Mont (Pyrénées-Atlantiques)

Mont
Mont (Pyrénées-Atlantiques)
L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes de Lacq-Orthez
Maire
Mandat
Jacques Clavé
2020-2026
Code postal 64300
Code commune 64396
Démographie
Gentilé Montois
Population
municipale
1 124 hab. (2021 en évolution de +1,17 % par rapport à 2015)
Densité 62 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 26′ 09″ nord, 0° 39′ 07″ ouest
Altitude Min. 69 m
Max. 202 m
Superficie 18,24 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Artix et Pays de Soubestre
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Mont
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Mont
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Mont
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Mont

Mont (en béarnais Mont ou Moun) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Mont se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 36 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 8,9 km d'Artix[3], bureau centralisateur du canton d'Artix et Pays de Soubestre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Artix[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Argagnon (3,4 km), Maslacq (3,5 km), Lacq (3,7 km), Arthez-de-Béarn (4,5 km), Abidos (4,6 km), Lagor (4,7 km), Urdès (5,3 km), Sarpourenx (5,4 km).

Sur le plan historique et culturel, Mont fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Arthez-de-Béarn, Abidos, Argagnon, Lacq, Lagor et Maslacq.

Communes limitrophes de Mont[6]
Argagnon Arthez-de-Béarn
Maslacq Mont Lacq
Lagor Abidos

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Mont.

La commune est drainée par le gave de Pau, la Geüle, le Geü, le Luzoué, L'Henx, un bras du gave de Pau, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 27 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le gave de Pau, d'une longueur totale de 192,8 km, prend sa source dans la commune de Gavarnie-Gèdre et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Saint-Laurent-de-Gosse, après avoir traversé 88 communes[8].

La Géüle, d'une longueur totale de 21,2 km, prend sa source dans la commune de Denguin et s'écoule d'est en ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le gave de Pau sur le territoire communal, après avoir traversé 9 communes[9].

Le Geü, d'une longueur totale de 22,5 km, prend sa source dans la commune de Lucq-de-Béarn et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau sur le territoire communal, après avoir traversé 5 communes[10].

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 157 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Orthez à 11 km à vol d'oiseau[14], est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 211,5 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »[19], d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 4] encore vivace[20],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[21],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave de Pau et ses annexes hydrauliques » (3 000,84 ha), couvrant 71 communes dont 10 dans les Landes, 59 dans les Pyrénées-Atlantiques et 2 dans les Hautes-Pyrénées[22].

Au , Mont est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[23]. Elle est située hors unité urbaine[1] et hors attraction des villes[24],[25].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (57,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,4 %), forêts (22,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12,6 %), zones urbanisées (9,7 %), zones agricoles hétérogènes (9,4 %)[26]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Lieux-dits et hameaux

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Voies de communication et transports

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La commune est desservie par la route départementale 817.

Mont est également desservie par le réseau d'autocars interurbains des Pyrénées-Atlantiques[27] :

  • Ligne 520 Pau — Rue Mathieu Lalanne ⥋ Orthez — Gare SNCF

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Mont est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel, et à un risque particulier : le risque de radon[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].

Risques naturels

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La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Pau, regroupant 34 communes concernées par un risque de débordement du gave de Pau, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[30]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1800, crue la plus importante enregistrée à Orthez (H = 15,42 m au pont d'Orthez), du , exceptionnelle par son ampleur géographique, des 27 et , la plus grosse crue enregistrée à Lourdes depuis 1875, du , du (10,46 m à Orthez pour Q = 725 m3/s), du , du (3,40 m à Rieulhès pour Q = 504 m3/s) et du . Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[31]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 2006, 2009, 2018 et 2019[32],[28].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mont.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[33]. 24 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[34].

Risque technologique

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La commune est exposée au risque industriel, car elle est dans le périmètre du plan de prévention des risques technologiques (PPRT) de la plateforme industrielle de Lacq-Mont approuvé le 6 mai 2014, hébergeant des entreprises soumises à la directive européenne SEVESO classées seuil haut[35],[28],[36].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Mont est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[37].

Le toponyme Mont apparaît sous les formes Villa de Mont et Mon (respectivement 1235[38] et 1538[38], réformation de Béarn[39]).

Son nom béarnais est Mont[40] ou Moun[41].

Le toponyme Arance est mentionné en 1343[38] (notaires de Pardies[42]) et apparaît sous les formes Aransse (1383[38], contrats de Luntz[43]), Aransia (1451[44], notaires de Lucq[45]), Aransa (1538[38], réformation de Béarn[39]) et Arance sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[44]).

Michel Grosclaude[44] propose deux hypothèses d’origine basque, soit arrantz (« végétation d’épineux ») ou aran (« vallée ») augmenté du suffixe -tze.

Estaria est une ferme d’Arance, citée sous la forme Estariaa en 1344[38] (notaires de Pardies[42]).

Le toponyme Gouze apparaît sous les formes Goza (1270[38], titres d'Ossau[46]), Goze (1286[38], titres de Béarn[47]), Gose (XIIIe siècle[38], fors de Béarn[48]), Guoze (1385[38], censier de Béarn[48]), Goosse (1487[38], registre des Établissements de Béarn[49]) et Gonze (1793[50] ou an II).

Le toponyme Lendresse apparaît sous les formes Landresse (XIe siècle[38], d'après Pierre de Marca[51]), Landressa (1194[38], cartulaire de Sauvelade[52]) et Lendressa (1235[38], réformation de Béarn[39]).

Paul Raymond[38] note qu'en 1385, Mont, Arance, Gouze et Lendresse dépendaient du bailliage de Pau et comptaient respectivement 33, 27, 20 et 16 feux. Dès cette époque, un bac existait à Arance pour franchir le gave. Il y avait à Lendresse une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.

Le (arrêté préfectoral du ), Arance, Gouze, Lendresse et Mont fusionnent pour former la nouvelle commune de Mont.

Politique et administration

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Liste des maires de Mont
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 1995 Omer Camgrand    
1995 2014 Pierre Domblides    
2014 En cours Jacques Clavé    

Intercommunalité

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Mont fait partie de cinq structures intercommunales[53] :

  • la communauté de communes de Lacq-Orthez ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal d’eau et d’assainissement Gave et Baïse ;
  • le syndicat intercommunal de défense contre les inondations du gave de Pau ;
  • le syndicat mixte pour le traitement des boues.

Drapeau de l'Allemagne Geiselhöring (Allemagne)[54].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[56].

En 2021, la commune comptait 1 124 habitants[Note 7], en évolution de +1,17 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
407420414476497468477476463
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
470448414387391381375370377
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
346338350326285286277256250
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
2672857297288188459649901 074
2018 2021 - - - - - - -
1 1311 124-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[57] puis Insee à partir de 2006[58].)
Histogramme de l'évolution démographique

Station de recompression du réseau de gaz naturel.

La commune fait partiellement partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Une usine d'Arkema est présente.

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine civil

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L'abbaye laïque.

L'abbaye laïque de Lendresse se trouve sur le territoire de la commune.

Patrimoine religieux

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L'église Saint-Barthélemy[59], au lieu-dit Arance, date du XIXe siècle, tout comme l'église Saint-Martin, située au lieu-dit Lendresse, ainsi que l'église Saint-Pierre-aux-Liens du lieu-dit Gouze. L'église Saint-Pierre date, quant à elle, de 1834.

Équipements

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éducation

La commune dispose d'une école primaire.

La Maison familiale rurale (MFR), établissement de formation par alternance, accueille les élèves en classe de 4e, 3e, BEPA Services aux personnes et Bac Pro 3 ans élevage bovins et équins[60].

Personnalités liées à la commune

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Antoine de Thomassin de Peynier, né en 1731 à Aix-en-Provence et mort en 1809 à Arance, est un officier de marine français des XVIIIe et XIXe siècles.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
  4. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Mont » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Mont », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Mont », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Mont ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Mont et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Mont et Artix », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Mont », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Mont », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le gave de Pau ».
  9. Sandre, « la Géüle ».
  10. Sandre, « le Geü ».
  11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Orthodromie entre Mont et Orthez », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Orthez » (commune d'Orthez) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Orthez » (commune d'Orthez) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Mont », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « Liste des ZNIEFF de la commune de Mont », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave de Pau et ses annexes hydrauliques » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
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  27. « Plan - Cars régionaux Pyrénées-Atlantiques », sur transports.nouvelle-aquitaine.fr (consulté le ).
  28. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Mont », sur Géorisques (consulté le ).
  29. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
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  31. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Pau », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  34. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
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  36. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
  37. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  38. a b c d e f g h i j k l m n et o Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
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  40. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
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  44. a b et c Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059)..
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  46. Titres de la vallée d'Ossau - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  47. Titres de la vicomté de Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  48. a et b Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  49. Manuscrits du XVe siècle et du XVIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  50. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Gouze », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  51. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
  52. Cartulaire de l'abbaye Notre-Dame de Sauvelade, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
  53. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
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  58. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  59. « l'église Saint-Barthélemy », notice no IA64000538, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  60. Site de la Maison familiale rurale

Articles connexes

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Liens externes

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