Pignans
Pignans | |||||
Beffroi de Pignans, avec sa cloche de 1607 | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Var | ||||
Arrondissement | Brignoles | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur du Var | ||||
Maire Mandat | Fernand Brun 2020-2026 | ||||
Code postal | 83790 | ||||
Code commune | 83092 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pignantais/Pignantaises | ||||
Population municipale | 4 730 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 136 hab./km2 | ||||
Population agglomération | 16 019 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 18′ 05″ nord, 6° 13′ 38″ est | ||||
Altitude | Min. 146 m Max. 766 m | ||||
Superficie | 34,87 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Gonfaron (ville-centre) | ||||
Aire d'attraction | Toulon (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Luc | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Var Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur | |||||
Liens | |||||
Site web | pignans.fr | ||||
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Pignans est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle comptait un peu mois de 4700 habitants en 2020.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Pignans est situé au nord-ouest du massif des Maures et, à vol d'oiseau, à 32 km au nord-est de Toulon, 13 km au sud-ouest du Luc et 18 km au sud-est de Brignoles.
Pignans fait partie de la communauté de communes Cœur du Var, avec dix autres communes voisines[1] dont Puget-Ville à 9,8 km et 10,2 de Besse-sur-issole[2].
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]- Châtaigniers du Massif des Maures.
- Plaine du Réal Martin[3].
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]Pignans est arrosée par le Réal Martin, cours d'eau de 27,9 km[4], ainsi que par le Réal Rimauresq[5] et que le Vallon de Notre Dames-des-Anges[6], ses affluent et sous-affluent.
Cours d'eau sur la commune ou à son aval[7] :
- le Réal Martin ;
- le Réal Rimauresq ;
- val de Garnier ;
- vallons de Notre-Dame des Anges, des Bîmes ;
- le Grand Vallat.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (8 °C) et peu de brouillards[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 868 mm, avec 7,3 jours de précipitations en janvier et 1,8 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Collobrières_sapc », sur la commune de Collobrières à 10 km à vol d'oiseau[10], est de 14,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 822,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −9,6 °C, atteinte le [Note 1],[11],[12].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[13]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Pignans est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gonfaron[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est ville-centre[Note 3],[16],[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulon, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[17]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,5 %), cultures permanentes (21,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,5 %), zones urbanisées (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %) et prairies (1,5 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]Le village de Pignans est accessible par la route départementale RD 97, qui relie Toulon au Luc-en-Provence. La commune est également traversée par l'autoroute A57, dont la jonction la plus proche est à Carnoules, 11.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]La gare de Pignans est ouverte au trafic voyageur, mais ne dispose pas de guichet[21]. Plusieurs navettes de TER desservent quotidiennement la gare, entre la gare des Arcs - Draguignan et celle de Toulon[22].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Risque sismique
[modifier | modifier le code]La commune est en zone sismique 2 Faible[23].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Antiquité
[modifier | modifier le code]Un fragment de silex découvert au quartier du Pouverel et les vestiges d’une enceinte d’oppidum à Notre Dame des Anges, montrent que des hommes préhistoriques vivaient déjà sur le territoire pignantais.
Des fouilles, quartier Berthoire, ont permis d’identifier Pignans comme un vicus routier, agglomération située sur une voie. Au Ier siècle de notre ère celle-ci reliait Forum Voconii (à proximité du Cannet des Maures) à Telo Martius (Toulon). Le village romain de Pignans s’étendait à l’origine depuis le Carry jusqu’à Berthoire, où sont encore visibles les fondations de bâtiments et de maisons avec des restes de cuves et de pressoirs à vin. Il s'agirait de l'antique « Civitas Pignacensis ».
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]En l'an 517, la décision de construire une église, telle que le montre la « Charte de Thierri », fils de Clovis, Comte de la Gaule narbonnaise et de Provence, va fixer définitivement la population.
Le nom de Pignanum apparut dans les archives médiévales en 1039. À partir de 1080, une collégiale y fut attestée et une bulle papale (acte d’authentification) de 1152 signale son importance. Le Chapitre des Chanoines de Pignans, soumis à la règle de Saint-Augustin, avaient des dépendances dans une trentaine de prieurés de la région.
Dès le XIIe siècle, les seigneuries de Besse et de Gonfaron étaient passées entre les mains des moines seigneurs de Pignans. Signe de cette richesse, les procès qui émaillèrent le Moyen Âge comme celui qui opposa les Augustins de Pignans aux Cisterciens du Thoronet à propos de l’occupation d’un monastère sur l’île de Porquerolles. Cette puissance pourrait trouver son origine dans l’Antiquité. En effet, en 1246 est attesté un cloître, dont l'ensemble des bâtiments religieux forment un monastère. Ce monastère, véritable château avec une haute muraille flanquée de 13 tours, est incendié et pillé durant les guerres de Religion par les huguenots, le .
Au lieu de disparaître, cette agglomération aurait traversé le désordre du haut Moyen Âge favorisant ainsi son hégémonie au moment du renouveau de la Provence au XIe siècle. Le Pignans médiéval du XIe et du XIIe siècle bâti à partir de l’église, s’étendit ensuite au sud, du XIIIe au XVe siècle, et était fermé si besoin par des portes, comme l’atteste celle bien conservée, située au débouché de la rue de l’Église sur la place des Armistices.
Temps modernes
[modifier | modifier le code]À la fin du XVIIe siècle, Louis XIV décida d’unir la prévôté de Pignans au séminaire royal de Toulon tenu par les jésuites. En 1717, la prévôté fut rétablie dans ses droits et son rayonnement se poursuivit jusqu’à la vente des biens de l’église en 1791[24],[25],[26].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Grâce à une hydrographie exceptionnelle, une petite industrie liée à l’eau s’est développée au cours du XVIIIe et du XIXe siècle. Durant cette période, Pignans dut sa prospérité à ses fabriques de papier et de martinet en cuivre et à ses moulins (farine et huile). Le liège fut également exploité, le village comptera jusqu’à quatre bouchonneries.
Les Pignantais étaient alors appelés « lei bras cargats » (les bras chargés).
Jules Gérard, né à Pignans en 1817, s’engagea dans les Spahis et devient lieutenant. Tireur aussi intrépide qu'habile, il se rendit célèbre en faisant la chasse aux lions qui dévastaient l'Algérie. En onze années, il en tua pas moins de 25. Il a écrit La chasse aux lions et Tueur de lions.
Lors des guerres 14-18 et 39-45, Pignans subit des pertes importantes.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Intercommunalités
[modifier | modifier le code]Flassans-sur-Issole est membre de la communauté de communes Cœur du Var de 37 829 habitants, créée en [33].
Les onze communes composant la communauté de communes en 2012 sont (par ordre alphabétique) :
- Besse-sur-Issole ;
- Cabasse ;
- Le Cannet-des-Maures ;
- Carnoules ;
- Flassans-sur-Issole ;
- Gonfaron ;
- Le Luc ;
- Les Mayons ;
- Pignans ;
- Puget-Ville ;
- Le Thoronet.
Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Depuis juin 2016, Pignans dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 6 500 équivalent-habitants[34],[35],[36].
Finances communales
[modifier | modifier le code]En 2019, le budget de la commune est constitué ainsi[38] :
- total des produits de fonctionnement : 3 833 000 €, soit 944 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 3 612 000 €, soit 889 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 680 000 €, soit 167 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 1 276 000 €, soit 314 € par habitant ;
- endettement : 1 721 000 €, soit 424 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 19,58 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 16,54 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 117,58 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : Médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 380 €[39].
Jumelages
[modifier | modifier le code]La commune n'est jumelée à aucune ville et aucun village pour le moment.
Équipements et services
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]École primaire[40].
La commune dépend de l'académie de Nice. Les élèves de Pignans commencent leur scolarité dans la commune, à l'école maternelle « Alphonse Daudet » (183 enfants)[41] et l'accès aux écoles primaires « Jean Giono » et « Marcel Pagnol » (356 écoliers)[42],[43]. Les plus proches collèges se situent à Besse-sur-Issole et au Luc en Provence[44],[45]. Un service de transport scolaire est à disposition des collégiens[46].
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé présents à la maison médicale - rue des cliquesses :
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[50].
En 2021, la commune comptait 4 730 habitants[Note 5], en évolution de +21,41 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Sports
[modifier | modifier le code]Divers équipements sportifs, tel qu'un stade municipal, une salle polyvalente avec un dojo ou encore des courts de tennis permettent d'effectuer des activités sportives telles que :
- Basket-ball ;
- Judo ;
- Karaté ;
- Danse ;
- Yoga
- Tennis ;
- Football ;
- Badminton;
- Aïkibudo;
- Escrime;
- Gym douce;
- Pilates;
- Sophrologie;
- VTT.
Culte
[modifier | modifier le code]La paroisse catholique de Pignans dépend du diocèse de Fréjus-Toulon et du doyenné de Brignoles[53]. La communauté dispose de la collégiale Notre-Dame-de-la-Nativité placée aussi sous le vocable de Notre-Dame-de-l'Assomption.
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Fontaine située Place Mazel.
- Place de l'église.
- La collégiale Notre-Dame de la Nativité sur la place de l'église.
- Clocher de la collégiale.
- Chapelle Notre-Dame-des-Anges et son imposant relai de communication.
- Patrimoine civil
- Mairie, maison natale de Jules Gérard.
- Monuments commémoratifs[64],[65],[66],[67],[68].
- Tour de l'horloge[69] et sa cloche de 1607[70].
- Porte de Ville située place des Armistices[71].
- Fontaines[72],[73],[74],[75],[76],[77],[78],[79],[80] et lavoirs[81],[82],[83],[84],[85].
- Patrimoine religieux
- Collégiale Notre-Dame-de-la-Nativité[86] ou de l'Assomption, dans le village[87], avec son orgue de tribune reconstruit par Isnard en 1776 dans la nouvelle église[88],[89],[90]. Son clocher comporte trois cloches.
- Grosse cloche datant de 1823.
- Moyenne cloche datant de 1856.
- Petite cloche datant de 1989.
- Orgue de l'église.
- Nef et chœur église depuis la tribune de l'orgue.
- Intérieur de la chapelle Notre-Dame-des-Anges et ses ex-voto. La vierge noire est posée sur un autel en marbre.
- Intérieur de l'église.
- Chapelle de Pénitents Blancs Notre-Dame-de-l'Annonciade[91].
- Chapelle de Pénitents Saint-André, du XIIIe siècle[92].
- Chapelle de la Congrégation des Filles[93].
- Chapelle Notre-Dame-des-Anges[94] (à environ dix kilomètres au sud du village)[95],[96]. Selon la légende, elle est fondée en 517 par Thierry Ier, fils de Clovis, en souvenir d'une victoire sur les Wisigoths, au bourg des Pins (ancien nom de Pignans). Parmi ses ex-voto[97] les plus surprenants, celui de Jules Gérard, sous la forme d'un crocodile[98], suspendu au plafond[99]. Selon la croyance chrétienne, le pèlerinage à Notre-Dame-des-Anges guérit de la paresse[100]. Cette chapelle et son sanctuaire abritent aujourd'hui une communauté des frères franciscains de l'Immaculée à Notre-Dame-des-Anges du massif des Maures.
- Chapelle Saint-Pierre[101], XVIIe siècle.
- Chapelle Saint-Barthélémy[102], récemment restaurée[Quand ?].
- Couvent d'Augustins Saint-Paul[103].
- Croix[104] et oratoires[105],[106],[107],[108],[109],[110],[111].
- Restes de mur du monastère fortifié de style Roman, au chevet de la collégiale (XIe siècle).
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Rollet de Garcin ( ? - 1229 ), troubadour, homme de guerre et religieux, il décide de se faire moine et prendre la prépositure de Pignans.
- Honoré-Nicolas-Marie Duveyrier (1753-1839), juriste, homme politique et auteur dramatique français y est né.
- Napoléon Bonaparte (1769-1821), militaire, homme d'État français et premier empereur des Français, passa la nuit du à l'auberge de la cloche d'or, accompagné des Généraux Lannes et Berthier.
- Emmanuel Lauret (1809-1882), artiste peintre y est né.
- Jules Gérard (1817-1864), surnommé le « tueur de lions », explorateur et chasseur y est né.
- Hubert Falco (1947-), homme politique, député, sénateur et ministre, maire de Pignans puis de Toulon y est né.
Héraldique
[modifier | modifier le code] Les armoiries de Pignans se blasonnent ainsi[112] :D'azur aux trois pommes de pin tigées et feuillées d'or. |
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Gonfaron comprend quatre villes-centres (Besse-sur-Issole, Carnoules, Gonfaron, Pignans).
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- communauté de communes cœur du Var
- Itinéraires
- Le Réal Martin rivière saint-pierre.
- Réal Martin sur le site du Sandre.
- Réal Rimauresq sur le site du Sandre.
- Vallon de Notre Dames-des-Anges sur le site du Sandre.
- L'eau dans la commune.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Pignans et Collobrières », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Collobrières_sapc », sur la commune de Collobrières - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Collobrières_sapc », sur la commune de Collobrières - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Gonfaron », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Pignans ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- Gare de Pignans.
- [PDF] horaire gare de Pignans.
- [PDF] Les risques naturels.
- « Un peu d'histoire », sur Pignans (consulté le ).
- « Secrets de… Pignans », sur coeurduvartourisme.com (consulté le ).
- « Pignans à visiter (83) », sur Provence 7 (consulté le ).
- Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques, Draguignan, 1897, p. 359-360 [lire en ligne].
- La fiche biographique de MOUTTET Henri sur le Maitron en ligne
- La fiche biographique de IMBERT Léopold sur le Maitron en ligne
- La fiche biographique de PLATEL Georges, Léon, Achille, Edmond sur le Maitron en ligne
- « Patrick Astesana, maire de Pignans, est mort », Var-Matin, (lire en ligne).
- [1]
- Communes appartenant au Groupement Fiscalisé : Communauté de communes Cœur du Var et les Comptes des communes : Commune Flassans-sur-Issole.
- [PDF] Diagnostic SAGE Gapeau VF, p. 93.
- Service : Pignans / assainissement collectif.
- La nouvelle station d'épuration inaugurée à Pignans, Var-Matin.
- « Hôtel de ville », notice no IA00127370, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Les comptes de la commune.
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet.
- « École primaire », notice no IA00127373, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « École maternelle Alphonse Daudet », sur Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- « École primaire Jean Giono », sur Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- « École primaire Marcel Pagnol », sur Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- « Besse-sur-Issole : Collège Frédéric Montenard », sur Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- « Le Luc : Collège Pierre de Coubertin », sur Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- « Les transports scolaires », sur Communauté de communes Cœur du Var (consulté le ).
- Professionnels de santé.
- Hôpitaux proches.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Paroisse de Pignans.
- « Usine de Papeterie », notice no IA00127478, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Moulin à farine », notice no IA00127471, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Mairie, Moulin à huile », notice no IA00127369, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Moulin à huile lieu-dit Rimauret », notice no IA00127470, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Moulin à huile au lieu-dit le Paradou », notice no PA00081562, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Coopérative vinicole dite Coopérative la Bourgade, puis le Cellier des Trois Pignes », notice no IA00127436, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture pré-inventaire normalisé ; enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur).
- « Coopérative vinicole dite Coopérative la Ruche, puis le Cellier des Trois Pignes », notice no IA00127437, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Hôtel de voyageurs », notice no IA00127435, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Marché à Pignans.
- Tourisme à Pignans.
- Monument aux Morts place des Armistices.
- « Monument aux morts de la Guerre de 1914-1918 », notice no IA00127368, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Croix monumentale et monument aux morts », notice no IA83000788, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Plaque commémorative no 1 église paroissiale et collégiale de l'Assomption », notice no PM83002055, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Plaque commémorative no 2 », notice no PM83002056, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Beffroi », notice no IA00127371, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Cloche de la tour de l'horloge », notice no PM83000408, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Porte de Ville », notice no IA00127374, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fontaine et monument place des écoles », notice no IA00127438, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fontaine place de l’Église », notice no IA00127439, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fontaine Grande Rue », notice no IA83000752, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fontaine place Mazel », notice no IA00127443, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « 1re fontaine les Placettes », notice no IA00127445, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Borne-fontaine Suzette », notice no IA83000751, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « 2e fontaine les Placettes », notice no IA00127446, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fontaine place Saint André », notice no IA00127447, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Dolmen de la Gastée », notice no PA00081562, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Lavoir dit fontaine des Laines », notice no IA83000753, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « 1re fontaine lavoir rue des Maisons Neuves », notice no IA00127441, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Lavoir des Prés », notice no IA83000755, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « 2e fontaine lavoir rue des Maisons Neuves », notice no IA00127442, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Lavoir et fontaine rue Saint-Roch », notice no IA83000791, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Pignans - Notre-Dame de la Nativité.
- « Collégiale Assomption et église paroissiale », notice no IA00127361, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Orgue de tribune de l'église de la Nativité-de-la-Vierge », notice no PM83001463, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Orgue de tribune : buffet d'orgue », notice no PM83000401, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue », notice no PM83000400, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Chapelle de Pénitents Blancs Notre-Dame-de-L'Annonciade », notice no IA00127363, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapelle de Pénitents Saint-André », notice no IA00127364, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapelle de la Congrégation des Filles », notice no IA00127362, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapelle Notre-Dame-des-Anges », notice no IA00127463, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Le sanctuaire de Notre Dame des Anges.
- Historique de la chapelle Notre-Dame des Anges.
- « Liste des ex-voto de la chapelle Notre-Dame-des Anges », sur base Palissy, ministère français de la Culture (version du sur Internet Archive) (consulté le ).
- Un crocodile pour ex-voto à Notre Dame des Anges.
- « Guide de la Provence Mystérieuse », p. 386.
- Robert Bailly, Chapelles de Provence, Bouches-du-Rhône, Alpes-Maritimes, Alpes-de-Haute-Provence, Var, Vaucluse : Origines, Architecture, Croyances, Le-Coteau, Horvath, 1988, (ISBN 2-7171-0565-4), p. 17.
- « Chapelle Saint-Pierre », notice no IA00127473, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapelle Saint-Barthélémy », notice no IA00127472, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Couvent d'Augustins Saint-Paul », notice no IA00127365, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Croix monumentale dite Croix de mission », notice no IA00127367, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Oratoire Saint-Pierre », notice no IA00127366, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ensemble de 12 oratoires », notice no IA83000789, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Oratoire lieu-dit Val Redonne », notice no IA00127479, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Oratoire Notre-Dame-de-la-Salette », notice no IA00127466, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Oratoire Notre-Dame-de-la-Garde », notice no IA00127465, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Oratoire lieu-dit Migranon », notice no IA00127462, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Oratoire lieu-dit le Carry », notice no IA00127453, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Cœur du Var Plaine des Maures : Pignans, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Histoire de la commune de Pignans, par Henri Linder (ISBN 2-84373-394-4) (ISBN 978-2-84373-394-9).
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France : Pignans, Strasbourg, Éditions Publitotal, 4e trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3), p. 901.
- Valérie Roux et Monique Cubells (dir.), L'hôpital de Pignans au XVIIIe siècle (Thèses et écrits académiques), Aix-en-Provence, s.n., , 116 p., 30 cm (OCLC 1136495781, SUDOC 238612511, présentation en ligne).
Article connexe
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire et ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA.
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes.
- Système d’information géographique du Var (SIG Var) : Pignans.
- Notes écrites par monsieur Émile Bénestan.
- Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du Patrimoine Religieux (OPR) à Pignans.
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune.
- Cavités souterraines : Grotte ou Garagai de l'Espine.