Saint-Germain-les-Belles

Saint-Germain-les-Belles
Saint-Germain-les-Belles
Blason de Saint-Germain-les-Belles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes Briance Sud Haute-Vienne
Maire
Mandat
Marc Ditlecadet
2020-2026
Code postal 87380
Code commune 87146
Démographie
Gentilé Saint-Germinois
Population
municipale
1 145 hab. (2021 en évolution de −3,94 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 36′ 56″ nord, 1° 29′ 44″ est
Altitude Min. 315 m
Max. 489 m
Superficie 37,28 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Eymoutiers
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Germain-les-Belles est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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La commune est limitrophe du département de la Corrèze.

Situation de la commune de Saint-Germain-les-Belles en Haute-Vienne.

Communes limitrophes

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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,6 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 184 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1997 à 2014 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records ST GERMAIN BELL (87) - alt : 412 m 45° 36′ 42″ N, 1° 29′ 54″ E
Statistiques établies sur la période 1997-2010 - Records établis sur la période du 01-04-1997 au 05-01-2014
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,9 0,8 2,9 5 8,8 11,8 12,8 13 10 8 3,4 0,8 6,5
Température moyenne (°C) 4,1 4,8 7,6 10,1 14,2 17,6 18,8 18,9 15,5 12,4 6,8 4,1 11,3
Température maximale moyenne (°C) 7,3 8,7 12,3 15,2 19,6 23,4 24,7 24,9 21,1 16,8 10,3 7,4 16
Record de froid (°C)
date du record
−12,1
12.01.99
−17,2
06.02.12
−13
01.03.05
−4,1
08.04.03
−1,7
06.05.02
2,9
04.06.01
4,9
17.07.00
3,2
29.08.98
−0,1
25.09.02
−5,5
30.10.97
−10,8
22.11.98
−12,8
24.12.01
−17,2
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
17,4
05.01.99
22
15.02.98
24,6
14.03.12
28,4
30.04.05
30,6
30.05.01
36,5
22.06.03
35,1
13.07.03
38,3
12.08.03
32,9
03.09.05
27,6
02.10.11
21,1
02.11.11
17,1
09.12.13
38,3
2003
Précipitations (mm) 96,9 74,2 91,9 117 104,1 94,3 83,8 79,8 76,8 94,6 123,5 101,4 1 138,3
Source : « Fiche 87146002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Au , Saint-Germain-les-Belles est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[10]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (76,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (67,7 %), forêts (16 %), zones agricoles hétérogènes (13,6 %), zones urbanisées (2,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Germain-les-Belles est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Germain-les-Belles.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[16]. 79,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[17].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Germain-les-Belles est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[18].

Une histoire populaire locale prétend qu'avant de s'appeler Saint-Germain-les-Belles, le village avait été baptisé Saint-Germain-les-Belles-Filles[19] en raison de l'accueil chaleureux du roi Henri IV par les serveuses de l'hôtel de la Boule d'Or ou du manoir de Gourgauderie. Plus vraisemblablement, le nom actuel proviendrait de l'occitan Saint-Germain-la-Beylie.

Durant la Révolution, la commune porte le nom de Mont-les-Belles[20].

En occitan, le nom en est Sent German las Belas.

Ses habitants sont appelés les Saint-Germinois[21].

Le lieu-dit Camp de César dans le sud de la commune correspond à une mine d'or exploitée à l'époque de l'indépendance gauloise. Le toponyme lui a été attribué au XIXe siècle, en raison de la taille des haldes assimilées à des retranchements militaires[22]. Deux nécropoles du Premier Âge du Fer ont également été retrouvées à proximité[23].

Le bourg castral d'origine médiéval est mentionné, dès le XIe siècle, dans le cartulaire d'Uzerche.

En pleine guerre de Cent Ans, le cardinal Roger, frère du pape limousin Clément VI, meurt et demande dans son testament l’édification d’une collégiale à Saint-Germain-les-Belles dans laquelle il puisse être enseveli. Cette collégiale Saint-Germain se bâtit donc à l’emplacement d’un ancien édifice roman.

En 1204, l’évêque de Limoges vint consacrer dans l’ancienne église romane les reliques de Saint Germain.

Vers 1350, la seigneurie de Saint Germain dépendant du vicomte de Limoges désargenté est vendue aux Roger, riches seigneurs du Bas-Limousin dont la famille a donné les papes d’Avignon Clément VI et Grégoire XI.

Le cardinal Hugues Roger, frère de Clément VI, avait dans son testament émis le vœu que soit érigé à Saint Germain une église collégiale servie par treize chanoines, dont le doyen aurait rang de seigneur. À sa mort en 1364, le cardinal Pierre Roger son neveu, futur Grégoire XI, exécuteur testamentaire, fit bâtir cette église, à l’emplacement de l’ancienne, en pleine guerre de Cent Ans, ce qui explique son style fortifié avec chemin de ronde sous les toits qui dessert créneaux et mâchicoulis.

Elle fut ouverte au culte en 1381.

(In fiche signalétique dans l’église)

Selon le Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges, tome février rédigé par l'abbé Joseph Nadaud : « Le noble Jordain du Breuil, chevalier, fit, le (parfois qualifié de camp de, à Maymac, son testament signé Chardogne. il veut y être inhumé dans l'église du chapître de Saint-Germain. il avait éposé N..., dont il eut un fils unique, nommé Jean. »

Saint Germain-les-Belles a abrité un camp d'internement, (parfois qualifié de camp de concentration) entre 1940 et 1941[24]. Il n'en reste aucune trace matérielle aujourd'hui, mais une stèle a été érigée tout près de l'endroit où le camp se trouvait.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours Marc Ditlecadet[25] DVG Médecin généraliste
Conseiller général (1985-2015)
Président de la Communauté de communes

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 1 145 habitants[Note 6], en évolution de −3,94 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 7352 0152 2632 2412 2512 2832 4012 4002 457
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 1882 1282 2012 1382 1242 1782 2672 5982 260
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1922 2922 1472 0461 8801 9111 8331 7831 623
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 6261 5241 4251 2551 0791 1121 1411 1481 187
2018 2021 - - - - - - -
1 1581 145-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Saint Germain-les Belles-est connue pour son église fortifiée datant du XIVe siècle. L'église Saint-Germain de Saint-Germain-les-Belles a été construite en pleine guerre de Cent Ans avec de solides fortifications. L'église est la plus ancienne des églises fortifiées du département et son système de défense est comparable en plusieurs points à celui du palais des papes d'Avignon car cette église fut érigée par le cardinal Hugues Roger, frère du pape limousin Clément VI. Deux étages défensifs sont reliés par un escalier à vis : au premier, l’ancienne salle capitulaire et sa grande fenêtre de guetteur ; au second, les combles au-dessus de la nef et du chœur aménagés en salle d’armes, refuge. Un chemin de ronde, faisant le tour du chevet, est percé de baies de tir, d’archères et de mâchicoulis. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 1926[29].
  • Gare de Saint-Germain-les-Belles.
  • Auvézère : elle prend sa source vers 420 mètres d'altitude dans le Massif central en région Limousin, sur la commune de Saint-Germain-les-Belles, cinq kilomètres au sud du bourg, près du lieu-dit le Camp de César, à proximité de l'autoroute A20.
  • De l'ancien château de Saint Germain-les-Belles, il ne reste que le donjon carré du XIIe siècle situé près de l'église. Cette tour, dite « des Barres », servit de prison sous la Révolution française. Le donjon est du XIIe siècle.
  • La fontaine de Pierre Brune et le lavoir.
  • Le viaduc qui porte la D 31, réalisé en 1860 avec une hauteur 48 mètres.
  • Le site Montréal, autour du plan d'eau, est une base de loisirs pour tous.
  • Maison de la Gourgauderie, maison datant du XVIIIe siècle. Elle à notamment appartenu au général Souham, comte d'Empire.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Saint-Germain-les-Belles Blason
De gueules au clocher du lieu d'argent mouvant de la pointe, accosté des lettres S et G du même ; au franc canton d'argent à la bande d'azur accompagnée de six roses de gueules ordonnées en orle.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Alias du blason de Saint-Germain-les-Belles
Alias du blason de Saint-Germain-les-Belles
D'argent à la barre d'azur.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sur Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  8. « Fiche du Poste 87146002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Germain-les-Belles ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Germain-les-Belles », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  19. Sur l'acte de décès de Léonard Bleignie, le 5 décembre 1830, à Firbeix (Dordogne), il est dit natif de Saint Germain-les-Belles-Filles (Haute Vienne).
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
  22. Béatrice Cauuet, L'Or des Celtes du Limousin, Limoges : Culture et patrimoine en Limousin, coll. Archéologie, 2004, (ISBN 2-911167-37-6), p. 22.
  23. Cauuet, op. cit., p. 25.
  24. [1]
  25. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Eglise Saint-Germain », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  30. Jean-Louis Jeannelle, « Note sur l’état poétique chez Sartre et Beauvoir », Fabula-LhT, n° 18, « Un je-ne-sais-quoi de “poétique” », avril 2017 [lire en ligne] page consultée le 04 octobre 2019.
  31. Anne Martin-Fugier, Louis-Philippe et sa famille 1830-1848, Paris, Perrin, , 312 p.