Perben à Lyon, son influence au sein de la droite lyonnaise se trouve renforcée. Le , il est élu au poste de président de la fédération de l'UMP du Rhône dans une élection sans suspense puisqu'il est le seul candidat.[réf. nécessaire]
De 2008 à 2017
[modifier | modifier le code]Politique nationale
[modifier | modifier le code]À la suite de la réunion du conseil national du , le poste de Délégué général à la réforme est supprimé de l'organigramme de l'UMP. Philippe Cochet devient membre de la commission nationale d'investitures mais perd sa place au sein du bureau politique du parti.[réf. nécessaire]
À la suite de l'élection de Xavier Bertrand comme secrétaire général de l'UMP, Philippe Cochet est nommé en secrétaire national chargé des grandes métropoles et de la politique de la ville.[réf. nécessaire]
En , le magazine L'Express lui consacre un dossier de 10 pages[5], dans lequel il explique ses propos controversés de 2013 contre le mariage homosexuel[6] (« Je vous accuse, Mesdames et Messieurs de la gauche, [...] vous êtes en train d'assassiner des enfants. C'est scandaleux ! ») et déclare qu'il n'aura pas à choisir en 2017 entre son mandat de maire et celui de député, car la loi interdisant le cumul sera d'ici là abrogée, selon lui[2]. Philippe Cochet cumule les indemnités de trois mandats et emploie sa femme en tant que collaboratrice parlementaire[7], dont la réalité de l'emploi est mise en cause[8].
Il est président du groupe parlementaire d'amitié France-Iran à l'Assemblée nationale[9].
Il soutient Nicolas Sarkozy pour la primaire présidentielle des Républicains de 2016. Dans le cadre de sa campagne, il est nommé orateur national chargé des collectivités territoriales.[réf. nécessaire]
Député de la 5e circonscription du Rhône (25 communes), il attribue une grande partie de sa réserve parlementaire à la commune dont il est le maire[10].
Lors des élections législatives de juin 2017, sept maires de droite du Val-de-Saône et des Monts d’Or soutiennent son adversaire, Blandine Brocard, adjointe au maire de Saint-Germain-au-Mont-d'Or[11].
Il est battu par la candidate LREM (ex membre du MoDem), Blandine Brocard, (60,25 % contre 39,75 %)[12]. Le , il déclare au journal Le Progrès : « Je suis victime des élections, je suis mort certes, mais avec le drapeau Les Républicains, et ça, j'en suis fier. »[13].
Politique municipale
[modifier | modifier le code]Le 15 mai 2008, le jour même où Nicolas Sarkozy annonce son intention de faire voter une loi créant un droit d'accueil à l'école primaire pendant le temps scolaire, en particulier en cas de grève[14], Philippe Cochet met en place un « service minimum » municipal dans les écoles de sa commune en grève[15].
Le , il retire ses délégations à son adjointe Michèle Vianès, après qu'il a appris son appartenance au parti Debout la République[16],[17],[18].
En mai 2011, il crée un Think tank qu'il baptise « L'autre Métropole », confirmant ainsi son ambition de prendre en 2014 la présidence de la Métropole de Lyon qu'il convoite depuis 2007[19],[20](communauté urbaine de 58 communes que les lyonnais appellent "Grand Lyon") et contestant par la même le leadership de François-Noël Buffet, son rival au sein de l'U.M.P., et celui du socialiste Gérard Collomb, le président en exercice, dont il attaque ainsi la gouvernance : « Il a une attitude volontairement vexatoire et a un sentiment de toute-puissance. Il a l'arrogance du mauvais prof qui explique les choses à ses élèves »[21]. En avril 2014, suite à sa réélection à la tête de la mairie de Caluire, il tente de conquérir la Métropole, en se plaçant finalement derrière Buffet, mais n'y parvient pas et attribue son échec à certains maires de droite qu'il accuse de « collaboration » avec Collomb[22].
En 2012, il invite certains employés municipaux qui contestent l'une de ses décisions à « s'inscrire dans une démarche de mutation professionnelle » avec « l'assistance de la DRH »[23].
Comme « une soixantaine » de maires du Rhône (dont Patrice Verchère et Alexandre Vincendet), Philippe Cochet se mobilise en avril 2014 contre la réforme 2013 des rythmes scolaires de Vincent Peillon[24], avant d'imposer finalement, à la rentrée scolaire de septembre 2014, une configuration de cette réforme dans laquelle les directeurs des écoles publiques de sa commune n’assurent plus la direction des activités périscolaires municipales qu'il leur déléguait jusqu’alors, à l'instar de ses prédécesseurs (accueil du matin avant la classe, animations pendant la pause méridienne et cantine, études du soir après la classe). Ces directeurs d'école ne perçoivent donc plus les indemnités afférentes dont il décidait les montants, chaque année, depuis son élection à la tête de la mairie en 2008, indemnités transparentes rémunérant un travail effectif, inférieures ou supérieures à celles versées par d'autres mairies pour la même délégation, proportionnelles à la taille de chaque école et conformes aux taux réglementaires fixés par le ministère de l'éducation nationale pour ces missions municipales assurées par les directeurs d’école publique[25], à Caluire comme ailleurs. Confronté à leur « mécontentement », causé par l'application d'une réforme [26] qui, en les excluant du temps périscolaire, va selon eux créer au sein de l'école des confusions néfastes pour leurs élèves[27],[28], il prétend qu'ils seraient en réalité « insatisfaits » à cause de sa décision de « remettre à plat » leurs indemnités, qu'il dit avoir « découvertes » et dont il juge les montants injustifiés[29].
La dette de la commune a augmenté de 183 % entre 2000 et 2012[30] et a doublé entre 2010 et 2015[2].
De 2017 à 2026
[modifier | modifier le code]Au mois de juillet qui suit sa défaite aux élections législatives de juin 2017[31]., il fait voter une augmentation de son indemnité municipale, conserve une indemnité de majoration cantonale[32] et conteste l'augmentation des indemnités des membres de la commission permanente de la métropole de Lyon[33].
En novembre 2017, dans le contexte du 100ème congrès des maires, il signe avec en particulier Damien Abad et Philippe Gosselin un « appel des élus de la République des Territoires au président de la République » qui dénonce notamment, selon eux, « la mise sous tutelle des communes par la suppression de la taxe d'habitation » et « l'asphyxie des départements par l'explosion des dépenses sociales »[34],[35].
Lorsque Gérard Collomb démissionne le 3 octobre 2018 de son poste de Ministre de l'Intérieur, avant de redevenir maire de Lyon le 5 novembre, Philippe Cochet, au moment où il quitte son poste de président des Républicains du Rhône, déclare le 10 octobre que « L’attitude de Gérard Collomb n’est pas à la hauteur d’un homme d’Etat »[36].
Alors qu'il est investi par Les Républicains[37], il ne se représente pas aux élections législatives de 2022 et soutient la candidature de l'un de ses conseillers municipaux[38].
En 2022, il impose une charte aux promoteurs immobiliers pour éviter la spéculation et les réactions hostiles des riverains[39]. Début 2024, la préfecture du Rhône retire à la mairie de Caluire la délivrance des permis de construire, pour non-respect de la loi en matière de construction de logements sociaux, ce qui provoque une polémique entre la préfète et le maire[40],[41].
Le 25 juin 2024, des élus de droite, dont Philippe Cochet, président du groupe La Métro Positive à la Métropole de Lyon, portent plainte contre Bruno Bernard, le président écologiste de la Métropole, et saisissent le Procureur de Lyon, dénonçant « les relations entre La Gonette (monnaie locale citoyenne) et deux élus membres de l’exécutif de la Métropole concernant une location mobilière »[42].
Affaires judiciaires
[modifier | modifier le code]Inégalité de traitement de salaire et discrimination à raison d'un lien de famille
[modifier | modifier le code]Le , Philippe Cochet est condamné par le tribunal des Prudhommes à verser à son ancienne collaboratrice parlementaire un rappel de salaire sur trois ans, afin de faire concorder celui-ci avec la rémunération perçue par son épouse Laëtitia Cochet, également sa collaboratrice, bénéficiaire d'un salaire de 5593,03 euros brut mensuels[43]. Au total, le rappel se monte à environ 90.000 euros[44]. Ce jugement fait suite à des interrogations concernant la réalité de la charge de travail de sa femme, nées dans le contexte de l'affaire Fillon[45],[46],[47].
Le , la condamnation de Philippe Cochet est confirmée par la Cour d’appel des Prudhommes de Lyon. Elle retient en effet que le maire de Caluire-et-Cuire s'est rendu coupable d'« inégalité de traitement » entre ses collaboratrices parlementaires, en versant à l'une d'entre elles, entre 2005 et 2017, 60 % de moins qu'à son épouse, qui occupait le même poste auprès de lui. Le montant initial de la sanction est confirmé (90 000 euros) et la cour condamne également l'édile à verser 50.000 euros supplémentaires, au titre d'une « discrimination à raison d'un lien de famille » infligée à l'intéressée[48],[49]. Son opposition au sein du Conseil municipal de Caluire-et-Cuire demande sa démission[50],[51]. Lors de la réunion du Conseil municipal en date du 13 mars 2023, Philippe Cochet dénonce ce qu'il estime être « une manœuvre politicarde » et « une démarche caniveau menée depuis cinq ans » par son opposition, déclare que cette affaire « ne concerne en rien la commune de Caluire-et-Cuire », qu'il s'agit d'un « litige prud'hommes », qu'il y a selon lui « une erreur de droit et en fait » et annonce qu'il a formé un pourvoi en cassation[52].
Soupçon de détournement de fonds publics à raison d'emploi fictif et de fraude
[modifier | modifier le code]À partir de novembre 2021, un mois après un signalement de l'association de lutte contre la corruption Anticor[53], Philippe Cochet est visé par une enquête du Parquet national financier pour détournement de fonds publics[54]. La justice soupçonne ainsi Lætitia Cochet d’avoir bénéficié d’un emploi potentiellement fictif d’attachée parlementaire (749 000 euros de salaires et charges patronales[55]), auprès de son mari qui a été député de 2002 à 2017. Philippe Cochet nie les accusations expliquant que sa femme a effectué « un travail dans l’ombre », notamment la « relecture des discours », la « réception, l’ouverture et le tri du courrier à la boîte postale » ou encore la « revue de presse »[56],[57],[58].
Le parquet décide également d'étendre ses investigations au délit de fraude pour l'obtention d'une allocation d'aide aux travailleurs privés d'emploi, à la suite des allocations-chômage de 97 000 euros perçues par sa femme[55], après la fin de son mandat parlementaire en 2017[54].
En septembre 2024, le parquet national financier demande à son encontre trois ans de prison avec sursis ainsi qu'une peine d'inéligibilité de cinq ans (une « peine obligatoire » pour ce type de faits, selon le parquet), la confiscation de son ancienne permanence parlementaire (évaluée à 320.000 euros) et la condamnation de son épouse à dix-huit mois de prison avec sursis[59]. L'Assemblée nationale et France Travail demandent le remboursement intégral des salaires et indemnités de chômage versés à Laëtitia Cochet, soit un montant total de 837.000 euros, Anticor demandant quant à elle la somme de 10.000 euros[60]. Le jugement est mis en délibéré au 11 décembre[55].
Le Conseil municipal de Caluire se réunira le 16 décembre 2024, 5 jours après le rendu du délibéré et 6 mois après sa précédente réunion[61],[62].
Synthèse des fonctions politiques
[modifier | modifier le code]Fonctions au sein de partis politiques
[modifier | modifier le code]En janvier 2013, à la suite de l’accord entre Jean-François Copé et François Fillon qui a suivi la crise politique du congrès de novembre 2012, il est nommé avec le filloniste Jérôme Chartier délégué général à l'animation du parti[63].
- Délégué national chargé des fédérations du sud de Les républicains ()
- Délégué général de l'UMP chargé de l'animation (-)
- Délégué général adjoint de l'UMP chargé des fédérations ( au )
- Secrétaire National du Mouvement Populaire (UMP) Chargé des Grandes Métropoles et Politique de la Ville ( au )
- Délégué général de l'UMP chargé de la réforme (-)
- Membre du comité directeur de l'UMP (à partir de juillet 2007)
- Secrétaire général adjoint de l'UMP (juillet 2007-Mars 2008)
- Membre de la commission nationale d'investitures UMP (à partir du )
- Délégué départemental de la 5e circonscription du Rhône UMP (à partir du )
- Président de la fédération UMP du Rhône (à partir du )
- Président par intérim de la fédération UMP de l'Isère ( à )
Fonctions électives
[modifier | modifier le code]Mandats actuels
[modifier | modifier le code]- 16/03/2008 - en cours : maire de Caluire-et-Cuire, (Rhône)
- 03/2008 - en cours : Conseiller communautaire du Grand Lyon, Rhône
Mandats passés
[modifier | modifier le code]- 20/03/1989 - 18/03/2001 : membre du conseil municipal de Caluire-et-Cuire (Rhône)
- 16/06/2002 - 14/03/2008 : adjoint au Maire de Caluire-et-Cuire, (Rhône)
- 19/06/2002 - 20/06/2017 : député de la 5e circonscription du Rhône
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Archives municipales de Lyon, 6e arrondissement, tables décennales des naissances 1953-1962, cote 2E2855
- Nicolas Barriquand, « L'ambitieux roitelet de Caluire », L'Express, no 3320, , p. II (ISSN 0014-5270).
- « Qui est vraiment... Philippe Cochet, le combattant de Caluire », Tribune de Lyon, 6 juillet 2016.
- « Caluire et Cuire : Jeannot détale devant Cochet », Lyon capitale, 30 janvier 20.
- « "L'ambitieux Philippe Cochet" en Une de l'Express Lyon ce mercredi », Lyon Mag, 19 février 2015
- « Mariage gay : "Vous êtes en train d'assassiner des enfants" », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Louis Colart, « Assemblée nationale : Philippe Cochet a embauché sa compagne », sur Lyon Capitale, (consulté le )
- « ENQUETE FRANCEINFO. Le travail "nébuleux" de Laëtitia Cochet, assistante parlementaire et épouse de député », sur Franceinfo, (consulté le )
- « Relations avec l'Iran : « Arrêtons de donner des leçons de morale» », Le Parisien, 28 janvier 2016
- « Réserve parlementaire : le député Philippe Cochet favorise encore Caluire », Le Progrès, 2 mars 2017
- « 5e circonscription - législatives. Sept maires du Val-de-Saône et des Monts d’Or affichent leur soutien à Blandine Brocard », sur www.leprogres.fr (consulté le )
- « Législatives : Blandine Brocard (LREM) met une raclée à Philippe Cochet (LR) dans la 5e circonscription (officiel) », Lyon Mag, 18 juin 2017
- « 5e circonscription - Politique. Philippe Cochet : « Je suis mort, mais avec le drapeau Les Républicains » », sur www.leprogres.fr (consulté le )
- « La loi sur le service minimum à l'école officialisée », Le Monde", 21 août 2008
- « Caluire, un cas d'école pour le service minimum », 20 minutes de Lyon, 20 mai 2008
- « Michèle Vianès saisit la justice », sur www.20minutes.fr, (consulté le )
- « Philippe Cochet, libéral mais - », sur Lyonpeople.com, (consulté le )
- La Rédaction, « Caluire : la boulette du premier adjoint », sur Lyon Capitale, (consulté le )
- « GRAND LYON : COCHET FOUETTE LE DUEL COLLOMB-PERBEN », Lyon Capitale, 23 octobre 2007
- « Philippe Cochet : mou ou dur à Cuire ? », Lyon People, 8 janvier 2009
- « Philippe Cochet se lance à l'assaut du Grand Lyon », Lyon capitale, 16 mai 2014
- « Philippe Cochet, la faute lourde », La Tribune, 18 avril 2011
- « Mairie de Caluire : Philippe Cochet souhaite-t-il faire taire les contestataires? », Lyon Mag, 30 novembre 2012
- « Rythmes scolaires : la fronde des maires du Rhône », TF1Info, 22 avril 2014
- « Taux de rémunération des heures supplémentaires effectuées par certains enseignants pour le compte des collectivités territoriales », Bulletin officiel du Ministère de l'éducation nationale n°31 du 2 septembre 2010
- « Questions cruciales Le bazar à l'école », Association enseignement et liberté, 25 octobre 2013
- « Rythmes scolaires, 419 directeurs d’école se fâchent », Le JDD, 18 octobre 2013
- L’important c’est l’école (source citée par le JDD lire l'archive Wikipedia ci-après), SNUIPP - FSU, 17 octobre 2013
- « Caluire-et-Cuire / L'inspection académique valide les nouveaux rythmes scolaires », Le Progrès de Lyon, 25 juin 2014
- Dette des villes françaises : Lyon dans le top 10, Oullins et Caluire épinglées, Lyon Mag 27-9-2013.
- « Législatives : Blandine Brocard (LREM) met une raclée à Philippe Cochet (LR) dans la 5e circonscription (officiel) », Lyon Mag, 18 juin 2017
- « Caluire : plus député, Philippe Cochet s’augmente de 1 233 euros », Lyon Capitale, 12 juillet 2017
- « L'augmentation des élus de la commission permanente n’est pas illégale », Lyon Capitale, 10 octobre 2017
- « Appel des élus au président de la République », Ouest France, 23 novembre 2017
- « Le maire et un adjoint signataires de « l’appel des territoires » », Le Progrès, 22 novembre 2017
- « Philippe Cochet : "Gérard Collomb pas à la hauteur d’un homme d’Etat" », 'Lyon Mag, 10 octobre 2018
- « Philippe Cochet : "Il faut régénérer le personnel politique" », Le Progrès, 3 mai 2022
- « Près de Lyon : à 27 ans, Bastien Joint part à l'assaut de l'Assemblée nationale », 1 juin 2022, Lyon capitale
- « Environnement, architecture… A Caluire, le maire impose une charte aux promoteurs immobiliers pour filtrer les permis de construire », Le Monde, 19 décembre 2022
- « Philippe Cochet : "J'ai bien senti qu'il y avait un malaise avec la préfète" », Lyon Mag, 8 janvier 2024
- « "Des propos déplacés" : passe d'armes entre la préfecture et Philippe Cochet, maire de Caluire », Lyon Capitale, 19 mars 2024
- « Polémique autour de la Gonette : Philippe Cochet et trente élus de droite saisissent la justice », Lyon Mag, 25 juin 2024
- Justin Boche, « Justice : les salaires disproportionnés de la femme de Philippe Cochet », sur Lyon Capitale, (consulté le )
- Luc Peillon, « L'ex-député LR Philippe Cochet a-t-il été condamné pour avoir trop rémunéré sa femme ? », sur Libération (consulté le )
- « Philippe Cochet condamné par son ancienne collaboratrice moins payée que sa femme », sur Lyon Mag, (consulté le )
- « Philippe Cochet maire LR de Caluire-et-Cuire, devant la Cour d’Appel des Prudhommes conteste avoir favorisé son épouse », france 3 régions, 10 janvier 2023
- « Penelopegate : le travail de la femme de Philippe Cochet passé au crible », Lyon Mag, 21 février 2017
- La rédaction, « Philippe Cochet condamné à 140 000 euros d'amende », sur Tribune de Lyon, (consulté le )
- Nathan Chaize, « Le maire de Caluire-et-Cuire, Philippe Cochet, condamné pour discrimination », sur Lyon Capitale, (consulté le )
- « Philippe Cochet (LR) condamné: l’opposition réclame sa démission », Le Progrès, 10 mars 2023
- « Caluire-et-Cuire : l'opposition appelle à la démission du maire Philippe Cochet », BFM Lyon, 13 mars 2023
- « Compte rendu de la réunion du Conseil municipal du 13 mars 2023 », Vidéo sur le Site internet de la mairie de Caluire-et-Cuire, à 14 min 45 s (consulté le 1er avril 2023)
- « Affaire COCHET 27 août 2024 Plainte », Site association anticor, consulté le 17-10-2024
- Nathan Chaize, « Soupçon d'emploi fictif : le Parquet national financier va-t-il poursuivre Philippe Cochet ? », sur Lyon Capitale, (consulté le )
- « Emploi fictif : prison et inéligibilité requises contre Philippe Cochet, qui pourrait perdre la mairie de Caluire », Lyon Mag, 31 août 2024
- Lorenzo Calligarot, « Caluire-et-Cuire. Le maire Philippe Cochet jugé en 2025 pour détournement de fonds publics », Tribune de Lyon, (lire en ligne)
- Léa Aujal, « Soupçon d’emploi fictif : Philippe Cochet, renvoyé en correctionnelle », sur Lyon Capitale, (consulté le )
- « Métropole de Lyon. Soupçon d’emploi fictif : l'ancien député Philippe Cochet renvoyé en correctionnelle », sur www.leprogres.fr (consulté le )
- « Emploi fictif : prison avec sursis requise contre l’ex-député lyonnais Philippe Cochet », sur Le Figaro, (consulté le )
- « Sursis, inéligibilité: les réquisitions contre le maire de Caluire-et-Cuire et son épouse dans une affaire d'emploi fictif », BFM Lyon, 1 septembre 2024
- « A Caluire, il n'y a plus de conseil municipal depuis juin : l'opposition demande au maire de s'expliquer », Lyon Mag, 23 octobre 2024
- « Caluire-et-Cuire. Après six mois d’attente, le conseil municipal repoussé après le délibéré de l’affaire Cochet », Tribune de Lyon, 29 octobre 2024
- Alexandre Lemarié, « Hortefeux, Ciotti, Morano… L’organigramme complet de la direction de l’UMP », in lemonde.fr, 15 janvier 2013.
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la vie publique :