Les Ogres de Barback

Les Ogres de Barback
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Fredo, le chanteur, lors du concert Aux urnes, etc. au Zénith de Paris le .
Informations générales
Autre nom Les Ogres
Pays d'origine Drapeau de la France France
Genre musical Chanson française, musique tzigane
Années actives Depuis 1994
Labels Irfan
Site officiel www.lesogres.com
Composition du groupe
Membres Alice Burguière
Fred Burguière
Léo Burguière
Mathilde Burguière
Sam Burguière
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Logo des Ogres de Barback.

Les Ogres de Barback, souvent dénommés Les Ogres de façon abrégée, est un groupe de musique français, formé en 1994.

Ses membres sont à l'origine quatre frères et sœurs, chacun multi-instrumentiste. Depuis 2022, leur plus jeune frère Léo Burguière a rejoint le groupe. Ils ont grandi à Jouy-le-Moutier, dans le Val-d'Oise. D'origine arménienne, ils sont des descendants de rescapés du génocide arménien.

Dès l'hiver 1998, le groupe, qui est attiré par le théâtre de rue et le monde du cirque, envisage l'achat d'un chapiteau pour pouvoir organiser des tournées avec le maximum d'autonomie. Pour cela est lancé le projet Latcho Drom (du nom du film de Tony Gatlif). Le groupe fait ses débuts en auto-produit. C'est au cours de l'année 2000 que le groupe reprend en main la distribution de ses disques[1]. Au début de 2019, le groupe annonce la sortie d'un nouvel album, Amours grises et Colères rouges.

Origines et débuts (1994—1997)

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Fred, Sam, Alice et Mathilde Burguière sont nés dans une famille de musiciens, leur père ayant été pianiste de concert, notamment avec le groupe Il était une fois à ses débuts[2]. Dès 1992, Sam commence à jouer dans un groupe influencé par des formations telles que Mano Negra et Bérurier noir : « les Minoritaires ». Il est bientôt rejoint par son frère Fred qui prend l'accordéon[3]. En parallèle, les deux frères jouent en duo dans les bars ou le RER[4]. De leur côté, Alice et Mathilde créent aussi des groupes avec lesquels elles jouent dans la rue et, en 1994, les quatre frères et sœurs font leurs premières répétitions ensemble avant de donner le premier concert des Ogres de Barback le à La Dame Bleue, le bar du CAES, un squat de Ris-Orangis[5].

Les Ogres ont grandi à Jouy-le-Moutier, dans le Val-d'Oise. D'origine arménienne, ils sont des descendants de rescapés du génocide arménien[6]. La famille Burguière compte un cinquième enfant, Léo, né après les débuts du groupe.

Après le premier concert de , les Ogres de Barback continuent à jouer régulièrement dans des bars, petites salles et dans la rue. Puis, après trois ans, ils envisagent la sortie d'un album. Ce disque auto-produit, Rue du temps, sera financé en partie par une souscription auprès du public et enregistré par François Vacher (qui travaille alors avec Têtes raides) au studio Ornano à Paris. La pochette est illustrée par Aurélia Grandin qui continuera par la suite à travailler avec le groupe [7]. Après avoir vendu les trois mille premiers exemplaires de Rue du temps à la fin des concerts et par dépôt-vente chez les disquaires, le groupe confie la distribution de l'album à Pias[8]. Au total ce premier disque se vend à dix mille exemplaires[9]. Parmi les chansons de ce premier album se trouve la chanson Rue de Paname qui deviendra un des hymnes fédérateurs du public du groupe, et que ce dernier continue à interpréter sur scène après plus de vingt ans[1]. Le titre apparaît ainsi sur l'album live 20 ans ! sorti en 2015.

Latcho Drom et Irfan (1998—2002)

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Dès l'hiver 1998, le groupe qui est attiré par le théâtre de rue et le monde du cirque envisage l'achat d'un chapiteau pour pouvoir organiser des tournées avec le maximum d'autonomie. Pour cela est lancé le projet Latcho Drom (du nom du film de Tony Gatlif) : organisation d'un concert de soutien au Glazart (avec Les Matchboxx, Bénabar, K2R Riddim ...), création d'une association et achat du premier chapiteau et organisation d'une tournée[10],[11].

Un deuxième album, lui aussi auto-produit, sort en 1999 : Irfan, le Héros. C'est le dernier album à sortir avant que les Ogres ne montent leur propre structure pour assurer la production et par la suite la distribution de leur musique pour, comme le revendique le groupe : « évoluer à [son] rythme. Rester dans l'artisanat, en somme »[7].

En 2000, le groupe sort son troisième album, Fausses Notes et Repris de justesse, constitué de deux disques, l’un enregistré en studio, l'autre en public. Pour fêter la sortie de l'album, le groupe organise une tournée dans une dizaine de villes françaises avec à chaque étape une série de trois concerts en compagnie d'un groupe différent[12].

C'est aussi au cours de l'année 2000 que le groupe reprend en main la distribution de ses disques[1]. Ceux-ci sont dans un premier temps distribués par une structure associative gérée par le groupe, avant que le format associatif ne s'avère trop contraignant et que la nécessité de créer un label ne s'impose. En , le label Irfan est finalement lancé.

Le , quelques semaines après le lancement du label, sort le premier album diffusé par Irfan : Croc'Noces. En parallèle, le groupe a travaillé sur un projet avec les Hurlements d'Léo rencontrés quelques années plus tôt : Un air, deux familles. Une dizaine de chansons sont créées en commun et une tournée est organisée en France. Puis, à l'initiative des Hurlements d'Léo, les deux groupes envisagent une tournée sous chapiteaux à travers l'Europe. Le financement du projet se fait par la vente d'un album live enregistré sous chapiteaux : Un air, deux familles, écoulé à cinquante mille exemplaires. Entre avril et , la tournée passe par la Belgique, l'Allemagne, la Pologne, la Roumanie et la Suisse. Les images tournées à cette occasion donnent lieu à un DVD sorti en 2003, vendu à dix mille copies et désormais épuisé[13].

Affirmation de l'indépendance (depuis 2003)

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Mathilde Burguière (Les Ogres de Barback) (Aux urnes, etc.. Cergy, en 2007.

Après une tournée courant 2010, où ils font une centaine de concerts dans un spectacle monté en trois actes, ils publient sur internet plusieurs titres inédits, produits d'une fusion entre leurs chansons et des créations existantes. Ces titres librement téléchargeables sont regroupés sous le nom de Stéréo pirate[14]. Le projet donne lieu à la sortie d'un vinyle commercialisé en 2011. Les titres des Ogres y sont mixés avec des compositions de Noir Désir, Mano Negra, Suprême NTM et The Specials.

En 2011 sort leur douzième album, Comment je suis devenu voyageur. Il s'ensuit une tournée d'un an et demi, baptisée La Fabrique à chanson. Avec un décor imposant, sorte de grue amovible à souhait, et orientée autour du thème du voyage, des oiseaux et des cartes postales, la tournée des Ogres sillonne la France jusqu'en . La tournée est accompagnée d'un blog, Sur la route, où le groupe publie régulièrement des articles relatant leurs concerts et s'achève avec la publication d'un DVD/album, La Fabrique à chansons.

Début 2019, le groupe annonce la sortie d'un nouvel album pour le  : Amours grises et Colères rouges.

Les Ogres à 5 ! (depuis 2022)

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Après avoir parfois accompagné ses frères et sœurs, que ce soit sur scène pour le concert des 10 ans[15] ou sur album comme batteur sur Comment je suis devenu voyageur[16] par exemple, Léo, le plus jeune frère de la famille Burguière, rejoint les Ogres pour la tournée 2022.

Avec l'arrivée de leurs premiers enfants, les Ogres commencent à composer des chansons pour enfants qui se concrétisent par la sortie d'un album en 2003 : La Pittoresque Histoire de Pitt'ocha[17]. Malgré les avertissements des professionnels du disque pour enfants qui avaient prévenu le groupe que le marché était saturé[18], ce premier album jeunesse est un succès avec plus de cent quarante mille exemplaires vendus[19]. À cette occasion, le groupe s'engage auprès de Handicap International en choisissant de reverser à l'association un euro pour chaque album vendu[20].

Entrée du chapiteau de Pitt Ocha
Entrée du chapiteau de Pitt Ocha

Pour La Pittoresque Histoire de Pitt Ocha, le groupe s'entoure d'artistes parmi lesquels Tryo, Les Hurlements d'Léo ou encore Pierre Perret. Les illustrations sont réalisées par les partenaires habituels des Ogres que sont Éric Fleury et Aurélia Grandin. Cette dernière, après avoir illustré les premiers albums du groupe, s'est spécialisée dans la littérature jeunesse et au cours de cette même année 2003, elle publie chez Rue du monde Raymond, pêcheur d'amour et de sardines qui est mis en musique par les Ogres de Barback[21]. En 2010, ce premier épisode des aventures de Pitt Ocha bénéficie d'une nouvelle sortie sous la forme d'un livre accompagné d'un CD, destiné à mettre en valeur les illustrations dans un plus grand format[22].

Les aventures de Pitt Ocha se poursuivent à travers deux autres albums, toujours constitués de collaborations : Pitt Ocha au Pays des Mille Collines en 2009, et Pitt Ocha et la Tisane de couleurs en 2013. Sur le même principe que pour le premier opus, pour chaque album vendu, un euro est reversé à une association.

Camions de la tournée Pitt Ocha en 2023
Camions de la tournée Pitt Ocha en 2023

En 2020, les trois albums de la série totalisent plus de 400 000 ventes[23] tandis qu'un nouvel album, Pitt Ocha et le vélo à propulsion phonique, sort en 2022[24].

En 2023, les albums Pitt Ocha donnent lieu à un spectacle présenté sous chapiteau, dans une scénographie de Matthieu Bony (Royal de luxe, Les Machines de l'île)[25]. La troupe s'installe à chaque étape pour plusieurs jours et se produit à plusieurs reprises devant un public qui peut compter 600 personnes à chaque représentation[26].

Volonté d'indépendance : le label Irfan

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Après avoir vendus leurs premiers disques à la fin des concerts, les ogres de barback sont distribués quelques années par PIAS Group[27]. Après deux ans passés dans ce schéma, le groupe décide de prendre en charge sa distribution, et en 2001, le label Irfan est créé[28]. Le nom du label a pour origine le nom d'un des personnages du film Le Temps des Gitans d'Emir Kusturica, nom que le groupe a déjà utilisé par le passé pour nommer son deuxième album : Irfan le héros[29].

D'abord hébergé à la caserne Bossut à Cergy-Pontoise, le label quitte la région parisienne à l'occasion de la fermeture du lieu en 2003[30],[31]. La structure rejoint alors l'Ardèche, d'abord à Viviers puis à Alba-la-Romaine[32],[33].

Cette volonté d'indépendance se traduit en 2004 par la participation du label au projet CD1D initié avec 6 autres labels indépendants et qui vise à proposer aux labels de ce type une plateforme de diffusion dédiée (vente en ligne de supports physiques et de fichiers numériques sans DRM).

En 2019, le label fait vivre les quatre membres des Ogres de Barback et emploie quatre salariés[34].

Collaborations

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Dès les débuts du groupe, celui-ci s'affirme à travers ses nombreuses collaborations avec d'autres artistes. Ainsi, dans la chanson 3-0 (sur Terrain vague), chaque couplet évoque une série de clichés liés à une ville de France et comporte un invité différent (Sanseverino pour Paris, Fanch du groupe Matmatah pour Rennes, Les Hurlements d'Léo pour Bordeaux, les frères Amokrane de Zebda et les Fabulous Trobadors pour Toulouse, Massilia Sound System pour Marseille, La Tropa pour Lyon, Weepers Circus pour Strasbourg, et Loïc Lantoine pour Lille). Ils ont également étroitement collaboré à l'album Çui-là de Pierre Perret sorti en 2003 sur lequel ils participent à la musique ainsi qu'aux arrangements. Ils ont aussi joué avec Tryo sur trois chansons : La Première fois, Accordéon pour les cons et Mam'zelle Bulle (sur l'album live Tryo au Cabaret Sauvage).

Durant l'été 2016, le groupe engage une tournée avec le bal Brotto-Lopez, duo composé de Guillaume Lopez et de Cyrille Brotto, deux musiciens renommés dans les bals folk de France et d'Europe, pour une musique à la fois créative et ancrée dans la tradition languedocienne. Les deux groupes s'étaient déjà fréquentés (participation de Guillaume Lopez à la tournée des 20 ans des Ogres, apparitions de Sam Burguière dans les concerts du bal Brotto Lopez...) et s'invitent régulièrement sur scène[35].

Le 20 (ou 24) , les Ogres de Barback publient l'album collaboratif La Tribu de Pierre Perret constitué de reprises de chansons de Pierre Perret. L'album, qui réunit 15 titres, est le fruit de la collaboration du groupe avec de nombreux chanteurs et musiciens tels que Magyd Cherfi, Massilia Sound System, Didier Wampas, Idir, Lionel Suarez, Tryo, Olivia Ruiz[36],[37],[38]etc.

Les Ogres organisent entre et une tournée sous les chapiteaux Latcho Drom intitulée Aux Urnes Etc. Cette tournée n'a pas pour seul but de faire des concerts, mais de sensibiliser le public à l'action citoyenne et aux élections présidentielles à venir. Les concerts constituent un point d’attraction, mais l'essentiel du programme est constitué de débats, projections, discussion et autres animations citoyennes[39],[40].

À la veille du second tour de l'élection présidentielle française de 2007, le groupe se produit à Oyonnax et diffuse une vidéo qui fait alors partie de leur spectacle et est constituée d'images d'actualités, parmi lesquelles certaines incluant les deux candidats Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal. Quelques jours après ce concert, le maire de la ville envoie un courrier au groupe en mentionnant un « incident au cours duquel le spectacle a servi de prétexte à une action de propagande politique dirigée contre l'un des candidats à l'élection présidentielle, Nicolas Sarkozy, et en faveur de son adversaire, Ségolène Royal »[41]. Les Ogres répondent alors point par point aux récriminations du maire dans une lettre ironique diffusée en ligne[42].

Le , dans le cadre du débat législatif à l'Assemblée nationale au sujet de l'ouverture du mariage à tous les couples, le député Olivier Dussopt appuie son discours sur leur chanson Jérôme[43].

Style et influences

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Les Ogres indiquent être influencés à la fois par la chanson française (Georges Brassens, Renaud, Pierre Perret...), le rock alternatif des années 1980 (Les VRP, Bérurier noir ou encore Mano Negra dont ils reprennent La Ventura sur la compilation Mano Negra Illegal...) et par ce qu'ils dénomment la « musique du voyage » et en particulier la musique des pays de l’Est (Les Yeux Noirs, Bratsch et les musiques des films de Tony Gatlif ou Emir Kusturica, à qui ils doivent le nom de leur propre label : Irfan)[44].

Discographie

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Albums studios

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Albums live

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Collaborations

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Les membres sont tous multi-instrumentistes :

Notes et références

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  1. a b et c « Les Ogres de Barback - Biographie », sur radioneo.org, (consulté le ).
  2. Bertrand Dicale, « Le bel appétit des Ogres de Barback », Le Figaro,‎ , p. 29
  3. Les Ogres de Barback 2008, p. 3.
  4. Marc Dazy, « Les anges débarqués », Le Progrès,‎ .
  5. Les Ogres de Barback 2008, p. 7.
  6. Sébastien Homer, « Les Ogres aiment les marionnettes, pas les pantins », L'Humanité,‎ (lire en ligne).
  7. a et b Les Ogres de Barback 2008, p. 75
  8. Les Ogres de Barback 2008, p. 54.
  9. Laura Trocmé et Daniel Ferrat, « Rencontre avec Fred des Ogres de Barback, le 22 septembre, centre de la chanson », sur centredelachanson.com, (consulté le ).
  10. Les Ogres de Barback 2008, p. 29.
  11. Frédéric Durscaso, « Les musiciens nomades », L'Humanité,‎ (lire en ligne).
  12. Les Ogres de Barback 2008, p. 32.
  13. « Un air, deux familles », sur www.lesogres.com (consulté le ).
  14. Erwan Le Nagard, « Les Ogres de Barback en Stéréo Pirate », sur Vacarm.net, (consulté le ).
  15. « 10 ans d'Ogres et de Barback », sur cd1d.com (consulté le )
  16. Bertrand Dicale, « Le voyage enraciné des Ogres de Barback », sur www.rfimusique.com, (consulté le ).
  17. Gaëlle Farre, « Pitt Ocha et la tisane de couleurs », sur www.ricochet-jeunes.org (consulté le ).
  18. [vidéo] « Fred Burguière - Pitt Ocha et ses papas chanteurs - L'invité du jour - Les Maternelles  », sur YouTube.
  19. Jean-Yves Dana, « La jeunesse retrouvée du disque pour enfants », La Croix,‎ (lire en ligne).
  20. Meryem Driouch, « Eric Fleury, l'illustrateur fantaisiste des Ogres de Barback », sur Culturebox, (consulté le ).
  21. Philippe-Jean Catinchi, « Délirante épopée et périple agité », Le Monde des livres,‎ , p. 5.
  22. Irfan Le label, « Le 1er tome de Pitt Ocha en librairie », sur lesogres.com, (consulté le ).
  23. Bastien Brun, « Une nouvelle chanson pour enfants entre en piste », sur RFI Musique, (consulté le ).
  24. « Les Ogres de Barback - Pitt Ocha 4 : les 1ères images » (consulté le )
  25. Yannick Delneste, « Culture : on a vu Pitt Ocha et les Ogres de Barback, jusqu’à dimanche à Bordeaux », sur SudOuest.fr, (consulté le )
  26. Patricia Bigot, « Qui a donc installé ce grand chapiteau dans ce bourg de Loire-Atlantique ? », sur actu.fr, (consulté le )
  27. Les Ogres de Barback, Convoi exceptionnel, Textuel, impr. 2008, 96 p. (ISBN 978-2-84597-311-4 et 2-84597-311-X, OCLC 470620165, lire en ligne), p. 54
  28. « Irfan, le label », sur www.ricochet-jeunes.org (consulté le )
  29. Serge Levaillant, « Red Cardell et Les Méllino Les Ogres de Barback du 10 avril 2009 », sur www.franceinter.fr (consulté le )
  30. Juliette Corda et Eric Bureau, « La quille pour 300 artistes », sur leparisien.fr, (consulté le )
  31. « Alba-La-Romaine - L'aventure folle du label Irfan », sur hebdo-ardeche.fr, (consulté le )
  32. Eric Bureau, « Les Ogres de Barback fêtent leurs dix ans », sur leparisien.fr, (consulté le )
  33. « IRFAN (LE LABEL) (437530694) : Chiffre d'affaires, dirigeants, statuts, Kbis, SIRET », sur www.pappers.fr (consulté le )
  34. Bastien Brun, « Les Ogres de Barback, amoureux solidaires », sur RFI Musique, (consulté le )
  35. Tiria - www.tiria.fr, « Ogres de Barback & Bal Brotto Lopez - Le Camom », (consulté le ).
  36. a et b « Les Ogres de Barback et Pierre Perret : Album de reprise », sur lordsofrock.net, (consulté le ).
  37. a et b « Les Ogres de Barback présentent La Tribu de Pierre Perret », sur lesogres.com, (consulté le )
  38. a et b « Soixante ans, une tribu, et beaucoup de coeur pour Pierre Perret ! », sur lemusicodrome.com, (consulté le ).
  39. Claire Guédon et Christophe Lefèvre, « Les artistes incitent les citoyens à s'exprimer », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  40. Christelle Chabaud, « Les artistes réveillent l'utopie citoyenne », L'Humanité,‎ , p. 3.
  41. Alexandre Piquard, « Une polémique entre Les Ogres de Barback et la mairie d'Oyonnax circule par e-mail », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
  42. Mathilde Blottière, « Délit de grande gueule », sur www.telerama.fr, (consulté le ).
  43. Julien Massillon, « Olivier Dussopt: «Vous n’arrêterez pas l’histoire et vous n’empêcherez pas l’égalité» », sur Yagg.com (consulté le ).
  44. Les Ogres de Barback 2008, p. 10.
  45. Odile Faure, « La faim musicale des Ogres », Sud Ouest,‎

Bibliographie

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Liens externes

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