Amou

Amou
Amou
L'église Saint-Pierre d'Amou.
Blason de Amou
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Dax
Intercommunalité Communauté de communes Coteaux et Vallées des Luys
(siège)
Maire
Mandat
Florence Bergez
2020-2026
Code postal 40330
Code commune 40002
Démographie
Gentilé amollois
Population
municipale
1 560 hab. (2021 en évolution de +1,1 % par rapport à 2015)
Densité 57 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 35′ 39″ nord, 0° 44′ 46″ ouest
Altitude Min. 31 m
Max. 147 m
Superficie 27,25 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Coteau de Chalosse
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Amou
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Amou
Géolocalisation sur la carte : Landes
Voir sur la carte topographique des Landes
Amou
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Amou

Amou en gascon (Amor en graphie IEO) /'amu/, est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve aux confins de la Chalosse et du Béarn, limitrophe du département des Pyrénées-Atlantiques (via la commune de Bonnut). Elle occupe l'aval de la vallée du Luy de Béarn, peu avant sa confluence avec le Luy de France (sur la commune voisine de Castel-Sarrazin).

Elle est desservie par la D 15 qui prend localement les noms de « Route de Dax », « Avenue de l'Océan » (au nord-ouest du bourg) puis « Avenue des Pyrénées » et enfin « Route de Sault-de-Navailles » (au sud-est). Cette route est le prolongement landais (jusqu'à Pomarez) de la D 945 des Pyrénées-Atlantiques (axe Lescar - Sault-de-Navailles). La D 13 au nord du bourg permet de rejoindre, via Nassiet, Castaignos-Souslens et de reconnecter avec l'axe Orthez - Mont-de-Marsan (D 933). La route de Bonnut, au sud, permet également de rejoindre Orthez.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Gaujacq, Arsague, Bonnegarde, Brassempouy, Castel-Sarrazin, Nassiet et Bonnut.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Les terres de la commune sont arrosées par le Luy de Béarn, affluent du Luy.

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hiver très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 191 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Orthez à 11,82 km à vol d'oiseau[5], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Amou est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,6 %), forêts (22,7 %), zones agricoles hétérogènes (20,2 %), prairies (7,6 %), zones urbanisées (3,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Amou est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Luy, le Luy du Béarn et le ruisseau de l'Ourseau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1989, 1991, 1993, 1998, 1999, 2009, 2013, 2014 et 2018[16],[14].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Amou.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 25,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 768 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 194 sont en aléa moyen ou fort, soit 25 %, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991 et 2002 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2020[14].

Amou est une forme écrite du gascon Amor qui signifie « amour ».

Les principaux lieux-dits sont : Bracq, Billaou, Biernabe, Hoursans, Latéoulère, Palai, Pébarthe et Menaout.

Latéoulère est la contraction et francisation partielle du gascon la teulèra, qui signifie « la tuilerie ».

Pébarthe est la contraction du gascon pé de barta, qui signifie « au pied de la barthe », la barthe étant le nom donné en Gascogne aux milieux embroussaillés des bords des cours d'eau.

La place de la Técouère, qui accueille le marché dominical, devrait peut-être son nom à la présence de petites hauteurs, que l'on nomme « tucs » en gascon, « tucoêre » étant alors le lieu où se trouvent les tucs. Une autre interprétation serait de faire remonter ce nom au latin « Aquae are » : terre au bord de l'eau[19].

Amou est un ancien village médiéval, aujourd'hui chef-lieu de canton.

Un bras du Luy a été canalisé pendant au moins un siècle à proximité sud du bourg pour desservir un moulin. Ce bras figure sur le cadastre napoléonien de 1836[20]. Il passait en bordure des maisons de la place de la Técouère. Il aurait été comblé sur ordre du maire du village par des prisonniers de guerre allemands durant la Seconde Guerre mondiale[21].

En 2023, un projet de réaménagement de la place Saint-Pierre, devant la mairie, fait l'objet d'une opposition : une partie de la population est opposée à l'abattage du grand cèdre, âgé de 65 ans[22],[23],[24]. Le cèdre est néanmoins abattu le 4 septembre au petit matin[25].

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[26].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

  • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,5 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 191 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[29] complétée par des études régionales[30] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1994 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[31]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records AMOU LATEOULERE (40) - alt : 48 m 43° 36′ 36″ N, 0° 44′ 24″ O
Statistiques établies sur la période 1994-2010 - Records établis sur la période du 01-06-1994 au 31-12-2015
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,3 2,7 4,6 7 11 14,2 15,7 15,6 12,3 9,7 5,3 2,8 8,6
Température moyenne (°C) 6,9 7,8 10,7 13,1 16,9 20,2 21,8 21,9 18,7 15,4 9,8 6,9 14,2
Température maximale moyenne (°C) 11,4 12,9 16,9 19,1 22,9 26,3 27,9 28,1 25,1 21,1 14,4 11 19,8
Record de froid (°C)
date du record
−7,5
24.01.11
−10,3
12.02.12
−8,1
01.03.05
−3,6
04.04.1996
1,8
07.05.10
4,5
01.06.06
8,2
13.07.04
6,2
29.08.1998
2,5
26.09.02
−2,5
25.10.03
−7,8
21.11.1998
−12,7
25.12.01
−12,7
2001
Record de chaleur (°C)
date du record
21,9
04.01.1999
25,2
28.02.1997
28
26.03.06
32,5
30.04.05
37
30.05.1996
40,9
21.06.03
40,1
18.07.06
40,9
01.08.04
37,5
05.09.06
33,9
04.10.04
25,9
01.11.1999
22,6
07.12.00
40,9
2004
Précipitations (mm) 108,5 84,2 91,5 104,8 108,3 59,8 55,6 71 93,2 102,8 157,9 115 1 152,6
Source : « Fiche 40002002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason Blasonnement :
De gueules à l’arc posé en barre, à la d’une flèche posée en bande et brochante, le tout d’or[32],[33].
Commentaires : Devise : « amou que soy » (je suis amour)

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
    Félix Coudanne Républicain Conseiller général du canton d'Amou (1898-1909)
1947 1983 René Coudanne Rad. puis MRG
puis UDF-Rad.
Conseiller général du canton d'Amou (1949-1985)
Président du conseil général des Landes (1973-1976)
1989 avril 2018 Jean-Jacques Darmaillacq[Note 4] UMP-LR Conseiller général du canton d'Amou (1985-2004)
avril 2018[34]
(réélue en mai 2020[35])
En cours Florence Bergez DVD  
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

[modifier | modifier le code]

Les habitants sont nommés les Amollois[36].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38]. En 2021, la commune comptait 1 560 habitants[Note 5], en évolution de +1,1 % par rapport à 2015 (Landes : +4,9 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5251 7311 7701 9402 0402 1092 1762 1942 197
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2021 8341 8211 7901 8591 7851 6981 6801 599
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5641 6191 6811 5291 5281 5401 4751 4721 359
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 4001 4551 4271 4621 4811 4521 5671 5831 523
2017 2021 - - - - - - -
1 5401 560-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique
L'église Saint-Pierre.

Manifestations culturelles

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Jean-Marie Jouaret, Petite histoire partielle et partiale de la Fédération sportive et culturelle de France (1948-1998), t. 1, Paris, FSCF (à compte d’auteur, imp. Déja-Glmc), , 1189 p. (ISBN 2-9528387-0-4) Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[27].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[28].
  4. Démissionnaire mais reste conseiller municipal.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. a b et c Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Amou et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Deauville » (commune d'Orthez) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Deauville » (commune d'Orthez) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Amou », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. Office de Tourisme Landes Chalosse, Découvrir Amou, Amou, , 4 p., p. 4
  20. Bernady Lacomère, Espéron et Farthouat, géomètres, « Amou-E DEPOT 2/1 G 1-Tableau d'assemblage de la commune d'Amou » Accès libre, sur Archives des Landes - cadastre napoléonien, (consulté le ).
  21. Commentaire recueilli en juin 2024 auprès d'une habitante âgée vivant dans une maison attenante à l'ancien moulin.
  22. « Landes : des habitants d'Amou manifestent contre l'abattage d'un cèdre vieux de 65 ans », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le ).
  23. « Landes : "Il faut sauver le soldat cèdre", les partisans du cèdre d'Amou persistent et signent », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le ).
  24. Benjamin Ferret, « Landes : l’abattage du cèdre fait polémique au village entre la mairie et les nostalgiques », Sud-Ouest,‎ (ISSN 1760-6454, lire en ligne Accès libre, consulté le )
  25. « « Les voisins ont entendu les tronçonneuses au petit matin » : à Amou, le cèdre vieux de 65 ans a été abattu », sur SudOuest.fr, (consulté le ).
  26. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  27. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  28. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  29. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  30. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  31. « Fiche du Poste 40002002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  32. Armorial de France
  33. Site de la mairie
  34. Sylvain Lapique, Landes : Florence Bergez, nouvelle maire d’Amou, Sud Ouest, 7 avril 2018.
  35. « Florence Bergez retrouve son fauteuil de maire », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 32.
  36. Gentilé sur habitants.fr
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. Jean-Marie Jouaret, 1999, tome 1, p. 398.