Héninel
Héninel | |||||
L'église Saint-Germain. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | Communauté urbaine d'Arras | ||||
Maire Mandat | Claude Lecornet 2020-2026 | ||||
Code postal | 62128 | ||||
Code commune | 62426 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Héninellois | ||||
Population municipale | 188 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 35 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 14′ 20″ nord, 2° 51′ 52″ est | ||||
Altitude | Min. 58 m Max. 108 m | ||||
Superficie | 5,32 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Arras (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Arras-3 | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
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Héninel est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Héninellois.
La commune fait partie de la communauté urbaine d'Arras qui regroupe 46 communes et compte 109 776 habitants en 2021.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est située à 11 km au sud-est d'Arras (chef-lieu d'arrondissement et aire d'attraction).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 5,32 km2 ; son altitude varie de 58 à 108 m[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
La commune est traversée par le Cojeul, cours d'eau de 25 km, qui prend sa source dans la commune de Douchy-lès-Ayette et se jette dans la Sensée au niveau de la commune d'Éterpigny[3].
Paysages
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[4]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[5].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 740 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 1 km à vol d'oiseau[8], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,3 | 1,4 | 3,4 | 5,1 | 8,4 | 11,2 | 13,1 | 13,1 | 10,7 | 7,9 | 4,4 | 1,9 | 6,8 |
Température moyenne (°C) | 3,8 | 4,3 | 7,2 | 10 | 13,3 | 16,2 | 18,4 | 18,4 | 15,4 | 11,5 | 7,2 | 4,3 | 10,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,2 | 7,2 | 11 | 14,9 | 18,1 | 21,2 | 23,6 | 23,7 | 20,1 | 15,2 | 9,9 | 6,7 | 14,8 |
Record de froid (°C) date du record | −14,1 12.01.1987 | −13,3 07.02.1991 | −9,4 13.03.13 | −4,4 20.04.17 | −1,3 07.05.1997 | 2,3 05.06.1991 | 5,1 31.07.15 | 4,4 02.08.15 | 0,5 30.09.18 | −4 24.10.03 | −8,6 24.11.1998 | −12,8 29.12.1996 | −14,1 1987 |
Record de chaleur (°C) date du record | 14,9 09.01.15 | 18,2 26.02.19 | 24,3 31.03.21 | 26,8 20.04.18 | 30,5 12.05.1998 | 34,4 18.06.22 | 41,7 25.07.19 | 37,6 06.08.03 | 34,6 15.09.20 | 29,3 01.10.11 | 19,9 07.11.15 | 16,1 07.12.00 | 41,7 2019 |
Précipitations (mm) | 56,7 | 48,7 | 50,2 | 42,7 | 61 | 60,9 | 64,9 | 62,9 | 57,6 | 65,4 | 64 | 76,4 | 711,4 |
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espèces faunistiques et floristiques
[modifier | modifier le code]Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[12].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Héninel est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[14]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,2 %), prairies (10,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Henninel dès 1081 dans les chartes de la collégiale Saint-Amé ; Villa que ab Henninio Henninellus dicitur (cart. de Saint-Vaast, p. 262) et Henninellæ au XIIe siècle (Ricouart, p. 142) ; Héninel en 1281 (chap. d’Arr., c. Mi-Pa) ; Hanninel en 1284 (ch. d’Art., A. 122) ; Hereninel en 1296 (ch. d’Art., A. 60, f° 97 r°) ; Hennuel (Arch. nat., J. 1003, f° 5 v°) et Henniel en 1469 (Arch. nat., J. 1003, f° 10 r°) ; Henninel super Cageul en 1507 (obit. Atrebat., f° 181 r°), la commune est située dans la vallée du Cojeul. Elle figure sur la carte de Cassini avec l'orthographe Heninelle au XVIIIe siècle[18].
Histoire
[modifier | modifier le code]La légende veut que saint Germain d'Auxerre, sur sa route vers la Grande-Bretagne, s'arrêta à Héninel vers l'an 430. Une chapelle est érigée là où il s'est arrêté. Saint patron du village, qui a donné son nom à l'église et à l'artère principale de la commune, il fait l'objet d'une procession religieuse commémorative tous les ans, au premier dimanche d'août (saint Germain d'Auxerre est fêté le 31 juillet). L'église lui était déjà consacrée en 1789.
Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Le village est pris lors de l'offensive allemande d'août/septembre 1914 lors de la "course à la mer" qui a été stoppée à Arras en octobre 1914. Héninel est alors le théâtre de combats intenses durant la guerre de tranchées qui a suivi pendant près de trois ans et qui a provoqué la destruction totale des bâtiments. Des avant-postes de la ligne Hindenburg, cordon défensif de plus de 160 km sur 7 à 10 km de profondeur, sont construits durant l'hiver 1916-1917 sur le territoire d'Héninel[19]. Ils surplombent la vallée du Cojeul et se répartissent sur les premières crêtes (lignes de cote des 100m), barrant la progression vers le Sud-Est. De nos jours de nombreux blockhaus sont toujours visibles. En février 1917, sous la poussée alliée, les Allemands se retirent sur cette ligne qu'ils vont défendre âprement jusque fin juin.
Le 12 avril 1917, lors de la bataille d'Arras débutée le 9 avril, Héninel est repris au milieu d'une tempête de neige par les 12e, 50e et 56e divisions britanniques[20] (corps expéditionnaire britannique du général Haig) qui avancent vers l'Est, en prenant Monchy-le-Preux et Croisilles, points hauts du secteur (voir musée de Bullecourt). Une série d'offensives et de contre-offensives meurtrières s'ensuivent, le village limitrophe de Guémappe n'étant conquis que le 23 avril.
Heninel demeure de justesse aux mains des forces britanniques lors de la grande offensive allemande du printemps 1918 (Kaiserschlacht) qui perce les lignes alliées quelques kilomètres plus au sud et permet aux Allemands une avancée de plus de 50 km (opération Michael). Néanmoins, le maintien des positions alliées devant Arras sous les assauts des troupes du général Ludendorff se fait au prix de pertes élevées. Au total, 160.000 soldats britanniques sont tués ou mis hors de combat lors de cette seule bataille.
Il faudra attendre août 1918 et l'offensive finale « des Cent-Jours » pour voir le secteur libéré des forces allemandes.
Sur le territoire communal, six cimetières britanniques[21] (Bootham cemetery, Heninel-Croisilles road cemetery, Heninel communal cemetery extension, Rookery british cemetery, Cuckoo passage cemetery, Cherisy road east cemetery) abritent les dépouilles de 823 soldats du Commonwealth tombés durant la Première Guerre mondiale, essentiellement en avril 1917 et de 11 soldats allemands (le Heninel-Croisilles road cemetery étant repris par les forces allemandes entre avril et août 1918).
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La carte montre qu'Héninel est restée sur la ligne de front de mars 1917 à août 1918. -
La Ligne Hindenburg à Héninel, champs de barbelés infranchissables. -
Soldats britanniques à Héninel le 3 mai 1917. -
La carte des régions dévastées de 1920 montre que le village est complètement détruit.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais[22].
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté urbaine d'Arras[22].
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton d'Arras-3[22].
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais[23].
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Héninellois[30].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].
En 2021, la commune comptait 188 habitants[Note 4], en évolution de +2,17 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
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Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 87 hommes pour 93 femmes, soit un taux de 51,67 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Germain.
- Le monument aux morts[36].
- Les six cimetières militaires britanniques implantés sur le territoire de la commune :
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Blason | D'or au cerf passant de sable ; vêtu de sinople[37]. | |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France
Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier relatif aux rattachements de la commune sur le site de l'Insee, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 5]
- « La commune » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Cojeul (E1560650) » (consulté le )
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Héninel et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Héninel ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Comte de Loisne, Dictionnaire topographique des communes du Pas de Calais (lire en ligne), p. 192.
- Vestiges de la ligne Hindenburg - Héninel et La bataille d’Arras (avril 1917)
- (en) « Histoire de l'extension britannique du cimetière communal », sur CWGC (consulté le ).
- (en) « Cimetières britanniques d'Héninel », sur CWGC (consulté le ).
- « Rattachements administratifs de la commune », sur l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
- « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- « Bilan du maire à Héninel : la salle d’évolution, principale réalisation du mandat de Jean-Marie Fournier », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Héninel : Jean-Marie Fournier, maire depuis 1983, a été réélu : http://www.lavoixdunord.fr/region/heninel-jean-marie-fournier-maire-depuis-1983-a-ete-ia29b6432n2042602 », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Héninel (projet du maire) : les nouveaux rythmes scolaires appliqués à la rentrée : Héninel est un petit village de 208 habitants entouré par les communes de Saint-Martin-sur-Cojeul et de Wancourt. À noter que le village est proche du parc naturel régional Scarpe-Escaut. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Héninel (62426) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).