English: Identifier: linvasiondelamer00vern (find matches)
Title: L'Invasion de la mer
Year: 1905 (1900s)
Authors: Verne, Jules, 1828-1905 Verne, Jules, 1828-1905. Phare du bout du monde
Subjects:
Publisher: Paris : Collection Hetzel
Contributing Library: University Library, University of North Carolina at Chapel Hill
Digitizing Sponsor: University of North Carolina at Chapel Hill
View Book Page: Book Viewer
About This Book: Catalog Entry
View All Images: All Images From Book
Click here to view book online to see this illustration in context in a browseable online version of this book.
Text Appearing Before Image:
r, en de certains endroits, ce seuil présentait une tumescencede cent mètres, sauf deux brèches hautes de cinquante à soixante,et les sables sy mélangeaient de masses rocheuses dune extrac-tion difficile. A partir de lembouchure de lOued-Melah, le canal se diri-geait vers les plaines du Djerid, et cest en suivant tantôt laberge du Nord, tantôt la berge du Sud, que le détachementcommença ses premières étapes. Du kilomètre 20 partait ladeuxième section qui suivait autant que possible la berge septen-trionale pour diminuer les difficultés et les dangers inhérents àla nature même du terrain des chotts. Lingénieur de Schaller et le capitaine Hardigan marchaienten tête, quelques spahis les escortaient. Après eux venait, sousles ordres du maréchal des logis-chef Nicol, le convoi quitransportait les vivres et le matériel de campement. Puis unpeloton, que commandait le lieutenant Villette, formait larrière-garde. Cette expédition, nayant pour objet que de reconnaitre le
Text Appearing After Image:
lingénieur et le capitaine marchaient en tête. (Page 72. L INVASION DE LA MER 73 DE GABES A TOZEUR. 73 tracé du canal sur tout son parcours, de vérifier où en étaient leschoses jusquau chottRharsa, dabord, puis jusquau chott Melrir, ne devait cheminer quà petites journées. Sil est vrai que les cara-vanes, allant doasis en oasis, contournant au sud les montagneset les plateaux de lAlgérie et de la Tunisie, enlèvent jusquàquatre cents kilomètres en dix ou douze jours, lingénieur en-tendait bien ne point en laire plus dune douzaine par vingt-quatre heures, car il avait à tenir compte du mauvais état danslequel se trouvaient les pistes et les anciennes routes le long destravaux. « Nous nallons pas faire des découvertes, disait M. de Schaller,mais plus exactement nous rendre compte de létat présent destravaux que nous ont laissés nos devanciers... —■ Cest parfaitement entendu, mon cher ami, lui répondit lecapitaine Hardigan, et, dailleurs, depuis longtemps il ny a
Note About Images
Please note that these images are extracted from scanned page images that may have been digitally enhanced for readability - coloration and appearance of these illustrations may not perfectly resemble the original work.