Laroin
Laroin | |||||
La mairie de Laroin. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Pau Béarn Pyrénées | ||||
Maire Mandat | Bernard Marque 2020-2026 | ||||
Code postal | 64110 | ||||
Code commune | 64315 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale | 1 061 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 151 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 18′ 20″ nord, 0° 26′ 26″ ouest | ||||
Altitude | Min. 151 m Max. 312 m | ||||
Superficie | 7,04 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Pau (banlieue) | ||||
Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Billère et Coteaux de Jurançon | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine | |||||
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Laroin (en béarnais Laruenh ou Laroégn) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Laroin se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 7,8 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 5,5 km de Billère[4], bureau centralisateur du canton de Billère et Coteaux de Jurançon dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau[2].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Lons (2,8 km), Artiguelouve (3,1 km), Lescar (3,2 km), Billère (3,6 km), Saint-Faust (4,0 km), Jurançon (4,7 km), Aubertin (4,8 km), Siros (5,5 km).
Sur le plan historique et culturel, Laroin fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Artiguelouve, Jurançon, Lescar, Lons, Saint-Faust, Aubertin et Billère.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est drainée par le gave de Pau, le Las Hies, l'Arribeu, un bras du gave de Pau, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Le gave de Pau, d'une longueur totale de 192,8 km, prend sa source dans la commune de Gavarnie-Gèdre et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Saint-Laurent-de-Gosse, après avoir traversé 88 communes[9].
Le Las Hies, d'une longueur totale de 21,7 km, prend sa source dans la commune de Gan et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau sur le territoire communal, après avoir traversé 4 communes[10].
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[12].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 148 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Monein à 11 km à vol d'oiseau[14], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 228,6 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Réseau Natura 2000
[modifier | modifier le code]Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[19],[Carte 2] :
- le « gave de Pau », d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 4] encore vivace[20] et une au titre de la « directive Oiseaux »[19],[Carte 3] :
- le « barrage d'Artix et saligue du gave de Pau », d'une superficie de 3 360 ha, une vaste zone allongée bordant les saligues du gave[Note 4], et incluant des terres agricoles et urbaines en amont d'un barrage[21].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[22],[Carte 4] : le « lac d'Artix et les saligues aval du gave de pau » (779,72 ha), couvrant 12 communes du département[23] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[22],[Carte 5] :
- les « coteaux et vallées "bocagères" du Jurançonnais » (20 986,16 ha), couvrant 23 communes du département[24] ;
- le « réseau hydrographique du gave de Pau et ses annexes hydrauliques » (3 000,84 ha), couvrant 71 communes dont 10 dans les Landes, 59 dans les Pyrénées-Atlantiques et 2 dans les Hautes-Pyrénées[25].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Laroin est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pau[Note 7], une agglomération intra-départementale regroupant 55 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 8],[27],[2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 9],[2]. Cette aire, qui regroupe 227 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[28],[29].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (53,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,4 %), prairies (16,8 %), zones agricoles hétérogènes (12,4 %), zones urbanisées (8,7 %), eaux continentales[Note 10] (6,1 %), terres arables (4,8 %), mines, décharges et chantiers (1,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,1 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].
Lieux-dits et hameaux
[modifier | modifier le code]- Dupla.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par les routes départementales 217 et 509.
Laroin est également desservie par le réseau d'autocars interurbains des Pyrénées-Atlantiques[31] :
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Laroin est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Pau, regroupant 34 communes concernées par un risque de débordement du gave de Pau, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[34]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1800, crue la plus importante enregistrée à Orthez (H = 15,42 m au pont d'Orthez), du , exceptionnelle par son ampleur géographique, des 27 et , la plus grosse crue enregistrée à Lourdes depuis 1875, du , du (10,46 m à Orthez pour Q = 725 m3/s), du , du (3,40 m à Rieulhès pour Q = 504 m3/s) et du . Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[35]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 2006, 2008, 2009, 2013, 2014 et 2018[36],[32].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[37]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[38].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[39]. 70,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 11],[40].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2014[32].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Laroin est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[41].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le toponyme Laroin est mentionné au XIe siècle[42] par Pierre de Marca[43] et apparaît sous les formes Laroenh (1243[42], cartulaire d'Ossau[44]), Laroeinh (1540[42], réformation de Béarn[45]), lo cami de la nau de Laroinh (1645[42], censier de Lescar[46], indication désignant le bac existant entre Lescar et Laroin sur le gave de Pau) et Laroing (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).
Son nom béarnais est Laruenh[47] ou Laroégn[48].
Prononciation locale : larwén.
On peut proposer une étymologie basque et considérer Laroin comme composé de Lar (réduction de larre = lande) et oin (pied) : l’ensemble signifiant "au pied de la lande". Laroin serait alors l’équivalent des formations romanes comme Pédegert, Pédelanne, etc.[49]
Histoire
[modifier | modifier le code]Très ancien, Laroin était déjà peuplé à l’époque gallo-romaine. Il ne reste aujourd’hui sur le coteau dominant la vallée du gave que des ruines d’une tour en galets et un puits au fond duquel on a retrouvé des amphores aquitano-romaines.
À partir du Xe siècle, l’évêque de Lescar est le seigneur de Laroin et de Saint-Faust jusqu’à la Révolution. En 1385, Laroin, réunie à Saint-Faust, comptait 80 feux et dépendait du bailliage de Pau.
Ce n’est qu’en 1774[42] que le village érigé en cure (sous la protection de saint Vincent), et autrefois uni à Saint-Faust et Monhauba[50], prend son indépendance grâce à monsieur de Noé.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blasonnement : Écartelé : au 1er de gueules au pressoir à vis d’argent, au 2e d’argent à l’hameçon de gueules et au poisson d'argent dans l’hameçon, au 3e d’argent à la vache de gueules, au 4e de gueules au panier de châtaignier avec anse d’argent. |
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune appartient à l'aire d'attraction de Pau et est membre de six structures intercommunales[51] ;
Communauté d'Agglomération Pau Béarn Pyrénées
- le syndicat AEP de la région de Jurançon ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal d’eau et d’assainissement Gave et Baïse ;
- le syndicat intercommunal de défense contre les inondations du gave de Pau ;
- le syndicat mixte du bassin du gave de Pau.
Jumelages
[modifier | modifier le code]Lumbier (Espagne) depuis 1991[52].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[54].
En 2021, la commune comptait 1 061 habitants[Note 12], en évolution de +0,76 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Laroin fait partie de l'aire d'attraction de Pau.
Économie
[modifier | modifier le code]La commune fait partie des zones AOC du vignoble du Jurançon et du Béarn et, partiellement, de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]- Le monument aux morts.
- Le stade de Laroin.
- L'église Saint-Vincent-de-Xaintes.
Patrimoine civil
[modifier | modifier le code]Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]L'église Saint-Vincent-de-Xaintes[57] fut reconstruite en 1903. Elle recèle un bénitier[58] de marbre blanc, inscrit à l'inventaire des monuments historiques.
Équipements
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'une école primaire.
Sports et équipements sportifs
[modifier | modifier le code]Le marathon de Pau emprunte les routes de Laroin en provenance de Gan, avant de revenir sur Pau.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
- La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Pau comprend une ville-centre et 54 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Laroin » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Laroin », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type I sur la commune de Laroin », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type II sur la commune de Laroin », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Gentilé sur habitants.fr
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- Stephan Georg, « Distance entre Laroin et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Laroin et Billère », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Laroin », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Fiche communale de Laroin », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le gave de Pau ».
- Sandre, « le Las Hies ».
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- « Orthodromie entre Laroin et Monein », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- Annuaire des villes jumelées
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Vincent-de-Xaintes
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le bénitier de l'église Saint-Vincent-de-Xaintes
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Page de la commune sur le site de la communauté de communes du Miey de Béarn