Triage de Saint-Jory

Triage de Saint-Jory
Image illustrative de l’article Triage de Saint-Jory
Localisation
Pays France
Communes Lespinasse et Fenouillet
Coordonnées géographiques 43° 42′ 02″ nord, 1° 23′ 37″ est
Gestion et exploitation
Propriétaire SNCF
Historique
Fermeture
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
(Voir situation sur carte : Haute-Garonne)
Triage de Saint-Jory
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
(Voir situation sur carte : Occitanie)
Triage de Saint-Jory
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Triage de Saint-Jory

Le triage de Saint-Jory est une gare de triage française, fermée, qui se situe à une quinzaine de kilomètres au nord de Toulouse, sur l'axe transversal sud (ligne de Bordeaux-Saint-Jean à Sète-Ville). Contrairement à ce que laisse penser son nom, le triage de Saint-Jory est situé sur les communes de Lespinasse et de Fenouillet.

La Société nationale des chemins de fer français (SNCF) a mis fin, en 2005, à l'activité triage du site de Saint-Jory.

L'activité triage du site de Saint-Jory a fermé en 2005 dans le cadre d'une restructuration de l'activité Fret de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF) ; elle est transférée sur les sites de Hourcade, près de Bordeaux, et de Miramas, près de Marseille[1].

La gare de triage de Saint-Jory rassemble aujourd'hui plusieurs activités : chantier de transport combiné Novatrans et Naviland cargo (à Fenouillet), stationnement des rames de marchandises et des locomotives destinées au fret à Fenouillet. Les nombreuses voies de ce site permettent par ailleurs de pallier la saturation de la gare Matabiau, d'autant que cet ex-triage bénéficie d'un accès aisé par une troisième voie longeant la ligne Toulouse – Montauban.

Notes et références

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  1. Emmanuel Haillot, « Trafic ferroviaire. Saint-Jory: terminus pour la gare de triage », ladepeche.fr, (consulté le ).

Bibliographie

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  • D. Doumerc et A. Deloubes, Saint-Jory, « création d'un triage mixte et tir au but », dans Revue générale des chemins de fer, vol. 102, HC éditions, Paris, 1983 pp. 749-756

Articles connexes

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