Saint-Jean-Saint-Germain

Saint-Jean-Saint-Germain
Saint-Jean-Saint-Germain
L'église Saint Jean Baptiste.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Loches
Intercommunalité Communauté de communes Loches Sud Touraine
Maire
Mandat
Joël Pinguet
2020-2026
Code postal 37600
Code commune 37222
Démographie
Population
municipale
749 hab. (2021 en évolution de −0,27 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 05′ 01″ nord, 1° 02′ 09″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 147 m
Superficie 21,34 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Loches
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Loches
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Jean-Saint-Germain
Liens
Site web www.saintjeansaintgermain.fr/

Saint-Jean-Saint-Germain est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Géographie

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Localisation et paysages

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Communes limitrophes de Saint-Jean-Saint-Germain
Perrusson Sennevières
Saint-Jean-Saint-Germain
Verneuil-sur-Indre Saint-Hippolyte

Saint-Jean-Saint-Germain est située au sud de la Touraine, au sud de Loches (7 km), sur la RD 943. Au sud de Saint-Jean-Saint-Germain, Châtillon-sur-Indre, première grande ville du département de l'Indre, se trouve à 12 km. Saint-Jean-Saint-Germain est sur la route dite « des Anglais » entre Tours et Châteauroux. L'Indre passe à Saint-Jean-Saint-Germain avant d'arriver à Loches sur deux biefs (moulin de Loches) traversant la ville et le cours normal faisant le tour de la ville de Loches. Le paysage est doucement vallonné, des bois champs et pâturages agrémentent la vue sur la vallée de l'Indre.

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[1].

Hydrographie

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Réseau hydrographique de Saint-Jean-Saint-Germain.

La commune est traversée par l'Indre (6,338 km). Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 31,27 km, comprend également divers petits cours d'eau dont le Beugon (2,425 km)[2],[3].

L'Indre, d'une longueur totale de 279,4 km, prend sa source à une altitude de 453 m sur le territoire de Saint-Priest-la-Marche dans le département du Cher et se jette dans la Loire à Avoine, après avoir traversé 58 communes[4]. Les crues de l'Indre sont le plus souvent de type inondation de plaine[Note 1]. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de l'Indre tourangelle[6], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Perrusson. La hauteur maximale historique a été atteinte en . La hauteur maximale mesurée s'établit à 3,30 et a été observée le [7]. Ce cours d'eau est classé dans les listes 1[Note 2] et 2[Note 3] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit être géré, entretenu et équipé selon des règles définies par l'autorité administrative, en concertation avec le propriétaire ou, à défaut, l'exploitant[8],[9]. Sur le plan piscicole, l'Indre est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[10].

Deux zones humides[Note 4] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des Territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de l'Indre : de la prairie d'Oizay aux Anglées », « la vallée de l'Indre : environs de Loches » et « Perrusson à l'Ile Auger »[11],[12].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Moyenne vallée de la Loire » et « Centre et contreforts nord du Massif Central »[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 686 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Perrusson à 3 km à vol d'oiseau[15], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 730,3 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Au , Saint-Jean-Saint-Germain est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle est située hors unité urbaine[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Loches, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[20]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,2 %), prairies (18,1 %), zones agricoles hétérogènes (10,8 %), forêts (8,8 %), zones urbanisées (1,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Jean-Saint-Germain est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Indre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2016[26],[24].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Jean-Saint-Germain.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 87 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 398 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 358 sont en aléa moyen ou fort, soit 90 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[28].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1990 et 1992 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

Saint-Jean est une paroisse attestée au XIIIe siècle sous le nom de Saint-Jean-sur-Indre. Vers la même époque, existe également le presbytère de Saint-Germain-des-Prés[29].

Au cours de la Révolution française, la commune, alors nommée simplement Saint-Jean, porta provisoirement le nom de Jean[30].

En 1834, Saint-Jean a absorbé la commune voisine de Saint-Germain et la commune a pris son nom actuel[30].

Le bourg de Saint-Germain est doté d'une église datant du XIe siècle, et dont le chœur ne fut bâti qu'au XVIe siècle. La chapelle seigneuriale voisine porte les armoiries des Berruyers qui possédaient la localité de la fin du XVe siècle à 1666.

Les Hospitaliers

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Le bourg de Saint-Jean, situé sur la D943, route qui relie Tours à Châteauroux doit son nom à une commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, qui s'y trouvait[31].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2014 Alain Arnould    
2014 mai 2020 Pierre Brodny DVD Agriculteur retraité
mai 2020 En cours Joël Pinguet    

Dans les communes de moins de 3 500 habitants, les élections municipales sont agrémentées par le panachage.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

En 2021, la commune comptait 749 habitants[Note 6], en évolution de −0,27 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
303452367422411649657660638
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
681735699717721720795733722
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
732737739694702672705673620
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
682604553557561602663732761
2021 - - - - - - - -
749--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Saint-Jean-Saint-Germain se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Loches.

L'école élémentaire accueille les élèves de la commune.

Transports et voies de communications

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Réseau routier

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La D943, ancienne route nationale 143, traverse le village.

Desserte ferroviaire

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Une gare est installée à Saint-Jean, un passage à niveau. Cette ligne de la SNCF a été réhabilitée en . Elle était utilisée par des convois de grains (blé et maïs). La ligne allait jusqu'à Châteauroux, dans les années 1960 et une micheline circulait sur cette voie unique.

La commune est desservie par la ligne TER Centre-Val de Loire : ChâteaurouxTours.

Lieux et monuments

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  • Églises à Saint-Jean et Saint-Germain.
  • Châteaux : deux à Saint-Jean : Le Coudray (XVIIIe siècle), Montfélix (XIXe siècle), deux à Saint-Germain : Saint-Germain (XVe siècle), Rouvray (XIXe siècle).
  • Lavoir à Saint-Jean sur un bief alimentant en eau le moulin de Saint Jean (chambres d'hôtes).
  • Moulin à Saint Germain sur l'Indre.
  • La rivière l'Indre passe dans les deux sites de la commune. Un déversoir est érigé à Saint-Jean.
  • Une plage existe à Saint-Jean sous le déversoir ; la baignade y est tolérée.
  • Fête du val de l'Indre le 1er dimanche d'août.

Personnalités liées à la commune

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Article connexe

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une inondation de plaine se produit lorsque le niveau d'un cours d'eau, généralement à la suite de fortes précipitations, monte progressivement jusqu'à l'envahissement du lit moyen, voire du lit majeur, pendant une période plus ou moins longue[5].
  2. Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
  3. Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
  4. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
  2. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  3. « Carte hydrologique de Saint-Jean-Saint-Germain », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche Sandre - l'Indre », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  5. « Les inondations lentes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Observatoire régional de Risques majeurs en Provence-Alpes Côte d'Azur (consulté le ).
  6. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
  7. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 62.
  8. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  10. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  11. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  12. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  13. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  15. « Orthodromie entre Saint-Jean-Saint-Germain et Perrusson », sur fr.distance.to (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Perrusson », sur la commune de Perrusson - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  17. « Station Météo-France « Perrusson », sur la commune de Perrusson - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  19. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  20. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Jean-Saint-Germain ».
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Loches », sur insee.fr (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  24. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Jean-Saint-Germain », sur Géorisques (consulté le ).
  25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  26. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  28. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  29. Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire : communes et anciennes paroisses, Chemillé-sur-Indrois, Hugues de Chivré, , 303 p. (ISBN 978-2-916043-45-6), p. 243.
  30. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Jean », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  31. Découvrir la Touraine, la vallée de l'Indre, Bernard Brias, CLD
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.