Liste de familles subsistantes d'ancienne bourgeoisie française

Louis-Léopold Boilly : La Famille Gohin (huile sur toile, 1787), musée des Arts décoratifs (Paris).

La liste de familles subsistantes d'ancienne bourgeoisie française comprend des familles françaises toujours représentées de nos jours et qui, avant la Révolution française de 1789, appartenaient sous l'Ancien régime à la bourgeoisie, définie par les historiens comme étant alors un groupe social de familles notables appartenant au Tiers état, c'est-à-dire jouissant du privilège du profit contrairement à la noblesse[1], et assurant leur aisance financière en occupant notamment des offices moyens ou supérieurs de magistrature (bourgeoisie administrative ou bourgeoisie de robe), des offices de finance (bourgeoisie financière), des activités de commerce (bourgeoisie marchande) ou exploitant un patrimoine foncier immobilier ou industriel (bourgeoisie propriétaire)[2],[3].

On peut noter que dans une autre acception que celle définissant sous l’Ancien Régime une élite selon des critères de réussite sociale et financière, la bourgeoisie est aussi sous l’Ancien Régime un statut juridique donnant à certains citadins, en plus de leur privilège de profit[1], des droits distincts de ceux des autres habitants et des privilèges variables selon les villes. Ces droits de bourgeoisie disparaissent peu à peu aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle[4].

Cette liste ne préjuge pas de l'appartenance ou non de ces familles à la bourgeoisie actuelle.

Cette liste exclut les familles d'ancienne bourgeoisie s'étant agrégées à la noblesse, ayant bénéficié d'un anoblissement ou ayant reçu un titre nobiliaire français, régulier et héréditaire (avant ou après la Révolution française), mais non les familles subsistantes issues d'une branche non anoblie ou non titrée.

Cette liste n'est pas exhaustive car elle ne retient que les familles (ou l'un de ses membres) qui font l'objet d'un article sur Wikipédia.

Les critères d'éligibilité pour figurer sur cette liste figurent ci-dessous.

Armes d'Adrien de Bray, marchand bourgeois d'Amiens, dans l'Armorial général de France.
Nicolas Boileau, appartenant à une vieille famille bourgeoise de Paris.
Henriette Sélincart (1644-1680), fille d'un marchand drapier de Paris.

Liste alphabétique de familles subsistantes

[modifier | modifier le code]
Sommaire :

A

[modifier | modifier le code]


Sommaire :

B

[modifier | modifier le code]

C

[modifier | modifier le code]
Sommaire :

D

[modifier | modifier le code]


Sommaire :

E

[modifier | modifier le code]


Sommaire :

F

[modifier | modifier le code]

G

[modifier | modifier le code]

H

[modifier | modifier le code]


Sommaire :

I

[modifier | modifier le code]
Sommaire :

J

[modifier | modifier le code]
Sommaire :

K

[modifier | modifier le code]


Sommaire :

L

[modifier | modifier le code]

M

[modifier | modifier le code]

N

[modifier | modifier le code]
Sommaire :

O

[modifier | modifier le code]
Sommaire :

P

[modifier | modifier le code]
Sommaire :

Q

[modifier | modifier le code]
Sommaire :

R

[modifier | modifier le code]
Sommaire :

S

[modifier | modifier le code]


Sommaire :

T

[modifier | modifier le code]
Sommaire :

U

[modifier | modifier le code]

V

[modifier | modifier le code]
Sommaire :

W

[modifier | modifier le code]
Sommaire :

X

[modifier | modifier le code]

Y

[modifier | modifier le code]

Z

[modifier | modifier le code]

Critères d'éligibilité

[modifier | modifier le code]

Pour figurer sur cette liste, les familles doivent remplir les critères suivants :

  • au moins un membre de la famille doit disposer d'un article sur Wikipédia où la filiation vers un ancêtre répondant au critère de notabilité ci-dessous est indiqué ;
  • la famille doit satisfaire à l'une des fonctions mentionnées dans la section Critères de notabilité sous l'Ancien régime, établie par une source secondaire ;
  • le lien vers la notice Wikipédia mentionné ci-dessus doit renvoyer en note vers l'une des sources bibliographiques figurant ci-dessous au titre d'une source secondaire.

Critères de notabilité

[modifier | modifier le code]

La présence d'un membre de la famille dont les armes sont enregistrées dans l' Armorial général de France de 1696 est un indice de bourgeoisie sous l'Ancien Régime ainsi que mention d'un aïeul dans l' État de la France ou l' Almanach royal ou la présence d'un membre au sein d'une académie royale ou célèbre.

Les « familles d'ancienne bourgeoisie française », ou « familles françaises notables anciennes », se reconnaissent principalement par les charges ou fonctions occupées par leurs ascendants agnatiques avant 1789. Une étude de l'ouvrage d'André Delavenne Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne publié en 1954, permet un approche non exhaustive des professions et activités des chefs de famille[593]. On peut notamment y trouver les professions, charges ou activités suivantes :

  • Propriétaire foncier
    • Patron d'une chapelle ou d'une chapellenie, ou tombeau notable, dans une église urbaine
    • Bâtisseur ou propriétaire d'un hôtel urbain important
    • Propriétaire d'une terre noble (seigneurie) ou d'un château notable
    • Propriétaire terrien rentier outre-mer d'un domaine ou plantation
    • Propriétaire important d'un ou de plusieurs hauts fourneaux, de mines, de moulins à martinet ou de presse à papier, à huile, à foulon, de filatures, ou de manufactures notables.
  • Charges de judicature royales
    • Avocat, procureur du roi,
    • Bailli de robe longue, sénéchal,
    • Notaire royal, notaire au Châtelet
    • Avocat, procureur, conseiller, président, lieutenant au Bailliage, Sénéchal, Siège présidial ou au Parlement,
    • Conseiller à la Cour des aides, des monnaies, à la Chambre des comptes
    • Officier ou juge d'une gruerie (Eaux et forêts)
  • Charges de judicature seigneuriales ou municipales
    • Procureur fiscal
    • Notaire seigneurial
    • Viguier
    • Capitaine d'un château, colonel des milices d'un bourg
    • Fermier des recettes ou intendant d'une terre titrée, d'une abbaye
  • Charges fiscales et financières royales
    • Fermier général
    • Receveur général des tailles, des capitations
    • Receveur général des dimes, des décimes
    • Receveur, officier au grenier à sel
    • Receveur, contrôleur des traites foraines, et autres droits de douane
    • Trésorier-payeur des rentes, des gages
    • Contrôleur, commissaire ordinaire des guerres
  • Fonctions militaires
    • Officier dans l'armée, la marine, des Maréchaux
    • Commissaire aux revues
  • Autres charges et fonctions royales
    • Intendant, subdélégué de l'intendant
    • Officier (serviteur) du roi, de la reine, des princes
    • Marchand suivant la cour
    • Architecte, ingénieur du roi, des bâtiments du roi
    • Libraire, imprimeur, géographe, historiographe du roi, garde de la bibliothèque du roi
    • Médecin du roi, des princes, des Pages ou des Gardes du corps du roi, ou plusieurs générations de médecins
  • Charges électives
    • Député du Tiers-état aux États généraux de 1789
    • Maire d'une ville grande ou moyenne (équivalent d'une actuelle sous-préfecture)
    • Premiers échevins ou consuls d'une ville grande ou moyenne (idem)
  • Fonctions commerciales et industrielles
    • Armateur de navires de commerce océanique
    • Banquier
    • Négociant (d'une surface significative)
    • Maitre verrier, de forges, directeur de manufacture royale
  • Fonctions relevant du Clergé
    • Évêque (avoir eu un frère qui a été)
    • Abbé d'une abbaye, supérieure d'un couvent (avoir eu un frère qui a été)
    • Chanoine d'un chapitre notable (avoir eu un frère qui a été)
    • Notaire apostolique
    • Recteur d'université (avoir eu un frère qui a été)
    • Professeur agrégé dans une faculté de médecine ou des droits, docteur en Sorbonne

Études diverses

[modifier | modifier le code]

Dans un Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne[594] publié en 1954, André Delavenne a constitué une liste de familles de la bourgeoisie de son époque, qu'il jugeait suffisamment anciennes pour figurer dans son ouvrage. Contrairement à ce que peut laisser supposer le titre, il ne s'agit pas d'un inventaire à prétention exhaustive, mais d'un choix de quelques dizaines d'exemples, avec certaines familles dont l'ascension sociale ne remonte qu'au XIXe siècle.

En étudiant ces familles dans La Bourgeoisie selon le dictionnaire généalogique d'André Delavenne, Jacques Houdaille a remarqué qu'elles occupaient souvent avant la Révolution des professions et des positions similaires[595] : « À la période ancienne, les maires et échevins sont nombreux ainsi que les officiers du roi. Les gens de loi (avocats, juges, huissier) maintiennent leur importance au cours des deux siècles et plus. Les industriels apparaissent au début du XIXe siècle et prennent de l'importance dans la seconde moitié. »

Dans son essai L'Ancienne bourgeoisie en France : Émergence et permanence d'un groupe social du XVIe siècle au XXe siècle, publié en 2013, Xavier Pérouse de Montclos fait l'hypothèse qu'un grand nombre des familles bourgeoises du XXe siècle ont une position établie depuis fort longtemps — et souvent maintenue depuis le XVIe siècle[596]. Cet auteur ne propose cependant pas de liste des familles notables anciennes. Dans la préface, l'historien René Rémond définit ainsi cette ancienne bourgeoisie :

« Un groupe intermédiaire entre la noblesse d'origine et ce qu'on appellerait les classes moyennes, qui est constitué au XVe siècle ou au XVIe siècle. (...) Ces familles sont presque toutes des dynasties provinciales dont l'ascension s'est tout entière accomplie dans leur région d'origine à laquelle elles sont généralement restées fidèles : aujourd'hui encore leurs descendants y sont présents. (...) Ces familles plongent leurs racines dans l'Ancien Régime. (...) Elles ont su assurer sur quatre ou cinq cents ans la transmission de leur héritage matériel comme de leur patrimoine de conviction et de valeur.(...) Ces familles sont toujours restées fidèles à la religion et se sont adaptées à la modernisation sans renier leurs valeurs. »

Selon Xavier de Montclos, ces familles appartenaient sous l'Ancien Régime à la notabilité des villes et des campagnes[596]. Elles acquirent à partir du XVIIe siècle des offices et des charges de judicature ou de finances puis des seigneuries, et certaines parvinrent à la noblesse, soit avant, soit après la Révolution au cours de laquelle beaucoup jouèrent un rôle majeur.

Recueils de familles

[modifier | modifier le code]

L'Armorial général de France a recensé la plupart des individus nobles ou notables de France vers 1696 ; il existe des index pour l'ensemble et des éditions critiques des armoriaux régionaux.

Plusieurs ouvrages de sociologie familiale ont été publiés au milieu du XXe siècle, notamment le Dictionnaire des dynasties bourgeoises et du monde des affaires en 1975 par Henry Coston.

Quant aux ouvrages généraux, on mentionnera le Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle de Gustave Chaix d'Est-Ange, suivi d'une riche bibliographie citant de nombreux ouvrages régionaux ou spécialisés.

Aux XXe siècle et XXIe siècle on retrouve le nom de certaines familles de l'ancienne bourgeoisie dans des annuaires comme le Bottin mondain et dans les listes des membres de cercles à vocation élitiste[597].

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes

[modifier | modifier le code]
  1. ↑ Plusieurs juges-châtelains et maires de Saint-Galmier sous l'Ancien Régime et la Restauration, un député au XXe siècle
  2. ↑ Branche non noble de la famille Orsel
  3. ↑ Branche non noble des Pâris de Treffonds d'Avancourt
  4. ↑ Jean-François Thierry (1743-1804), régisseur des douanes, Hangard, (Somme)

Références groupées

[modifier | modifier le code]

Chaix d'Est-Ange

[modifier | modifier le code]
  1. ↑ t.1, p. 193, Andoque de Sériège (d')
  2. ↑ tome 13, page 303 Denormandie.
  3. ↑ t.17, p. 46-47, Faget de Casteljau (de)
  4. ↑ à compléter

Jougla de Morenas

[modifier | modifier le code]

Tallandier 2008

[modifier | modifier le code]
  1. ↑ Tallandier 2008, p. 102

Autres références

[modifier | modifier le code]
  1. ↑ a et b Marcel de La Bigne de Villeneuve, La dérogeance de la noblesse sous l'ancien régime, Sedopols,
  2. ↑ Guy Saupin, La France à l'époque moderne, Armand Colin, (lire en ligne).
  3. ↑ « Encyclopédie Larousse en ligne - bourgeoisie », sur larousse.fr (consulté le ).
  4. ↑ Isabelle Paresys, Anne Conchon et Bruno Maës, Dictionnaire de l'Ancien Régime, Armand Colin, (lire en ligne).
  5. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables, t. I, p. 6-7.
  6. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, « Abel de Libran », dans Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t. XXI, Évreux, FAB-FEI, (lire en ligne), p. 314-.
  7. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, 2012, p.44
  8. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Évreux, tome I, A-ATT, 1903, p.54.
  9. ↑ Chaix d'Est Ange, Dictionnaire des familles anciennes (lire en ligne)
  10. ↑ Dioudonnat 2012, p. 51.
  11. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables, t. IX, p. 420 (Famille Amidieu du Clos)
  12. ↑ Didier Besseau, Quatre marins dans la Grande Guerre, ed. La Chouette de Vendée, 2019.
  13. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Évreux, tome I, A-ATT, 1903 en ligne.
  14. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-nobiliaire français, 2002, page 41
  15. ↑ Jean-Louis Debré, Dynasties républicaines, Fayard, 2009, pp.5 sq.
  16. ↑ Jean-Louis Ruchaud, Généalogies limousines et marchoises, tome XI, Éditions Régionales de l'Ouest, 2002 ([PDF] lire en ligne).
  17. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, vol. 1, Évreux, C. Hérissey, , 416 p. (lire en ligne), p. 287-288, « Arcimolles (d')»
  18. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, C. Hérissey, Évreux, tome I, A-ATT, 1903, p. 297 (lire en ligne)
  19. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, éd.Sedopols, 2012, p. 61
  20. ↑ André Delavenne, Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne, SGAF, 1954, p. 24 à 27.
  21. ↑ Dioudonnat 2012, p. 47.
  22. ↑ Dioudonnat 2002, p. 50.
  23. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. t.2, Aub-Bar, Évreux, impr. de C. Hérissey, (lire en ligne), p. 46-47.
  24. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome II, Aub-Bar, C. Hérissey, Evreux, 1904, p.34 (lire en ligne).
  25. ↑ J. Alcide Geourgel, Armorial des familles de Lorraine titrées ou confirmées dans leurs titres au XIXe siècle, 1882, pp. 73 à 77 (lire en ligne).
  26. ↑ Denis Varaschin, « Familles Aussedat et Callies », in Alain Chatriot (sous la direction de), Dictionnaire historique des patrons francais, Flammarion, 2010 (lire en ligne).
  27. ↑ Jean Nicolas, La Savoie au XVIIIe siècle : noblesse et bourgeoisie, La Fontaine de Siloé, 2003, pp. 876-877.
  28. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, ed. Sedopols, 2012, p.73
  29. ↑ Oeuvres poétiques d'Etienne Azéma, avec une notice biographique et littéraire par F. Cazamian, Ernest Leroux Editeur, Paris, 1877, p3 [1].
  30. ↑ Jean-Claude Hermans, Le chien dans les fables, Société des écrivains, 2011, p.293.
  31. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome III, Aub-Bar, C.Hérissey, Evreux, 1904, pp.169 à 170 Babin-Chevaye.
  32. ↑ Joël Rilat, Ces messieurs de Nantes et leurs alliances, Additif au tome 3 - A-Do, « Généalogie Babin-Chevaye » Lulu.com, pp.43 à 50 (lire en ligne).
  33. ↑ Henri Beauchet-Filleau, Dictionnaire historique et généalogique des familles de l'ancien Poitou, Saurin, 1846, pp.186-190 (lire en ligne)
  34. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome II, Aub-Bar, C.Hérissey, Evreux, 1911, pp.171-172 (lire en ligne).
  35. ↑ André Delavenne, Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne, S.G.A.F., Paris, 1954.
  36. ↑ « Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790 », Archives départementales de l'Yonne, , p. 391
  37. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome II, Aub-Bar, C.Hérissey, Evreux, 1904, p.194 (lire en ligne).
  38. ↑ a et b Dioudonnat 2002, p. 54.
  39. ↑ Charondas, Le Cahier noir, édition Patrice du Puy, 2015, sans pagination. Famille issue de Pierre Courcol et qui donna des bourgeois et des échevins à la ville d'Arras. La famille actuelle est issue de Pasquier Courcol, fermier de l'abbaye d'Estrien. Les Courcol ont acheté la terre de Bailliencourt au XVIe siècle et ne se rattachent pas à l'ancienne famille noble de Bailliencourt.
  40. ↑ Fonds Balguerie, Archives Bordeaux Métropole.
  41. ↑ a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al et am Henri Frotier de La Messelière, Filiations bretonnes, St-Brieuc, 1912-1925
  42. ↑ Descendance d'Etienne-Antoine Barbier de Saint-Hilaire (1748-1830), procureur puis commissaire-priseur au Châtelet de Paris et marchand de bois, élu représentant du district des Enfants trouvés Saint-Antoine à la Commune de Paris en 1789, in Sigismond Lacroix, Actes de la Commune de Paris pendant la Révolution, tome II, Cerf, 1895, p.689 (lire en ligne).
  43. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. Tome II Aub-Bar, Évreux, C. Hérissey, (lire en ligne), p. 316-317.
  44. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire français, ed. Sedopols, 2012, p.82.
  45. ↑ Chaix d'Est-Ange, t.II, Aub-Bar. p. 373.
  46. ↑ « Château Langoa et Léoville Barton : histoire de famille et de terroir », article de Sylvia van der Velden sur le site Sommeliers-international.com
  47. ↑ Jean Cavignac, Les vingt-cinq familles: Les négociants à Bordeaux sous Louis-Philippe, Les cahiers de l'I.A.E.S, n°6, 1985, pp.114 à 116 (lire en ligne).
  48. ↑ Anthony Barton et Claude Petit-Castelli, La saga des Barton, Manya, 1991, 326 pages (lire en ligne).
  49. ↑ Dioudonnat 2002, p. 62.
  50. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome III, Bas-Ber, C.Hérissey, Evreux, 1904, p.78 (lire en ligne).
  51. ↑ Descendance de Nicolas-Joseph de Bayser (1705-1777), bourgeois de Lille et maître-écrivain, in Serge Dormard, Lille au XVIIIe siècle : Une histoire financière, Presses Universitaires du Septentrion, 2024, p. 270.
  52. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, éd. Sedopols, 2012, p.673.
  53. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. III. Bas-Ber., Évreux, impr. de C. Hérissey, (lire en ligne), p. 129.
  54. ↑ Descendance agnatique de Jean Beau (1672-1754), maître drapier à Fulvy, et de Françoise Hugot (1680-1755)
  55. ↑ Bulletin n° 17 de la Société Généalogique de l'Yonne, 1986
  56. ↑ Revue savoisienne, Publication périodique de la Société florimontane d'Annecy, J.Abry, Annecy, 1909, p.204(lire en ligne).
  57. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome III, Bas-Ber, C.Hérissey, Evreux, 1904, pp.237 (lire en ligne)
  58. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, 2012, p. 97.
  59. ↑ Alain Corbellari, Joseph Bédier, écrivain et philologue, Librairie Droz, 1977 (lire en ligne).
  60. ↑ Bulletin de l'Association des anciens honneurs héréditaires, n° 31, 1989.
  61. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome III Bas-Ber, C. Hérissey, Evreux, 1904, p.255 (lire en ligne).
  62. ↑ Marie-Emilie Vaxelaire, Les Beligné, une dynastie de couteliers 1610-2010, Imp. de Champagne, Langres, 2010.
  63. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome III, Bas-Ber, C. Hérissey, Evreux, 1904, p.275 (lire en ligne).
  64. ↑ Dioudonnat 2002, p. 70.
  65. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire français, ed. Sedopols, 2012, p. 103
  66. ↑ Les Vieux noms de France, par M. le comte de Puymège
  67. ↑ Dioudonnat 2012, p. 73.
  68. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t. 4, Evreux, Charles Hérissay impr., (lire en ligne)
  69. ↑ Dioudonnat 2002, p. 76..
  70. ↑ Henri Bernard-Maitre, Généalogie de la Famille Bernard, Lille, 1575-1952, 1954.
  71. ↑ Armorial du Dauphiné, Gustave de Rivoire de La Bâtie, 1867
  72. ↑ Charondas, Le Cahier noir, Patrice du Puy éditeur, 2015.
  73. ↑ a b c d et e Gustave Chaix d'Est-Ange, « Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle – Tome Cinquième (BLO-BOU) », .
  74. ↑ Descendance de Thomas Bertran (1731-1794), docteur en droit, avocat et bourgeois de Perpignan, in Georges Bonet, « Histoire d'une famille roussillonnaise : les Bonet de Banyuls dels Aspres », in Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale, tome 105, n°204, Généalogies méridionales, 1993, p.535(27) (lire en ligne)
  75. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome IV, Ber-Blo, Ch. Hérissey, Evreux, 1905, p. 155 (lire en ligne).
  76. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire français, 2012, p.115.
  77. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 4, Ber-Blo, C. Hérissey, Evreux, 1905, pp.234-235 (lire en ligne).
  78. ↑ Descendance d'Antoine Bied-Charreton (1712-1774), maître donneur d'eau aux soieries et bourgeois de Lyon en 1756, in Le Mémorial de Lyon en 1793. Vie, mort et famille des victimes lyonnaises de la Révolution, tome IV, « André Barraud, fusillé le 28 novembre 1793, Michel Pitiot, fusillé le 4 janvier 1794, Joseph Bied-Charreton, fusillé le 5 décembre 1793 », Éditions lyonnaises d'Art et d'Histoire, 1988, 388 pages.
  79. ↑ Frédéric Barbier et Jean-Pierre Daviet, Le patronat du Nord sous le Second Empire: une approche prosopographique, Droz, 1989, p.96.
  80. ↑ J.-B. Champeval, Dictionnaire des familles nobles et notables de la Corrèze, Marseille Laffite, 1913, réédition 1976, 1998 (ASIN B010IQTKUG), p.405-409.
  81. ↑ Henri de La Messelière, Filiations Bretonnes, Prudhomme, Saint-Brieuc, 1912, T. I, p.192-195.
  82. ↑ André Delavenne, Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne, S.G.A.F., 1954, p. 59.
  83. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome IV Ber-Blo, C. Hérissey, Evreux, 1905, p. 364 (lire en ligne).
  84. ↑ a b et c Charondas, Le cahier noir.
  85. ↑ Paul Courteault, « Critique du livre d'Edmond et Pierre Bonnaffé, Un armateur bordelais au XVIIIe siècle. Sa famille et son entourage (1740-1809), Bordeaux, Feret et fils, 1909 », in Revue historique de Bordeaux et du département de la Gironde, 2e année n°2, 1909. pp. 145-146 (lire en ligne).
  86. ↑ Provence historique: revue trimestrielle, volumes 26-27, Archives départementales, 1976, p.122.
  87. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome V, Blo-Bou, C. Hérissey, Evreux, 1906, p. 277 (lire en ligne).
  88. ↑ Ch. d'Hozier, Armorial général de France, t. XIII (Guyenne) (lire en ligne), p. 679
  89. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t. XIII, Évreux, CUN-DES, (lire en ligne), « Desbosc », p. 323
  90. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome V, Blo-Bou, C.Hérissey, Evreux, 1906, pp.413-414 (lire en ligne).
  91. ↑ Germaine de Boüard de Laforest, Les de Boüard de Laforest : essai historique, Epron, 1983.
  92. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles française (lire en ligne)
  93. ↑ Henri Frotier de La Messelière, Filiations bretonnes. 1650-1912, recueil des filiations directes des représentants actuels de familles nobles, de bourgeoisie armoriée ou le plus fréquemment alliées à la noblesse, d’origine bretonne ou résidant actuellement en Bretagne, depuis leur plus ancien auteur vivant en 1650. Volume 6, J. Floch, (lire en ligne), p. 63-66
  94. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire français, ed. Sedopols, 2012, p.143.
  95. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire français, ed. Sedopols, 2012, p. 145.
  96. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire français, 2012, p. 147.
  97. ↑ Notice « Bourdeau de Fontenay », in Ludovic de Magny, Le Nobiliaire universel de France. Recueil général des généalogies historiques et véridiques des maisons nobles de l'Europe, Xe volume, Archives de la noblesse, Imp. Caron Fils, Amiens, 1868.
  98. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome VI, C. Hérissey, Evreux, 1907, pp.159-160 (lire en ligne).
  99. ↑ Branche aînée des Bourrée, marquis de Corberon éteinte au XXe siècle, un rameau anobli en 1670 par la charge de secrétaire du Roi, maintenu dans sa noblesse en 1697, éteint au XVIIIe siècle. La famille s'appelle désormais Bourée à l'état-civil.
  100. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables, t. VI, C. Hérissey, Évreux, pp.396-399.
  101. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome VI, C. Hérissey, Evreux, 1907, pp.192-193 (lire en ligne).
  102. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire français, ed. Sedopols, 2012, p.149.
  103. ↑ André Borel d'Hauterive, Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, Bureau de la Publication, 1885, p.320 (lire en ligne)
  104. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables, t. VI, Ch. Hérissey, Évreux, p.197 (lire en ligne).
  105. ↑ André Borel d'Hauterive, Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, Champion, 1862 , p.142 à 144 (lire en ligne).
  106. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-nobiliaire français, Paris, Sedopols, , 818 p. (ISBN 978-2904177231), p. 155.
  107. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome VI, Bou-Bré, C. Hérissey, Evreux, 1907, pages 329 à 331 (lire en ligne).
  108. ↑ Henri de La Messelière, Filiations bretonnes 1650-1912, volume VI, J. Floch, 1976, p. 77.
  109. ↑ Louis-Alphonse Maugendre, Alphonse de Châteaubriant, 1877-1951, André Bonne, 1977, pp. 16 à 20.
  110. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire français, 2012, p.157.
  111. ↑ Revue de Saintonge & d'Aunis, (lire en ligne), p. 286-288.
  112. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, vol. 7 (lire en ligne), p. 107-108.
  113. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome VII Bré-Bur, C. Hérissey, Evreux, pp. 108-109 (lire en ligne).
  114. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome VII, Bré-Bur, C. Hérissey, Evreux, 1908, p.316.
  115. ↑ Henri Frotier de La Messelière, Filiations Bretonnes, Prudhomme, Saint-Brieuc, 1912, tome I, pp.450-451.
  116. ↑ <Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, vol. 7, Evreux, C. Hérissey, (lire en ligne), p. 361.
  117. ↑ René Kerviler Répertoire général de bio-bibliographie bretonne, tome 7 Brou-Carn, J.Plihon et L.Hervé, Rennes, 1894, pp.115-116 (lire en ligne).
  118. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, 2012, pp.168-169.
  119. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, ed. Sedopols, 2012, p.169.
  120. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 7, Bré-Bur, pages 393 à 395. lire en ligne.
  121. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 7, pages 404 à 405 Burin du Buisson, d'Ayssard, des Roziers.
  122. ↑ Hubert Bonin, Les Patrons du Second Empire. Bordeaux et La Gironde, Picard, 1999, pp 76-77.
  123. ↑ Descendance agnatique de Gabriel-Vincent Calvet (1749-1826), maître chirurgien à Lyon en 1787, cité dans l'Almanach civil, politique et littéraire de Lyon et du département de Rhône, J.-H. Daval, 1790, p.146 (lire en ligne). Il est le père de Jean-Marie Calvet, négociant en vins et fondateur de la Maison Calvet.
  124. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome VIII, Bus-Cas, C.Hérissey, Evreux, 1909, p.81 (lire en ligne
  125. ↑ Descendance agnatique d'Antoine de Cagny (1715-1781), bourgeois de Paris, cité dans Journal de Paris, Quillau, 1781, p.16 (lire en ligne).
  126. ↑ Familles de Cagny (Paris) - Legros (Paris) - Bilcocq (Paris) - Philippe (Paris) - Courteille (Paris) - Francière (Paris), sur le site généalogique de Jacques Le Marois.
  127. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, C. Hérissey, Évreux, tome VIII, Bus-Cas, 1908, pp.148-149 (lire en ligne).
  128. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, ed. Sedopols, 2012, p.181
  129. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-nobiliaire français, Sedopols, 2002, page 126.
  130. ↑ L.J. Camille Ricquebourg, Dictionnaire généalogique des familles de l'île Bourbon (La Réunion): 1665-1810. L.J. C. Ricquebourg, 1983.
  131. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, volume VIII Bus-Cas, C.Hérissey, Evreux, 1909, p.350 (lire en ligne)
  132. ↑ Revue de Pau et du Béarn, Société des Sciences, Lettres et Arts de Pau et du Béarn, 2002, p.110.
  133. ↑ Julie Lourgant, « Floyrac – Commune d’Onet-le-Château », sur Inventaire du patrimoine du Grand-Rodez, (consulté le ), p. 1
  134. ↑ Philippe Barbet, Les Castillon du Perron, De la Touraine à la Charente, de Nantes à Bordeaux: une dynastie de négociants, Ed. Christian, Paris, 2004, 395 pages.
  135. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome IX, Cas-Cha, C. Hérissey, Evreux, 1910 p. 70 (lire en ligne).
  136. ↑ Eric Bungener Filiations protestantes, I, France tome I, Éditions familiales, 1996,
  137. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome IX Cas-Cha, C.Hérissey, Evreux, 1910, pp.98-99 (lire en ligne).
  138. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-nobiliaire Français, ed. Sedopols, 2002, p.131.
  139. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, C. Hérissey, Évreux, tome IX, Cas-Cha, 1914, p.144 (lire en ligne).
  140. ↑ André Delavenne, Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne, SGAF, 1954.
  141. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, éd. Sedopols, 2012, p.195.
  142. ↑ Sans principe d'anoblissement connu, la famille du Chalard a toutefois porté des qualificatifs de noblesse aux XVIIe et XVIIIe siècles, in Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, vol. 9 (lire en ligne), p.217-218.
  143. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. IX. Cas-Cha. - 1910 / par C. d'E.-A. [Chaix d'Est-Ange], 1903-1929 (lire en ligne)
  144. ↑ Philippe Dazet-Brun, Auguste Champetier de Ribes (1882-1947) : un Catholique social en République, Séguier, 2008, pp. 16-17.
  145. ↑ Décret du président de la République française du 13 juin 1892 autorisant M. Marie-Jules-Henri-Fernand Champetier de Ribes à s'appeler légalement Champetier de Ribes-Christofle (lire en ligne).
  146. ↑ André Delavenne, Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne, S.G.A.F, Paris, 1956.
  147. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat Encyclopédie de la fausse noblesse et de la noblesse d'apparence, volumes 1 à 2, Sedopols, 1994.
  148. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, volume IX, impr. C. Hérissey (Évreux), 1910, page 346 : Chanu de Limur.
  149. ↑ Revue historique de Bordeaux et du département de la Gironde, 2e année n°5, 1909. pp. 1-7 (lire en ligne).
  150. ↑ Claude-Odette Portefin, Histoire et généalogie de la Famille Chaperon (Guyenne). Impr. Monnoyer, 1967, 240 pages.
  151. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, vol. 9 (lire en ligne), p.230-231.
  152. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Évreux, tome XII, CHa-CHU, 1911 lire en ligne.
  153. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat , Le Simili-Nobiliaire-Français, éd. Sedopols, 2012, p.202.
  154. ↑ Émile Ruben et Louis Guibert, Registres consulaires de la ville de Limoges, Limoges, Imprimerie Chapoulaud frères, 1884, t. III, p. 113 et 190 Consuls de Limoges.
  155. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome X, Cha-Chu, C.Hérissey, Evreux, 1911, pp.155-156 (lire en ligne).
  156. ↑ Jean-René Chevillotte (1771-1843), fils de Jacques Chevillotte (1728-1809), marchand, et frère de Simon Chevillotte (1754-1821), notaire royal à Quarré-les-Tombes en 1787, s'établit en 1793 à Brest comme négociant puis armateur, in Etudes d'histoire maritime, « Arrivée de Jean-René Chevillotte à Brest », Documentation Française, 1984, p.122.
  157. ↑ Henri Frotier de La Messelière, Filiations bretonnes. 1650-1912, recueil des filiations directes des représentants actuels des familles nobles, de bourgeoisie armoriée ou le plus fréquemment alliées à la noblesse, d'origine bretonne ou résidant actuellement en Bretagne, depuis leur plus ancien auteur vivant en 1650, volume 6, J. Floch, 1976, pp. 107-109.
  158. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 10, pages 360 à 362. Chodron d'Orly et de Courcel
  159. ↑ Au fil d'Illies, revue de la société historique d'Illies, n°32, avril 2017, pp.4 à 6 lire en ligne.
  160. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 10, p. 386 à 389, Chomel et Chomel de Jarnieu
  161. ↑ « Famille Choppin Haudry de Janvry », sur Association des anciens honneurs héréditaires (AHH) – Bulletin de l’AHH, no 45, (consulté le ).
  162. ↑ Jean-Louis Ruchaud, Généalogies limousines et marchoises (1993), t. VI, p. 3 Famille Cibot et Cibot-Malinvaud
  163. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Évreux, tome XI, CIB-COR, 1912 en ligne.
  164. ↑ a b c d e f et g Henri Beauchet-Filleau et Charles de Chergé, Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou (de A à L), Poitiers, 1909
  165. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables, t.XI. Cib-Cor., 1912, p. 79 (lire en ligne).
  166. ↑ Dioudonnat 2012, p. 148.
  167. ↑ André Delavenne, Recueil de la bourgeoisie ancienne, Tome 1, Éditions S.G.A.F. 1954.
  168. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire français, 2012, p. 218.
  169. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire français, éd. Sédopols, 2012, p.218.
  170. ↑ « Claude Cointreau, né à Baugé en 1623, Maître Particulier des Eaux et Forêts de Baugé, receveur général des Finances de Limoges, [...] fut un grand bienfaiteur de la ville et [...] l'ancêtre de la famille des distillateurs si renommés d'Angers » (Edmond Riehl, Dix siècles de l'histoire de Baugé, impr. E. Cingla, 1960, p. 67.
  171. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome XI, C. Hérissey, Evreux, page 214 (lire en ligne).
  172. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, éd. Sédopols, 2012, p.225.
  173. ↑ Bulletin historique et littéraire de la Société de l'histoire du protestantisme français, France, Au Siège de la Société, 1924, p.160.
  174. ↑ Philippe et Christian Mieg, Étude historique et généalogique sur la famille de Coninck, Ed. Ediculture. Montélimar, 1993, 162 pages.
  175. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome XI, C. Hérissey, Evreux, pp.367-368 (lire en ligne).
  176. ↑ Alain Clouet, Lucien Arman. Un constructeur de navires à Bordeaux au XIXe siècle, 2021 (lire en ligne)
  177. ↑ Hubert Courau, Courau : histoires, portraits de famille (1627-1977), 1977, 317 p.
  178. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome XII, Cos-Cum, C. Hérissey, Evreux, 1913, p.135. (lire en ligne)
  179. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, éd. Sédopols, 2012, p. 240.
  180. ↑ André Lelarge, Paul-Louis Courier, Parisien : Origine et fortune de sa famille, l’attentat du Duc d’Olonne, la naissance et l’enfance de Paul-Louis, recherches sur sa maison natale et ses domiciles à Paris. Lettres et documents inédits suivis d’un essai bibliographique, Paris, Presses universitaires de France, , 307 p. (lire en ligne sur Gallica).
  181. ↑ Gilette Gauthier-Ziegler, Histoire de Grasse au Moyen Âge de 1155 à 1482, Picard, 1935, page 137.
  182. ↑ Hervé de Fontmichel, Le Pays de Grasse, Grasset, 1963, page 30.
  183. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, éd. Sédopols, 2012, p. 244.
  184. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. tome XII. Cos-Cum., Évreux, C. Hérissey, (lire en ligne), p. 294-296
  185. ↑ Henri de La Messelière, "Filiations bretonnes. 1650-1912, Volume VI, 1976, pp. 131 à 133.
  186. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Évreux, tome XII, COS-CUM, 1913 en ligne.
  187. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 13, pages 48 à 49 Dalamel
  188. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 13, Cun-Des, C.Hérissey, Evreux, 1914, pp.51-52 (lire en ligne).
  189. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 13, page 83 Danguy des Déserts.
  190. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 13, pp.91-92 Daniel de Lagasnerie.
  191. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome XVIII, Fel-Fir, C.Hérissey, Evreux, 1922, pp.499-500 (lire en ligne).
  192. ↑ Louis de La Roque, Bulletin héraldique de France ou Revue historique de la noblesse: paraissant sous la direction de Louis de la Roque, 1890, p.167.
  193. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire Français, édition Sédopols, 2012, p.254.
  194. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, ed. Sedopols, 2012, p. 255
  195. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, éd. Sédopols, 2012, p.258.
  196. ↑ Archives de la Société des collectionneurs d'ex-libris et de reliures artistiques, Au Siège de la Société, 1898, p.20 (lire en ligne).
  197. ↑ F. et J. Descamps, Une Famille de la grande bourgeoisie lilloise : les Delesalle-Desmedt 1792-1962, ed. Le Temps Présent, n.d.
  198. ↑ Frédéric Barbier et Jean-Pierre Daviet, Le patronat du Nord sous le Second Empire: une approche prosopographique, Droz, 1989, pp.173-176.
  199. ↑ Par l'ordonnance royale du 18 mars 1843, Henri-Éléonore Deloche (1798-1851) est autorisé a s'appeler Deloche-Denoyelle, in Bulletin des lois de la République Française, 1843, B. 1002, p. 355 (lire en ligne). Il était le fils de Jean-Baptiste Deloche (1762-1840), notaire royal et le petit-fils de Jean-Baptiste Deloche (v.1730-1786), marchand limonadier à Paris, et de Marie-Thérèse de Noyelle (1735-1795), in Philippe Bertholet, Études et notaires parisiens en 1803: au moment de la loi du 25 Ventose an XI (16.III.1803). Bicentenaires de la Loi de Ventôse et du Code civil, Association des notaires du Châtelet, 2004, p.250.
  200. ↑ Gustave Chaix d’Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome XIII, C. Hérissey, Evreux, 1914, p.265 (lire en ligne).
  201. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, ed. Sedopols, 2012, p. 261.
  202. ↑ William Poidebard, Notes héraldiques & généalogiques concernant les pays de Lyonnais, Forez & Beaujolais, Société des bibliophiles lyonnais, 1896, p.67.
  203. ↑ Jacques Vincent, Essai généalogique de la famille Denavit, Bibliothèque Généalogique, 2000, 32 pp.
  204. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, ed.Sedopols, 2012, p. 263-264.
  205. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. XIII. Cun-Des., , 428 p. (lire en ligne), p. 302.
  206. ↑ Jean Lambert-Dansette, Origines et évolution d'une bourgeoisie, E.Raoust, 1954, p.118.
  207. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, ed. Sedopols, 2012, p.265.
  208. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, ed. Sedopols, 2012, p. 266.
  209. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome XIII, Cun-Des, impr. Hérissey, (lire en ligne), p. 468-469
  210. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire Français, ed. Sedopols, 2012, p.268.
  211. ↑ Bulletin de l'Association des Honneurs Héréditaires, no 46, décembre 2004.
  212. ↑ a et b Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, ed. Sedopols, 2012, p.302.
  213. ↑ André Delavenne, Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne, notice "Deville et Sainte-Claire-Deville", Éditions S.G.A.F , Paris, 1954.
  214. ↑ Dr Louis Saint-Cyr, Une famille bergeracoise aux Antilles : les Deville, Société historique et archéologique du Périgord, CV, 1978.
  215. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome XIV Des-Dug, pp.94-95 (lire en ligne.
  216. ↑ Jacques Mouriquand, La saga des Dollfus, Éditions de la Nuée Bleue, 1984, 193 pages.
  217. ↑ Dioudonnat 2002, p. 185 : « famille de haute bourgeoisie protestante du Languedoc ».
  218. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 14, Des-Dug, pp. 147-148 (lire en ligne).
  219. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t. XIV - Des-Dug, Évreux, C. Hérissey, (lire en ligne), p. 268-270.
  220. ↑ Henri Frotier de La Messelière, Filiations bretonnes. 1650-1912, vol. 2, impr. J. Floch, (lire en ligne), p. 183.
  221. ↑ Claude Delaunay, « La famille Dubigeon et son histoire de 1675 à nos jours », in Revue du Centre généalogique de l'Ouest, n°81, 1994, pp. 240-243.
  222. ↑ Charondas, À quel titre ?, Paris, , tome I
  223. ↑ C. d'E.-A. (Gustave Chaix d'Est-Ange), Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Évreux, (lire en ligne), tome cinquième BLO-BOU, p. 61
  224. ↑ C. d'E.-A. (Gustave Chaix d'Est-Ange), Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Évreux (lire en ligne), tome cinquième BLO-BOU, p. 58-61
  225. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, éd. Sédopols, 2012, p. 277.
  226. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, éd. Sedopols, p.201, p. 279.
  227. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome XIV, Des-Dug, C. Hérissey, Évreux, 1915, pp. 299-300 (lire en ligne).
  228. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome XIV, Des – Dug, C. Hérissey, Evreux, 1915, pp.319-321 (lire en ligne).
  229. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises, t. XIV, p. 333-335
  230. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire français, ed.Sedopols, 2012, p. 281.
  231. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Évreux, tome XV, DUH-DYÈ, 1917 en ligne.
  232. ↑ Almut Spalding, The Account Books of the Reimarus Family of Hamburg, 1728-1780 (2 Vols.) : Turf and Tailors, Books and Beer. Brill, 2015, p.884.
  233. ↑ Proceedings of the Huguenot Society of London, Huguenot Society of London, 1959, pp.10-16.
  234. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Évreux, tome XV, DUH-DYÈ, 1917 en ligne.
  235. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Évreux, tome XV, DUH-DYÈ, 1917 en ligne.
  236. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Évreux, tome XV, DUH-DYÈ, 1917 en ligne.
  237. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Évreux, tome XV, DUH-DYÈ, 1917, p.143 (lire en ligne).
  238. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome XV, Duh-Dyé, C.Hérissey, Evreux, 1917, p.199 (lire en ligne).
  239. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire français, éd. Dédopols, 2012, p.289.
  240. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Évreux, tome XV, DUH-DYÈ, 1917, pp.191-192 (lire en ligne)
  241. ↑ Paul Delavenne, Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne, Paris, Édition SGAF, 1955, t. II, p. 163-164
  242. ↑ « Duranti La Calade », sur genobco.free.fr (consulté le )
  243. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome XV, C. Hérissey, Evreux, 1917, pp. 206-207 (lire en ligne)
  244. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire français, Sedopols, 2002, p.197.
  245. ↑ Jean Gavot, Quand le Beausset est raconté. Histoire et histoires d'une commune rurale de Provence, J. Laffitte, 1976, p. 244.
  246. ↑ André Delavenne, Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne, S.G.A.F., 1954, p.169.
  247. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome XVII Fab-Fei, C. Hérissey, Évreux, 1921, pp.89-90 (lire en ligne).
  248. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat, Le Simili-Nobiliaire-Français, éd. Sédopols, 2012, pp. 306-307.
  249. ↑ Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 17, pages 193 à 195 Faurichon de La Bardonnie.
  250. ↑ Georges Marande, « Tablettes généalogiques de la région de Saint-Dié (suite). Famille Febvrel », in Bulletin de la Société p