Reki-jo
Les reki-jo (歴女 ) sont des femmes japonaises fans d'études historiques, utilisant parfois le discours et les maniérismes du Japon pré-industriel dans leurs réunions sociales[1]. Les reki-jo sont des espèces d'otaku[2]. L'activité économique liée à ce hobby produit annuellement autour de 750 millions de US$[3].
Étymologie
[modifier | modifier le code]Reki-jo est la contraction de « filles fans d'Histoire » (歴史好きの女子, rekishi-zuki no joshi )[4].
Centres d'intérêt
[modifier | modifier le code]Le Shinsen gumi fait fréquemment l'objet de recherches, pour ne pas dire d'un culte certain[2]. Autres personnages historiques couramment sujets d'intérêt des reki-jo :
- Date Masamune
- Sanada Yukimura
- Ishida Mitsunari
- Naoe Kanetsugu
- Sakamoto Ryoma
- Hijikata Toshizō
- Tetsuzō Iwamoto
Reki-jo notables
[modifier | modifier le code]La modèle Anne Watanabe, fille de l'acteur Ken Watanabe[2].
Source de la traduction
[modifier | modifier le code]- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Reki-jo » (voir la liste des auteurs).
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) Richard Hawking, « Reki-jo »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), ELP web, (consulté le ).
- (en) Anthony Kuhn, « For Japanese Women, The Past Is The Latest Fad », NPR, (consulté le ).
- (en) Melinda Joe, « Make a date with Japan's fanatical “history girls” », sur travel.cnn.com, (consulté le ).
- (ja) « Yahoo! 辞書 - 歴女 » [archive du ], Yahoo! (consulté le ).